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HISTOIRE

Balade hard en province

Cela fait déjà plusieurs années que je lis le site et que j’ai envie de me lancer. Sur les conseils d’un des auteurs (qui a écrit sur moi), je tentes donc un premier jet. N’hésitez pas à me faire un retour.

Ce récit est entièrement réel et a eu lieu il y a un peu plus d’un mois. Seuls les noms des lieux et protagonistes ont été modifiés.

Mais avant tout, je me présente, je m’appelle Pierre, j’ai 28 ans et je suis bi. D’un naturel avenant, je ne suis pas le genre de gars qu’on qualifierait de « queer at first sight » et on ne me penserait pas suceur de glands si on me croisait simplement en soirée.

D’un point de vue physique je fais 178 pour 70kg, rien d’incroyable donc mais finement musclé. D’aspect général, je fais plus jeune que mes 28 ans, dû notamment à mes cheveux blonds/roux, mes yeux verts et ma peau très claire.

Le gamin Kinder ? ça aurait clairement pu être mon frère. Pour ce qui est de savoir ce que j’ai dans le caleçon, on en parlera tout à l’heure.

Originaire de Normandie, je suis comme beaucoup partis pour la capitale pour mes études et y suis maintenant définitivement installé. Ma vie à Paris est un long périple fait d’échanges de liquides et de passions qui pourraient faire l’affaire de nombreux récits ici, je vous les raconterai si la chantilly monte pendant celle-ci !

Installé à Paris donc je suis maintenant un homme rangé en couple et la ville commence à m’oppresser. Je décide de rentrer dans ma famille en province pour quelques semaines, ayant la possibilité de travailler d’où je veux.

Alors que j’étais dans la queue de la boulangerie du village, quelqu’un m’appuya sur l’épaule très fortement. En me retournant je vis un géant de 1.90 à la musculature particulièrement développée. L’homme avait de larges épaules et un torse très bien taillé dans son tee-shirt gris ajusté. Ses cheveux roux étaient très courts au carré et ses yeux marrons pétillaient de malice. Ses avant-bras étaient couverts de tâches de rousseur et ses mollets, musclés, étaient couvert d’une toison rousse. J’eu beaucoup de mal à reconnaitre Louis, l’un de mes plus vieux amis dans la région et avec qui j’avais fait toute ma scolarité jusque mes 18 ans :

- Pierre ! C’est toi ? ça fait un bail !

- Ça alors Louis ! Je ne t’avais pas reconnu. Qu’est-ce que tu as changé. Où est passé le grand élancé tout sec qui osait pas parler aux filles ?

- Il est bientôt marié ! L’armée change un homme.

Louis avait toujours ce sourire de petit garçon malgré sa carrure de sportif. Nous nous étions perdu de vue alors que je rentrais en prépa et que lui intégrait l’armée.

- Qu’est-ce que tu fais dans le coin ? Tu as quitté l’armée ?

- Non du tout, je suis maintenant stationné dans une base à côté de Caen ! Je suis passé voir mes parents. Et toi alors ? Tu restes longtemps dans le coin ?

- Seulement pour quelques semaines, j’avais besoin de sortir un peu de Paris et de ma routine.

La file avançait et je me retrouvais devant la boulangère. Passant commande il me dit alors :

- Si tu ne fais rien ce soir, passes à la maison, on prend un verre avec quelques collègues et Claire sera contente de te revoir !

- Carrément avec plaisir !

- Je t’envoie les infos par message, c’est vraiment cool que tu sois rentré.

L’après-midi passa rapidement et rendez-vous était pris pour 18h30 chez Louis. Alors que je me préparais, je retrouvais dans l’un des tiroirs de la commode un slip qu’une de mes ex m’avait offert il y a 5 ans et qui selon elle me faisait un paquet énorme. Je souriais en repensant à la soeur de Louis qui pour un book de son école nous avait pris en photo lui et moi en slip sur un podium de manière très…proche. Je l’enfilais et admirais mon corps dans la glace de la salle de bain. Mon paquet ressortait effectivement énormément, tenant à la forme de la poche mais également à la taille de mes attributs. Trouvant drôle l’idée d’être entouré de militaires en le portant, je le gardais sous mon short.

Arrivé chez Louis, je me joignais à ses amis qui étaient présents sur la terrasse. Le mois de Septembre touchait à sa fin mais la température restait estivale. L’ambiance était bonne et ses collègues de l’armée étaient de bons vivants avec qui il était facile de s’entendre. Claire, la copine de Louis, était ravissante. Elle portait une robe rouge courte et tout le monde se tournait pour la regarder avec insistance chaque fois qu’elle se déplaçait ou s’asseyait, tentant d’observer un bout de ses longues jambes. Ses cheveux blonds tombaient en cascade autour de son visage sur une poitrine que la robe rehaussait particulièrement. Elle plaisait, le savait et je la soupçonnais d’en jouer.

Rapidement, les alcools forts remplacèrent les bières et les jeux à boire firent leur arrivée. L’un des collègues de Louis, Maxime, était particulièrement virulent avec tout le monde. Si les militaires étaient connus pour être très ouverts entre eux sur leurs conquêtes sexuelles, Maxime avait la particularité d’avoir eu des conquêtes féminines mais surtout des conquêtes masculines. Il n’hésitait pas à surenchérir sur les détails graveleux en faisant rire l’assistance.

Vers 22h, les gars du régiment décidèrent qu’il était temps de lever le camps et proposèrent d’aller dans un bar de nuit où ils avaient leurs habitudes. Ayant 30 minutes de route pour rentrer chez moi, je déclinais:

- Désolé les gars, j’ai de la route après et si je vous suis, je suis sûr de pas voir le bout du chemin !

- Oh non allez Pierre viens, on te fera pas boire des masses promis!

- Ouai et on a toute la nuit devant nous.

- Allez Pierre, t’es venu pour te changer les idées, on va te les changer nous !

- Si tu veux, mes colocs ne sont pas là ce weekend, tu peux squatter une de leurs chambres, m’indiqua Maxime.

L’ensemble de l’assemblée se mit à rire et Louis ajouta :

- Fais attention à toi Pierrot, tu sais où tu dors mais tu ne sais pas comment tu vas être réveillé.

Tous partir d’un fou rire et Maxime, fier comme un coq de sa réputation, bomba le torse.

Nous nous mirent en route pour le bar, Claire était fatiguée et décida de rester à l’appartement. La troupe marchait en braillant dans les rues de Caen, Louis, Maxime et moi étions à l’arrière, parlant de notre enfance commune :

- Deux mecs comme vous qui grandissent ensemble, vous allez pas me dire qu’il s’est jamais passé un truc ?

- T’enflammes pas Maxime, on fait pas tous des soirées aussi chaudes que les tiennes.

- Ah d’ailleurs, tu te souviens des photos de nous que ta soeur avait pris pour son école ? J’ai retrouvé le slip que j’avais mis à l’époque quand on était sur la scène !

- Un slip, une photo ? Là il me faut des détails les gars.

- Oh c’était une connerie pour ma soeur, on avait posé en slip tous les deux genre combat de lutte.

- Ouai, à l’époque Louis était fin comme une tige, j’avais aucun mal à le maitriser.

- C’est vrai que maintenant, plus personne oserait. Mais je ne pense pas que je rentrerai dans le slip que j’avais.

- Ah ça c’est clair, vu le paquet mon gars, tu as presque du sur-mesure. Dit Maxime en mettant la main au paquet de Louis.

- Retires ta patte mon cochon, sinon c’est toi que je vais plaquer au sol. Et arrêtes de nous mater dans les vestiaires, ça va te coûter cher un jour.

- Ca va, sans moi ta vie sexuelle serait d’un triste mon Louis.

- Attendez, il s’est passé un truc entre vous?

- J’ai fais découvrir les bas-fonds de cette ville à Louis et c’est bien pour ça que Claire reste aujourd’hui avec lui, après tout ce qu’il a appris là-bas…

Je regardais Louis interloqué, et ajoutai:

- Mais ? il s’est passé quoi ?

Alors que Louis allait répondre, l’un des lieutenants nous rejoignis en hurlant :

- Bon alors mesdemoiselles, on se bouge vider des pintes ou on continue à parler chiffons ?

Nous rejoignîmes alors le bar bruyant, l’ensemble de l’équipe commanda à boire et parti sur la piste dans des mouvements un peu aléatoire.

Maxime me tint le crachoir pour des discussions digne des dix premiers verres que nous avions pris. Il me dit alors :

- Mais entre nous, il ne s’est jamais rien passé avec Louis ?

- Ahah ça t’exciterait avoues ?

- J’avoue ! Mais il y a ce qu’il faut pour se faire plaisir ici. Tu n’as jamais rien essayé avec des mecs alors ? Il faut changer ça !

- Si avec pas mal de mecs d’ailleurs. Je suis bi. Mais j’avoue que je préfère la qualité à la quantité.

L’oeil de Maxime, jusqu’ici perdu dans le vague et torve reprit soudain tout intérêt pour la conversation. Son regard était beaucoup plus espiègle. Il me dit alors :

- D’ailleurs, ce soir je vais à une soirée après, grosse ambiance mais il faut pas rougir de voir des bites s’il y en a. Ça te tente ?… Tu me diras, comme tu dors chez moi, tu n’as pas trop le choix faut dire.

Je regardais Maxime et son sourire malicieux. Il me faisait penser à un petit diable et la situation avait l’air de tourner exactement dans le sens qu’il voulait. Je lui répondis que je pouvais toujours l’accompagner et aviser. Nous sortîmes du bar et fiment route vers sa fameuse soirée.

La nuit était douce et nous marchions d’un bon pas. Maxime portait un sac à dos de grande taille:

- Qu’est-ce que tu as dans ton sac ? Ça ne va pas te gêné pour aller en soirée?

- Ce sac est notre clé pour rentrer dans la soirée la plus hard de toute ta vie.

Arrivé dans une petite rue, il nous fit arrêter devant un grand bâtiment en bois noir sans autre signe extérieur qu’un cercle rouge à côté de la porte. Nous passâmes la porte et nous retrouvèrent devant un simple guichet. Maxime parla à la personne derrière la guérite, ouvrit son sac en montrant le contenant à la vitre et le referma. De la musique électronique résonnait de derrière la porte.

Une fois entrée, on se retrouva dans un vestiaire tout en longueur. De chaque côté, des rangées de casiers étaient séparées par une ligne de bancs. Plusieurs mecs étaient en train de se changer. Certains étaient nus et sortaient des pièces de vêtements noires en plastique, d’autres étaient couverts d’huile et leurs corps brillaient. Enfin, plusieurs étaient en train d’enfiler des combinaisons de latex intégrales. C’était donc ça le thème de la soirée : Une soirée Rubber !

Maxime me regardait avec insistance, son sourire espiègle ne quittait plus son visage, attendant ma réaction:

- Une soirée Rubber ? Je suis pas trop fan de latex…

- Oh tu sais ils ne mordent pas. C’est un trip parmi d’autres mais c’est surtout une réunion de potes.

- Mais je n’ai pas de tenue en latex ? Qu’est-ce que je vais porter ?

- J’espère juste pour toi que tu portes quelque chose sous ce short…

Face à nos vestiaires respectifs, Maxime sortit de son sac à dos une tenue de latex noire aux bords rouges vifs et ôta ses vêtements. Je me déshabillais le plus lentement possible pour le détailler. Maxime avait tiré le meilleur de l’armée sans en prendre ses défauts. D’origine méditerranéenne sa peau était très bronzée et ses cheveux bruns cendrés avaient la coupe réglementaire du régiment qui allait parfaitement avec son visage taillé délicat. Un bouc rehaussait son menton et ses dents blanches. Du haut de son mètre 75, son torse totalement imberbe laissait voir un six pack parfaitement taillé. Ses bras et ses cuisses, étaient du même acabit et étaient fins mais musclés. Il portait un jockstrap qui laissait voir une paire de fesse sans un excès de gras et à la musculature parfaite. Il retira son boxer et laissa voir un pubis entièrement rasé qui laissait la place belle à une bite très brune relativement longue au repos et circoncise. La plupart des mecs autour ne se génèrent pas pour jeter des regards insistants sur son entrejambe.

Maxime capta mon regard et sourit de plus belle. Il s’assit sur le banc à proximité, allongea sa jambe vers moi et me tendit un tube blanc:

- Tu peux m’aider à me mettre de l’huile ? Si je veux pouvoir rentrer là-dedans, il va falloir être généreux.

Je pris le tube et commença à en étaler le long de son pied en remontant sa jambe. Maxime fermait les yeux en ouvrant légèrement ses lèvres. Je continuais le chemin vers son entrejambe et m’arrêtais quand mes doigts frôlèrent ses couilles qui se rétractèrent sous l’effet. Un long filet de mouille coulait de son gland sur le banc. Je le pris du bout des doigts et le posa sur sa lèvre qu’il lécha les yeux fermés.

Je me mis dans son dos, commençant à étaler de l’huile abondamment, le penchant en avant, je m’arrêtais sur ses fesses musclées et dans son sillon, glissant à son oreille :

- Il faut en mettre en quantité pour que ça glisse bien.

Toujours dans son dos, je passais mes mains sur son torse pour bien étaler l’huile, posant ma tête sur son épaule, ma bouche vers son cou soufflant un air léger pendant que mes doigts glissaient sur ses tétons déjà durs. Je l’entendis alors émettre un léger bruit. Sa bite était à présent dressée fièrement, fine, elle devait avoisiner les 18-20cm et coulait abondamment.

Je me redressais en souriant, ne cachant pas mon paquet gonflé dans mon slip face à son visage. Il sourit, se leva et enfila sa combinaison de latex.

Je le suivis alors vers le reste du bâtiment. Louis m’expliqua qu’il s’agissait d’un sauna gay qui une fois par mois devenait un sexclub à part entière. « Pas d’installations balnéos, pas de portes aux cabines, que de la débauche ».

Nous passâmes devant un bar où Louis salua des mecs, plusieurs télés diffusaient des pornos et une musique électro/pop occupait le fond sonore. La plupart des mecs arboraient des combinaisons de latex complètes, certaines ne laissant libre que leurs bites ou leurs culs, d’autres n’ayant qu’un bas de latex ou d’autres des spandex semblables à des maillots de bains. Je fut rassuré de voir que plusieurs mecs étaient en sous-vêtements comme moi, certains en jockstrap ou avec des harnais couvrants leurs torses. Plusieurs mecs portaient également un masque de puppy, une laisse autour du cou les liants à un autre mec. Je fût étonné de voir qu’hormis leurs tenues, la réunion de tous ces mecs aurait très bien pû être celles d’un groupe de potes autour d’un verre et qu’il n’y avait pas, en apparence, de mecs en ruts ou s’adonnant à une baise intense.

Maxime me proposa d’allé visiter. On monta au premier étage, l’ambiance y était rigoureusement différente, l’ensemble de l’étage n’était illuminé que par quelques spots de couleurs éparses et par des stroboscopes accompagnés de musiques électro beaucoup plus punchy, faisant ressentir aux personnes de l’étage un moment complètement hors du temps et de l’espace. Je suivi Maxime dans un ensemble de couloirs ne croisant que peu de mecs. Arrivé au bout d’un couloir, on entra dans une pièce circulaire où plusieurs mecs étaient regroupés autour d’un matelas surélevé sur lequel reposait un mec entièrement enroulé dans du latex ne laissant pas de places à celui-ci pour bouger bras et jambes. Son visage était recouvert entièrement de latex et seul un long tuyau à hauteur de sa bouche lui permettait de respirer.

- Certains kiffent se faire enfermer là-dedans. Le sentiment d’étouffer à son paroxysme.

Je fis une moue dubitative, Maxime sourit et m’emmena continuer notre tour.

L’ambiance de l’étage et l’excitation des mecs que l’on avait croisé commençait à jouer en moi et je sentais un début de fébrilité et une envie d’en voir plus. Nous passâmes devant quelques cabines vides. Arrivé à un croisement, un attroupement de mecs s’était fait autour de l’entrée d’une cabine. Comme toutes les autres, elle n’avait pas de porte et on pouvait y voir un minet, tout juste majeur, en levrette se faire défoncer par un chauve de deux fois son âge qui devait dépasser les deux mètres, sa bite, d’une taille largement au-delà de la normale rentrait dans le cul du minet à un rythme digne d’un métronome, tirant des hurlements en larmes du minet qui finissait de s’empaler dessus malgré tout. Les mecs autour de la porte n’avaient d’yeux que pour cette baise intense, certains ayant sortis leurs bites pour se branler, d’autres se faisant déjà pomper par leurs voisins en matant la scène:

- Pourquoi les mecs ne rentrent pas pour participer ?

- Ici, si le filet est mit, tu peux mater mais tu ne peux rentrer. C’est la seule règle de la soirée.

En effet, un filet militaire couvrait le tiers supérieur de l’embrasure de l’entrée de la cabine et aucun des mecs devant ne tentait d’y entrer. Un mec à côté de moi, vint placer sa main sur mon paquet cherchant ma queue. Maxime voyant la tentative de l’inconnu me prit par la main et me dégagea de la foule pour reprendre notre visite. Nous continuâmes dans les couloirs, croisants plusieurs mecs que j’aurais aimé avoir dans une cabine avec moi mais Maxime me menait un rythme d’enfer. Plusieurs fois je voulus m’arrêter devant des scènes à 2,3 ou plus dans des cabines mais Maxime ne me laissait à peine que quelques secondes pour regarder. Il semblait vouloir me mener dans un endroit bien précis.

Arrivé à un angle de couloir, nous descendîmes un petit escalier et arrivâmes dans une pièce en entresol. Relativement grande par rapport aux autres pièces, ses bords étaient sertis de banquettes, une croix en X avec des chaînes était accrochée à un mur. Une table basse matelassée trainait sur un côté mais la majeure partie de l’espace était occupée par un grand lit à baldaquin. Sur son bord, un homme d’une quarantaine d’année était assis. Le daddy, de taille normale mais bien bâti, il arborait une fine moustache brune, un torse imberbe bien entretenu couvert d’un boléro en cuir. Il portait également un pantalon en cuir dont l’entrejambe avait été ouvert par un mec en train de le sucer. L’homme en question était un vieux de plus de 60 ans aux cheveux courts coupés entièrement blancs. Le papy, entièrement à poil, présentait une toison entretenue également blanche et une queue bandée qu’il caressait pendant qu’il suçait l’épaisse bite du daddy.

Maxime, descendu après moi, vint de plaquer dans mon dos, sa combinaison ne cachant pas son érection contre mes fesses:

- La vue te plait ?

- Je suis pas un grand fan des grands-pères mais j’aime ce que je sens en revanche.

- Attends de voir ce que tu vas ressentir alors.

En disant cela, il passa ses mains dans mon slip et commença à me caresser le chibre en m’embrassant dans le cou. La sensation de ses mains sur ma queue, de ses lèvres dans mon cou et de sa bite contre mes fesses m’excita au plus haut point.

Je me mis face à lui et posa mes lèvres sur les siennes. Sa bouche était douce mais affamée. Nos mains se baladèrent sur nos corps. Le latex accentuant ses courbes. N’y tenant plus, Maxime se mit à genoux et embrassa mon slip. Je profitais de la situation pour me tourner légèrement et offrir la vue au daddy qui ne ratait rien du spectacle.

Maxime baissa alors mon slip à mes genoux. Le mouvement fit dresser ma bite qui lui biffla la joue. Maxime la pris en main, émettant un « wow » de surprise. Ma bite était rarement décevante pour celui qui voulait l’apprécier. Malgré mon corps peu musclé, j’avais été doté d’une queue de 19cm qui avait la particularité d’être très épaisse et particulièrement veineuse, faisant la joie de mes partenaires. Mon partenaire en question se jeta comme un affamé sur ma bite et sans aucune forme de procès l’avala en entier, ne s’arrêtant que quand son nez toucha mon pubis.

Max n’en était certainement pas à sa première, alternant les gorges profondes, les aspirations et les mouvements de langues sur mon prépuce. Je faillis jouir une première fois et dû ralentir ses mouvements. Le daddy profitait du show tout en dirigeant le vieux dans sa succion. Je profitais de me faire sucer pour le regarder en détail. Sa bite était appétissante et son comportement de macho qui avait la tête du parfait père de famille m’excitant beaucoup. Il me fit signe de venir s’asseoir à ses côtés. Une fois installé, Max entre mes jambes, le vieux papy profita pour admirer ma bite entrer et sortir de la bouche de mon suceur. Daddy passa un bras autour de mes épaules et me colla à lui. Il palpa mon dos, mes épaules et mes pecs, comme pour vérifier mes capacités à être un bon mec viril pendant que je plaçais mes mains derrière la tête de Max et lui baisais la bouche, le faisant baver sur ma queue et mes couilles.

Daddy attira ma tête vers la sienne et m’embrassa, d’abord du bout des lèvres, comme s’il ne l’avait jamais fait et découvrait le fait d’embrasser un garçon, puis passionnément, jusqu’à me rouler une pelle divine. Max ne perdait rien du spectacle et sa main était remontée doucement vers les couilles du daddy qu’elle malaxaient.

Excité au plus haut point, je voulais profiter de Max encore et après une pelle baveuse, je le relevais et le dirigea vers la table basse où je le fis mettre à quatre pattes, sa bouche plantée sur ma queue. Daddy vint se poser seul à côté de moi, m’embrassant encore. Je pris Max par les cheveux, le fit me regarder dans les yeux et lui dis alors « Suces salope » avant de guider sa bouche vers la queue du daddy. Plus courte que la mienne, sa queue était cependant épaisse et celui-ci baisa la bouche de Max, ne lui laissant aucun répit.

Après quelques minutes je fis le tour et me cala entre les jambes de Max. Une fermeture éclaire permettait de laisser voir ses fesses complètement imberbe et j’y plongeais alors ma langue pour lui bouffer le cul à fond jouant de ma langue sur ce trou serré, lui dévorant la chatte et embrassant son trou avec mes lèvres qui paraissait toujours aussi serré. Après cette bouffe en règle, je retournais voir le daddy et lui murmurais à l’oreille de le baiser. Il se planta alors entre les jambes de Max et pendant que celui-ci reprenait sa pipe sur ma queue, s’introduisit en douceur dans son cul. Max émit des gémissements étouffés par ma queue. Le daddy commença à accélérer en me regardant et à défoncer Max qui accentuait alors ses gémissements. Je me penchais pour embrasser le daddy dont les mouvements s’accentuaient encore.

Il sortit finalement du cul de Max et me fit signe de venir le remplacer. Alors qu’il s’était fait baiser pendant une dizaine de minute, son trou était à nouveau serré comme s’il ne s’était rien passé. Je crachais sur son trou et entrais en douceur. Son trou s’ouvrit doucement pour absorber ma queue. Poussant un long gémissement pendant que ma bite faisait son chemin dans son cul, il reprit la queue du daddy pour le pomper. Une fois acclimatée à ma queue, je commençais quelques mouvement dans son cul qui se contractait contre ma bite. Je pris Max par les hanches et accélérais le mouvement, alternant baise profonde et mouvements de saccades à allure rapide faisant gémir mon passif. Le daddy, qui dévorait la scène du regard, prit le pli et enfonçait sa queue au rythme de mes mouvements de bassin.

Je sentis alors une main sur mon torse descendre et enserrer la base de ma queue et de mes couilles. Papy, que j’avais totalement oublié depuis le début de cette baise, s’était collé à moi dans mon dos et frottait sa queue à mon cul. Je lui dis alors que j’étais désolé mais que je n’étais pas intéressé par les gens de son âge. Celui-ci retira sa main, je pensais alors qu’il avait lâché l’affaire et continuais ma baise. Cependant, une fiole passa sous mon nez. Je me dis qu’après tout, du poppers ne pouvait pas faire de mal, bien au contraire et je sniffais abondamment le produit. J’eu alors une sensation étrange. J’étais loin d’être un néophyte en poppers et pourtant celui-ci me fit un effet que je n’avais jamais connu auparavant. La chaleur fut progressive et l’excitation beaucoup plus importante qu’habituellement. J’émis un petit « wow » et redoublais d’effort dans le cul de Max qui gémit de plus belle. Papy prit mon excitation pour un assentiment et vient se replacer derrière moi. Ses mains parcourait mes tétons, me faisant gémir pendant que sa bouche léchait le lobe de mon oreille. Je me tournais alors légèrement et pris sa bouche pour lui rouler une pelle magistrale. Alors que Papy me mordillait les tétons, que ma queue était au chaud dans le cul de Max et que daddy plaçait sa main derrière ma tête pour venir coller mon front contre le siens, je me dis que s’il y avait une définition du plaisir, ce devait être celle-ci.

Emporté par mon enivrement, je n’avais pas vu que la pièce s’était peu à peu remplie et quatre mecs étaient à présents à nous regarder, se caressant la queue, l’un d’eux avait même entrepris de bouffer le cul du daddy, mon daddy. Je lui indiquais de me suivre sur le lit et sortis du cul de Max à qui je pris la main.

Je vins m’allonger dans le lit et indiqua au daddy de venir plaquer sa queue contre la mienne. Papy vint à coté de moi me bouffer les tétons et me donné du poppers à sniffer. Je dis alors à Max de venir s’asseoir sur nos deux queues. Il ouvrit sa combinaison de latex sur l’avant, dévoilant son torse en sueur et sorti sa queue de son jockstrap. Elle était déjà tendue droite et couverte de mouille. Il prit une dose de poppers et vint s’asseoir sur nos deux queues.

La sensation était incroyable. Le cul de Max aspirait petit à petit nos deux bites qui se retrouvèrent dressées et plaquées l’une contre l’autre. Max avait attrapé la queue d’un beau rebeux pour le pomper à fond. Papy était agenouillé, le cul sur le visage de daddy et suçait Max à fond. Max accélérait ses mouvements de haut en bas et je profitais des sensations incroyables lorsqu’un mec vint se placer sur moi, posant son cul sur mon visage. Excité au plus haut point, je ne me fis pas prié et dévorais le cul de cet inconnu, déjà bien ouvert. Je le dévorais pendant que celui-ci jouait avec mes tétons, me faisant gémir. Je caressais les pieds et les jambes poilues du daddy qui partageait le cul de Max avec moi lorsque je le sentis tressauter puis d’un coup émettre un grognement intense et long. Max accéléra encore le rythme et je sentis qu’il était bien plus facile de coulisser dans son cul, du jus coulait le long de nos bites sur nos couilles. Ne pouvant me retenir plus, j’accentuais mes mouvements de bassins et explosa d’une dizaine de jets dans le cul de Maxime.

Daddy sortit le premier du cul de Max. Le jus coula alors en abondance sur ma queue et mon pubis. Papy se précipita et vint nettoyer ma queue et mon pubis. Je repoussais gentiment le cul que je bouffais pour découvrir un mec d’une trentaine d’année qui me sourit en me remerciant.

Daddy s’approcha alors, donna sa queue au papy à nettoyer et me plaqua contre lui en me roulant une dernière pelle et me glissa un « merci » à l’oreille puis partit.

Je vis alors Maxime, sur le dos, les jambes sur les épaules du rebeux qu’il suçait tout à l’heure, se faisant démonter par le rebeux en question. Je vins me placer à son oreille et lui dis:

- Tu avais raison, c’est un bon début pour être la soirée la plus hard de ma vie.

Il sourit et me dit de profiter à fond et qu’il m’attendrait au bar s’il finissait avant moi. Je me levais alors pour sortir de la pièce quand papy vint à ma rencontre:

- Merci pour ce soir, je ne suis pas trop papy d’habitude.

- Tiens c’est cadeau, tu l’as bien mérité ! Profites de la soirée.

Le papy à la queue raide me tendit alors la fiole de poppers que j’avais snifé auparavant et je compris alors pourquoi celui-ci avait eu un effet différent : « POPPERS CBD ». Je souris en le remerciant, il posa timidement ses lèvres sur les miennes et repartit dans la mêlée des corps s’unissants sur le lit. Je sortis alors de la pièce et fit route vers le reste la nuit pour profiter de ce qui paraissait être une belle des balades en province…

PierretBi

Suite de l'histoire

TEXTE IMPLIQUANT DES MINEURS,
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