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HISTOIRE

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Les jumeaux et leur père

3 | Première baise entre père et jumeaux

Je vous ai raconté il y a quelques semaines comment Pierre et son frère jumeau en sont venus à baiser ensemble (voir « Premières expériences entre jumeaux »). Après ce récit et une baise endiablée, Pierre décide de me raconter comment il en est venu à baiser avec son père.

« Tout a commencé deux mois après la beuverie qui a rendu mon frère jumeau et moi-même amant, pendant les vacances de Pâques. Pour rappel, je venais d’avoir 18 ans, j’étais gras, monté 15 cm. Mon frère jumeau, Gaël, me ressemblait comme deux gouttes d'eau : grands, baraqués, poilus. Par contre, il avait des épaules très carrées, des biceps bien épais, un torse énorme et des cuisses tout en muscles... tout le contraire de moi qui n’étais qu’un « tas de graisse ».

Nous étions invités à passer quelques jours chez des potes du lycée dans les Pyrénées. Mon père était parti lui aussi pour un week-end avec son club de rugby. Je ne savais pas ce que c’était ... un tournoi ou une excursion ? Nous devions partir le samedi matin... mais notre ami Paul, qui devait aussi être le conducteur, était quelqu’un qui ne planifiait pas beaucoup de choses. Il repoussait à chaque fois, avançant des prétextes pour moi bidons... nous avons attendu... toute la matinée puis l’après-midi. Vers 18h, on a eu enfin le feu vert pour se rendre chez lui. J’étais un peu énervé, je l’avoue. On est arrivés, lui ne s’est même pas excusé. Je posais avec fracas mon sac de voyage dans son coffre. Tout d’un coup Manon, une fille du lycée, s’est précipitée à mon cou et a voulu m’embrasser.

- Manon, là, tu embrasses mon frère jumeau, Pierre !

- Oh pardon, je suis désolé... je croyais que je pouvais vous distinguer... mais apparemment pas !

Je ne comprenais pas ce qui se déroulait sous mes yeux. Gaël me regardait d’un air penaud. Ladite Manon a foncé vers lui et lui a roulé une grosse pelle. Donc mon frère avait une petite copine, il me l’avait caché, mais par contre il baisait avec moi... j’étais dégouté... je ne pouvais pas dire pourquoi... je me sentais tout simplement trahi. En colère, j’ai repris mon sac et je suis parti. Les autres me regardaient, interloqués. Gaël, remarquant mon absence au bout d’une minute, m’a lancé :

- Pierre, qu’est-ce qui se passe ?

Je n’ai pas répondu, au bord des larmes. Il m’a couru après :

- Qu’est-ce qui t’arrive ? Tu fais quoi là ?

- C’est qui cette pouf ? Ta petite copine ? Pourquoi tu m’as rien dit ?

- Je... je ... ne sais pas... j’avais peur de...

- Te fatigue pas ! Tu nous as trompés tous les deux ! Allez, va lui dire !

- Mais qu’est-ce qui te prend ?

- Je croyais que c’était quelque chose de spécial entre nous.

- Tu te fous de moi (il s’est mis à rire). Pierre, c’est que du cul avec toi. Tu apprécies bien, non !? Ou qu’est-ce que tu croyais ? Que j’allais rester avec toi toute ma vie ? T’es vraiment trop con ! Arrête de dire n’importe quoi !

Il s’est mis à ricaner méchamment. Ça m’a blessé. Je suis juste arrivé à balbutier :

- Laisse-moi tranquille. Va te faire foutre !

Je suis rentré à la maison. Une fois arrivé, je me suis jeté sur mon lit et j’ai versé quelques larmes. Je ne me comprenais plus. Qu’est-ce qui m’arrivait ? Etais-je jaloux ? Ça me semblait tellement absurde. Mais d’un autre côté... je pensais qu’il s’était développé un truc spécial entre nous. Et les remords sont remontés. Je me suis alors endormi, les pensées plein la tête.

Le soir tard, vers 23h, je me suis réveillé. Il faisait nuit noire dans ma chambre. J’ai compris au bout de quelques secondes que des bruits dans la maison m’ont tiré de mon sommeil. Je commençais à avoir un peu peur. Gaël devait être à cette heure-ci dans les Pyrénées et mon père parti pour le week-end au rugby. J’ai ouvert doucement ma porte et j’ai entendu des voix dans le salon. Pensant que quelqu’un s’était introduit dans la maison, j’ai voulu aller voir doucement. Je suis descendu furtivement. J’ai alors perçu des rires venant du salon et en même temps des objets tombés. Puis j’ai entendu comme des bruits de succion ... et enfin des gémissements, comme si... quelqu’un baisait ! Des ados qui s’étaient introduits dans notre maison pour baiser ?? J’avançais doucement et j’ai été choqué par le spectacle : mon père était sur le canapé, couché sur le dos, les jambes en l’air... en train de se faire défoncer par un grand black baraqué ! C’est lui le premier qui m’a remarqué et qui a poussé un cri. Mon père m’a alors découvert. Il a blêmi... frémi... il voulait parler mais aucun son n’est sorti de sa bouche...

Nous sommes restés pendant plusieurs secondes, voire plusieurs minutes comme pétrifiés. Puis le black est sorti de sa torpeur et voyant que je ne bronchais pas, il a continué à baiser mon père. Mais ce-dernier a voulu se dégager de son emprise. La teub du black est sortie de son cul et là je suis resté bouche bée. Le mec devait bien avoir 25 cm entre les jambes. Je n’avais encore jamais vu une telle massue. Encore plus grande que ce que je voyais dans les pornos. Voyant ma tête, le black s’est mis à rire en demandant :

- Mais qui t’es toi ?

- Jean, c’est mon fils, il s’appelle Pierre.

- Ah ! Enchanté, jeune homme.

Mon père me racontera plus tard qu’il avait toujours ressenti de l’attirance pour les mecs et c’est la finalement la raison pour laquelle il avait quitté ma mère deux ans auparavant. Jean était son mec depuis environ un an mais il n’avait pas trouvé le courage de nous le dire, surtout par peur qu’on le quitte pour aller vivre chez ma mère.

- Mais dis, donc Daniel (il s’adressait à mon père). Ma teub a l’air d’impressionner ton fils ! Elle te plait, jeune homme ?

Je ne disais rien, je devenais tout rouge, mais je ne quittais pas cette teub des yeux. J’étais comme hypnotisé.

- Tu sais que tu es mignon, Pierre. Si tu veux, tu peux t’approcher et la toucher.

Je l’observais avec intensité le beau black : il devait avoir 45 ans, il avait les cheveux courts et crépus, une peau couleur caramel, il était grand (1,85m), mince et assez musclé, avec de larges épaules. Son corps était lisse, seul son pubis et ses couilles étaient remplis de poils noirs et crépus. Sa queue de 25 cm était bien tendue, bien large, toute noire, avec un gland rose et elle surplombait de grosses couilles toutes aussi noires et poilues.

Et mon père matait la scène, observant ma réaction. Je le regardais et je remarquais pour la première fois qu’il était vraiment sexy. C’était vrai ours. Il avait les cheveux très courts, coupés à la militaire, grisonnants. Il avait une barbe à l’époque. Il était baraqué, avec un gros ventre rebondi et des « seins » bien marqués… mais tout était ferme. Il était poilu d’un peu partout (sur les avant-bras, les jambes, le torse et le ventre, sur le sexe et le cul) avec des poils grisonnants. Il avait le tatouage d’un dragon sur le bras gauche et un autre sur le bras droit d’un ours. Sa bite faisait 16 cm… et elle était super large.

Jean s’est alors approché de moi. Il avait entre-temps une demi-molle qui se trouvait à quelques centimètres de moi. Sans réfléchir et faisant abstraction des bonnes mœurs, j’ai saisi sa bite dans ma main qui ne pouvait pas en faire le tour. Je commençais à la branler, décalottant son gland d’où sortait un peu de liquide. Elle grossissait à vue d’œil. Je n’aurais jamais espéré tenir un tel engin dans ma main. Sa bite était bien raide, lourde et magnifiquement veinée. Je voyais mon père un peu choqué... mais sa teub qui était redescendue en me découvrant, rebander à nouveau.

- Tu peux la sucer si tu veux.

Les derniers doutes qui m’assaillaient ont soudainement disparus à ces mots. Je me suis baissé sans me faire prier et j’ai approché son gland de ma bouche... et je l’ai gobé ... il me remplissait déjà la bouche. Je ne savais pas comment j’allais faire pour m’occuper du reste. Mais il a enfoncé petit à petit sa teub dans ma bouche puis dans ma gorge. Centimètre par centimètre, sa queue s’enfonçait en moi. J’essayais de me relâcher au maximum afin de permettre à cette bite de s’enfoncer au plus profond de moi. J’étais tellement excité que je sentais à peine le réflexe vomitif. Ses couilles se retrouvaient presque à la hauteur de ma bouche. Mon père s’était rapproché, assez impressionné par mes talents. Il bandait dur ! Même Jean l’avait remarqué.

- Maintenant, suce ton père !

Son ton était tellement directif que je n’osais pas désobéir. Pris d’une certaine honte, mais envahi par un énorme plaisir, je me suis alors mis à genoux devant la teub de mon père et j’ai commencé à regarder et touché le gland de mon père. Et finalement, Jean m’a pris la tête et m’a enfoncé, malgré une brève résistance de ma part, la queue de mon père... Il me tenait la nuque d’une main m’obligeant à m’empaler jusqu’à sa base : il me l’a toute faite gober. Puis toujours aidé de ses mains, il m’a fait coulisser la bouche sur cette teub. Puis il m’a repris et m’a fait passer à sa teub. Et là, j’ai eu comme un déclic. J’ai pris moi-même les commandes et j’ai sucé le beau black à fond. Puis oubliant qu’il était mon père, je suis repassé à la teub de Daniel. Jean me caressait l’arrière de la nuque, comme pour me flatter. Je m’occupais en alternance des deux membres.

Oubliant que j’étais son fils, mon père me plantait vigoureusement son membre en bouche. Pour lui, je n’étais plus son fils, mais juste un jouet à deux trous. Pour moi, il n’était plus mon père mais un des deux étalons qui allaient me baiser sans concession.

Mais Jean s’est mis alors à quatre pattes derrière mon père et il lui a léché le trou pendant que j’allais de nouveau astiquer le chibre de Daniel qui poussait des petits râles de plaisir. Après 5 minutes de léchage intensif, le black a poussé mon père en avant et il a remplacé sa langue par sa grosse bite... et il l’a embroché d’un trait. Mon père poussait des gémissements de plaisir. Jean m’a poussé vers la tête de Daniel et je l’ai embrassé avec fougue. Nos deux langues se sont rencontrées ... c’était comme un coup de fouet !

- Maintenant à toi de la baiser.

Sans hésitation, j’ai quand même demandé un préservatif. Daniel a répondu :

- Ce n’était pas nécessaire. Je veux te sentir palpiter au fond de moi sans protection.

Je me suis alors mis derrière et j’ai commencé à glisser ma bite dans son trou qui était grand ouvert. Pas étonnant après le traitement de Jean. Mon gland a franchi les premiers centimètres de son sphincter... il gémissait. Je lui ai alors tout enfoncé d’un coup. J’ai tenu une ou deux minutes : la situation me donnait tellement de plaisir proche. Et alors j’ai senti ma queue se contracter et dégorger une énorme quantité de sperme dans son cul. Je n’ai jamais eu un orgasme de la sorte. Je suis alors sorti de son trou et un flot de sperme s’est écoulé le long de son cul. Jean a pris ma suite. Il était très endurant, c’était assez impressionnant...

Mais d’un coup, au même moment où mon excitation retombait, je me sentais vaciller, les pensées se bousculaient dans ma tête : les reproches, le tabou, l’interdit. Ayant dû le ressentir, Jean a déculé et m’a retourné. Il m’a, vite fait, léché le cul, il m’a doigté et il m’a embroché. J’ai crié de douleur. Daniel est passé sous moi et a commencé à me sucer. Jean bougé maintenant lentement en moi et je commençais à éprouver du plaisir. Ma queue gonflait dans la bouche de Daniel. Je m’abandonnais totalement à mon enculeur qui me provoquait une onde de choc dans tout le corps. Il me martelait le cul et la prostate. Je ne me retenais plus, je poussais des cris sauvages. Dans un effort ultime et dans un râle bestial, le black m’a embroché au plus profond de mes entrailles et j’ai senti sa queue expulser son sperme chaud. Sa teub semblait ne plus pouvoir s’arrêter. Il a déculé et il m’a donné son engin pour y nettoyer les traces de sperme... je m’en suis chargé comme un affamé. Daniel s’est alors mis derrière moi, a pris le sperme qui me coulait du cul comme lubrifiant et m’a demandé :

- Je peux te prendre aussi ?

- Oui, vas-y, baise-moi, ai-je répondu sans hésitation.

Cette question a été comme un déclic pour moi. J’avais envie de la bite de mon père en moi ! Je voulais qu’il me baise et je voulais son jus en moi. Alors, il m’a pénétré avec douceur au début puis avec violence par la suite. Il n’a pas tardé à me remplir. En sortant, j’ai senti un flot de sperme, recraché par mon cul, aller s’étaler sur le sol. Je me suis relevé, mon père m’a alors sucé et j’ai vite tressailli. Ma bite s’est raidie et elle a déversé une rasade impressionnante de foutre épais, crémeux et chaud en plusieurs giclées au fond de sa gorge. Mon père m’a alors embrassé à pleine bouche avec mon sperme pour me remercier de ce cadeau.

Pour ne pas compliquer la situation, Jean est reparti chez lui et après cet « incident », nous sommes allés nous coucher.

Le lendemain, je retrouvais mon père à table pour prendre le petit déjeuner. Il portait un short très court et un t-shirt blanc. J’avais mauvaise conscience, comme si j’avais brisé un tabou... je me sentais sale... mon père a remarqué que je n’étais pas dans mon assiette et il se doutait ce qui me taraudait :

- Pierre, je ne sais pas quoi dire... je n’avais pas prévu tout ça. Je n’ai jamais pensé une seule seconde à coucher avec mon fils. Rien que l’idée m’aurait révulsé. Mais Jean ... sous le coup de l’excitation...

- Papa, c’est dégeu... je ne trouve pas de mots... je me sens sale...

- Fiston... vois ça peut-être sous un autre angle. Tu vas bientôt avoir 19 ans. C’est tout simplement du fun entre adultes consentants.

Il s’est alors levé pour me servir mon thé vu que l’eau bouillait. Voyant que je commençais à déprimer, il m’a demandé s’il pouvait me prendre dans ses bras, ce que j’ai accepté. Il n’avait pas de mauvaises pensées, je le savais. Il s’inquiétait pour son fils et il a alors dit :

- Ne t’inquiète pas. Ce fut un dérapage malencontreux. Ça ne se reproduira plus. Je ne veux pas te faire de mal. Ton frère et toi êtes ce qui est de plus cher pour moi.

Pressé contre son torse, je me sentais rassuré. Je sentais son torse poilu sous son t-shirt ainsi que ses bras musclés qui m’entouraient. Son souffle qu’il dégageait dans ma nuque ravivait les plaisirs de la veille... et j’ai alors senti ma queue se gonfler de désir. Je me suis mis alors à caresser son torse d’une main et à tâter ses biceps de l’autre. Il m’a demandé ce que je faisais. Je n’ai pas répondu, j’ai seulement continué. J’ai passé ma main sous son t-shirt et je me suis mis à jouer avec ses tétons. Il m’a demandé d’arrêter... j’ai commencé à le téter comme une vache. Ses demandes d’arrêter continuaient mais se faisaient moins insistante... j’ai alors senti qu’il bandait. J’ai mis ma main dans son short. Il ne portait pas de caleçon... hm... j’en ai sorti sa teub et je l’ai branlé. Il avait raison. On était deux adultes, consentants. On ne faisait rien de mal. L’excitation montait en moi. J’admirais son corps de rugbyman bien poilu. Je passais mes mains à travers ses poils, je branlais sa teub qui semblait me supplier de la prendre en bouche tandis que lui me caressait la tête. Il se laissait faire... Je l’ai alors regardé droit dans les yeux... ils m’hypnotisaient. Je l’ai alors fougueusement embrassé. Nous nous sommes embrassés longuement, tendrement, comme deux amants « normaux » ... puis il a décidé de prendre les commandes. Il m’a déshabillé et m’a mis sur la table. Il s’est mis devant moi et il a commencé à me sucer. Il était vraiment doué. Il me faisait des gorges profondes... je gémissais fort, sans retenue. Puis il m’a fait un peu basculer et il est descendu vers mon trou qu’il a léché. Je gueulais carrément tellement je trouvais ça bon ! Sa langue jouait tendrement avec mon trou, soit en en faisant le tour soit en y plongeant profondément. Ce traitement a duré une bonne dizaine de minutes. Puis il m’a relevé et embrassé avec tendresse. Je branlais sa teub qui était vraiment épaisse. Il m’a lentement retourné, j’étais debout, le corps allongé sur la table et il était derrière moi... Il a présenté sa queue devant mon trou qu’il a enfoncé lentement. Il m’avait tellement bien préparé que je ne ressentais que du plaisir.

- Oui vas-y papa... Daniel... baise-moi !

- Oui mon petit Pierre, tu sens ma grosse teub qui palpite pour toi et pour ton cul ?

- Oui ! Continue ! Ne t’arrête pas et engrosse-moi !

J’imaginais son cul musclé et extrêmement poilu faire des mouvements de va-et-vient dans mon trou et ses couilles bien poilues venir taper contre mes fesses. Il ne lui a fallu pas très longtemps pour jouir en moi. J’ai senti sa queue expulser son sperme bien au fond de mes entrailles en d’énormes jets bien chauds. Il est resté un moment planté en moi en embrassant mon dos et en me caressant. Puis il m’a branlé et en quelques secondes j’ai éjaculé une bonne dose de sperme. Il est sorti de mon trou et a posté sa langue devant. Il l’a léché à nouveau et a bu le jus qui en coulait. On s’est embrassé tendrement, langoureusement.

On a baisé plusieurs fois pendant la journée. Au beau milieu de la nuit, je me sentais seul dans mon lit. Je suis alors allé dans celui de mon père qui dormait sur le dos. Il était à poil et il bandait. Il devait faire un rêve érotique. Je me suis mis au-dessus de lui et j’ai glissé le long de sa teub. L’excitation aidant, mon trou a avalé d’une traite sa teub. Je coulissais alors dessus. Ça a dû le réveiller... car deux mains m’ont alors pris le cul et il a commencé des mouvements pour me baiser. Je me branlais et j’ai vite joui sur son torse. Lui a eu besoin de plus de temps mais il m’a dosé une nouvelle fois.

Il avait pris des congés et pendant que mon frère était en vadrouille dans les Pyrénées, Daniel et moi avons passé une semaine à baiser, regarder des films, baiser, cuisiner ensemble, baiser...

Une semaine après, mon jumeau Gaël est rentré de son voyage, on s’est expliqué, je lui ai dit que j’étais désolé de mettre comporter comme un con. On s’est rabiboché et la nuit même on baisait de nouveau ensemble. Il m’a demandé si je ne m’étais pas trop ennuyé seul à la maison. J’ai juste dit que non, que c’était une semaine géniale. Mais je ne soufflais mot de la nouvelle relation qui s’était installée entre notre père et moi. Nous avions encore quelques jours de vacances mais Gaël était souvent en vadrouille. Moi, je restais beaucoup à la maison et je jouais principalement aux jeux vidéo. Mon père était très pris par son boulot donc de ce côté-là, ça s’était calmé aussi. Et aussi parce que mon frère était rentré. Alors que je matais un film un jour en fin d’après-midi, Gaël est rentré plus tôt que prévu : il s’est assis à côté de moi et il m’a mis la main sur mon paquet en disant qu’il avait envie de ma bouche et surtout de mon cul.

On s’est alors embrassé tout en se déshabillant. Je me suis baissé pour le sucer et il a poussé de lourds gémissements. Puis je me suis assis sur sa teub et je l’ai chevauché. Je ne sais pas ce qui s’est passé, nous n’avons pas entendu mon père rentrer plus tôt mais tout d’un coup je le voyais à la porte du salon, bouche bée et regarder notre spectacle. Gaël ne l’avait pas remarqué vu que le canapé tournait le dos à la porte. J’ai vu la bite de mon père dressée à travers son pantalon. Je lui ai alors fais discrètement signe de venir... Il a fait non de la tête... puis il s’est ravisé et s’est déshabillé sans bruit. Il s’est approché et m’a donné sa queue à téter. Je continuais à chevaucher Gaël qui a fini par remarquer que quelque chose clochait, il a levé la tête et il est devenu tout rouge. Mais moi je continuais de chevaucher sa teub. Il a alors compris pourquoi j’avais passé une super semaine sans lui. Il a digéré l’information plus facilement que moi. Daniel s’est alors penché vers moi et m’a embrassé fougueusement... j’avais sa langue au fond de la bouche. Puis il est venu sur le canapé, il avait un de ses ados à sa gauche, l’autre à sa droite. Et il m’a de nouveau roulé une pelle. Puis il s’est tourné vers mon jumeau qui, hésitant, s’est lancé aussi. La teub de Gaël, qui était devenue molle sous le choc, a vite redécollé. Daniel a pris nos bites en mains et nous a branlé tandis que nous le branlions lui. Il nous embrassait à tour de rôle. Puis il a fini par me retourner et à me lécher la rosette. Il a alors poussé mon jumeau vers mon trou qui a compris qu’il devait me sodomiser. Il a obéi comme un brave garçon. Il m’a immédiatement limé pendant que mon père me donnait sa teub à sucer. Je remarquais alors que mon père était un vrai chien et qu’il appréciait cette situation. Mais après tout, nous étions tous adultes et consentants ! Je sentais la queue de mon jumeau me défoncer et ses couilles claquer contre mon cul. La teub de mon père entrait et sortait de ma bouche avec violence. J’étais dans un état second, en extase, je gémissais comme une salope en chaleur. Je m’écriais :

- Gaël ! C’est trop bon ! Baise-moi plus fort ! Papa, enfonce-moi ta bite encore plus profondément !

Ma queue devenait dure comme de la pierre, un sentiment de bonheur s’emparait de moi, je gueulais comme un malade. Je sentais que des gouttes de sueur de mon frère tombaient dans le creux de mon dos. Mon père a alors dit :

- Pierre, tu m'excites trop ! J'ai envie de toi !

Puis ils ont changé de place. La teub bien épaisse du paternel me baisait le trou. Il m’a pris dans ses bras, il avait son corps contre le mien, au plus près de moi et je sentais une chaleur extraordinaire émaner de lui, on était en totale symbiose. Ses poils me chatouillaient et je sentais ses muscles bander sous l’effort. J’avais les deux trous occupés. Mon père se défoulait dans mon cul tandis que mon jumeau regardait le spectacle en me laissant le téter. Puis ils ont de nouveau échangé. Après, mon père s’est assis sur le canapé et j’ai compris que je devais le chevaucher. Je me suis empalé sur sa teub et j’y joué aux montagnes russes. Mon frère s’est assis à côté de nous et a embrassé notre père. J’ai alors alterné et j’ai chevauché les deux bites tour à tour. Ce manège a duré bien une vingtaine de minutes. Puis à un moment, tandis que je chevauchais mon père et qu’on s’embrassait, mon frère est venu se mettre derrière moi et a voulu forcer le passage dans mon cul avec sa bite. Il voulait rentrer dans mon trou… me baiser en même que Daniel ! Je lui ai soufflé que ça ne passerait jamais. Il n’a pas répondu et a continué. Mon trou a cédé, j’ai crié de douleur… et ils ont commencé tous les 2 à coulisser dans mon cul. Je trouvais ça dément… génial… un sentiment inoubliable. Ils se défoulaient comme des malades. Par contre, ils n’y sont pas restés longtemps car ils ne voulaient pas juter tout de suite. Mon père s’est alors levé et nous a ordonné de présenter tous les deux nos culs en l’air. Mon jumeau et moi avons obéi, nous nous sommes couchés sur le dos sur le canapé et avons présenté nos fions pendant qu’on s’embrassait. Daniel a doigté Gaël et l’a empalé lentement ... mais voyant qu’il n’était pas vierge, il a vite enfoncé sa teub en lui. Je voyais alors le fessier musclé de mon père donner des coups dans le cul de mon frère. Puis ça a été mon tour. Il a alterné entre nos deux culs pendant bien 10 minutes. Il ne prenait pas de gants, le père baisait ses deux fils jumeaux bien à fond, il déculait par moment avant de replanter son chibre d’un coup sec. Il était bien endurant… Moi, je me branlais vigoureusement et j’essayais de ne pas jouir.

Enfin, il a fini de labourer le cul de Gaël et il l’a engrossé en poussant des cris bestiaux. Je me suis levé pour prendre sa suite et j’ai baisé mon jumeau à l’aide du sperme paternel. Rien que la vision de ma queue devenue blanche car elle baignait dans le jus de notre père m’a fait jouir très vite et une grosse quantité de sperme s’est mélangée à celle de mon père. Gaël m’a retourné et m’a baisé jusqu’à ce qu’il me remplisse sa purée dans le cul. Nous nous sommes tous les trois embrassés. Nous avions ainsi scellé un pacte familial.

Le soir, nous avons rebaisé ensemble, chacun se suçant, se léchant le cul. Mais là, mon père a été plus passif. Il nous a sucé en même temps, il nous a fait des anulingus. Il m’a baisé, baisé mon frère, mon frère l’a baisé tandis qu’il me baisait moi. Puis nous l’avons baisé à tour de rôle et nous avons joui en lui tandis que lui m’a donné son jus à boire.

Tant que nous avons vécu sous le toit paternel, nous nous sommes livrés à de belles parties de sexe ensemble ou séparément. Nous avons eu des copines mais nous nous sommes retrouvés régulièrement pour échanger nos fluides corporels. Mon père s’est mis en couple avec Jean mais ça n’a pas tenu. Gaël a eu beaucoup de copines. Mais nous baisions toujours ensemble. Moi j’ai eu des trucs de sérieux avec des mecs et des meufs... mais qui n’ont pas duré. Je préférais rester célibataire et profiter de la vie. Un truc qui n’a pas changé, c’est qu’on baisait ensemble quand l’occasion se présentait. Personne ne l’a jamais su. Puis mon jumeau et moi avons organisé des partouzes pour baiser ensemble, mais sans le paternel. Nous l’avons fait avec lui et d’autres très rarement, seulement avec des personnes de confiance. Voilà, tu connais toute l’histoire. » finit de me raconter Pierre.

Je suis fasciné, j’ai bandé tout le long de son histoire tellement elle m’a excité. Je me précipite alors sur lui et nous baisons comme des bêtes. A la fin, je lui dis que j’ai très envie de baiser à nouveau avec sa famille. Il acquiesce. Ça lui a énormément plu la dernière fois (voir « Les jumeaux et leur père »). Je sais que la baise avec ces trois mecs n’est pas près de finir de sitôt.

J’espère que cette histoire vous a plu et que vous avez eu bien du plaisir en la lisant. N’hésitez à me contacter/m’envoyer des commentaires ou vos envies pour une éventuelle suite. (N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire).

Meetmemz

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