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HISTOIRE

Premier épisode

Les jumeaux et leur père

2| Premières expériences entre jumeaux

Salut à tous et merci pour les retours que j’ai eus, ça fait plaisir de voir que mes histoires vous plaisent.

Comme je vous l’ai déjà raconté dans « Partouze avec des jumeaux », je baise régulièrement avec Pierre et Gaël, des jumeaux de mon équipe de rugby.

Un jour, Pierre m’envoie un SMS et me dit de passer. Quand j’arrive chez lui, un me très efféminé sort de chez lui. Un petit mec de 20 ans, blond, en débardeur, mince, tortillant son cul bombé. Quand je lui fais remarquer qu’il vient sûrement de baiser, il rit et me sort :

- Tu crois que tu es le seul mec que je baise ? J’ai minimum un mec différent tous les soirs dans mon lit !

Quelle pute ! Mais quand je réfléchie, je fais pareil de mon côté...

- Par contre, oui, là je vais avoir besoin d’une pause. Tu veux boire une bière ?

J’accepte et on s’assoit dans le salon.

- Tu veux que je te raconte comment j’ai commencé à baiser avec mon frère ?

J’ai toujours été super curieux de savoir comment s’est arrivé mais je n’ai jamais osé demander. Il commence alors son récit :

« Je venais d’avoir 18 ans et je ne me trouvais pas très beau à l’époque : boutons d’acné, j’étais gras, je trouvais que j’avais une petite bite par rapport aux autres potes de ma classe que je voyais se doucher après les cours de sport. J’étais encore vierge, j’étais jaloux des potes de ma classe qui racontaient leurs histoires de cul. Je ne savais pas ce que j’étais... bi ? gay ? hétéro ? Je ne m’étais pas encore posé la question. Je me branlais devant des pornos téléchargés sur le net... sans arrêt... tous les jours...

Mon frère jumeau, Gaël, était déjà à cette époque mon portrait craché. On se ressemblait comme deux gouttes d'eau : grands, baraqués, poilus. Par contre, il avait commencé le rugby et ça se voyait : Il avait des épaules très carrées, des biceps bien épais, un torse énorme et des cuisses tout en muscles... tout le contraire de moi qui n’étais qu’un « tas de graisse » comme je me disais en me regardant dans le miroir. On était très pudiques, je ne l’avais jamais vu nu, il ne m’avait jamais vu nu. Je pense que c’est notre éducation. Je n’ai jamais vu mes parents complètement à poils. Et ça ne m’a jamais tenté. Niveau caractère par contre, on était bien différent. J’étais réservé, lui exubérant. Dans les soirées, je restais sans arrêt dans mon coin, trop timide pour parler aux gens, lui avait la tchatche et faisait vite des connaissances. On n’en avait jamais parlé, mais j’étais sûr qu’il n’était plus puceau.

Un après-midi alors que je me croyais seul à la maison, je me branlais comme d’habitude devant un porno. Gaël était encore au lycée et mon père au boulot (il vivait séparé de ma mère depuis déjà 3 ans). Et tout d’un coup, Gaël est rentré dans ma chambre sans frapper, il a ouvert la porte si rapidement que je n’ai rien pu faire, je me suis levé précipitamment et là j’étais debout pile poil en face de lui, la bite pointant vers le plafond. Il était aussi surpris que moi, a murmuré un « désolé » et a fermé la porte. Je suis resté là, penau, sans rien dire. Bien sûr, j’ai tout interrompu. Après une heure, je suis sorti de ma chambre. J'étais tout rouge et honteux de la situation et ... lui aussi. Ça se voyait sur son visage. Il s'est tout de suite excusé : il aurait dû frapper. Moi aussi, disant que j’ai été surpris, je ne m’attendais pas à ce qu’il rentre si tôt. Puis je suis sorti pour prendre l’air.

Je suis rentré une heure plus tard. J’ai vu que je n’avais pas fait attention en partant et que la porte d’entrée de la maison était encore entrebâillée. Je suis donc entré et j’ai entendu des bruits venir du salon. J’ai alors découvert mon frère, le pantalon baissé, la bite dans la main, devant un porno hétéro à la télé, genre un enregistrement du film X qui passe tous les premiers du mois sur Canal, et il était en train de se branler. Il m'a alors aperçu, s’est précipité sur la télécommande pour changer vite de chaine... mais il a juste réussi à mettre le son plus fort. Il s’est alors mis à rougir et à ranger sa teub dans son caleçon.

- Tu es déjà rentré ??

- Oui...

- Désolé... tu m’as trop donné envie tout à l’heure. Mais ... tu sais... t'inquiète c'est naturel.

- Oui c'est vrai..., ai-je admis.

Puis je commençais à partir en direction de ma chambre, abandonnant la télé du regard où une jeune femme avec une poitrine énorme était en train de se prendre une verge encore plus énorme dans la chatte.

- Pierre... tu bandes ?

J'avais en effet la verge tendue dans mon short. Le regardant, j’ai soupiré et je suis devenu encore plus rouge.

- Gaël, lâche-moi s’il-te-plait !

Gêné, je n'osais même plus le regarder. Je pensais qu'il allait se moquer, mais non, il restait là tout en me regardant et en réfléchissant... alors que ma verge tendait toujours mon short. Mon frère s’est mis à sourire et il m’a regardé.

- Tu veux mater un porno avec moi ? Ça sera mieux sur la grande télé que sur ton petit écran d’ordi.

Voyant mon indécision, il a ajouté :

- C’est bon, fais pas ton choqué ! Bon, moi elle m'excite cette salope.

Mon frère m’a souri et a sorti d'un coup sa verge. Elle ressemblait à la mienne. Il l'a empoigné brutalement, l’a décalotté d'un coup et s’est mis alors à se masturber en soupirant. Je le regardais, choqué. Mon érection se faisait encore plus forte parce que la situation m’excitait... mon frère se branlait devant moi... Les hormones ont alors fait le reste. Je me suis assis à côté de lui et je me suis touché la teub encore recouverte de mon short. Gaël s’est alors mis debout et s’est déshabillé. Tous ses vêtements ont disparu. Je trouvais ses jambes musclées vraiment sexy !

- Allez, enlève-moi tout ça !

Je me suis dessapé... tout en gardant le caleçon. J’ai commencé à me branler la main dans le caleçon. Au bout de quelques minutes, il s’est énervé, me disant d’arrêter de faire ma mijaurée. J’ai alors viré mon caleçon à contre-cœur. Mais la situation m’excitait vraiment. Je me branlais à côté de mon jumeau ! Le porno me faisait de l’effet, bien sûr, mais je matais mon frère du coin de l’œil. Ses bras musclés s’acharnaient sur sa teub, son gros ventre bien dur et bien poilu me plaisait... et c’est à ce moment-là que j’ai joui. Le premier jet a sauté sur les poils de mon pubis, puis les autres sont montés jusqu’au niveau de mon nombril. J’ai compté 8 gros jets. Je n’ai jamais eu une aussi puissante jouissance.... Le spectacle m’a bien plu, je dois avouer.

Gaël s’est caressé le corps et les couilles. Puis il a fermé les yeux, a levé son bras gauche qu’il s’est mis derrière la tête. Je voyais une grosse touf sous ses aisselles. Il a poussé alors un soupir et a éjaculé. Il avait l’habitude de se branler en silence le salaud ! Il n’était pas un gros juteur mais son sperme a sauté en petites giclées sur son ventre et sur sa main. Il a lâché sa teub et a poussé un soupir de soulagement. Il avait du sperme partout sur le ventre. Un sperme blanc, épais et odorant ! Il s’est levé et s’est dirigé vers la salle de bain. J’étais encore seul sur le canapé, mon ventre dégoulinant de sperme.

Après cette branlette commune, mon frère ne m’a pas reparlé de cet épisode pendant quelques jours. Puis un jour en rentrant du lycée, j’ai surpris mon frère de nouveau en train de se branler. J’étais sûr qu’il l’avait fait exprès pour que je le surprenne. Il m’a regardé en me souriant et m’a dit :

- Tu te joins à moi.

Aussitôt dit, aussitôt fait ! Je me suis déshabillé et je l’ai rejoint sur le canapé.

- J’ai pris un peu d’avance. Je me branle depuis 1h. J’aimerais bien voir si j’arrive à te battre niveau grosse jute.

Je me suis déshabillé. J’avais déjà la trique. Même si cette situation me semblait bizarre, elle m’excitait. J’admirais ces bras d’acier bander sous l’effort de sa branlette. Et son ventre poilu me donnait envie de le toucher. Je commençais à gémir sentant mon orgasme venir quand mon frère m’a stoppé :

- Non, attends ! J’ai préparé la table de la salle à manger. Viens voir !

On est passé dans la pièce d’à côté et en effet, il avait enlevé la nappe de la table.

- On se met l’un à côté de l’autre et on va voir comme ça qui va juter le plus loin.

J’ai recommencé à me branler. Je n’avais pas besoin de porno pour jouir. La situation dans laquelle on se trouvait m’excitait énormément. J’espérais être à la hauteur de ses attentes. Il m’a pris par le cou et on se branlait en symbiose tous les deux. Je n’ai pas attendu longtemps pour éjaculer. J’avais le jus de 3 jours dans les couilles et je pensais que j’en avais pas mal à revendre, moi qui me branlais normalement tous les jours et qui jutais à chaque fois une bonne dose.

Et j’ai alors gueulé et lâché la purée : le premier jet est parti à la diagonale se perdre par terre. Puis le deuxième a filé droit devant moi à bien 1m devant sur la table. Les deux suivants n’ont pas été à la hauteur et sont tombés presque devant moi en grosses gouttes. Le sperme était assez transparent et liquide. Une minute plus tard, c’était au tour du frérot de juter : il n’a poussé qu’un soupir de jouissance et son jus a jailli de sa bite et est allé se perdre à l’autre bout de la table. Quatre autres jets ont suivi et ont tout éclaboussé devant lui. Les cinq suivants ne sont pas allés aussi loin mais deux ou trois sont venus se mélanger au mien. Son sperme était bien blanc et bien visqueux. Il a poussé un cri victorieux et m’a sorti :

- Tu as le droit à un gage... en plus de devoir nettoyer tout ça. Je te prépare un truc que tu n’auras pas le droit de refuser.

Puis il s’est cassé, me laissant le soin de tout nettoyer... ce que j’ai fait. Au moment d’enlever son jus, une envie soudain m’est venue. Son sperme était très odorant. J’en ai pris sur mes doigts, je l’ai reniflé et une envie m’a submergé... j’ai alors mis mes doigts en bouche et j’ai avalé son jus. Puis je me suis mis à lécher toute la table. C’était un truc bizarre et nouveau pour moi... mais je rebandais tout en faisant ça. J’ai dû me branler une nouvelle fois et jouir sur la table...

Le lendemain, en rentrant de l’école, je suis allé dans ma chambre faire mes devoirs. 1h plus tard, Gaël est rentré de l’entrainement et s’est enfermé dans sa chambre. Après 1/2h, il a fait irruption dans la mienne et il m’a demandé de le suivre. J’y suis allé dans sa chambre, curieux.

- Tu te rappelles que tu as un gage ? C’est le moment de le recevoir.

Un porno était en train de défiler sur son ordi, les volets étaient fermés et une bougie brûlée. Il s’est foutu à poil, je voyais qu’il bandait déjà.

- Déshabille-toi et assieds-toi à côté de moi.

J’ai obéi.

- Maintenant, tu vas me branler et me faire juter. Voilà ton gage.

Il a alors pris ma main et me l’a mis sur sa teub que j’ai prise dans ma paluche. C’était la première fois que je touchais une autre bite que la mienne. Certes elles étaient semblables... mais le sentiment était à la fois bizarre... et excitant. J’admirais sa teub de 15 cm dont les veines ressortaient à merveille. Son gland tout rouge était gonflé au maximum. Ses couilles et son pubis poilus me plaisaient et me chatouillaient la main. Il m’a sorti de ma contemplation en me prenant la main et en me faisant comprendre que je devais le branler. J’ai décalotté sa teub entièrement et j’ai commencé doucement à coulisser. Gaël regardait le porno et fermait les yeux tandis que je m’occupais de sa teub.

- Hm, tu fais ça trop bien, Pierre !

Il appréciait donc ! Mais c’était aussi l’effervescence dans mon calbut... je bandais au max. La situation semblait me plaire.

- Tu bandes aussi, gros cochon ! Allez, je suis pas un connard, déshabille-toi et laisse-moi te branler.

Je m’exécutais et me retrouvais nu sur son lit à côté de lui. Il a alors empoigné ma bite et l’a faite coulisser lentement. C’était un sentiment nouveau de me faire branler par quelqu’un d’autre... et ce quelqu’un était mon propre frère jumeau ! Je n’osais pas le regarder, me sentant quand même gêné... mais je continuais à le branler. Au bout de 5 minutes, il a pressé ses jambes les unes contre les autres et j’ai compris qu’il allait jouir. Je l’ai branlé encore plus vite et plus fort et cette fois, il a poussé un cri involontaire et il a giclé. Son sperme était épais et tout blanc, mais il n’a pas giclé comme la veille. Le jus a simplement atterri sur son ventre et sur ma main. J’ai alors amené ma main vers mon visage et j’ai respiré ce sperme frais tout droit sorti de ses belles couilles poilues. Je ne sais pas alors ce qui m’a pris... j’ai approché ma main de ma langue et j’ai carrément gobé son sperme. Un peu gêné, j’ai regardé mon frère qui souriait d’une facon assez perverse. Le goût de son sperme m’a enivré... j’ai éjaculé presque aussitôt. 2 gros jets sont sortis et sont venus se loger sur mon ventre. Dans un geste malencontreux, il a bougé sa main et les jets suivants puissants ont dévié et l’ont atteint directement sur le corps, un sur la jambe et l’autre sur le ventre. Il a rectifié le tir et les deux derniers, encore plus puissants, sont venus atterrir sur mon torse et dans mon cou. Il a alors essuyé le sperme se trouvant sur lui, mélangeant le sien au mien et il me l’a donné à boire... j’ai léché sa main sans broncher.

Le soir au dîner, je n’osais pas regarder Gael. J’étais un peu gêné par tout ça. Ça ne me semblait pas normal de boire le sperme de mon jumeau. Je me faisais des reproches, je ne comprenais pas non plus ce qui se passait dans ma tête... Pourquoi le sperme me faisait autant d’effet ? Pourquoi branler une bite m’avait rendu aussi chaud ? Est-ce que je me transformais ? Les pensées et questions se bousculaient dans ma tête.

Ce que je ne savais pas, c’était que le week-end d’après allait briser tous mes tabous...

Tout a commencé le vendredi midi en rentrant des cours. Je matais la télé quand Gaël est venu me rejoindre et n’a pas prononcé un mot. Mais à un moment, il a pris la télécommande et a allumé le lecteur DVD. Un porno a démarré et il a immédiatement sorti sa queue. Moi, je commençais déjà à bander. Il a dit alors :

- Je crois que je suis allé trop loin à te faire boire mon sperme. Je suis désolé. J’espère que tu ne m’en veux pas. (Voyant que je ne disais rien, il a continué). Je te propose un jeu : on se branle et le premier qui éjacule gagne, l'autre arrête de se branler, et doit avaler le sperme de l’autre. Et si ça se trouve, je vais devoir alors boire ton sperme.

Voyant que je ne réagissais pas, il s’est mis alors à se branler en solo. Je regardais la grosse teub de l’acteur porno qui entrait en mode bareback dans le cul de la meuf... et cette queue énorme m’a immédiatement donné envie... Allez savoir pourquoi ! Ayant remarqué que je bandais, mon frère a plongé sa main dans mon pantalon et a commencé à me branler. J’ai alors décidé d’accepter son pari. Je voulais perdre pour voir si le sucer confirmerait mes soupçons... Je lui ai pris ma bite des mains et chacun s’est branlé en regardant le porno. Je n’exerçais pas trop de pression sur ma teub car je ne voulais pas jouir trop vite. Gaël a lancé :

- Si tu ne veux pas perdre, tu as intérêt à te presser. Je vais pas tarder à jouir.

Et quelques secondes plus tard, sa teub a libéré son sperme. Ça n’a pas fusé mais il avait une certaine quantité sur le ventre. Son sperme était tout blanc et bien épais.

- Tu n’es pas obligé, si tu n’as pas envie.

Ne disant rien, je me suis approché de son ventre. Je sentais les effluves de mâle, de transpirations, mélangées à l’odeur du gel douche qui émanaient de sa touffe poilue du pubis et des couilles… ce qui m’enivrait... Son sperme était odorant. Du bout de ma langue, j’ai léché son sperme. J’ai dégusté le met. Je l’ai laissé quelques secondes dans ma bouche puis je l’ai avalé... Ce jus m’a rendu dingue... d’un coup, je me suis précipité sur son ventre et à grands coups de langue, j’ai avalé tout son sperme... J’étais comme un animal assoiffé. Il ne restait plus une trace après mon passage. Gaël avait encore une mi-molle. J’étais hypnotisé par sa bite ... et je l'ai prise alors en main. Elle était aussi pleine de sperme, et elle grossissait sous mes doigts. Je l'ai décalotté ... et l'ai prise en bouche. Son gland sentait fort, une odeur de mélange de sperme et de pisse. Je l’ai sucé. Il rebandait. Il fermait les yeux, moi je savourais, il appréciait. Je le voyais. Au final, il a joui une nouvelle fois, cette fois dans ma bouche, sans me prévenir. Il devait être tellement excité par cette nouvelle expérience qu’il a juté de très gros jets au fond de ma gorge. Je n’avais pas d’autre choix que d’avaler. J’étais encore chaud, il a vu ma bite bander... il m’a alors fait remonter sur le canapé et m’a branlé. Il ne m’a pas fallu longtemps pour jouir. J’ai juté des tonnes de sperme un peu partout ... sur le canapé, sur la table basse, sur le sol... et bien sûr sur le visage et le corps de mon jumeau... ainsi que sur sa teub. C’était formidable de voir ça. Mais voyant l’heure avancée, il m’a dit qu’on devait vite tout nettoyer car notre père allait rentrer dans pas longtemps. J’aurais tellement voulu qu’il se délecte de mon sperme...

Donc je ne me posais plus vraiment de questions sur mes tendances sexuelles... je pense que j’étais autant attiré par les meufs... que par les mecs ! Et la semaine d’après devait me prouver que j’avais raison.

Un pote commun de notre bahut, Rémi, avait organisé un samedi soir une fête d’anniversaire dans une salle des fêtes. Etant donné qu’on n’habitait pas loin, on y est allés à pied et on a pu boire de l’alcool. Beaucoup d’alcool. Gaël a essayé de draguer une meuf mais elle l’a repoussé comme un mal propre. Mais il était à l’aise comme d’habitude, il parlait à tout le monde. Moi, je restais plutôt dans mon coin et je ne parlais pas à grand monde. J’ai quand même un peu dansé, adressé des banalités à des potes de ma classe. Mais grâce à l’alcool, je suis devenu de plus en plus loquace. Vers 3h du matin, je remarquais que mon frère était vraiment torché et je lui ai dit qu’on devrait rentrer, ce qu’on a fait. Je l’ai soutenu sur le chemin du retour, il titubait, il avait vraiment dû beaucoup boire. Moi, j’étais simplement joyeux. On a beaucoup ri et chanté dans la rue. Une fois arrivé à la maison, il s’est écroulé dans les escaliers. Je l’ai aidé à se relever et j’ai presque dû le porter, avec beaucoup de mal, jusqu'à sa chambre. Il m’a repoussé, disant qu’il pouvait maintenant se dessaper tout seul... Mais il est à nouveau tombé sur le plancher. Je l’ai relevé et je l’ai poussé sur le lit. Il m’a alors demandé de le déshabiller, disant qu’il n’y arriverait pas. J'ai commencé à le déshabiller, son pull, sa chemise, ses godasses et chaussettes, son jeans. Il avait encore son boxer, encore moite de sueur, mais je remarquais qu’il bandait ! J’hésitais... mais le désir et l’alcool l’emportant sur la raison, je décidais de lui toucher son caleçon pour tâter son paquet. Bien sûr, je bandais comme un taureau, et je décidai de voir s'il dormait vraiment. Après lui avoir soulevé la main, chatouillé les pieds, j’ai passé mes doigts le long de son bas ventre, et je sentais quelque chose à travers ce caleçon qui me faisait frissonner. Je commençais à le tripoter. Puis j’ai passé ma main sous le caleçon, j’ai pris en main cette belle bite et je l’ai branlée doucement. Il semblait toujours dormir. Sa teub était bien dure. Mon frère ne bougeait toujours pas. Puis lentement, j’ai ouvert son caleçon, tout en le regardant... il dormait apparemment toujours. Je déballais alors mon cadeau et je voyais alors sa teub bandée à fond et deux grosses boules pleines à craquer. Je pouvais pour la première fois observer sa teub sous tous les angles. J’étais surpris de constater à quel point elle ressemblait à la mienne. Mais bon, on est jumeau, c’est plutôt normal. Et moi aussi du coup, cette vue m'excitait grave... J'approchais mon visage afin de sentir sa bite et son pubis... ils sentaient la pisse et la transpiration. J’ai approché son gland de mes lèvres... et j’en ai léché la pointe. D’un coup, j’ai avalé goulument sa teub tout en me branlant. Je savais que cette situation était hyper malsaine, mais je m'en foutais, c'était trop bon ! L’alcool me défaisait de toute inhibition. Gael a bougé et gémi. Il n’était pas tout à fait conscient mais il semblait apprécier. Tout d’un coup, j’ai entendu un bruit derrière moi et je me suis retourné. Je remarquais que je n’avais pas fermé la porte. Ce bruit, c’était le parquet qui grinçait ! Ce devait être mon père. J’ai remis à la vitesse de l’éclair la bite de mon frère dans son caleçon. Et j’ai entendu alors mon père dire :

- Pierre, qu’est-ce qui se passe ? Qu’est-ce que tu fais ?

- Gaël est bourré, il a fallu que je le monte jusqu’à sa chambre et il m’a demandé que je le déshabille et que je le mette au lit.

- Hm ok... Bon couvre-le et va vite te coucher.

- Oui, j’y vais. Bonne nuit.

- Hm. Oui... bonne nuit...

Il a laissé la porte ouverte et il est allé se coucher. J’étais comme sonné... est-ce qu’il m’avait vu ? Je pensais que non. Mais il avait dû entendre l’élastique du caleçon claquer sur la peau de Gaël. Avait-il des soupçons ? Je ne saurais le dire. Je suis revenu à la raison et j’ai alors décidé d’arrêter l’expérience. Je me suis donc dirigé vers ma chambre après avoir couvert mon frère. Nos chambres étaient adjacentes. Au bout de 10 minutes, alors que j’étais au lit mais toujours pas endormi, sous le choc de l’éventuelle découverte de mon frère, j’ai entendu Gaël toquer au mur. Nous faisions ça souvent pour signifier à l’autre de venir. Me demandant ce qui se passait, je me suis rendu dans sa chambre. Il m’a lancé immédiatement :

- Continue de me faire ce que tu me faisais, ça m’a plu ! C’était vraiment trop bon. Tu suces vraiment trop bien.

Il a alors enlevé sa couverture et j’ai pu voir qu’il était nu, en train de bander. Je n’ai pas demandé mon reste et je me suis précipité sur sa bite. Je l’ai mise immédiatement en bouche. Il me relevé au bout de quelques secondes, il ne voulait pas déjà éjaculer, disait-il. Je l’ai alors regardé les yeux et sous l’effet de l’alcool et de l’excitation, on s’est embrassés sur la bouche. On s’est roulés une grosse pelle pendant quelques minutes. Et là, il s’est passé quelque chose, comme une décharge électrique. D’un coup, je me suis retrouvé sur son lit, il est monté sur moi, il m'a enlevé mes fringues, m'a embrassé sur tout le corps. Je ne disais rien car, finalement, c'est ce que je voulais au plus profond de moi. Il m’a peloté les seins, le corps... et il m’a dit de lui travailler les tétons, ça lui donnerait un plus gros orgasme. Je me suis exécuté. Puis il a approché sa teub de ma bouche et me l’a baisée ! Sa queue était dure comme de la pierre, il me l'a enfoncée bien au fond de la gorge. J'étouffais, j'avais des renvois mais il ne cédait pas, il continuait. Il m'a baisé la gueule pendant une bonne dizaine de minutes. Bizarrement, j’appréciais ce traitement. Il a ressorti sa queue de ma bouche, m'a fait mettre à quatre pattes, s'est positionné derrière moi, m'a écarté les fesses avec ses mains, a craché sur mon trou puis a posé son gland dessus. D'un coup, il m'a enfoncé toute sa bite dans le cul. J’ai ressenti une douleur indescriptible mais je n’ai rien dit, l’excitation aidant. Mon frère a essayé de me calmer en me roulant une pelle bien baveuse. Sa langue langoureuse cherchait la mienne. Ça m’enivrait, me faisant oublier la douleur. Il a profité de l’occasion pour commencer ces va-et-vient dans mon cul en ébullition, me faisant sentir ses lourdes couilles contre mes fesses. Petit à petit, la douleur s'est transformée en plaisir. Je ne contrôlais plus rien, je m’abandonnais totalement à lui, il m’enfonçait sa bite et il déculait par moment avant de me la replanter d’un coup sec, me provoquant une onde de choc dans tout le corps. Il n’a pas mis longtemps avant de dire :

- Ton gros cul serré est trop bon. Je vais te lâcher ma purée dans les entrailles.

Et j’ai senti une douce chaleur se répandre en moi. Son jus remplissait mon cul ! Au moment où il a joui, j'ai adoré l'expression de son visage et le râle qu'il a poussé. Il m’a alors retourné et il m’a branlé. J’ai joui très vite une quantité impressionnante ! Il avait mis sa queue sous la mienne et a reçu une bonne partie de ma semence. Il a alors approché sa queue de ma bouche et j’ai alors compris que je devais tout lécher et avaler... ce que j’ai fait avec plaisir. C’était la première que je goûtais à mon jus.

Il s’est ensuite posé à côté de moi et il s’est presque immédiatement endormi. Je suis allé aux toilettes pour me laver et en ressortant je suis tombé sur mon père :

- Qu’est-ce qui se passe ? J’ai cru entendre des bruits curieux ?

- Je ne sais pas... moi je devais pisser. Je crois que Gael a crié dans son sommeil... Un cauchemar peut-être ?

Je suis alors retourné dans ma chambre, laissant mon père en plan et je me suis couché. Une fois mes esprits retrouvés, je réalisais ce que je venais de faire et j’étais partagé entre la honte et le désir. Surtout le désir... je sentais son sperme couler lentement le long de mon cul et de mes cuisses... je me suis endormi ainsi.

Le lendemain, au petit-déjeuner, on s’est retrouvés tous les 3 à table. Mon père a demandé :

- Alors, comment s’est passée votre soirée ?

- Très bien. Mais je crois que j’ai trop bu, j’ai trop mal à la tête, a répondu mon frère. Je ne me rappelle plus comment je suis rentré...

Je n’osais pas regarder mon frère. Mon père me lançait des regards assez étranges, à moitié fermes ou mauvais, à moitié dégoûtés. Pensait-il que j’avais abusé de mon frère ? Je me sentais vraiment mal.

Deux jours plus tard, un mardi donc, je ne m’étais pas encore remis du week-end et c’est pourquoi je me couchais tôt depuis la soirée. Vers 22h, j’étais déjà en train de lire dans mon lit et quelques minutes après j’avais déjà éteint la lumière. Mon père était encore à une soirée du rugby. Je ne sais pas s’il m’avait espionné mais dès que la lumière a été éteinte, mon frère a ouvert la porte et s’est glissé dans mon lit. Je remarquais très vite qu’il était complètement nu. Il m’a susurré à l’oreille :

- Tu crois vraiment que je n’étais pas du tout conscient quand on a baisé ? C’était vraiment trop bon. Je ne pense plus qu’à ca depuis !! J’ai envie de remettre le couvert.

Il s’est alors frotté à moi, sa bite était déjà bien dure. Puis, il s’est approché de moi et m’a embrassé. Il m’a alors baisé et il m’a une nouvelle fois juté dans le trou. Depuis cet épisode, on a baisé ensemble presque tous les jours. Je servais quotidiennement de vide-couilles à mon frère. Au bout de quelques semaines, il a tenu à ce que je le prenne. C’était vraiment trop, c’était la première fois que ma teub entrait dans un trou et qu’elle juter dedans. Ça a été une expérience inoubliable. Ma première fois... a été avec mon frère jumeau... Les remords des premiers jours ont fait place à une lubricité incroyable. On le faisait soit après l’école, soit tard le soir quand notre père était couché. Il nous est même arrivé de baiser dans les toilettes du lycée. »

J’espère que cette histoire vous a plu et que vous avez eu bien du plaisir en la lisant. N’hésitez à me contacter/m’envoyer des commentaires ou vos envies pour une éventuelle suite. (N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire).

Meetmemz

Suite de l'histoire

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5 janvier, + 78 pages en Avant-première

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