Premier épisode
3 | Tout commence
J’arrive trempé devant l’entrée de la résidence. Je rentre avec le code qu’il m’a donné et je cherche un peu autour de moi. La résidence est très chic, une vraie résidence parisienne avec une cour intérieure au sol pavé, une sculpture, des chaises longues. Bref un résidence de classe sup. Je tourne en rond incapable de comprendre comment rentrer dans le bâtiment qu’on m’a indiqué.
- Pss derrière toi.
Je me retourne et je vois un beau mec. Il me fait signe de venir avec un très très (très) beau sourire.
- T’es arrivé vite haha
- Oui avec ce temps j’ai accéléré j’ai eu peur que la pluie retombe.
- T’en fais pas, tu pourras rentrer te sécher.
Il me fait beaucoup rire : il parle tout doucement, sans lâcher son sourire mais en regardant le sol.
- Tu viens s’enquit-il.
- Oui pourquoi ?
- Ca va, je te plais ? Il regarde ses pieds un peu gêné
- Oui beaucoup tu as un très beau sourire.
Son visage s’éclaire.
On monte, je le suis jusqu’au 4e étage. On avance au fond du couloir et il sort sa clef. Je le vois galérer puisqu’on est dans le noir complet, et je m’approche de lui pour lui allumer la lampe de mon téléphone.
En m’approchant de lui et en touchant son dos, je le sens très chaud et souffler assez fort. Il ouvre enfin la porte et on se retrouve dans son tout petit studio. La pièce est petite mais simpliste : un grand lit qui occupe une très grande place, une toute petite cuisinière, et une toute petite table, devant l’entrée d’une minuscule salle de bain. J’enlève mes chaussures à l’entrée et je rentre derrière lui. En voulant fermer la porte, une boite à chaussures me bloque la fermeture. Salim le remarque et se baisse à mes pieds pour pousser la boîte qui bloque la fermeture. En se relevant il me fixe et continue à murmurer :
- Désolé c’est assez petit mais le lit est très confortable haha.
- Ne t’en fais pas .Par contre il fait très froid.
- Oui je t’ai préparé une serviette.
Avant même qu’il me la tende, je la vois et je la saisis, et je vois des capotes en dessous. Je souris et fais comme si je n’avais rien vu. Stressé, il avance vers moi pour cacher la table pendant que je déplie la serviette. Il me paraît très stressé.
- ça va ? me dit-il
- Oui oui toujours, rien n’a changé haha
- Oui c’est vrai dit-il en se grattant le crâne.
- Mais il fait vraiment froid haha, je vais devoir vite me sécher.
- Tu veux te doucher ? Ses yeux grandissent comme s’il me proposait un truc incroyable.
- T’es sûr, je veux pas gaspiller ton eau chaude.
- Non non non. Tu peux si tu as envie. Et après… bah si tu veux hein, mais si t’es d’accord on peut après se réfugier sous la couette. J’ai pas assez d’argent pour m’acheter encore un radiateur mais j’ai une très grosse couverture.
Je le fixe en souriant. Il me regarde à peine, visiblement très (très) gêné. La situation me fait rire parce qu’il à l’air très stressé, alors qu’en temps normal c’est moi le stressé des deux.
- Merci Salim. Je me dépêche de me doucher et je te rejoins.
Son visage s’illumine.
En rentrant sous la douche je remarque une matière bizarre sur le pommeau de douche. Je lave avec ma main et je me douche. N’ayant pas rasé mes aisselles depuis un moment, je me savonne bien comme il faut et aussi ma raie qui elle est devenue très poilue avec le temps.
Une fois sorti, je sors et inspecte rapidement le meuble sous le lavabo : aucun truc de drogue, rien de bizarre, ça me rassure. Je ne fouille pas chez les gens systématiquement, mais de temps en temps je préfère vérifier. Je remarque un tube de lubrifiant dont le bouchon brille. Je comprends mieux qu’elle était la matière sur le pommeau de douche. Je finis par sortir et je le vois sur son ordi. Il est avec un t-shirt et un boxer très moulant. Il me regarde en souriant de côté. Je le trouve très mignon.
- Tu viens ?
- Oui oui je dois juste retrouver mon boxer pour le mettre
- Non non, il doit être trempé tu vas mouiller le lit et attraper froid.
- T’es sûr ?
- Ouais ouais. Vas y rentre sous la couette je ne regarde pas sous ta serviette.
Je me rapproche du lit. En se redressant je remarque qu’il est bien en chair. Je n’avais pas remarqué sa morphologie puisque la photo était prise pendant qu’il était sous la couette avec uniquement ses bras qui dépassent. Il remarque que je le fixe.
- Je te plais pas ? Dit-il d’une petite voix
- Non non. Mais toi tu me vois quasi nu alors que toi tu es habillé. Ça me fait un peu bizarre.
- Ah haha. Bah attends.
Il enlève son t-shirt. Il a une sublime peau couleur caramel, avec des tétons roses alléchants, et de légers poils bruns sur tout le torse. Il a une toute petite bedaine, qui dépasse du haut de son caleçon. Il a quelques poignets d’amour et je devine un début de vergetures près de la bande de son caleçon.
- Je suis un peu gros, j’aimerais beaucoup être sec comme toi haha
- gros ? Tu ne trouves pas que t’exagères ?
- Bah regarde mon pneu au niveau du ventre, quand je bouge j’ai des bourrelets qui bougent hahah.
Je rapproche mes doigts au niveau de bande de son caleçon et je passe mon doigt sous son ‘’pneu’’.
- Ta peau est douce Salim. Tu es très beau.
Il me regarde, et je vois une bosse au niveau de son caleçon. Je le sens trembler un peu. Il me fixe en levant la tête vers moi : il a de beaux yeux noirs profonds et tellement innocents. Je lui caresse sa petite barbe de quelques jours, je touche ses lèvres charnues et bien roses.
- Regarde, contrairement à toi je suis tout dur et pas du tout confortable. On sent plein d’os.
- J’aime bien, tu es poilu des jambes et j’aime bien aussi tes tétons qui pointent, murmure Salim.
Il rapproche ses mains et sa paume est un peu chaude et moite. Il me touche les abdos, il caresse ensuite les poils de mes jambes. Il se rapproche timidement et me serre au niveau de la taille. Il m’entoure de ses bras et se blottit contre mon ventre ; je lui saisis son menton, et en le voyant lever les yeux vers moi je lui fais un beau sourire.
- Je peux venir dans ton lit du coup ? Je commence à avoir froid haha
- Oui oui vite viens te réfugier sous la couette.
- Pourquoi tu remets ton t-shirt ?
- J’aime pas trop haha
- Non non, éteins la lumière si tu veux mais garde que ton boxer on sera mieux et on sera sous la couette.
- Okay mais tu restes la nuit avec moi alors ?
- Quoi ? Non mes parents vont me tuer.
- Vas-y appelle-les stp. Demande et on verra.
- J’ai jamais dormi chez un inconnu je sais pas trop.
- On va juste regarder un film et profiter de la soirée. Il pleut trop tu vas pas sortir. Appelle-les et dis-leur que tu es chez un ami. Je leur parlerai en arabe et ne t’en fais pas.
J’envoie un message à ma mère. Elle me répond directement, assez inquiète, et finalement rassurée que je sois au sec. Elle me demandant si je suis sûr et chez qui je suis. Je lui dis que c’est un ami de longue date et qu’on fait du sport ensemble. Elle me demande s’il vit loin et comment il s’appelle (logique arabe : prénom arabe = musulman = pas d’alcool ou de drogue, bref c’est pas très subtil mais c’est comme ça). Je lui réponds et je me surprends à insister sur le fait qu’il pleut beaucoup et que son frère n’est pas là, et donc que j’ai une chambre de libre. Ma mère me demande pourquoi je ne suis pas rentré directement et je lui invente qu’on est allé à une salle de sport loin et qu’on s’est fait surprendre par la pluie. Je pense que c’est la première fois que j’insiste et que c’est pour ça que ma mère finit par céder. Salim qui a suivi tout l’échange me voit écrire bonne nuit à ma mère après avoir raccroché.
- Waw tu es vraiment algérien haha. Ta mère veut tout savoir.
(PS : je me suis rendu compte en me relisant que j’ai écris que mon grand-père était marocain. Désolé aux marocains déçus, mais je suis algérien haha. Désolé pour l’erreur je me relirai mieux)
- Du coup, tu t’appelles comment ?
- Officiellement ?
- Comme tu veux. Moi je m’appelle vraiment Salim.
- Je m’appelle Adil.
- Ca te va bien. Je te trouve très beau Adil.
- Merci Salim.
Il me regarde, et me sourit encore. Je le fixe. Il y a un silence de mort, on entend uniquement la pluie tomber.
- Alors ce haut tu l’enlèves ?
- J’ai trop la flemme d’aller éteindre la lumière haha.
- Je t’en supplie Salim, je ferai n’importe quoi pour ça haha. Et regarde j’ai même convaincu ma mère.
- Tu peux me l’enlever haha.
Je me rapproche de lui et pendant que je tente de soulever son haut, il me touche le torse. Il me fixe, je le fixe aussi. Je lui murmure :
- Et si je t’embrasse tu l’enlèves ton putain de haut ?
- il éclate de rire : oui, tu peux même enlever le boxer si tu veux
Je le fixe, il entrouvre la bouche en me regardant. Il me caresse la joue, et je lui colle mes lèvres aux siennes. Il me saisit le crâne et me colle à lui. J’appuie plus fort avec mes lèvres et je sens sa langue.
Je me décolle, lui enlève son haut, lui saisit à nouveau sa nuque et je le rapproche. Ce baiser était doux, humide. J’ai envie qu’il dure et je sens que lui aussi ne recule pas du tout, au contraire ! Je le sens même sourire. On se décolle, et on se regarde. Cette fois-ci on est tous les deux tout rouge et timides. On se sourit, le silence règne. Il me tient la main très fort :
- Tu ne sortiras jamais d’ici hahaha
- Tu embrasses très bien habibi.
La gêne est de retour et on décide de se mettre sous la couette et je prends son ordinateur. Je décide de lancer un épisode de l’émission ‘’Faîtes entrer l’accusé’’. Je m’étends sur le lit et je me pose contre le dessus-de-lit ; il en profite pour poser sa tête contre mon torse et on se met à regarder l’émission à deux. Je sens ses mains caresser mon torse et pincer doucement mon téton droit. Mon téton commence à pointer et je le sens pincer de plus en plus fort. Une deuxième main se rapproche de mon ventre, puis se rapproche de mon pubis et je sens qu’il joue avec les premiers poils qui sortent. Etant très sensible je suis quelqu’un qui bande très rapidement et je mouille très vite. Je repousse doucement sa main et il s’excuse ; je me retourne vers lui et lui fait un bisou sur les lèvres :
- Je mouille vite, je veux juste pas trop chauffer haha
- Tu ne veux pas ? me dit-il, avec cet air qu’il a à chaque fois qu’il s’inquiète
- Ce n’est pas ça, mais tu as l’air vachement sympa et j’aimerai bien qu’on profite sans trop s’emballer tu vois.
- Pourquoi ? Perso tu me plais beaucoup j’aimerai bien te voir dans toute ta nudité haha
- Tu ne veux pas du tout passer une soirée tranquille en fait ?
- Pourquoi tu t’énerves Adil ?
- Je ne m’énerve pas, mais ce n’est pas ce que tu m’as dit. Je ne comprends pas pourquoi tu changes direct de version alors qu’on a commencé à regarder l’émission ?
- T’as vraiment un tempérament d’algérien, un vrai rajel, mmm tu m’excites haha
La remarque me braque immédiatement et ne me fait pas du tout rire. Ce genre de cliché m’agace et j’ai du mal à le cacher. Il s’en rend clairement compte et paraît étonné :
- Tu le prends mal ? c’est bon je rigole je te taquine simplement.
- Ok.
Je relance l’émission sur l’ordinateur et je me concentre dessus. Il se détache de moi et semble déçu, mais ne dit rien. Je finis presque par l’oublier et je ne l’entends même pas se lever. Je le vois enfiler un short et un pull. Il sort, je me demande un peu ce qu’il fait.
Je me prépare à peut-être être viré de chez lui pour quelqu’un d’autre. Il revient avec un sachet et je le vois sortir des boîtes.
- Le dîner est servi haha
- C’est gentil merci c’est quoi ?
- Du poulet et du fromage pour te rendre gros comme moi haha
- Tu n’es pas gros Salim arrête. Tu as payé ça combien ?
- Chut mange haha.
- Bah merci dis-je timidement
- Tu n’es plus fâché contre moi hein ?
- J’espère que tu n’as pas acheté pour te faire..
- Olalala mais qu’est ce que tu es compliqué haha. J’ai acheté parce que j’ai faim. Je te pose juste la question
- Désolé je me fâche vite c’est un défaut. C’est juste que les petits clichés m’agacent vite. Ne le prends pas personnellement
- Je te trouve très beau quand tu te fâches haha. Un vrai rajel
Je souris et je le regarde, il est tout de même avec ce petit sourire en coin, gêné. Je l’embrasse pour lui faire disparaître ce sentiment. Il me rend le baiser et on se lance dans un baiser de plusieurs minutes. Il me fixe juste après :
- Tu me plais vraiment, j’ai juste envie d’aller plus loin encore, ce n'est pas juste un plan cul. Ne le prends pas comme ça okay Adil ?
- Oui oui pas de soucis. La viande est halal ?
- Euh j’ai pas vérifié, pourquoi ?
Je rougis : - Je ne mange que halal
- Et pourquoi tu le dis d’une petite voix ?
- Les mecs ne comprennent pas toujours ou trouvent ça ridicule.
- Et du coup t’es pratiquant ? demande Salim en commençant à manger
- Oui j’essaye.
- C’est bien, c’est rare. Moi je le suis pas trop, mais je ne bois pas et ne fume, t’inquiètes je ne vais te pervertir que sexuellement.
- Je ne suis pas un pape ne t’en fais pas. J’attends juste la bonne personne pour me lâcher, mais je ne suis pas vierge ou quoi.
- Tu veux te lâcher ? dit-il en me regardant. Comment ? Tu veux essayer quoi ?
- Pourquoi tu t’es arrêté de bouger et de manger d’un coup ? haha.
- Parce que si t’as envie de faire certaines choses faut que j’évite d’enclencher ma digestion haha
Je le regarde. Il s’est mis sur ses genoux et je vois bien qu’il cambre. Je me rapproche de lui, pose la nourriture par terre, au pied du lit. Il me regarde m’approcher de lui en souriant et m’ouvre ses bras, vers lesquels je me blottis. On finit par s’allonger et je glisse mes doigts sous la bande de son caleçon. Je me rapproche du sommet de ses fesses et mes doigts passent sous le caleçon et s’approchent de sa raie. Je décide de complètement retirer la couverture qui recouvre mes jambes de l’autre main et je le laisse avoir vue sur mon pénis qui non seulement bande dur mais mouille déjà beaucoup. Il finit sans un mot par retirer son caleçon et s’approche en m’embrassant. Je lui rends son baiser et je le sens se rapprocher encore de moi, et je décide de m’allonger sur lui pendant qu’il se met sur le dos en me saisissant par le cou pour m’attirer à lui. Il écarte ses jambes et je me retrouve entre ses jambes, ma bite contre la sienne que je sens se durcir. Je commence à me frotter à lui et je quitte sa bouche pour lui lécher le cou comme une glace. Il gémit doucement et me caresse le dos. Je le sens tout dur et d’une taille comme j’aime : ni trop ni peu. Je sens ses mains descendre vers le bas de mon dos pendant que je mordille son téton droit. Sa peau est tellement douce et la sentir contre la mienne transforme mon pénis en fontaine à mouille. Je le sens d’un coup me retourner, je me laisse faire et il se met à quatre pattes au-dessus de moi en cambrant toujours aussi bien ses belles fesses. Sa langue descend vers mon ventre puis il se met à me sucer. Je gémis assez fort, il relève sa tête paniqué et me demande de faire doucement :
- Attention, les murs sont des feuilles de papier ici hahah
- Pardon mais ça fait tellement longtemps, tu le fais trop bien.
- Tu sens que tu vas cracher ?
- Non pas du tout haha, mais ça fait du bien.
- Tant mieux, ne crache pas je veux que ça dure le plus possible.
- MMMMM vasy bébé
Il me sourit et redescend me sucer. Il me suce en me caressant mes couilles très (très) poilus et en caressant l’intérieur de mes jambes. Le traitement dure bien 10 min pendant que je mets ma tête dans l’oreiller de son lit pour masquer d’éventuels gémissements trop forts. Je finis par décoller sa tête de mon pénis et je le mets à son tour sur le dos. Je lui mets mon oreiller sous les fesses et relève son corps. Je descends pour le sucer, mais il n’a pas dû comprendre et il me rapproche de son trou. Je décide de jouer le jeu et de galocher son trou. Je colle mes lèvres à son anus et je sors timidement ma langue. Il sent bon, son trou est lisse, je finis par vite prendre la confiance et je sors franchement la langue. J’aspire le contour de son trou de mes lèvres et je le pénètre avec ma langue : même sous le deuxième oreiller qu’il s’est mis ne masque pas le gémissement que j’entends. Enhardi, je joue le jeu et me mets à littéralement le sodomiser avec la langue pendant que je le branle. Je décide de rentrer un doigt, il gémit et je remonte le sucer. Il retire sa tête de l’oreiller et me regarde avec des yeux surpris pendant que je gobe son pénis. Je ferme les yeux et me concentre sur ces sensations nouvelles : un gros gland chaud en bouche, mon doigt bien serré, au chaud dans l’antre humide de Salim. Je sens ma mouille couler toujours plus. Très vite, à force de contorsions originales, on s’adonne à un 69. Il est sur moi à me sucer pendant que je lèche ses couilles et que je le doigte. Le 69 dure près d’une demie heure, entre suce en gorge profonde et lechage de couilles. Il finit par se relever et me regarde :
- Tu veux cracher ? Parce que j’en peux plus moi.
- Si tu veux répondis-je essouflé.
Il me regarde et commence à se branler. Je le fais s’asseoir sur ma bite bandée, toute dure et humide contre mon ventre. Il frotte ses fesses contre ma verge pendant qu’il se branle. Je le sens de plus en plus tremblant. On se fixe, pendant qu’il se branle et que je sens sa raie appuyer toujours plus contre ma bite. Il me regarde en passant ses yeux vers mon ventre, et je lui fais signe qu’il peut cracher dessus. Il ferme les yeux et crie un inattendu ‘’JE T’AIME BEBE’’ avant de cracher 4/5 jets sur mon ventre qui se retrouve couvert de sperme brûlant. Il se retire et je me saisis de ma bite. Il descend vers mes couilles et me les lèche pendant que je me branle très très fort. Je finis par éjaculer 6/7 jets dont le premier qui atterrit sur mon cou. Il se lève, me sourit et va prendre des sopalins sur la table. Il m’essuit, met la nourriture dans le micro-onde et s’allonge à côté de moi après être revenu avec. Une fois rassasié en ayant mangé sans échanger un seul mot mais en n’arrêtant pas de nous regarder en souriant. Il me laisse comme un pacha pendant qu’il range tout et finit par me rejoindre après avoir éteint la lumière. Je le saisis par la taille, le rapproche de moi :
- Ne me lâche pas de la nuit, j’adore sentir ta peau Salim.
- Sers moi bien fort Adil.
Et on finit par s’endormir, lui avant moi, je l’entends souffler. Je me rappelle seulement avoir passé bien 10 minutes à espérer de tout mon cœur que cette rencontre donnera quelque chose sur le long terme.
AdilB
