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5 | Salim est un vrai jaloux
Une demi-heure qu’on est assis à une table. On est tous les deux en serviette à regarder des mecs qui tournent en rond ou sont assis, certains simplement, d’autres en écartant ostensiblement les jambes. On a beaucoup discuté, ayant été particulièrement surpris par le nombre de noirs et de maghrébins que je devine dans la pièce, populations que j’imaginais très minoritaires dans le milieu gay et ces lieux.
- On est beaucoup de mecs discrets ici. La moitié avec qui j’ai discuté sont même mariés, certains traînent en djellabas toute la journée.
Et il m’explique que le gérant de ce lieu est un kabyle de 45 ans et qu’il avait initialement crée ce vieux magasin désaffecté en un bordel, puis en a fait un sauna informel. Il m’a expliqué qu’il avait eu un plan avec le gérant justement. Et depuis, Salim vient souvent au sauna. Il y a des mecs de tout page. La pièce où nous sommes est la principale. Il y a un petit comptoir et des petites tables un peu partout. Un vidéoprojecteur diffuse un porno. L’endroit est organisé en deux étages, mais pour l’instant on n’a pas encore bougé. Alors qu’il finit par se taire, on entend quelques gémissements émanant de la petite porte qui mène à l’étage inférieur. On se regarde en souriant.
- Tu sais commençais-je, je n’ai pas compris en quoi le fait de venir dans un sauna, ou plus largement d’aimer le sexe est un frein pour se mettre en couple. Si tu es simplement gêné par le fait d’aimer le sexe un peu moins conventionnel et plus débauche que la normale alors le problème est vite réglé.
- Mais tu es vraiment tombé amoureux de moi ?
- Non pas amoureux, mais je trouve bête de ne pas construire un bout de chemin ensemble et justement voir où ça mène. Je ne te parle pas de mariage.
- Je sais bien, mais tu as parlé de hlel.
- Oui parce que pour moi, un mec musulman avec qui je suis en couple et avec qui je m’engage à quelque chose c’est du hlel. On est homos, j’allais pas te parler de mariage religieux…
- Je sais pas trop..
- Tu sais quoi ? on ne va pas perdre de temps sur ce sujet, d’autant que tu as déjà dit non. Tournons définitivement la page et amusons-nous ce soir. On descend ?
Et sans lui laisser le temps de répondre je suis une bande de quelques mecs qui descendent à l’étage si convoité. Au début je ne vois pas la marche à cause de la vapeur et de la fumée de cigarette et je sens une main me tenir. Au départ, naïf comme je suis-je pense à une proposition, avant de me rendre compte que la main en question ne sert qu’à m’empêcher de me vautrer comme un crétin. Après quelques secondes à tatôner pour comprendre l’agencement de cette petite pièce, je m’habitue à l’obscurité et je comprends qu’on est dans un fumoir, et j’aperçois les petits escaliers. Entre temps j’avais perdu Salim et la bande que j’avais suivi c’était dispersé. Je finis par descendre l’escalier et des gémissements se font entendre. Je vois plusieurs douches dont une un peu trop proche des néons rouges, quelques matelas avec quelques mecs assis dessus en train de se toucher. Je suis le couloir et de mémoire, le couloir donnait accès à plusieurs cabines, et en face je devinais des murs pour un glory-hole. J’avance un peu et je devine les toilettes. En me retournant je vois un mec s’approcher de moi tout sourire. Il doit être un peu bourré mais il n’ pas une haleine trop forte donc je décide de lui sourire en retour. Le mec a un léger accent et je devine qu’il est tunisien.
- Tu es nouveau ici ?
- Comment tu sais ça ?
- Je viens ici tous les jours j’aide à nettoyer après. Tu es tout seul ?
- Non je suis venu avec Sal.. un copain.
- Ton chéri ?
- Non juste un pote, il est resté en haut encore.
- Tu veux que je te fasse visiter beau gosse ?
- Je te suis, lui répondis-je en arabe
Il me sourit et me prend la main pour me guider. Il est assez mignon, avec une jolie peau imberbe, un torse bien entretenu sans être dessiné mais je me rappelle surtout de sa vieille serviette qui laissait présager le temps considérable passé ici. Et surtout, le mec n’est pas du tout subtile et me fais visiter en laissant apparaître clairement le haut de sa raie. Je ne me rappelle plus très bien les lieux qu’on a vu, mais je me souviens avoir été surpris de la taille de cette étage inférieur et l’arrivée dans une pièce très très chauffée. Je m’attendais à un sauna et je découvre une espace de grosse piscine gonflable en bois et pas très loin (même trop proche) un petit poêle fumant qui réchauffait la pièce. Derrière la piscine, plein de gros coussin. C’était la pièce la plus grande et quasi tous étaient nus. A peine je rentre que tous les mecs dans la petite piscine se retourne vers moi. J’étais clairement le plus jeune de la pièce, si bien que même les mecs assis dans les coussins se sont retournés vers moi. Au loin j’entends des gémissements derrière un rideau et je sens le souffle de mon guide tunisien dans mon oreille : « quand les mecs un peu timide veulent se faire baiser ici parfois ils mettent le rideau.
Je ne pourrais pas de mémoire décrire tous les mecs de la pièce, mais ils avaient tous ce même look de père de famille immigré, un peu gras mais pas gros, avec leur barbe et leur timidité. Certains ne l’étaient pas du tout, et je voyais des mecs au loin se doigter ou se branler mais en majorité j’avais en face de moi une bande de mâles tous conscients d’être là pour la même chose, mais malgré tout très timide qui se contentaient de se regarder silencieusement. Tous, sauf mon tunisien bien-sûr, qui gueulait comme un crétin que j’étais nouveau. J’entends des pas derrière moi et je vois Salim débarquer en souriant. Il me prend par la main et m’éloigne du tunisien qui ne se rend même plus compte de ce qu’il dit.
- Il aborde tout le monde, t’en fais pas.
- Merci, ça me fait plaisir d’entendre ça.
Il rougit et j’entends un mec rire derrière moi.
- Non mais je veux dire… enfin laisse tomber.
- Oui c’est mieux haha. Tu étais où ?
- J’ai baisé un mec haha
- Déjà, wow tu perds pas de temps
- Non non je rigole je n’ai pas…
- Arrête de te justifier on a dit qu’on s’amuse.
- Oui enfin… Bref tu aimes bien ?
- Ça va, mais je commence à avoir soif.
- Slimane, ramène de la bière entendis-je derrière moi en arabe
Je me retourne surpris. Un mec, sûrement celui qui a ri me regarde en souriant.
- Pas de la bière, je ne bois pas.
En disant ça je remarque un très beau tatouage sur son épaule. Il le remarque et sourit. Je vois le tatouage continuer jusqu’à son épaule.
- Il te plait ?
- Ça doit faire mal sur les trapèzes non ?
- Comme un tatouage classique. Ce n’est pas si dur que ça. Pourquoi tu veux t’en faire un ?
- Non non répondis-je précipitamment, ça ira.
Je le vois allumer une cigarette et il m’en tend une, je refuse poliment. Il me montre la chicha au loin, que je refuse aussi. Il me fait un clin d’œil et me chuchotte « ne t’en fais pas, c’est gratuit, je on l’a déjà payé. Ici tout est gratuit, tu peux même avoir un peu de poppers ». Je lui souris poliment et je fais non de la tête.
Il rigole et crie au fameux Slimane en arabe : « ramène de l’eau pour notre petit imam ». Plusieurs mecs dans la salle rigolent et beaucoup me regardent. Je vois à leur sourire bienveillant et à leurs yeux qu’ils ne se moquent pas de moi et que la remarque est bon enfant, donc je garde le sourire.
Un très beau mec d’une trentaine d’années je dirai, le fameux Slimane se rapproche de moi et en me tendant le verre parle à Slimane en arabe : « et lui là il peut au moins niquer ou bien c’est juste un gamin ? »
- Tu peux me le demander directement hbibi, répondis-je en arabe.
Il sourit et viens s’asseoir à côté de Salim. Lui est complètement nu et à de très beaux yeux noirs. Il me fixe et me demande donc en arabe toujours :
- Tu sais qu’ici on fait des choses interdites de gros vicieux ?
- Oui j’avais compris et ça me va hahah
- Tu fais la femme ou l’homme ?
- Les deux.
- Je te crois pas. Ici les jeunes comme toi ils viennent souvent, ils ont peur de tout et après ils rentrent en pleurant pour prier.
- Je ne vais pas pleurer promis.
- Je vais baiser le mec là-bas. Fais-moi bander avant pour que je sois prêt.
Alors que j’approche ma main il m’arrête.
- Ma bite est sensible, elle n’aime que les douces mains de femmes. Mais t’inquiète elle est propre.
Je comprends très vite l’allusion et je sens des mecs jeter un coup d’œil vers nous. Je décide de jouer le jeu et m’approche. Je ferme les yeux et je décide de gober son gland encore au repos. Il me caresse les cheveux et je descends vers ses couilles toutes lisses. Je les lèche, je les suçote et je sens vite ses boules réagir en remontant. J’y vais plus franchement et je les gobe toutes les deux pour les mettre dans ma bouche, et j’appuie partout où je peux avec la langue. L’effet est immédiat : il écarte beaucoup plus les jambes et commence à souffler de plus en plus fort. Sa bite commence à grossir et je décide de libérer ses boules pour laisser ma langue glisser sur la base de son pénis et je remonte doucement jusqu’au bas du gland. J’appuie avec la pointe de la langue sur la base de son gland que je sens mouiller. Il se met à gémir légèrement et je l’entends commenter « une vraie petite chienne », je le fixe, on se regarde, et j’aspire son gland au fond de ma bouche et fait tournoyer ma langue autour. L’effet est aussi immédiat : il gémit franchement et sa voix commence à pousser dans les aigus. Je sens une main caresser ma hanche et je vois du coup de l’œil monsieur le tatoué me caresser en me regardant avec envie. Je décide de saisir franchement la bite de Slimane qui ne se rend plus compte de rien tellement il gémis sous mes coups de langue, et je pousse le gland de Slimane plus profondément dans ma bouche pendant que je le fixe. Il me lance un regard très vicieux et commence à se toucher. Slimane gémit toujours plus pendant que je commence à lui faire une gorge profonde : sa bite est délicieuse, je ne m’en lasse pas. Monsieur tatoué finit par complètement enlever sa serviette et je vois une très grosse bite sortir de sa cachette. Il crie à Slimane :
- Laisse moi le petit
- Non non c’est trop bon il a faim laisse le manger
- Allez vas-y partage.
- Non je vais avoir froid au zeb
- Mais non…
Et en disant ça il finit par s’approcher de moi et me pousse la tête pour libérer la queue de Slimane. Il me regarde puis regarde sa bite, je comprends le message et pendant que je descends le sucer j’entends Slimane gémir de nouveau, et je comprends que monsieur le tatoué a pris ma place de suceur. On entend plus que les bruits de sussions et les gémissements de Slimane. Plusieurs mecs se rapprochent et s’assoient en face de nous. La bite que je suce à présent est beaucoup plus grosse et je bave sur le gland humide. Je le sens se crisper puis à nouveau relâcher son pénis. Slimane se relève pour se faire sucer en nous regardant et je pense qu’admirer le spectacle l’excite car il gémis encore plus fort. Je sens un mec venir s’allonger à mes côtés et voulant me rouler une pelle. Je ne comprends pas trop et je comprends qu’il veut sa part du gâteau. Je décide de lui laisser le buffet et je descends plus bas pour avaler ma deuxième paire de couilles de la soirée. Je vois Slimane hypnotisé en me voyant gober les couilles de son suceur et je l’entends crier en arabe :
- Rayan, vient me faire ce que fais ton mari
Sur le coup je ne comprends pas trop et je vois Salim se rapprocher de Slimane. Il ne me sourit pas et me regarde à peine, et je le vois descendre vers les couilles de Slimane et les lécher, ce qui fait gémir Slimane. Cette mini-partouze dure bien 10 min avant que Slimane décide d’arrêter tout : « c’est bon je suis bien dur pour ma pute, merci les chéris ». Le départ de Slimane comme si de rien n’était met instantanément fin à toute l’orgie. Mon sucé décide de se redresser et lorsque je m’assois à côté de lui, il me sourit et me fait un bisou sur la bouche : « tu es très doué petit imam, un vrai imam justement hahaha ». je rigole avec lui. Salim nous regarde sans un mot et sourit rapidement à mon sucé-suceur. Slimane revient rapidement vers nous, et me tend un verre d’eau plate. Je lui prends le verre et il me caresse la main en me regardant tout sourire. Il me regarde tendrement : « tu veux nous rejoindre beauté ? ».
J’avoue que sur le coup j’hésite uniquement vis-à-vis de Salim, puis finalement me ravise, comprenant qu’au-delà de ça, Slimane voudrait peut-être aller plus loin qu’une fellation et que pour l’instant je n’étais pas prêt. Je lui souris, il comprend, me fait un clin d’œil. J’imagine que ma réaction a fait plaisir à Salim puisqu’il est venu s’assoir plus près de moi, de l’autre côté :
- Bon bah tu es officiellement mon mari haha
- Déjà ?
- Même Slimane le dit me chuchote Salim.
- Oui j’ai entendu RAYAN
Il me sourit. Il m’explique par la suite que Slimane est le grand habitué de cet endroit et qu’il y vend de la drogue, mais qu’il est aussi le plus gentil. Pendant qu’on discute les mecs dans la petite piscine nous regarde, nous scrutent même. Mon beau tatoué me regarde et m’explique qu’une règle a été mise en place : pour prendre la place de quelqu’un dans le bassin, il faut le sucer. Et comme par miracle, justement je vois un mec taper l’épaule d’un des baigneurs. Je le vois s’assoir sur le rebord en bois, et je vois l’autre se baisser et le sucer sans se poser de question.
- Bon les amoureux je vous laisse, je vais me poser sur un plus grand matelas. Comment tu t’appelles mon beau ?
- Adil.
- Adil.. hmmm. Si tu as envie de me rejoindre n’hésite pas.
Et je le vois se lever, sans serviette et aller plus loin.
- Quand ils se mettent nus, ça veut dire qu’ils sont ouverts à être baisés, me précise Salim.
- Et ça ne te tente pas ?
- C’est plutôt à toi que je pose la question.
- Hein ? je me retourne vers lui surpris. Pourquoi tu dis ça ? (je tente de masquer mon sourire)
- En moins de 10 minutes je te vois prendre ton pied en suçant le premier venu.
- Et ce n’est pas le principe ici ? Ce n’est pas pour ça que tu viens ? Tu ne t’es pas privé pour le sucer aussi d’ailleurs
- Oui mais ce n’est pas moi qui cherche de hlel. Tu te contredis clairement. Et ça prouve bien que ce sera compliqué.
- Je n’ai jamais dit que je voulais être avec toi pour te frustrer et te priver de ce genre de moments. Je ne suis pas un mec jaloux, tant qu’on se dit tout et qu’on vit ça ensemble.
- Oui mais…
- Laisse tomber je n’insisterai pas. J’ai encore faim de bite, je vais tourner voir ce qu’il y a à disposition.
Salim sourit doucement, je lui fais un clin d’œil. Je décide de me lever sans ma serviette, et je déambule dans les locaux sous pas mal de regards (au vue de la moyenne d’âge, j’apparais presque comme un agneau au milieu des loups). Je découvre des pièces que je n’avais encore pas vues. Je n’imaginais pas ce sous-sol aussi grand. En marchant je sens des mains me caresser, notamment les fesses et je commence à voir des jeunes plus proches de mon âge me lancer des clins d’œil. Un mec se rapproche de moi et m’attrape par la taille. Il me chuchote à l’oreille : « retourne à la pièce avec la piscine ça va chauffer on est plein de potes à venir. Tu es très mignon ». Je décide de le suivre et déjà j’entends des gémissements ; la scène est presque digne d’un porno : trois mecs mouillés sucés par des mecs à genoux et une dizaine de corps qui se mélangent sur des matelas. Je vois Salim caresser un mec qui lui parle. Je le fixe, il me voit rougit et je décide de m’approcher du mec qui m’avait attrapé par la taille. Il a devant lui un daddy qui le suce et je sens sa main malaxer mes fesses. Il semble prendre un plaisir fou et mon nouveau copain me fixe. Il se rapproche de moi, et m’embrasse tendrement. Le baiser est doux, bien fait, et nos langues se mettent à se mélanger, et je sens même des lèvres charnues recouvrir les miennes : surprise, il ne s’agit même pas de mon galocheur mais d’un troisième personnage. Je mets un petit temps à comprendre et je croise le mec du regard qui arrête de bouger les lèvres. Je lui caresse le cou pour l’encourager et nous voilà tous les trois dans une triple galoche baveuse qui finit par faire effet et me faire bander très très dure. Très vite mon gland massé par une main inconnue et en baissant les yeux je vois le daddy s’en rapprocher. Je décide de ne rien faire et je me sens avaler par une bouche très chaude. Très vite je m’écarte de mes deux nouveaux copains et je m’assois sur le rebord de la piscine. La fellation est si bonne que je me mets sans m’en rendre compte à gémir à haute voix. En redressant la tête je croise le regard de Salim et il me sourit timidement. Il semble vouloir me dire quelque chose, mais la fellation est si bonne que je tiens à peine sur mes jambes et je le sens m’enfoncer mon gland jusqu’au bout de sa glotte : le fond de sa gorge est serré chaud et humide, si bien que je finis par éjaculer en lui attrapant les cheveux. Je fixe Salim pendant l’orgasme et on ne se lâche pas des yeux. Il se mord les lèvres en me regardant, et je gémis bien plus fort que je ne devrais pour le faire réagir. Le mec dont j’ai rempli la gorge se voit présenter une autre bite et je le vois docilement l’avaler. Je décide d’aller marcher un peu pour retrouver l’usage entier de mes jambes. J’approche un peu d’un groupe de 4 ou 5 personne qui se prennent franchement le cul, derrière deux mecs qui se sucent en 69. Une véritable orgie s’est déclenchée dans un coin de la pièce pendant qu’une majorité regarde. Un mec suce et me regarde d’un coin de l’œil en me montrant ses fesses cambrées pendant qu’il suce à quatre pattes. Le fessier est sublime, un petit trou rose bien brillant au milieu d’une raie poilue. Je décide de m’approcher, et le renoi qui se fait sucer me fait un clin d’œil. Alors que je m’approche je sens Salim me prendre par la taille et me chuchoter :
- Et pourquoi ce serait pas le mien que tu prendrais ?
- Celui là est pas mal non ?
- Oui mais le mien ne sera qu’à toi
- Je croyais qu’on voulait s’amuser Salim.
- Je veux m’amuser avec toi, tu me plais.
- Je suis content de te plaire mais je joue le jeu si tu veux une relation pas juste parce que tu es jaloux ce soir et demain tu me mettras un stop.
- Je sens que je vais encore être jaloux demain et après demain Adil.
- Et jusqu’à quand ?
- Jusqu’à ce que la mort nous sépare haha
J’éclate de rire, je me retourne et je le regarde en souriant :
- Tu es sûr de toi ?
- C’est bon arrête de faire ta star et viens dans mes bras.
Je décide de lui bouffer la bouche et on se galoche très très goulument. Il m’attrape par les cheveux et me galoche encore plus passionnément. on finit vite par trouver un coin et on se pose sur un vieux pouf. On ne se lâchera pas de toute la soirée.
La suite le plus vite possible (j’espère), promis.
AdilB
