Après mes multiples voyages, me revoilà les amis. Plus matures, plus grand et avec des souvenirs et des rencontres plein la têtes, tant de pays et de diversité gravé dans ma mémoire, je suis de retour.
De retour sur Paris, j’ai pu retrouver tout mon entourage, famille, amis et collègues.
Deux années se sont écouler depuis mon départ. Je retrouve une vie comme avant, mais c’est moi qui ai changé. Ce besoin d’aventure que je cherchais autrefois m’a peut-être trop apaisé.
Pour mon retour, j’ai donc convié tous mes amis à aller dans un restaurant italien dans lequel nous avions l’habitude d’aller auparavant. Le rendez-vous est donc fixé à 20 h, Place Pereire dans le 17 -ème arrondissement. J’arrive au restaurant le premier et petit à petit mes amis arrivent tous un par un, les jeux de coudes et les points sont de sortis ( Dus à cette merveilleuse époque de pandémie que nous vivons 😊), pour certains les câlins, les pleures de joies pour d’autre, en bref tant d’amour partagé.
Malgré tout je n’ai pas pu m’empêcher de remarqué que parmi toutes ces personnes que j’étais censé connaitre, une d’entre elles ne m’était pas du tout familière. A peine eu le temps de le saluer que mon ami Adrien prend les devants et me présente ce dernier :
Adrien : Ah ! Excuse-moi je te présente mon colloc Luca, il arrive d’Italie
Moi : Bienvenue à Paris, Dixon enchanté ( que je rétorque en lui serrant la main, troublé par la beauté de l’Homme)
Luca : Merci moi c’est Luca, très enchanté ( Avec un accent italien en faire chavirer plus d’un)
Je pense que un silence c’était fait sentir, comme si une chose attractive avait pris possession de nous à ce moment précis.
Le repas et les discussions s’enchaine mais malgré tout, mon regard et mon attention ne peuvent se détourné de lui, Luca.
Remarquant que je le relooke avec insistance, il commence maintenant à me sourire et je fis de même tout le long du repas.
La fin du repas arrivée et les additions payées, tout le monde commence à se préparer à partir. A l’extérieur du restaurant les aurevoirs se font avant une dispersion général, excepter pour Adrien et Luca qui me propose un after en petit comité sur Bastille.
Pendant le trajet, j’ai pu faire connaissance avec Luca. Il nous vient donc de Rome et il est en France pour travailler en marketing digital pour un poste pour lequel français, anglais et italien était demandé. Tout comme moi étant jeune, il a grandi dans plusieurs pays dont la France (son accent est peu présent), il a 25 ans, les cheveux mi-long châtain et ces yeux noisettes que nous avons en commun.
Il a un style plutôt mannequin ASOS, on sent que son côté Italien influence son amour pour le vêtement. Apres avoir pas mal discuter avec lui, il a un franc parler amusant et qui ne me laisse pas indifférent.
Bref, on arrive au lieu convenu et la soirée se passe plutôt bien, les regards entre Luca et moi ne cesse de se croisés tout au long de la soirée, et c’est même plutôt lui maintenant qui me cherche du regard. Je pense que Adrien était trop occupé par sa rencontre avec une inconnu, que il n’a même pas remarqué ce jeu de séduction auquel ont jouaient Luca et moi.
Il est alors 3h du matin quand on décide de rentré chez nous sauf Adrien qui s’en vas de son côté avec l’inconnu du pub. Je demande donc à Luca où il habite et habitant près de chez moi, je décide de faire un bout de chemin avec lui.
Sur ses une heure de marche, on a échanger sur nos vis, nos voyages et nos relations passées, je l’ai vraiment découvert à ce moment-là, j’ai su qui il était vraiment et je commençais à avoir envie de lui très fort (heureusement que j’avais un long manteau, si vous voyez ce que je veux dire lol 😉).
Voilà c’est la fin du chemin, on arrive au terme de la marche et encore ces regards insistant qui ne veulent dire qu’une chose : désir, encore et encore désir.
Avant de lui dire aurevoir, on parlais de tout et de rien, on en était arrivé à parler de Tiramisu, lui m’expliquant que cela l’avais choqué de voir des tiramisu avec d’autre gout que le café car en Italie cela ne se faisait pas du tout, ils utilisent uniquement du café.
Il me propose donc une invitation de dernière minute :
Luca : Bon écoute, j’ai pas trop sommeil je suis un couche-tard, ça te dis de manger un vrai tiramisu que j’ai fait ?
J’hésitais un peu mais l’appelle de la chair de cette étalon italien m’appelait.
Moi : Avec plaisir, on vas voir ce que tu vaux en pâtisserie
Arrivé chez Luca, je remarque que ce n’était pas chez lui :
Moi : Mais attend on est pas chez Adrien et toi là ?
Luca : Non, là nous sommes chez une de mes tantes qui habite Paris, elle est souvent en déplacement à Milan, je viens donc nourrir ses chats et arrosés ses plantes.
Moi : Ah d’accord, c’est cool tout ça
Luca : Je te laisse te mettre à l’aise, enlève ton manteau et tes chaussures, je reviens dans une minute avec un infusion et le tiramisu
Il revient et me fait gouter le tiramisu, j’étais assez surpris, c’était vraiment bon .
Après avoir terminé le tiramisu, je lui demande si il n’a pas quelqu’un pas plus que un tiramisu :
Moi : Bon, je m’incline c’était super bon mais j’ai encore faim….. tu aurais pas plus que un tiramisu à me faire gouter ? ( Que je lui dis avec un sourire qui veux tout dire)
Luca : Bien sûr, mais il est très chaud et épais (Il réponds avec un regards, me disant mange-moi)
Je me suis lancer en commencer par des bisous dans le coup, purée qu’est-ce que il sentait bon, c’était enivrant. Un parfais du genre Burberry
Ensuite, il a commencé à m’embrasser, suivie de coup de langues incroyable, puis petit à petit il a retiré son pull et j’ai retiré le mien.
On se lève et on commence à retirer nos vêtements tout en s’embrassant avec des entre-jambes aussi durs que des matraques, il m’a pris par la main et il m’a emmené vers une des chambres.
En y arrivant on avait juste nos boxers, j’ai pu contemplé le corps d’athlète que il avait, on sentait que il prenait soin de lui physiquement avec un fessier bien rebondie comme je les aime.
En arrivant devant le lit, il m’ poussé, se mets face à moi à quatre pattes et commence à sentir mon pénis à travers mon boxer, il mordille un peu mon paquet, j’étais en extase et la mouille sortait de ma verge.
Il a entré sa main dans mon boxer, à pris ma bite en main et l’a mis au fonds de la gorge. C’était chaud et tellement agréable.
Il commence son vas et vient sur ma verge, il était difficile pour moi de tenir très longtemps car il faisait ça trop bien, on sentait que c’était vraiment son terrain de jeu et je lui fais comprendre je vais jouir.
Il a intensifier son va et vient et j’ai tout expulser dans sa bouche, il a même eu du mal à tout avalé tellement j’en avait sorti.
On a continué à s’embrasser mais cette fois-ci c’est moi qui était sur lui, j’ai commencé à lui retiré son boxer. Mon dieu quelle était grosse et belle ! Avec une petite toisons presque blonde et ses veines bleuâtres, je n’ai pas pu attendre plus longtemps et je l’ai mis en bouche comme pour dire que je n’attendais que ça.
Lui commençait à tenir le draps comme pour se retenir de ne pas jouir vite mais tout comme moi il n’a pas su de contenir plus longtemps et m’a mis sa main la sur tête pour enfoncer sa verge en gorge profonde. Son corps se décontracte avant d’expulser au fond de ma gorge son sperme aussi bon que ses tiramisu et j’en perte malheureusement quelques gouttes.
On en voulait encore tout les deux, c’était que le début de cette soirée entre lui et moi.
On continu à s’embrasser, j’ai retiré mon boxer et on se glisse sous les draps. Il s’est mis sur le ventre avec un cul cambré comme pour me dire : « Occupe-toi bien de moi, je me donne à toi ! »
Je commence à descendre vers son cul, tout en donnant des baisers à chaque parti, un baiser sur chaque fesses et j’écarte son cul pour que ma langue rencontre sa rondelle qui était déjà pas mal mouillé.
Je commençais ma séance de lèche en spirale et avec délicatesse, je sentais bien que ma lèche lui faisait le plus grands bien car il commençait à marmonner des choses en italien.
Je suis remonté vers son coup, lui fait comprendre que j’allais entré en lui, il était très humide et moi toujours avec de la mouille et avec un peu de salive, j’ai commencé à le pénétrer.
Il était serré mais il se cambrait encore plus pour que je puisse mieux entrer. Une fois bien entrer en lui j’ai commencé des coups secs et de plus en plus fort et il recommence à marmonner en italien.
Tout en restant en lui, je le soulève par les hanches, pour pouvoir le prendre en levrette et je commence à le limer de plus en plus énergiquement, purée que c’était bon, ses fesses bombés avec les quelles mes boules tapaient. Plus il se cambrait, plus je rentrais en lui.
Je l’avais attrapé par les cheveux et là et seulement à ce moment précis, je m’étais vraiment défoulé.
Cette fesses claquaient tellement fort contre moi que moi-même j’en avais un peu mal, je me sentais tellement bien en lui, c’était fou de sentir à quelle point on se faisait mutuellement du bien.
Après une bonnes vingtaines de minutes de défoulement, je sentais venir la fin.
Je lui avais mis quelques dernier coup très énergique avant de venir en lui, j’avais l’impression que l’éjaculation de s’arrêterai jamais.
J’étais resté lui tout luisant de transpiration pendant quelques minutes le temps de retrouvé mes esprits.
Je m’étais ensuite retirer avant que l’on s’écroule.
Une fois nos souffles repris, il m’avait demandé si je savais
Luca : Tu sais ce que sa veux dire « dio de sesso » en italien ?
Moi : Non pas du tout, dis-moi !
Luca : Cela veut dire Dieu du Sexe, c’est comme ça que je te vois maintenant.
C’était ce que il m’avait répondu avant de s’endormir dans mes bras.
Luca et moi, on avait commencé une idylle ensemble, mais cela n’a malheureusement pas durée car il a dû rentrée en Italie pour raison familiale et nous avions convenu que il était préférable de se séparé pour le bien de chacun.
Petit rappel, malgré le faits que j’ai parfois été imprudents, j’ai la chance de ne jamais avoir attrapé quoi que ce soit en terme d’IST ou MST mais ce n’est pas le cas de tout le monde.
Je profite de cette histoire pour faire une prévention auprès des plus jeunes ou des imprudents, protégez-vous, faites attention à vous et aux personnes que vous côtoyez.
Cœur sur vous tous
Dixon
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