Premier épisode
François, un soumis pas comme les autres
Je me présente : je suis un homme de 54 ans, de la famille des " ours, " yeux noisettes, cheveux ultra courts tirant sur le gris. Je suis marié à un homme que je connais depuis 18 ans. Le SM c'est pas du tout son truc donc j'ai un arrangement avec lui pour pouvoir recevoir. Quand je reçois, il n'est pas présent.
Je suis un dominateur expérimenté, mais qui en apprend tous les jours. Ce qui va suivre est vrai. Seul le prénom a été changé.
Je suis un chasseur. J'ai souvent comme pseudo " Cazador ". Je suis inscrit sur quelques sites. C'est sur l'un de ces sites, strictement réservé au SM, que j'ai enclenché le processus de candidature avec un certain François. Il m'envoya rapidement le courriel demandé puis le tableau et enfin les photos demandées. Le dialogue put commencer. D'abord les précisions habituelles : discrétion de rigueur, séparation de nos vies personnelles, type de domination, questionnement de l'apprenti... Etc. Au fil du temps, des précisions curieuses de François titillèrent mon esprit. Je lui demandai d'acheter un plug et il me dit qu'il ne pouvait pas, car vivant dans une résidence ultra sécurisée, que ses courriers et paquets étaient ouverts et qu'il avait servi de cobaye pour l'État français.
Je me suis dit que comme excuse plausible on pouvait trouver mieux. Puis je n'ai pu m'empêcher de penser, mon passé professionnel aidant, à un foyer d'hébergement. Je ne voyais que ce cas de figure pour expliquer l'ouverture du courrier. Et encore.
Derniers échanges de courrier avec mes préconisations : pas de sous-vêtements. Je le veux lavé, parfumé, lavement effectué. Vêtements du haut à boutons ou à glissière. Il doit être précisément devant ma porte à 9 h 30. Je suis intraitable sur la ponctualité. Peu importe d'où il vient. C'est à lui de se débrouiller pour être à l'heure. Bon prince, je lui indique que ma rue étant gratuite sur le plan du parking, elle est toujours prise d'assaut. François vient de Lille, en train.
L'heure approchant, j'ouvre la porte de la maison et regarde dans la rue. Je vois une silhouette et ce que je soupçonnais semble se confirmer. Une certaine démarche et une casquette que je qualifie de ridicule sur la tête. Je referme la porte. J'attends le moment où il doit frapper à la porte et non sonner car la sonnette a un timbre à réveiller les morts.
Il arrive en retard. Je lui fous une calque par minute de retard. Je lui retire sa casquette, lui de mande de se mettre à genoux. Je baisse mon pantalon de survêtement et lui fourre direct ma queue dans la bouche. Je suis surpris, agréablement surpris même. Il suce très très bien, à fond de gorge, jouant avec sa salive et sa langue. Je lui crache dessus. Il a l'air d'aimer. Je lui retire ma queue. Il l'aura pour plus tard et ailleurs. Il s'est mis à poil sans lâcher ma queue et avalé mon precum sans rechigner. Je lui bande les yeux. Direction la cave. Les marches sont étroites. Je le guide et nous finissons par arriver à la cave principale qui fait tout le rez-de-chaussée de la maison. Deux escabeaux sont disposés de part et d'autre. J'y lie les poignets et les chevilles. Mon matériel est prêt.
Je saisis les pinces japonaises avec embout et les places sans ménagement sur ses tétons qui pointent. Je décalotte son sexe et y mets des pinces à linge. Je saisis ses couilles que je lie avec un lacet. Je lui mets des pinces à linge sur plusieurs parties du corps y compris sur ses lobes d'oreilles. Je me recule et le regarde, admirant son cul bombé que je vais fesser et prendre sans retenue. Je parle parfois ps mal selon le soumis. Je lui explique pourquoi je fais telle ou telle chose et dans quel but. Il m'arrive aussi de ne pas parler du tout et d'utiliser soit un langage non verbal ou d'imposer à la pute apprentie une perte sensorielle qui décuple ses sensations.
François commence à gémir lorsque je frôle les pinces. Bien. Son corps va devenir sensible. J'aime. Je le fais se cambrer. Il est surpris par le cinglement du premier coup. Il en aura dix au total. Maso ? Moyen comme il me l'avait écrit. Il ne m'a pas menti... Intéressant.
Je me penche sur son cul. Je mets des gants en latex, y mets du gel chauffant et je m'amuse à y entrer un, deux trois doigts. Je joue avec un peu, beaucoup. J'enlève mes gants en latex, je le pénètre en une seule fois. Et je le baise comme un bourrin et parfois en douceur, alternant les deux rythmes. Il encaisse bien. Jusqu'à un certain point, car je suis très endurant. Rares sont ceux qui ont réussi à me faire éjaculer.
La séance se termine. 4 heures que cela durait. Je n'ai pas vu le temps passé.
François repart sur Lille et moi je range le matériel et jette les capotes et le papier absorbant, nettoie le plug et quelques instruments.
Nos dialogues se poursuivront et François a un fort désir d'appartenance.
Cependant, j m'aperçois que je peux pratiquement tout lui demander. Et de cela je ne veux pas. Car François a une déficience mentale légère ce qui lui a valu de travailler en milieu protégé et de vivre par conséquent en foyer dit d'hébergement. C'est un très bon bâtard et j'ai malgré tout des scrupules. Car pour moi il reste une personne vulnérable. Il a une sexualité comme tout à chacun. Il aime être soumis et mis à dispo. Il adore sucer et est reconnu comme un excellent pompeur dans le sauna lillois où il va parfois.
Dernièrement il s'est mis sous PREP et me demande de le féconder la prochaine fois que nous nous verrons.
La prochaine fois... Je l'honorerai de ma semence.
Cette expérience réelle parle d'un sujet tabou dans la société et certaines institutions accueillant les personnes en situation de handicap moteur et/ou mental : le droit d'avoir une vie sexuelle et affective. François est très indépendant. Le fait d'enclencher sa mise sous PREP démontre sa capacité de discernement.
Dites-moi ce que vous en pensez.
Acheran
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