J'ai 70 ans et pendant une partie de ma jeune vie, j'ai été élevé et ai grandi dans une secte dont je voudrais taire le nom.
Le souvenir le plus marquant que je veux évoquer ici est celui d'initiation à l'âge d'homme, d'initiation sexuelle à l'âge d'homme. Cette initiation se faisait à l'âge de 17/18 ans et elle se faisait par les hommes de la famille : le père et les grands-pères. L'adolescence se déroulait sous surveillance stricte : la masturbation était fortement interdite et les copains qui avaient bravé cet interdit avaient été bastonnés jusqu'au sang pour avoir perdu leur pureté et chaque jour, pendant 6 lunes, leur sexe était enveloppé de manière serrée dans un linge qui était ceint autour de la taille. Ils ne devaient pas s'éloigné du village et devaient uriner à travers la toile qui contenait le sexe. Je garde le souvenir terrible de ces garçons de mon âge qui rapidement pleuraient, suppliaient pour qu'on les libère de ce supplice, de cette honte. Rien n'y faisait et cela nous décourageait de toute masturbation, l'idée ne m'en venait d'ailleurs pas. Je restais sage et chaste.
L'initiation est arrivée et chacun attendait cela comme une libération sexuelle. Ceux qui l'avait subie avait interdiction d'en parler sinon les représailles étaient, là aussi, très rudes.
Ce fut mon père, Jean, 52 ans, alors, qui m'annonça que devrait m'isoler pendant une semaine pour pouvoir être prêt pour la séance d'initiation " L'Homme à venir ". Je fus cloitré dans une cabane, en forêt, confortable et mes repas et lectures portés chaque matin. Une porte de cette cabane était fermée. Une pièce m'était interdite. Les lectures reçues étaient centrées sur le rôle de l'homme dans la vie quotidienne, dans la famille et dans l'éducation des nombreux enfants que chaque homme doit faire. Il était indiqué dans les documents du dernier jour que cette cérémonie se ferait en présence de mes deux grands-pères et de mon père. Je devrais être seulement vêtu de la tunique blanche qui me serait déposé le matin même du jour de la cérémonie, donc nu en dessous, c'était bien précisé.
Le jour est arrivé. Je n'avais pas dormi la nuit précédente. J'avais tout imaginé sauf ce qui est arrivé.
Un homme, grande barbe, que je connaissais, est entré après avoir déverrouillé la porte fermée. Il avait revêtu une tunique blanche. Je devinais son corps nu à travers la toile. Il m'appela par mon prénom et ajouta : " Pierre, tu es encore un enfant. Aujourd'hui tu vas devenir l'homme fertile dont notre communauté a besoin pour prospérer. "
Il m'a conduit dans une pièce blanche avec des sortes de bat-flancs blancs aussi. Mes deux grands-pères (John et Marc) étaient là, vêtus de blanc tout comme mon père. Le maitre de cérémonie me dit alors : " Pierre, les hommes de ta famille vont te donner la fertilité qu'ils ont eux-mêmes reçu de leur père. Ton père, à ton âge a été initié de cette façon et tu vois combien cela a porté ses fruits car il a fait 8 enfants dont toi, premier garçon. Je crois qu'il est fier de toi et de ce que tu vas devenir. "
Je regardais les trois hommes de ma famille, hommes que j'aimais par-dessus tout.
Il ajouta très solennellement : " Tu vas te déshabiller et laisser la cérémonie se dérouler comme il est prévu. Pour ne pas être rejeté, tu dois accepter son déroulement qui existe depuis très longtemps. Ils vont te donner leur énergie sexuelle et tu pourras dès demain en user avec discernement. Ton silence sera le gage de la réussite de cette initiation."
Je me suis dévêtu, et les trois hommes ont regardé mon corps. Le maitre de cérémonie est sorti. Les trois sont venus vers moi et l'ont caressé sans rien dire. Pas un seul mot ne sera prononcé durant la cérémonie. Ils se sont déshabillés. Marc, le grand-père paternel a dit : " J'ai fait 10 enfants à ma femme, dont ton père qui est aussi vigoureux que moi. Je vais te donner ma vigueur puis ton autre grand-père en fera autant et enfin ton père. Tu seras fier de toi, alors. "
J'étais comme hypnotisé par les corps nus qui m'entouraient et je finis par constater que les sexes étaient dressés, en forte érection.
Marc, mon grand-père mis une main sur ma nuque avec une légère pression il me fit baisser la tête et regardant le sol, il me conduisit jusqu'à un bat-flanc et me fit mettre à quatre pattes. Tout fut rapide : il m'enduit les fesses d'une crème puis l'anus que je contractais immédiatement. Que voulait-il faire ? Il n'y eu plus d'autre attouchement de l'anus que le contact d'autre chose que ses doigts : son pénis.
" Voilà " me souffla-t-il en pressant son gland contre mon anus. Soudain ce fut une puissante douleur et j'ai gémis puis crié en sanglotant. " Silence, Pierre, silence ! Profite de ce qui va advenir !! Et il poussa franchement. Je mordais le drap qui couvrait cette couche et mon visage était inondé de larmes. C'était terrible mais je devais tenir, coute que coute ! Etre fier de moi ! Je l'ai senti bougé en moi et rapidement grogner en disant : " Te voilà homme, te voilà homme, Pierre ! " je sentais les spasmes de son gros sexe dans mon ventre et quelque chose couler en moi. Il resta en moi et moi j'étais pétrifié, paralysé. Il se retira me laissant sans réactions, secoué par des sanglots étouffés.
Mon second grand-père s'approcha de ma couche et me caressa longuement le visage puis tout le corps. Il m'embrassa sur le front, essuya mes larmes de ses lèvres puis me fit me mettre à quatre pattes, de nouveau. Sans attendre, il posa le bout de son sexe que j'avais identifié comme très large. Il s'enfonça en moi accompagné par des gémissements aigus. La douleur revenait et je devais la subir encore. Il fit ce qu'il devait faire et se déversa en moi dans une plainte sourde et dans mouvement brutal pour s'enfoncer plus loin dans mon ventre. Je ressentais l'éjaculation, les jets de son sperme. " Te voilà homme, Pierre ! ". Il retira lentement son sexe de mon ventre et en répétant la formule : " Te voilà homme, Pierre ! "
Quelques minutes de repos, sur le dos, yeux clos sur ma douleur physique. Des mains sont venues me caresser, celles de mon père. " Tout va bien ? " Je finis pas faire oui de la tête en ouvrant légèrement mes yeux larmoyants. Il monta sur ma couche et s'installa entre mes jambes qu'il replia et qu'il fit passer sur ses épaules. Il tira mon corps vers le sien. Mes fesses sont venues au contact de son sexe. Je regardais son visage et lui me regardait. Sans cesser de me regarder, son sexe très dur a buté sur mon anus endolori et il a poussé et son sexe de taille importante est entré lentement puis totalement. Mon père s'est alors couché sur moi, m'a serré dans bras puissants, ces bras qui cognaient fort à la hache pour abattre des arbres pour en faire des planches ou des buches de chauffage. Il m'embrassait le cou, les joues toujours humides. Ses mouvements étaient réguliers et je fus surpris d'écarter mes jambes pour mieux le sentir. Je laissais faire mon père qui allait vers son plaisir à grands coups de reins. Au bout de dix minutes, peut-être, je sentis ses jets puissants, très forts dans mon ventre. Son râle était celui d'un homme heureux ... je l'étais peut-être aussi. Il resta couché quelques minutes sur moi avant de me dire, dans un soupir : " Pierre tu es un homme, tu es un homme Pierre ". Il m'embrassa longuement sur le front et se releva, en allongeant mes jambes sur ma couche.
Il se passa de longues minutes et ils revinrent vers moi, toujours allongé. Un de mes grands-pères me dit : " Pierre, tu as bien résisté à cette initiation vers ton état d'homme. Donc tu es un homme et nous devons vérifier ta fertilité, vérifier ta production de semence, ta production de ce que l'on appelle le sperme, essentielle pour féconder, le plus souvent possible ta future femme, celle que nous te choisiront pour le développement de notre communauté. "
On me prit par les bras et on me souleva. J'étais debout devant eux. Ils avaient revêtu leurs chasubles blanches. Mon père me dit : " regarde et fais comme je vais faire, sans t'arrêter ". Il sorti son gros sexe de sa tunique, le prit dans sa main et le fit glisser régulièrement. " Vas-y ! " et je m'exécutais. C'était la première fois que je jouais avec mon sexe, en un mot que je me branlais, j'avais 18 ans. Je sentais monter en moi des sensations nouvelles, qui parcouraient tout mon corps. Je tremblais et je m'entendais gémir. Je vis approcher de moi mon père qui tenait à la main un verre en cristal et il me dit, au moment de ma tension la plus forte : " Vas-y, vas-y, laisse toi aller, donne tout, donne tout, là dans le verre. " Je revois à ce moment-là, jaillir de mon sexe presque douloureux, des jets violents d'une sorte de crème blanchâtre qui allaient percuter les parois du verre et couler au fond. C'était donc mon sperme qui jaillissait de mon corps en me donnant un plaisir inconnu jusqu'alors. Ce fut énorme et mes spectateurs, mes trois spectateurs ont applaudi, doucement en disant bravo !
Mon père me dit : " voilà, nous savons maintenant que tu es fertile et que nous t'avons transmis notre fertilité, tous les trois. Tu es un homme Pierre ! Cependant ta semence est très précieuse, très précieuse. Jamais tu ne dois en perdre. Elle ne doit jamais jaillir de toi pour toucher le sol ou un vêtement. C'est pour cela que nous avons recueilli ta première semence. La voici, ce verre en contient assez pour nous quatre ; nous allons la goûter et toi tu vas la boire. "
Mon père montra le verre à mes grands-pères et le leur tendit. Il y en avait en effet une bonne quantité ; cela m'appartenait, j'en étais fier, je crois. Ils trempèrent les lèvres dans le sperme et passèrent leur langue pour le récupérer. Mon père à son tour pris le verre et fit couler un peu de ce sperme dans sa bouche et il l'avala. Il en restait encore beaucoup. Mon père me dit de tout boire car cette semence est la tienne. Je ne réfléchissais plus. Mon père porta le verre à ma bouche et m'y versa son contenu dans ma bouche entrouverte. Je découvris alors le goût du sperme, bizarre, acre, collant. J'avalais tout en plusieurs déglutitions.
Mon père récupéra le verre vide et bien léché par moi. Je restai seul. Quelqu'un apporta des vêtements propres, les vêtements d'un nouvel homme.
Je suis sorti de la cabane et je fus saisi par le froid. C'est alors que je me suis réveillé, étonné d'avoir rêvé. Une érection dure me donna envie de retrouver ce plaisir rêvé, je recueillais ma semence et la bus jusqu'à la dernière goutte.
Pierre
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