Aurelien
Quand je dis que je rame avec les mecs de mon âge et plus et que je ne plais qu'aux jeunes de 20-25 ans, en voilà encore un exemple. Nous sommes en décembre 2007 et j'ai jeté mon dévolu sur Christian, un patron de brasserie de la Croix-Rousse où je déjeune avec mes collègues tous les jours vu que je bosse dans ce quartier. Il est vraiment super craquant mais, s'il déconne avec moi, il ne semble pas vraiment être attiré par les mecs ni par moi d'ailleurs. J'avoue que ça me démoralise un peu et je multiplie les rencontres pour essayer de ne pas trop penser à ce que je ne peux pas avoir. A cette époque, je n'ai pas beaucoup de temps donc impossible de trainer dans les sex clubs ou les saunas vu que je bosse tout le temps. Restent les contacts internet. C'est comme ça que j'ai rencontré Aurélien dans la fin du mois de novembre. La rencontre n'est pas très intéressante car, si je le trouve attachant, j'ai du mal à prendre mon pied avec lui au début du moins. Il est pourtant assez mon style (même s'il a 21 ans). Il n'est pas très grand, châtain clair, assez poilu, trapu, les cheveux courts, un look assez "hétéro". Bref, dans l'absolu, il est comme j'aime.
C'est un dimanche matin glacial de décembre que je vais prendre vraiment mon pied avec lui pour la première fois. Il est passé la veille alors que je travaillais et a attendu que je rentre donc je l'ai invité à dormir chez moi. J'habite alors un appartement dans un immeuble moderne du troisième arrondissement et, même si le hall est chauffé, j'ai conscience qu'il a du se geler pendant les trois quart d'heure durant lesquels il m'a attendu. J'étais crevé et nous avons juste dormi.
Comme d'habitude, je me réveille aux aurores et je décide d'aller chercher des croissants. J'ai quand même un minimum d'éducation (lol). Je m'habille en vitesse, je le regarde. Il est endormi à poil à côté de moi. Je me dis qu'il est quand même très mignon mais qu'il n'est pas très cho et qu'il faut que je provoque les choses. Je sors donc pour aller à la boulangerie en me demandant ce que je vais faire quand je rentrerais. Sur le chemin du retour, je commence à bander très dur. Je ne porte pas de calbut et heureusement que ma parka descend assez bas car sinon mes voisins auraient pu s'en rendre compte.
Je rentre à pas de loup. Il dort toujours. Je me déshabille, me glisse dans le lit près de lui et je commence à lui caresser le dos. Je peux être très sensuel quand je veux. Je le réveille tout doucement en lui léchant la nuque et les oreilles. Son sourire me fait craquer. Il se retourne et m'embrasse très longuement sans dire un mot. Je le trouve vraiment trop mignon à ce moment-là. Je commence à descendre le long de son torse avec ma langue et à lécher ses couilles très très lentement. Il faut vous dire qu'Aurélien est monté très normalement mais qu'il a de grosses boules. Ca a donc un côté très excitant. Je lui relève les jambes et m'attarde sur son trou. J'adore la sensation de lui faire prendre son pied et je bande encore plus. Il se dégage et vient me sucer. Nous nous installons en 69 (moi sur lui) et je lui bouffe le cul pendant qu'il me pompe. D'un coup, je le retourne et le mets face à moi. Je remonte ses jambes sur mes épaules, enfile une capote et entre en lui assez brutalement. Il m'embrasse encore pour ne pas crier. J'espère que je ne lui ai pas fait mal mais je me rends compte rapidement que non. Je commence à aller et venir tout doucement en lui. J'intensifie mes coups de reins. C'est un peu classique comme plan mais je me suis senti tellement bien avec lui à cet instant que j'ai éjaculé rapidement dans la capote ce qui m'arrive rarement. Je l'ai branlé avant de débander pour qu'il en fasse autant et ça n'a pas trainé.
Je me retire. Nous nous embrassons. Je revois son sourire comme si c'était hier. Il file sous la douche pendant que je prépare le petit déjeuner. Nous sommes restés au lit presque toute la journée. J'ai revu Aurélien pendant les deux mois qui ont suivi mais j'étais vraiment attiré par Christian et je pense que ça l'énervait que j'ai envie de me le taper et un jour, il n'a plus donné de nouvelles.
Stanlyon
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