Quand j'ai fait mes 3 jours, (certain s?en rappelle) je suis tombé sur un sergent pédé, un mec baraqué, blond aux yeux bleus, avec un sourire extraordinaire qui dévoilait des dents blanches. Tout de suite, j?ai compris à qui j?avais à faire, car il m?a serré de prés, alors que j?étais prés des toilettes. Sous prétexte d?en apprendre un peu plus sur moi, il m?a carrément mis la main aux fesses.
J?ai fait mine de me défendre, mais il s?est collé contre moi et, palpant mon cul, il m?embrassé.
Nos deux longues se sont nouées ensemble, et j?ai éprouvé une intense satisfaction à l?avoir contre moi, me pelotant les fesses. Il m?a entrainé dans les douches toutes proches. Là, il s?est mis a genoux devant moi et a sorti ma queue. Je devais puer, car j?avais passé la nuit dans le train. Il a reniflé mon paquet, avant d?y mettre la langue, à présent pour me lécher le méat. Il l?a fait frétiller le long de la hampe, puis sur toute la longueur du méat avant d?avaler goulûment ma pine. Cette fois, je me suis laissé aller, comprenant qu?il ne me voulait aucun mal.
Bien au contraire
Je l?ai laissé me soupeser les couilles, puis me faire une branlette. Il a fait aller et venir sa bouche sur toute la longueur de mon sexe, déclenchant en moi un désir de plus en plus grand. Mes bourses sont devenues épaisses, lourdes et quand il m? trait, come on le fait d?une vache, j?ai giclé dans sa gorge, plusieurs fois, déversant un sperme chaud, presque bouillant. Il a tellement apprécié qu?il m?a entièrement lavé la queue, avant de me lavé la queue, avant de ma lâcher. ??Tu es un beau gars?? a-t-il laissé tombe, en m?embrassant de nouveau, à pleine bouche. Ses lèvres sentaient mon jus et ça m?excitait un peu plus encore. J?ai le troufignon qui me démangeait. Il a compris ce que je voulais, car il m?a de nouveau peloté les fesses. Je lui ai demandé, tout bas, de m?enculer. Il a souri et m?a poussé contre le mur. J?ai écarté les jambes, le pantalon à mes pieds. Il s?est posté contre moi, la bite hors du pantalon. Elle était épaisse, courte et très poilue, comme j?ai pu m?en rendre compte en la touchant, du bout des doigts.
?? Elle va te défoncer l??illet, mon joli?? a susurré mon amant, en forçant ma rondelle. J?ai voulu pousser un cri, tellement la douleur était soudaine, mais il m? bâillonné la bouche et mon hurlement a été étouffé. J?ai senti que je m?ouvrais, et le sergent m?a dit que je n?étais qu?une salope, qu?il allait me la mettre jusqu?au fond, qu?il giclerait dans mes entrailles et que j?en voudrais encore
Il avait raison.
Quand il a commencé à bouger, d?avant en arrière, de plus en plus vite, j?ai commencé à perdre la tête. Le plaisir m?a brûle les reins et je me suis entièrement laissé aller, heureux de me sentir possédé par cette bite de belle dimension. Pendant qu?il me sodomisait, le sergent n?arrêtait pas de me dire des choses très sales à l?oreille. Il me pinçait les tetons, me caressait le ventre, me griffait les cuisses, maltraitait ma pine qui n?en pouvait plus. Quand j?ai senti qu?il allait se répandre en moi, j?ai serré les sphincters pour qu?il me sente bien.
Sous cette caresse, son braquemart a lâché un e purée qui m?a rendu dingue sexuellement. Un orgasme incroyablement fort m?a submergé et je me suis répandu contre le mur, en quelques jets énervés. Le sergent, en me traitant de trou du cul et, reprenant son aspect ordinaire, il m?a ordonné de lui lécher les pieds. J?ai mis toute mon ardeur à faire passer ma langue entre ses doigts, à les lui sucer comme s?il s?agissait de vraies petites bites
Ensuite, il m?a botté les fesses, se régalant à me donner quelque ordre dégoutant. J?ai du écarter mes deux globes, exhiber ma corolle qu?il avait abimée et y mettre deux doigts, pour bien montrer comme elle était accessible.
J?ai été obligé de lui avouer que je n?étais qu?une petite salope et que, surtout, j?adorais me faire enculer de cette manière. Parfois, il me mettait plusieurs doigts dans mon trou, l?écartelant au maximum et je devais avouer que ça me plaisait beaucoup, que j?en voulais encore, qu?il devait aller plus loin. ??Fais-moi mal??. Etais-je obligé de le supplier, tout en remuant mollement mes fesses. Il m?obligeait alors à me dandiner pour que ses doigts puissent bien entrer, et je sentais mes bourses qui durcissaient toujours plus.
Je m?offrais à ses caresses, prêt a tout pour qu?il m?encule de nouveau. Bref, à partir de ce moment. J?ai compris que j?étais son soumis et quand j?ai fait mon service, trois mois plus tard, c?est sans surprise que j?ai été muté là ou il opérait.
Pendant mes classes, il s?est servi de moi comme une larve sexuellement. Je ne m?appartenais plus. Je n?étais plus qu?une bite et un cul qui en voulaient toujours plus. Il m?a fait mettre dans des situations les plus incroyables et mon cul a été défoncé à tout bout champ, me rendant dingue du sexe des hommes, mes pédé, mes frère
C?est le service militaire qui m?a transformé en vraie tantouze, ce que je suis encore aujourd?hui, pour mon plus grand plaisir. Mon cul est actuellement aussi large que les Champs-Elysées, c'est dire !
Nico76500
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