Adrien
Lorsque je suis revenu vivre à Lyon, j'ai pu constater qu'Adrien, le fils des voisins de mes parents avait bien grandi. Il avait presque la vingtaine et était devenu assez craquant. Quand nous étions plus jeunes, nous ne nous parlions pas vraiment pourtant, un jour, je le croise dans la rue en allant rendre visite à mes parents et il me salue. Il est vraiment mignon comme petit mec, assez timide mais souriant, pas très grand, habillé en sportswear assez classe, une barbe de deux ou trois jours. Je souris et il me demande ce que je deviens. Je lui raconte que je me suis réinstallé à Lyon depuis plus de deux ans, il me dit qu'il est en fac de psycho et m'invite à boire un café dans un petit troquet de l'avenue du Maréchal de Saxe, un endroit très "djeunz" du moment où se retrouve la jeunesse dorée lyonnaise. J'ai alors dépassé 25 ans et je fuis en général ce genre d'endroit. Adrien et moi discutons à bâtons rompus et il me dit qu'il ne vit plus chez ses parents depuis quelques semaines mais dans une petite chambre de bonne pas très loin de l'appart que j'occupais à l'époque. Il me donne l'adresse et me propose de passer manger un bout avec lui un soir. Sur le moment, je ne comprends pas trop pourquoi mais le gamin timide s'est transformé en un jeune homme très gentil et intéressant donc je me dis que ce n'est pas une si mauvaise idée après tout
Quelques jours plus tard, je l'appelle pour lui demander si je peux passer. Il accepte avec enthousiasme. Je passe donc acheter une bouteille de vin blanc et quelques huîtres aux halles qui se trouvent tout près après lui avoir demandé si ça le tentais et je file chez lui. A l'époque, nous habitions tous les deux le troisième arrondissement à quelques rues d'intervalle. J'arrive et je constate qu'en guise de chambre, il a un petit appart sous les toits très sympa. Il m'accueille en jean et tee shirt alors qu'il caille dehors (c'était pendant les fêtes, c'est pour cela que ça m'est revenu en mémoire). Je remarque qu'il est bien foutu et je le lui dis tout de go en lui demandant s'il fait du sport. Il m'apprend qu'il nage à la piscine Garibaldi plusieurs soirs par semaine et me propose de l'accompagner. A l'époque, en plein hiver, ça ne me tentais pas trop mais bon. J'ouvre les huîtres, nous les mangeons en discutant et en buvant du vin blanc. Il devient de plus en plus curieux et me demande si j'ai une copine. Je joue franc-jeu, non je n'ai pas de meuf et ça ne m'exciterait pas d'en avoir une. Il se fait encore plus inquisiteur avant de m'avouer qu'il a entendu dire que j'étais homo par un de ses copains qui était avec lui une fois où il m'a vu en ville
Je lui demande si ça le dérange et, désinvolte, il me répond que non car lui aussi. Sur le moment, je n'ai pas compris que c'était un plan drague et qu'il avait envie de se faire défoncer le cul. Nous avons donc un peu parlé d'homosexualité quand, à brûle pourpoint, il me demande si je le trouve mignon. Je réponds que oui et lui retourne sa question. Pour toute réponse, il s'approche de moi et s'assoie sur mes genoux à califourchon face à moi et m'embrasse doucement. Je suis quand même surpris car j'ai toujours du mal à penser que les gens que j'ai connu tout mômes sont devenus des adultes. Il me caresse et je commence à faire de même. Nous nous levons et il m'enlève mon pull marin et mon tee shirt d'un seul coup et commence à me mordiller les tétons. Rien de tel pour me faire bander. Je le déshabille entièrement, tee shirt, jean et slip. Il est à poil et moi torse nu avec toujours mes pompes aux pieds quand je le porte sur son lit. Je l'embrasse et ouvre ma braguette. Je descends avec ma langue le long de son corps (peu poilu mais excitant) et je le lèche près des couilles et du pubis. Il bande. Il est monté assez normalement mais large. Il a une odeur excitante, un mélange de gel douche aux agrumes et d'un parfum que je connais. Je pense que c'est "Opium pour homme". Il m'excite et je bande. Il change de position et vient s'accroupir entre mes jambes pour me sucer. Je lui demande s'il se fait prendre. "Ouais." Répond-il en souriant. Je le mets alors à quatre pattes et, toujours à demi habillé, je frotte mon gland contre sa raie. Il mouille terriblement lorsque je lui entre un doigt. Je prends une capote sur la table de chevet et je commence à lui lécher la rondelle en entrant ma langue profondément. Jeune mais expérimenté me dis-je. Je lui demande s'il a du gel, je ne veux quand même pas entrer comme ça. Il me tend un sachet pris dans un sauna probablement et je l'enduis avec mon doigt avant de le prendre assez brutalement. Il gémit, enfonce sa tête dans un oreiller. Son cul est totalement tendu vers !
moi et je le tiens solidement par les hanches. "Vas-y". Je ne me gène pas et commence à le pilonner durement. Il gémit toujours, j'entre ma queue et la ressort et une fois encore. Il crie un peu. Je n'ai pas envie qu'il ameute tout le quartier alors je lui mets une main sur la nuque pour que sa bouche soit contre le coussin. Je le retourne et le glisse sous mon corps. Mon pantalon me gène un peu mais je suis top excité pour le retirer. Je le pénètre à nouveau et l'embrasse en enfonçant ma langue dans sa bouche. Il se branle pendant que je le baise. Il jouit en répandant du sperme sur son ventre, le mien mais aussi mon jean et mon calbut. J'éjacule dans la capote et me retire de peur que, l'excitation tombée, il ait mal. Je l'embrasse et souris. Il est trop mignon comme ça, tout nu et en sueur entre mes bras. Il me dit qu'il fantasmait sur moi depuis longtemps car j'ai fait viril très jeune. Je le remercie du compliment. Nous finissons la bouteille et je le rebaise un petit coup avant de m'endormir près de lui
Nous nous sommes revus plusieurs fois et il est parti vivre en Belgique quelques mois plus tard. et ses parents ont déménagé aussi. Je n'ai plus de nouvelle d'Adrien mais il reste un excellent souvenir.
Stanlyon
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