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3 | Le cercle et cheptel masculin
Eric doit s'absenter trois jours pour affaire. Je me retrouve seul. Le lendemain de son départ, j’ai reçu la visite de deux maîtres. Ils voulaient me baiser à deux. Nous sommes montées vers ma chambre, moi en premier dans l’escalier quand ils m’ont attrapé mis un chiffon sur la bouche, j’ai essayé de me débattre ensuite plus rien le trou noir ou presque j’ai senti une piqure et puis plus rien. Quand j’ai repris connaissance, j’étais à poil dans un lit King Size dans une grande chambre. J’avais des attaches aux mains et aux pieds, mon collier autour du cou et une cage de chasteté en place, On m’avait rasé les cheveux aussi très court. J’ai mis un temps à reprendre mes esprits, j’avais un mal de crâne phénoménal. Ensuite j’ai pris peur me demandant où j'étais. J’ai voulu sortir de la chambre mais celle-ci était fermée à clef. J’ai fait un tour de la chambre essayant de trouver le moyen d’en sortir ou trouver un téléphone pour appeler Eric en urgence mais en vain. La chambre avait une baie vitrée avec terrasse munie de barreaux donc impossible de sortir. Il y avait un dressing avec uniquement des tenues sexy. Un coin salon et une table pour manger. Il y avait un sling et un cheval d’arçon dans un coin de celle-ci. Derrière le dressing, une grande salle de bain avec douche à l’italienne et un très grand bain à remous. Il y a avait des produits de luxe pour faire des soins et des parfums de luxe.
Au bout d’un moment, la porte s'est ouverte et un maître que je ne connaissais pas est entré. 1m90 bien musclé, cheveux gris la trentaine et apparemment un pantalon bien fourni.
Le maître : Jean-Marc ne prend pas peur, tu es ici dans mon cheptel masculin et pour un petit moment. Eric n’a pas fait son job en ne trouvant pas de nouveaux esclaves donc nous avons pris le siens.
Moi : Mais je ne suis pas l’esclave d’Éric, je suis son mec et je sers le cercle. J’ai une entreprise à faire tourner, je ne peux pas rester ici ad vitam aeternam.
Le maître : Tu n’as pas le choix et tu es dans la chambre la plus luxueuse du complexe. Je vais t’enlever tes liens, mes boys n’auraient pas dû. Viens ici !
Je me suis approché en tremblant de peur. Pas rassuré du tout. Une fois les attaches enlevées.
Le maître : Voilà Jean-Marc, je vais faire simple, tu vas rester ici jusqu’à ce qu’Éric rectifie le tir. Tu feras l’amour avec tous les maîtres qui se présenteront dans ta chambre. Soit en permanence en valeur pour eux. Tu as tout ce dont tu as besoin ici , si tu as besoin de quelque chose, tu as un parlophone derrière ce rideau. Ne cherche pas à fuir cela ne servirait à rien puisqu’on sait où tu habites.
Je me suis foutu a pleuré sous l’effet de la panique et du stress. Le maître m’a pris dans ses bras.
Le maître : Eric m’avait prévenu que tu étais très émotif, calme toi, il ne t’arrivera rien que tu ne veuilles et je ferais passer l’instruction aux autres maîtres que tu es une marchandise de luxe et qui ne faut pas te casser. Je vais te faire monter du champagne ensuite un repas. Je viendrais te faire l’amour ce soir et demain Eric viendra pour la nuit avec toi. Ensuite seulement tu serviras les maîtres le temps qu’il faudra.
Moi : Et mon entreprise.
Le maître : Ton intendant est un maître mais il a ordre de ne pas te le montrer. Il enlève sa chevalière dès qu’il arrive à ta ferme. Ne te tracasse pas pour ton entreprise, elle est entre de bonnes mains. Je te laisse, j’ai à faire. Fait ce que l’on te dit et rien d’autre. Prends un bain, cela te fera du bien et te détendra.
Je me suis retrouvé seul dans la chambre à tourner en rond et en rage contre Eric. J’ai fini par faire ce que le maître à demander, prendre un bain qui m’a fait un bien fou ensuite me mettre en valeur pour lui. J’ai mis un jocktrap blanc avec un legging en satin blanc et t-shirt assorti. Le champagne m’attendait dans la chambre. Une TV était également descendue du plafond avec une télécommande sur le lit. Celle-ci permettait aussi de faire remonter la TV dans le plafond. J’ai bu du champagne, vers 20.00, j’allais regarder le journal sur TF1 quand un repas sur un chariot, me fut apporté par un esclave sans cheveux les yeux baissés au sol. Je n’ai pas trop mangé le cœur n’y était pas vraiment. Le fait de savoir que j’allais servir de vide couille pendant un long moment me dégoutait. J’ai regardé le programme du soir dans le lit mais je me suis endormi de fatigue morale et nerveuse. C’est un long baisé du maître qui m’a sorti de mon sommeil. Il a été d’une douceur avec moi en me déshabillant, je me suis senti femme pour la première fois, il m’a fait l’amour avec tendresse. Il est très bien monté mieux qu’Éric mais il a tellement été doux que j’en ai gémis tout le long. J’en ai même demandé tellement j’étais bien. Je me suis senti protégé et aimé voir mieux qu’avec Eric. J’ai fini par jouir dans feulement de femme dans la cage de chasteté, j’ai eu mon premier orgasme anal avant de le sentir me remplir le cul de son sperme. C’est là que je me suis rendu compte qu’il n’avait pas de capote. J’ai sursauté et j’ai voulu me retirer.
Le maître : Ne te tracasse pas Jean-Marc, je suis clean et toi aussi mais avec les autres maîtres capote obligatoire. Je te ferais apporter un bol avec différente taille.
Il m’a retiré ma cage.
Le maître : Plus besoin de ça non plus mais tu ne te branle pas. Va te nettoyer, je vais faire changer le lit et ensuite je te refais l’amour et on dort.
Je me suis passé un coup de gant de toilette et je suis retourné voir mon maître. L’esclave finissait de changer de lit. Le maître m’a refait une deuxième fois l’amour et ma fécondé une deuxième fois. Je n’ai pas joui mais j’ai dormi avec sa queue dans mon cul. Le matin quand je me suis réveillé il avait disparu. J’ai pris une bonne douche et me suis procuré un lavement. J’ai mis une des tenues sexy et lorsque je suis revenu dans la chambre mon déjeuner était là. Croissant de café jus d’orange. Vers midi le maître est revenu.
Le maître : Bien dormi Jean-Marc ?
Moi : Oui maître, merci
Le maître : Bon voici ton programme à partir de demain. Tu dois être prêt à servir dès 11.00 du matin et jusqu’à 19.00. Dans un premier temps un maître à la fois, ensuite nous te ferons progresser suivant les envies des maîtres. Est-ce que cela te convient ?
Moi : Je ferais de mon mieux pour vous satisfaire maître, je le fais aussi pour Eric par amour pour lui.
Le maître : Bien, je veillerais à te protégé et te faire respecter aussi par les maîtres. Eric te rejoindra dans la matinée.
Moi : Maître pourrais-je téléphoner à ma mère, c’est son anniversaire.
Le Maître : Je lui ai fait apporter un énorme bouquet de fleurs mais tiens voici mon portable je compose son numéro. Tu lui souhaites un joyeux anniversaire et tu abrèges en disant que tu as beaucoup de boulot.
J’ai eu ma mère au téléphone et j’ai été bref comme demander. Elle était contente pour le bouquet de fleurs.
Le maître : Tu vois sur le temps de ton absence on gère tout pour toi, d’ailleurs on sait tout de toi. Viens me sucer !
Je me suis mis à genoux et me suis mis à le sucer après avoir descendu son pantalon. Il m’a fait me déshabiller avant de me pousser sur le cheval d'arçon, de m'y attacher et de me baiser avec un peu de violence. Il m’a fait pour le coup, un peu mal et j’en ai crié avec des larmes d’effort. Il a fini par me féconder bien profond avant de me détacher. Je me suis écroulé au sol, brisé. Il m’a alors porté dans le bain à remous et m’a rejoint dedans. J’étais encore une fois agars me sentant sale. J’avais les larmes qui me coulaient le long des joues. Il m’a pris dans ses bras pour me réconforter.
Le maître : Va falloir que tu t’habitue à ce genre de baise car tu risques d’en avoir beaucoup ici. Beaucoup de maîtres sont dominateurs et tu risques malheureusement pour ton petit cul de te faire défoncer plus souvent que l’on ne te fasse l’amour mais je te promets que je serais le seul à pouvoir venir dans ta chambre le soir et te faire l’amour comme une princesse. Je compte faire de toi ma femme car tu me plais beaucoup.
Je n’ai pas répondu. Il m’a séché et remis au lit pour le reste de la journée, j’en avais besoin. L’esclave est venu m’apporter des vitamines ainsi qu’un grand bol de capote. Je devais prendre trois cachets avant la fin de soirée et boire une bouteille qui contenait un produit pour me revitaliser et être prêt pour demain. Le soir, Eric est venu après mon repas mais je n’ai encore pratiquement rien mangé. Il avait avec lui une bouteille de champagne. Il à commencer par s’excuser de la situation dans laquelle je me trouvais à cause de lui. Je lui en voulais mais comme je l’aime, je lui avais déjà pardonné et je ne voulais pas qu’il ait des ennuis par ma faute. Il m'a vite fait mon affaire avant de se retirer alors qu’il devait passer la nuit avec moi. J’étais déçu. J’ai fini par dormir. C’est l’esclave qui est venu me réveiller à 9.00 du matin pour me rappeler de l’horaire à respecter. A 10.30 j’étais près. Le premier maître, un mec bedonnant d’une soixantaine d'années m’a fait mon affaire en 15 minutes chrono. Je m’en souviendrais toujours à cause du dégoût. Les trois autres étaient doux et ont fait en sorte que je me détends. Le cinquième m’a pris sur le sling attaché suivi de deux autres avant de me détacher. Le dernier de la journée est un grand black cuir ttbm, quand j’ai vu sont monstres, j’ai eu un mouvement de recul mais il m’a pris de force pour le sucer avant de m'attacher au cheval d’arçon et de me détruire le cul. Comme je hurlais de douleur, il m’a placé un bâillon de force. Il m’a baisé ainsi pendant 45 minutes je pense avant de jouir dans la capote bien au fond de mon cul. J'ai d'ailleurs senti ses couilles claquer contre les miennes. J’étais plein de mon propre sperme ayant joui sans me toucher. Il s’est barré sans même me détacher. Ce sont les deux boys du maître qui m’ont lavé et massé. On m’a apporté mon repas et j'ai pratiquement forcé à manger mais je n’avais pas faim. J’ai dû reprendre les vitamines ainsi que la bouteille contenant le même produit que la veille. J’ai été mis au lit et le maître est venu me retrouver pour dormir avec moi non sans un câlin intime. Je me suis encore senti femme dans ses bras.
La semaine c’est passé pratiquement pareil si ce n’est que je n’ai pratiquement rien mangé et que à chaque fin de journée, je suis sur les rotules. Samedi j’ai reçu une esthéticienne dans ma chambre pour la totale. Et repos jusqu’au lundi. Samedi soir, le maître est venu dans ma chambre pour manger avec moi.
Le maître : Je viens manger avec toi parce que j’en ai envie et pour mon plaisir mais on me signale que tu ne manges rien. Ce qu’on te donne n’est pas bon ?
Moi : Non maître mais quand j’ai fini à 19.00 après une bonne douche et le massage de vos boys, je suis crevé et je n’ai qu’une envie c’est de me coucher. Je grignote et c’est très bon mais je suis vite calé, je ne me l’explique pas.
Le maître : Ca fait une semaine que tu es ici, tu pesais combien en arrivant ?
Moi : Un peu plus de 65 kg maître.
Il se leva et via l’interphone demande une balance. Elle arriva dans les cinq minutes. Il m’obligea à me peser. Résultat: 58 kg pour mon mètre septante-huit. Le maître n’était pas content.
Le maître : Ça ne va pas ça Jean-Marc, il faut te ressaisir et manger ou je demande que l’on te gave.
Moi : Non maître pas ça, je ferais un effort.
Je me suis forcé à manger devant lui pour lui faire plaisir ensuite on s’est lovés dans le lit avec une coupe de champagne et des fraises en dessert. Moi en digestif. Il a encore été affectueux avec moi et plus les jours avancent avec lui plus j’aime être dans ses bras et j’aime ça façon de me faire l’amour.
Ptlapin
