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6 | Retour à la ferme
Dans la minute j’ai eu des vapeurs, je me suis senti mal et puis plus rien. Je me suis réveillé dans ma chambre à coucher dans ma ferme. Apparemment j’étais libre.
Je me suis levé et après une douche me suis habillé léger. Quand je suis arrivé dans la cuisine, j’ai vu un esclave qui me préparait mon petit déjeuner.
Moi : Qui es-tu ?
L’esclave : Je votre esclave et je m’appelle Laurent, je suis entièrement à votre service personnel et ce en tout point. Je suis un cadeau de la part du maître principal.
Il était complètement à poil, nu comme un verre et rasé de la tête aux pieds, comme moi je l’avais été à mon arrivée au cheptel.
L’esclave : Je dois prévenir l’intendant de votre réveil.
Je vois qu’il veut sortir.
Moi : Non ! Tu ne sors pas à poil ! Tu vas mettre un short ou quelques choses sur ton cul !
Il s'exécute et revient avec l’intendant. Celui-ci me donna une boîte et me demanda de l’ouvrir. Il y avait une chevalière mais pas comme celle des maîtres.
L’intendant : Voilà Jean-Marc avec cette chevalière tu es maintenant un maître mais aussi, un vide couille. La seule différence est que maintenant, c’est toi qui choisis d’être baisé par un maître ou non. Tu es un des rares à bénéficier de cette bague.
Il me montre sa bague qu’il porte. Il me met ma bague au doigt et me retire mon collier de vide-couille.
L’intendant : Même avec ma bague et si tu le voulais, je n’ai pas le droit de te toucher ni de te baisé ou s’est moi qui aurait des problèmes. C’est un cadeau du maître principal. Autre chose, comme tu es libre et qu’il fallait bien te remplacer dans le cheptel, c’est Eric qui a pris ta place depuis ta connerie mais dans un box. Il a perdu son statut de maître et maintenant se fait tringler. La chambre du manoir sera ta chambre exclusive, quand tu voudras y retourner pour faire plaisir à des clients ou autre. Mais ça le maître te l’expliquera ce soir ici. Il viendra te faire ton affaire. Je me trompe ou il t’aime ?
Moi : Je pense qu’il m’aime et c’est réciproque. Que va devenir Eric ?
L’intendant : Il va servir et sera très vite vendu dans un autre cheptel, je crois même que la vente est en cour. Nous avons appris qu’il s’était fait licencier donc il n’a plus d’attache et comme il appartient au cercle Le maître fera une très bonne affaire. Le maître lui a dit de ne jamais plus te regarder ni prendre contact avec toi. Que dorénavant tu étais sa femme. Vient avec moi, il faut que je te montre les changements dans ta ferme. J’ai dû licencier ton responsable, il volait des marchandises.
Moi : Pourtant, il travaille pour la famille depuis quinze ans.
L’intendant : C’est fait, j’en ai trouvé un autre du cheptel du maître en plus je peux le baisé. J’ai aussi mon propre esclave personnel et j’ai reçu trois autres esclaves qui servent de larbin à tes ouvriers. Il loge dans l’étable et sont nourri par mon esclave. J’ai fait aménager l’aile droite pour moi et mon esclave. J’ai reçu l’ordre de vivre ici quand tu n’es pas là. La toiture est en cours de rénovation ainsi que la façade. A l’arrière dans le champ en friche, j’ai fait aménager une terrasse avec cuisine extérieur et une piscine est en cours de construction. J’ai fait aménager une écurie un peu plus loin dans le champ qui ne donne plus rien pour le moment et sert de pâturage.
Moi : Ok et pour ce qui est des frais que tout ça va me couter ?
L’intendant : Avec ce que ton cul à rapporter, tu es à l’abri pour un moment niveau finance et pour le reste la ferme s’autogère en bon père de famille. Je te rends ton téléphone portable et à oui j’ai donné régulièrement de tes nouvelles à tes parents. S’il te demande, tu étais parti en voyage pour acheter des chevaux. Il y en a trois qui arrivent bientôt des pur-sang, ils rejoindront ta jument. Tu as d'autres questions car j’ai du boulot.
Moi : Non. Peux-tu demander que l’on prépare ma jument, je vais déjeuner et ensuite je ferai un tour du domaine et irai au village me montrer un peu.
L’intendant : Fait attention qu’ils savent au village que tu es gay. Ça à jasé.
Moi : Je n’ai pas peur, je possède la plus grosse exploitation du coin, ils sont obliger de me respecter par respect pour ma famille à qui ils doivent tout.
L’intendant : Comme tu veux.
Moi : J’ai encore une question ?
L’intendant : Je t’écoute
Moi : Pourquoi m’avoir encore endormi pour revenir ici ?
L’intendant : Le maître et les boys, vu ton état mentale ont préféré faire ainsi pour ne pas que tu te rebelle ou que tu fasses une connerie comme l’autre jour. De plus, tu ne dois pas savoir où se trouve exactement le domaine par sécurité pour le moment. J’ai ordre de te surveiller au niveau de ta santé morale et mentale ainsi que ton poids. Au besoin de faire hospitaliser pour ton bien. Bon je te laisse, Laurent est à tes ordres de quelque manière que ce soit.
J’ai été déjeuner, ensuite je me suis habillé pour aller me promener mais je suis large car j’ai perdu beaucoup de poids, j’ai à peine 55kg, il faut que je me reprenne. Je demande à récupérer mes affaires personnelles ainsi que mes cartes bancaires et demande où est passé ma voiture. A cette dernière question pas de réponse. L’intendant me dit qu’il va se renseigner. Je suis parti me promener et faire le tour du domaine. Arrivé au village, beaucoup de gens me regardent d’un drôle d’air. Je fais comme si de rien n’était, le maire me salue. Je m’arrête à la sellerie du village afin de me racheter une tenue un peu plus correcte et à ma vue la vendeuse qui me reconnait.
La vendeuse : Mon dieu Jean-Marc que t'est il arrivé, tu es malade. Laisse-moi deviner, tu as chopper le sida ou un cancer.
Moi : Rien de cela, oui je suis homo mais j’ai des rapports protégés. J’ai quelques problèmes d’ulcère à l’estomac. Je voudrais une nouvelle tenue à ma taille s’il te plait le temps de reprendre du poids.
Elle prend mes mesures et revient avec une tenue correcte. Après essayage c’est parfait.
Moi : A propos j’ai appris que ça jasait dans le village à propos de ma sexualité. Tu feras passer le message que c’est ma vie, que je suis majeur et si il y a quelqu’un qui trouve à redire qu’il vienne directement me trouver. Ou alors que les gens se taisent, ce n’en sera que mieux pour tout le monde.
La vendeuse : Je vais passer le message mais fait attention à toi et à ta santé. Il y a des gens qui tiennent à toi dans le village et pas que financièrement.
J’ai repris ma monture et je suis rentré paisiblement au domaine. Quand j’ai voulu défaire ma monture comme j’en ai l’habitude, j’ai vu un larbin courir vers moi et me prendre ma selle des mains.
Le larbin : Pardon maître, je ne vous avais pas vu arrivé, j’ai droit à une punition maître.
Moi : Pas de ça ici, je veux de la rigueur de la discipline mais tout le monde a le dsroit de faire des erreurs. Laisse, retourne à ton travail, je vais ranger ma selle moi-même.
Il m’a laissé tout pénaux, j’ai brossé ma monture avant de lui donner de la paille dans son box. J’aime ma jument et elle me le rend bien. Quand je suis sorti, j’ai vu arrivé l’intendant vers moi.
L’intendant : Je peux savoir ce que tu fabriques, il y a des esclaves pour ça. Ce dernier sera puni ce soir au fouet.
Moi : Je ne veux pas de punition corporel dans mon domaine, il y a d’autre moyen de punir. L’esclave n’a rien fait de mal, j’ai l’habitude et même le plaisir de défaire ma monture ainsi que de brosser ma jument.
L’intendant : Comme tu veux mais tu te comportes comme esclave là. Ce n’est pas digne d’un maître de faire ce genre de chose même s' il y prend du plaisir. Tu dois te mettre maintenant dans la peau d’un maître,imprégner de l’image que tu dois donner comme maître. Tu comprends
Moi : Oui je comprends mais je ne peux pas changer en une journée ma position de soumis et vide couille contre celle de maître. Tu comprends, j’ai tout fait pour éviter toute punition et je ne veux pas infliger aux autres ce que moi je ne voulais pas que l’on me fasse.
L’intendant : Tu ne les verras pas, je te le promets. Le maître m’a dit que tu étais trop sensible et émotif et qu’il ne parviendrait pas à te changer à ce niveau. Mais il te faut t'endurcir un peu tout de même et manger surtout. Rentre prendre une douche et te faire belle, le maître est en route.
Je suis rentré prendre une douche bien chaude. J’étais là dix minutes que j’ai senti une main sur mon cul en me retournant, j’ai vu le maître. Je n’ai pu me retenir de lui sauter au cou et de l’embrasser s’en ai suivi un séchage mutuel et une partie de jambe en l’air dont il a le secret. J’ai gémis comme une petite folle tellement, j’étais heureux qu’il me prenne.
Le maître : Ton corps et ton cul m’ont manqué, ma petite femme
Moi : Ton corps m’a manqué aussi et ta queue dans ma chatte aussi mon homme, mon maître. Je t’aime et je veux être toi pour la vie.
D’un coup de rein sec, il m’a engrossée alors que moi je jouissais sans arriver à me contrôler. J’avais des spasmes comme jamais je n’en n’avais eu. Étant encore faible, j’en suis tombé dans les pommes.
Quand j’ai repris mes esprits, il était à côté de moi et me contemplait. L’esclave me nettoyait avec une lingette chaude et humide mon ventre ainsi que mon sexe.
Moi : Quel pieds, je vous aime mon maître.
Le maître : Il faut que l’on parle.
J’ai pris peur, car le ton de sa voix était sec et autoritaire. Sur le moment, j’ai eu un flash, il va me dire qu’il me quitte.
Moi : Vous allez me quitter maître.
Le maître : Que vas- tu imaginer là ? Non je ne te quitte pas. Il faut que l’on parle de ton nouveau statut. L’intendant t’a déjà briefé.
Moi : Oui maître.
Le maître : Arrête de me donner du maître en dehors du personnel et de me vouvoyer tu es un maître maintenant donc mon égal.
Moi : Mais je ne connais pas vo, ton prénom.
Le maître : Moi c’est Karl. Maintenant je suis ton mec et toi ma femme. Les maîtres ont été prévenus et j’ai eu leurs accords. Je reste ton maître devant les autres esclaves puisque je suis un principal. Vu !
Moi : Oui mon homme.
Karl : Ta chambre dans mon domaine, t’est exclusive. Tu y viens quand tu veux mais tu me préviens à l’avance, on viendra te chercher. Tiens voici ma carte avec mon numéro. Si tu viens dans ta chambre, c’est pour un mois minimum, tu sers de vide couille et tu me sers aussi sinon, je viendrais ici pour baisé ma petite femme soumise et chaude comme tu l’es toujours avec moi. Tu pourras te promener dans la propriété en dehors de tes heures de boulot. Tu déjeuneras et mangera avec moi tous les soirs et dorénavant même si tu vis ici, tu m’accompagneras en déplacement ou dans mes soirées. Il se peut que je te féminise à l’occasion. Tu travailleras du lundi au vendredi pour mes clients et ça te rapportera comme pour le mois dernier. Tu as des questions ?
Moi : Oui quelques unes ? Pourrais-je laisser repousser un peu plus mes cheveux ? Est-ce que les autres du cheptel son rémunéré pour leur relation sexuel ? Si je viens peux-tu me promettre que je ne revivrai jamais le plan de la dernière fois ?
Karl : Tes cheveux me plaise comme ça, on va les laisser repousser mais je vais déjà te payer un coiffeur. Non jusqu’à présent il n’y a que toi que je paie car je te considère. Les esclaves du cheptel son nourri blanchi soigné, c’est déjà pas mal s' il faut les rémunérer, je ne gagne plus ma vie. Pour le plan il y en aura encore d'autres ou tu devras participer mais je serais présent et éviterais que ça ne déborde. Tu as d'autres question ?
Moi : Pas pour le moment.
Karl : Tu acceptes le principe ?
Moi : Pour toi et ton amour, je ferais tout ce que tu me demandes.
Karl : Alors première ordre, je veux que tu manges que tu reprennes des force et du muscle.
Moi : Oui mon, effectivement j’en ai besoin.
Karl : Il y a un club de sport dans la ville voisine, je t’y ai inscrit. Un des moniteurs est un maître, il a ordre de surveiller ton poids et de te faire reprendre du muscle. Dans quelques semaines, tu iras chez mon couturier pour quelques costumes pour quand nous sortirons ensemble et pour les mondanités ou je dois me montrer. Si je dois voyager, dorénavant tu m’accompagne si je te le demande. Bon habille toi, ce soir, je sors ma petite femme. Il y a des tenues pour toi dans ton dressing ainsi que des bijoux.
Je me suis exécuté et quand je suis rentré dans mon dressing j’ai fait plus attention que le matin et effectivement il y a une flopée de vêtements et veste ainsi qu’une vingtaine de paires de chaussures. Je me suis habiller plus ou moins comme Karl est habillé, j’ai mis un collier avec en médaillons le même sigle que sur ma chevalière, une montre qui semble de marque mais moi perso je n’y connais rien, une paire de bottillons en cuir ainsi que la veste assortie. En descendant dans la cuisine Karl m’inspecte.
Karl : Pas mal Jean-Marc, je n’aurais pas honte de t'exhiber.
Comme l’esclave est là
Moi : Merci maître
Nous allions sortir mais avant.
Moi : Laurent à mon retour, je veux du champagne dans ma chambre ainsi que des fraises.
L’esclave : Nous n’avons pas ce genre de chose mais je vais demander à l’intendant de me faire parvenir rapidement le nécessaire.
Moi : Il y a du champagne dans la cave à vins et les fraises sont dans la serre. Demande à l’intendant de faire le plein de vins et alcool pour quand le maître vient me rejoindre ici. Je veux être une bonne épouse pour mon maître et il ne doit rien manquer ici. Compris !
L’esclave : Oui maître
Une fois dehors, une voiture avec chauffeur nous attend. Nous montons et partons en direction de la ville.
Karl : Tu as bien fait mon ma chérie mais tu ne dois plus appeler l’esclave par son prénom !
Moi : Désolé maître, il faut que je m’habitue, je ne l’ai pas fait exprès c’est sorti tout seul.
Karl : Baisse ton pantalon et viens sur mes genoux et compte, je ne veux pas t’entendre crier !
Il m’a mis une dizaine de fessées bien senties, j’en avais les larmes aux yeux.
Karl : Première punition, que cela te serve de leçons ! Rhabille-toi !
En me rhabillant, je vois dans le rétroviseur le chauffeur sourire. Ce qui m’énerve car je déteste être humilié.
Moi : Il y a un problème esclave !
Le chauffeur : Euh non maître.
Karl me regarde l'air amusé de voir ma réaction.
Karl : Qu’est-ce qu’on dit à son maître ma chérie.
Moi : Merci maître, et pardon mon cœur, je vais faire en sorte de m’endurcir.
Karl : A la bonne heure.
Nous avons été mangés dans un restaurant gastronomique ou Karl m’a présenté comme son époux ou son esclave faisant partie de son cheptel de luxe suivant les personnes croisées. Le repas était exquis, j’ai mangé de bon cœur. Karl était content de me voir manger. Une fois de retour à la ferme nous avons bu du champagne et mangé des fraises. Karl m’a fait l’amour comme si il baisait une femme, me caressant partout, jouant avec mes tétons comme si s’était des seins. Il m’a pénétré d’une façon magique. Je me suis senti femme, sa femme. Quand nous avons joui tous les deux moi dans sa main, il m’a fait sucer mon sperme sur ses doigts avant de me faire nettoyer sa queue. Ce que j’ai fait avec énormément de plaisir. Je rayonne de bonheur et de volupté. Pour dormir il s’est collé à mon dos et pris dans ses bras.
Karl : Dort bien ma chérie, je t’aime.
Moi : Je t’aime, mon homme dort bien toi aussi.
Le lendemain à mon réveil j’étais seul. Je me suis levé et après une douche, je suis descendu déjeuner.
L’esclave : Le maître vous veut sur votre trente et un à 19.00, il demande que vous fassiez un sac pour deux jours. Vous partez en thalasso. Vous devez vous présenter au club de sport pour 13.00.
Moi : Ok esclave. Appel moi l’intendant.
Quand l’intendant fut là.
L’intendant : Que puis-je pour toi princesse ?
Moi : Déjà me donner ton prénom, ensuite je dois partir mais je n’ai pas de voiture.
L’intendant : Alors moi c’est Luc et ta nouvelle Mercedes ainsi que ton chauffeur vont arriver. Le maître t’interdit de conduire dorénavant. Je vais faire rentrer ce que tu as demandé hier pour satisfaire le maître. J’ai ordre de te peser au réveil tous les matins. Je commence demain. Tu dois reprendre du poids et je dois vérifier sinon c’est moi qui aurais des problèmes.
Moi : Ok merci Luc mais tu vois je mange et même si pars moment je me sens encore faible, je me sens mieux dans ma peau grâce au maître et son amour.
Luc : A la bonne heure, ton moral est très important pour lui.
Moi : Je sais.
Luc : Soit à la hauteur de ces attentes princesse.
Ptlapin
