J’étais devant le miroir, maillot bien ajusté, ma queue bien dessinée dans le short de sport en Spandex, laissant deviner ma masculinité. Les pieds bien ancrés au sol, un haltère tenu dans chaque main. Les bras bien tendus, je tentais de les garder bien droit, le temps du compte convenu par Renzo, mon entraineur.
Il était derrière moi me regardant droit dans les yeux. Décidé à me à me faire souffrir. Ses yeux couleur charbon m’enivrait. Je tenais le coup ne voulant pas le décevoir. Il me soutenait légèrement les bras de ses mains afin de m’aider à faire le compte. Lorsqu’il les enlevaient, je pouvais descendre les bras en expirant, compter 10 secondes et les remonter de nouveau et tenir 10 secondes.
Il me regardait tout souriant m’encourageant à poursuivre la série de 10 qui devait m’aider à sculpter mes épaules et mes pectoraux.
Il portait des baskets et un short rouge qui lui galbait le fessier et la verge à merveille. J’essayais tant bien que mal de jeter un coup d’œil discrètement lors qu’il se déplaçait derrière moi, mais il me surprenait chaque fois allongeant son sourire de plaisir. Il me rendait fou Renzo. Sa peau basanée, ses cheveux dégradés avec une toque de samouraï et une barbe de trois jour accentuant ses lèvres bourgogne me troublaient. Lorsque la sueur ruisselait sur son corps bien musclé, que des coulisses longeant son cou se glissaient sous sa camisole, j’avais peine à garder ma concentration tant que je l’imaginais me prendre. Même avec les haltères au bout de mes bras, je kiffais solide sur Renzo.
Il le savait. Il le voyait bien que je lui plaisais. D’ailleurs, il ne se faisait pas prier pour me fidéliser. Lors des exercices de musculation au miroir, afin de bien m’enseigner le mouvement à reproduire, il en profitait pour me corriger en me prenant le bras et le bouger pour que je mémorise le geste, ou il touchait les abdos ou les fesses pour s’assurer que je les contracte tels que prévu. Il avait ce sourire malicieux joueur attendant une réaction. Ses touchers me déconcentraient tellement!
Là, je suis à ma dixième levée sur douze. Mon corps est luisant de sueur. Il compte les 10 secondes pour m’encourager. Mes bras n’en peuvent plus. Ils commencent à fléchir. Renzo s’approche derrière moi. Il me regarde par l’entremise du miroir. Il ancre ses pieds bien au sol derrière les miens, met ses mains sous coudes et relèvent légèrement mes bras pour corriger la position. Je sens son souffle dans mon cou.
¬-Tiens bon, murmure-t-il, 8, 9, 10. Descends!
J’expire bruyamment. Il retient mes bras lors de la descente. Me sourit. Retire ses mains.
-C’est bon. Il t’en reste que deux, puis c’est fini! Une douche et bon sauna t’attendent. Allez hop! On y va pour la onzième. Puis voyant que les biceps et triceps ne suivaient plus, il m’aida en me soulevant les poids avec moi en soutenant mes avant-bras. Regardant par terre lors de la montée, je relevai les yeux et croisa son regard. Il avait l’air excité à l’idée de me voir au bout de mes forces. Sa bouche était entr’ouverte. Son corps plus près du mien désormais, les bras tendus pour m’aider, je sentais son zob me frôler. Seul sa respiration semblait plus rapide. Il finit le compte de 10 en susurrant dans mon oreille.
¬-C’est bon Jay! On finit ici. Tu as bien travaillé.
Je dépose les poids par terre. Exténué, je bascule la tête vers l’arrière respirant à fond. Renzo récupère les haltères et les range. Puis, Renzo revint vers moi me saluer.
-Tu progresses bien Jay. Bravo! Regarde tes épaules, dit-il en glissant ses mains de mon cou à mes biceps. Puis tes abdominaux commencent à prendre forme en passant ses doigts sur ceux-ci pour bien sentir chaque sommet et sillon. Il me fixait les yeux. Mais je suis certain qu’il savait que j’étais bandé.
-A demain Renzo, dit Ubald. Tu verrouilles derrière toi? Il ne reste que vous deux.
-Bien sûr Ubald. Pas de soucis. A demain.
-Prends tout le temps que tu veux Jay. Il n’y rien qui presse.
Je lui souris et me dirige vers le vestiaire non sans jeter un regard derrière. Il me sourit lorsqu’il croise mon regard. J’entre dans le vestiaire, repère mon casier et jette tous mes vêtements dans mon sac. Je saute dans la douche. Quelle est bonne? me dis-je. Puis je me dirige vers le sauna finlandais. J’ouvre la porte, l’odeur d’eucalyptus m’assaille. Je respire profondément et m’assied sur le dernier palier. Le dos au mur. Ferme les yeux afin de jouir de ce moment de détente après un entrainement et sentir les hormones relaxantes qui envahissent mon corps.
Pendait que mon esprit divaguait, j’entendis des bruits dans le vestiaire. Je me dis que Renzo faisait un dernier tour afin de s’assurer que rien ne clochait avant de fermer. La porte du sauna s’ouvrit. Il était là devant moi dans toute sa splendeur, sa virilité.
-Tu ne pensais pas que j’allais te laisser partir sans te faire un petit coucou.
Je lui souris pendant qu’il s’approche de moi. Du revers de sa main, il me caresse un mamelon. Puis, avant que je puisse répondre, il les saisit entre index et pouce et les pince légèrement avant de remonter ses mains vers mon cou et me saisir la mâchoire et coller ses lèvres sur les miennes. Il faisait longtemps que je n’avais eu une érection si rapidement. Je passe mes mains derrière lui, l’une lui pressant le dos pour le ramener plus près de moi, l’autre caressant le bas de son dos. Il ouvre sa bouche, introduit sa langue nonchalamment, trouve la mienne bien volontaire et la capte pour la sucer, ce qui m’excite à en sentir un frisson me parcourir la colonne jusqu’à l’anus. On s’embrasse dans la moiteur du sauna de longues minutes, nos mains se baladant à la découverte de nos corps. Je saisis sa bite de mon pouce, lui masse le gland et le méat avec le liquide séminale qui s’échappe. Il se retire quelque peu et me regarde le masser, ses mains posées sur mes hanches. Il halète, laisse sortir une petit gémissement. Je relève la tête. Lui sourit de bonheur, lui vole un baiser bien senti avant de m’agenouiller et masser sa queue avec mes lèvres et ma langue cette fois. J’engloutis cette belle queue bien ronde, nervurée et dure jusqu’à en perdre le souffle. Je l’entends respirer profondément échappant de petits sons de satisfactions. J’accélère le rythme. Il me prend la tête doucement et me guide afin de trouver son tempo. Il m’enfonce et me tient en place. Je cherche à respirer. Je sens le sperme monter dans sa queue. Il se dégage et respire profondément voulant freiner l’éjaculation. Je me relève et lui laisse reprendre ses sens. Je le désire et ne veux surtout pas qu’il finisse par éjaculer sur le plancher du sauna. Il ouvre les yeux, me regarde, puis me sourit. Je lui dépose une main sur son torse et la remonte jusqu’à sa bouche. L’embrasse sensuellement.
Après une longue série de baisers, il me prend la main et m’amène sous la douche. Il prend par l’arrière et me serre contre lui. Il me masturbe pendant que de son autre main, il me caresse les pecs et les abdos. Je sens son énorme zob presser entre mes fesses. Il me masse le fion avec cette merveille de bas en haut. Me lèche les oreilles, les mordille. Je craque de plaisir. Je couine. Je jouis.
-Tu es OK sans capote? me susurre-t-il
Je ne peux plus réfléchir tant que je suis excité. Je ne réponds qu’un son inaudible et n’offre aucune résistance. Bien au contraire, je dépose mes mains sur ses fesses pour l’inviter. Il descend. Enfonce sa langue chaude et pointue jusqu’à trouver ma rondelle. Je gémis. Il me lubrifie, me demande déposer les main sur le mur et de bien me cambrer. Je lui offre mon joli cul en ouvrant bien grand.
Ses mains glissent sur mon dos pour terminer sur mes hanches qu’il tient solidement. Son gland force mon fion. Il s’enfonce doucement. Je souffre et jouis en même temps. Il m’intime de me détendre, qu’il y va doucement. Ses mains me caressent les côtés, le torse et ses pouces frottent mes mamelons. Il m’enfonce un peu plus. Je balance la tête vers l’arrière. Mon corps est en transe. Il se retire. Recommence. Le tempo s’installe. Je perds le souffle, et là il me pilonne sérieusement. Enlacés, il me lime vigoureusement jusqu’à me féconder. Il reste en moi quelques instants, sa tête appuyé sur mon épaule. Il se retire. Je me retourne et l’embrasse goulument avant qu’il retourne finir de fermer le gym.
JayBo
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