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18 Mars

Grosse queue
"Plan à 3"
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HISTOIRE

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Maître Francis

À peine eu le temps de déposer mes gosses à l’école que je dois encore courir. 43 ans, 15 ans de boîte et c’est moi qui dois faire signer c’est foutus contrats.

Est-ce que tu ne crois pas qu’un de nos jeunes cadres dynamiques aurait pu s’en charger ? Non évidemment personne de disponible il faut que ce soit bibi qui s’y colle. Bon, ce n’est pas grave. Il paraît que le type est un peu excentrique, un mec bizarre mais apparemment relativement sympathique d’après ce que m’a dit mon boss. En tout cas il n’habite pas loin de l’école de mes enfants donc ça m’arrange. C’est toujours ça de pris.

Je viens à peine de passer le numéro d’habitation auquel je dois me rendre que je trouve déjà une place. Parfait, à peine à trente mètres de chez mon client. Je m’extirpe de la bagnole clopin-clopant , réajuste mon par-dessus, empoigne ma mallette et fonce d’un pas vif jusqu’au portillon bleu. Un carillon d’époque y est disposé mais je préfère appuyer vigoureusement sur la sonnette. C’est bien la technologie.

Aujourd’hui c’est mon jour de repos je n’ai pas l’intention d’y passer la journée.

À peine eu-je appuyé que l’entrée en fer forgé se déverrouille pour me laisser l’accès libre au jardin traversé par un petit chemin en béton couleur sable. Bordé de dalle en pierre sèche, le ton rocailleux contraste très bien avec la lignée de tulipes qui borde la clôture de buissons. La pelouse est taillée au cordeau, fraîche, soignée. Avant même que je ne frappe à la porte d’entrée, une voix grave mais mélodieuse jaillit depuis l’intérieur de l’habitation.

« Entrez. C’est ouvert! ».

Je ne me fais pas prier. Je n’ai pas le temps et l’heure tourne. J’enfonce la poignée de métal brossé et pénètre à l’intérieur d’un pas déterminé. Ici, tout est chic. les décorations sont nombreuses mais pas extravagante. Les couleurs s’accorde parfaitement. Hormis quelques objets insolites tirés d’œuvre de Dali ou de quelques monastère bouddhiste, ici rien ne dénote.

Hormis une chose.

Un gars, d’une taille relativement moyenne est plutôt carré des épaules, se tient droit devant moi totalement habillé de cuir. Une veste boutonnée jusqu’au cou, un pantalon seyant et serré d’un noir plus sombre que la nuit. Une paire de gants bien ajusté dans son ceinturon et pour finir l’accoutrement, il porte gracieusement une paire de bottes en cuir cirée, lassées presque jusqu’aux genoux. Il me sourit à travers sa barbe drue du haut de sa cinquantaine d’années.

« -je peux vous aider?

-euh… oui. Christian de chez Farmacop. Vous avez dû avoir une secrétaire au téléphone dans la semaine, je suis là pour la signature du contrat. » lui-dit je en montrant ma mallette de l’index.

« Ah oui! Oui! Les contrats ! C’est vrai j’avais oublié. Et bien voyons ça. Installez-vous, installez-vous je vous en prie. » Il me désigna de la main une lourde chaise en bois bordant une immense table en verre. La déplacer ne fut pas aisé, elle pèse son poid la bougresse. Ma mallette se déverrouille dans le cliquetis des verrous de sécurité.

« Doux bruit… » entendis-je flotter dans la atmosphère.

« Plait-il? Vous avez dit quelques choses ?

-Non simplement que cette mélopée de cadenas est inspirante.

-Ah. Euh oui j’imagine… » Ce mec est vraiment bizarre en effet. Ses bottes ne cessent de claquer sur le parquet à chaque fois qu’il fait un pas, c’est assez déconcertant.

« -vous savez, je collectionne tout ce genre de choses. Les verrous, les cadenas. Ce genre de mécanique… me passionne. » lança t-il dans les airs.

Décidément c’est un hurluberlu.

« Peut-être souhaiteriez-vous voir ma collection?

-Euh… Ça aurait été avec plaisir mais malheureusement je n’ai guère de temps pour moi…

-C’est dommage… Ça m’aurait fait plaisir. En plus ça m’aurait évité de relire absolument tout le contrat…

-Tout le contrat? Mais il y a 48 pages écritent en tout petit!

-Que voulez-vous ? Je préfère le relire.

-Bon vous me montrez votre collection et vous signez ?

-parfait! Faisons ça. » d’un geste il disparu dans une pièce annexe comme un courant d’air dans un vacarme de talons ferrés. J’attend un peu en pianotant du bout des doigts sur cette splendide table de verre, les jambes croisées, la cheville jouant au grès d’un tube imaginé. Puis je le vis soudainement revenir transbahutant des chaînes et des lanières de cuir.

-Donnez moi vos mains. »

Et moi comme un con je lui les donne. En quelques secondes je me retrouve avec une paire de menottes en cuir autour des poignées, un collier très épais muni d’une boucle en acier autour du cou, relié à une chaînes qu’il tient dans sa main. Je ne comprend pas le moment d’absence que j’ai subi, mais il me fut impossible de refuser son offre totalement loufoque. Même à ma femme je ne fais pas ça.

«-Et a présent voulez-vous que je vous montre comment ça fonctionne…? »

Je ne sais pas quoi répondre. La situation m’échappe . La logique voudrait que je lui réponde non mais je ne sais pas ce qu’il se passe. Mon corps tremble, il transpire. Une drôle de sensation me prend la nuque et je m’entends lui répondre: « ou…oui. »

« Alors a genoux ».

Je m’exécute. Sans comprendre. Sans me comprendre. Une irrémédiable trique vient de me saisir. Au fur et à mesure que je me baisse devant cette montagne de cuir ma bite se durcit. Une nouvelle sensation que je n’ai jamais eu avant. Ganté, Il m’enfile deux doigts dans la bouche à presque m’en faire vomir. Je ne peux pas louper l’énorme bosse qui se dessine sous la braguette de son pantalon. Mon regard ne la lâche pas des yeux. Je bave, je salive et j’en fous partout. Je ne sais pas ce que je fais là mais mon corps refuse d’en partir. Le goût du cuir dans la bouche stimule en moi quelque chose de divin. Au fur et à mesure qu’il tire sur le collier et que ses doigts s’enfonce toujours plus profond dans ma gorge mon gland s’étouffe sous la pression sanguine.

« Maintenant c’est « Maître Francis », est ce que c’est clair!?

-ou… oui Maître Francis.. très clair. » balbuties-je.

Il descendit lentement sa braguette dans un bruit métallique. À travers l’ouverture, le tissu se retrouva immédiatement propulsé sous la pression de l’énorme engin qui s’y dissimulait. Il plonge sa main à travers la fente du futal, et en sortie d’une pleine main un chibre monstrueux. Un truc gigantesque. Volumineux, large, lourd. Son gland tout violet suintait déjà. Il l’agitait devant ma face, diffusant son odeur juste sous mon nez. Ça sentait la queue et la transpiration. Il me saisit par le collier, tirant fortement la chaîne vers l’avant. Je me retrouvait alors à quelques centimètres de son urètre. L’odeur à la fois insoutenable et hyper excitante m’enivrait les papilles. Mon cœur battait la chamade, mon sexe, beaucoup moins imposant que le sien, tambourinait dans mon froc.

« Sort ta langue. » m’ordonna t-il.

Et une fois de plus, je ne compris pas la réaction de mon corps. Lentement, tremblotant, je sorts… Doucement… Ma langue. Je l’étire , lentement, jusqu’à toucher le bout du gland de Maître Francis. C’était à la fois chaud et visqueux. Je crois sentir quelques gouttes dans mon pantalon, le toucher de sa bite envoya une décharge électrique dans toute ma colonne vertébrale.

« Parfait… parfait… maintenant ouvre la bouche… »

Je m’exécute mécaniquement en me demandant comment une chose pareille pourrait rentrer dans ma mâchoire.

« Je te conseille de prendre une grande respiration. »

À peine eut-il terminé sa phrase que sa main gantée de cuir m’appuie sur la tête. Je sens toute sa bite rentrer dans ma bouche pour aller taper le fond de ma gorge. J’en ai le souffle coupé. Je ne peux tout à coup plus respirer, ce cylindre de peau et de fluide prend le volume complet de ma bouche même si à peine la moitié était rentré. Il tire comme un dingue sur le collier et je sens son gros gland faire de violent allés-retour, tapant dans mon œsophage.

Sa main ne me lâche pas l’arrière de la tête. Il me pistonne sans relâche dans un vacarme de succion et de bruit de bouche. Mes muqueuses baignent dans les fluides visqueux et collants, j’en bave partout sur le parquet pendant que mes mains menottées s’agrippent étrangement à mon paquet rigide comme de l’acier. Je vais étouffer. Son énorme bite empêche le moindre centimètre cube d’air de passer. Je pense que je change de couleur à chaque seconde sous le manque de d’oxygène. Mon cœur palpite, ma bite fremit et ma bouche subit. Elle pompe même. Sans m’en rendre compte je m’étais mis à accompagner ses mouvements de bassin et à le sucer volontairement. Je pense même que des gargarismes filtraient jusqu’à mon estomac les prémices de foutre qui perlait de son engin diaboliquement volumineux. J’en presse encore plus fort mon froc dans un tintamarre de chaînes.

D’un coup sec il se retire. De l’air. Je respire, j’halete, emmagasine le maximum de molécule d’azote pour me remettre de cet incompréhensible expérience qui m’a littéralement chamboulé.

La bite dressée et luisante à quelques centimètres de ma gueule il se soucia de moi:

« Alors? On continue ? Ou on peut arrêter là pour une première fois.

-On… on continue…. » Mon corps répondit sans l’accord de ma raison. Je ne cesse de masturber mon sexe à travers mon jeans en tremblotant.

« -Parfait. Alors passons à la suite. » Il tira sur la laisse et pose sa botte sur mon dos pour me forcer à me mettre à quatre pattes et le suivre comme un chien. Je repense à ma femme, à mes enfants, mais cette irréductible envie de voir la suite m’empêche tout raisonnement. Je marche en laisse comme un toutou derrière ce type que je ne connaissais même pas, dont la bite qui prenait l’air, gigotait de gauche à droite à chacun de ses pas. Je ne peux m’empêcher de la regarder. Un truc vraiment énorme, je ne savais pas qu’il existait des engins qui ne rentrait pas de moitié dans une bouche. Au moins 23, peut-être 24 centimètres.

On déboule dans une remise. Propre mais peu lumineuse avec un pilier porteur en bois au centre de la pièce. L’élément soutient une lourde poutre à laquelle est fixée de multiples chaînes et cordes. Je n’ose même pas imaginer ce qui se trouve dans les placards…

« -Agenouille-toi là ! Discutes pas! »

Il m’ordonna de m’installer contre le pilier. Il m’ôte les menottes de cuirs pour mieux me les remettre dans le dos, prisonnier du pilier. Il me ceinture la gorge au pilier à l’aide d’un ceinturon trouvé sur un établi. Je ne peux plus bouger la tête. La seule chose que je vais pouvoir faire c’est éventuellement respirer et surtout subir. Il s’agenouille devant moi pour se mettre à mon niveau, me baisse la braguette et en sortit ma queue, tendue comme une arbalète et sur le point d’exploser.

« Je vois que l’expérience te plaît… »

Il lustre sa bite avec de la salive qu’il frotte de son gant de cuir. Il pouvait la prendre à deux mains sans problème et s’amuse d’ailleurs à la claquer d’une main sur l’autre comme d’une matraque. Le son lourd qui en émane en dit long sur le poids de la bête.

Il s’approche de moi sans un bruit et commence à me bifler sèchement le visage, les joues. L’engin est lourd et ça vous sonne dans le crâne. Il frotte sa bite sur ma gueule sans que je puisse bouger. La seule chose que je trouve à faire c’est de l’embrasser du bouts des lèvres et à la lécher sans que je ne sache pourquoi. J’essaye de bouger mais les menottes m’en empêchent.

« Bon maintenant fini de jouer. » lacha-t -il. « Ouvre grand la bouche. »

Hésitant je commence à détendre mes mandibules lorsque d’un coup il enfonce son énorme chibre dans ma gorge. Je suis pris d’un spasme. Mais je ne peux rien faire. Tout est bloqué par l’énorme tige. Je le sens s’agripper au pilier pour mieux me baiser le crâne. J’ai l’impression qu’il trempe sa bite dans de la flotte tellement les giclées de liquides jaillissent de ma bouche à chaque coup de piston. Il l’a sort, la re-rentre des dizaines de fois, me biffle, me ré-étouffe avec son monstre. Mon œsophage va exploser, mes poumons sont à la limite de l’asphyxie, mon cerveau est en veille. Seuls mes sens pervers sont actifs. Je sens ma bite qui se mouvoit sous ses coups de boutoirs.

« Sors ta langue! Sors ta langue que je puisse mettre toute ma bite bon sang! »

Il me hurlait dessus presque front contre front.

« Tu n’es pas là pour ton plaisir !

C’est pour le mien! Alors sors ta putain de langue que je puisse te faire goûter à mes poils. »

Mes yeux font un rapide gauche-droite et je pu voir que la garde de son gigantesque poireaux était touffue. Pleine de poils poivre et sel. Si il m’enfonce son dard jusque là il va me détruire les cordes vocales ce n’est pas poss… d’un coup je sent le cuir de son gants m’ouvrir la bouche et me saisir la langue entre ses doigts.

« Quand je te donne un ordre tu le fais tout de suite! Dépêche-toi! »

Il me sort la langue de la bouche et y enfonce directement sa grosse bite. Gloups! Je la sens s’enfoncer à des profondeurs insoupçonnées. Je vois sa veste en cuir se rapprocher beaucoup plus que les fois précédentes, mes lèvres s’écartent presque jusqu’au point de rupture. Je l’entends gémir encore plus fort se donnant du plaisir tout seul avec ma bouche. Et au comble de l’étouffement je sens ses poils humides me rentrer dans la bouche…

Il est au fond. Je sens son gland qui m’écarte la gorge et son fluide qui s’en écoule. Il pose alors ses mains gantées sur ma tête et commence alors une serie d’aller-retours jusqu’à la garde en éructant à chaque fois que ses couilles viennent frapper mon menton.

« Voilà ! Ça c’est une bonne suceuse! Tu vois quand tu veux! ».

Il retira lentement sa colossale matraque et j’ai cru que de tout retirer prit des heures. « Allez goûte un peu mes couilles, sois gentille… »

D’une main il soulève son massif vérin luisant et me présente deux grosses boules poilu. Je me mets à les aspirer comme si ma vie en dépendait. Je gobe les deux burnes en même temps et les malaxe dans ma bouche les baignant de salive chaudes pendant que sa bite m’écrase le nez et huile sur mon front. Je suce à en perdre l’âme et c’est l’épaisse ceinture qui bride les mouvements de ma nuque. Plus je l’entends prendre son pied plus je me force à m’appliquer jusqu’à ce qu’il me retire les bonbons de la bouche.

« Tu commences à être bien dressé ma salope, maintenant tu vas bien me bouffer le cul. Et applique-toi!! »

A peine eut-il fini sa phrase que je me retrouve face à un cul rond, poilu et dont la position de squat me divulgue un anus en ligne de mire. Tenant son froc au bas du cul, il m’écrase la face avec ses fesses, me collant le nez droit dans son fondement. Ça sent la sueur et le fion. Je ne sais que dire, si c’est répugnant ou absolument fantasmagorique. Ma queue n’en démord pas. Elle n’en peut plus, il faut que je me branle mais les menottes m’en empêche.

« Allez bouffe moi ça ! Et vite! » éructe t-il.

Je lui fourre la langue droit dans le cul. Les poils collant me donne des frissons, l’odeur me fait trembler l’échine. Lui se branle dans son gant tout en frottant son cul poilu de haut en bas pour ne pas m’en faire une miette. Je ne peux que respirer l’odeur de son cul en écoutant ses grognements rauques de plaisir jusqu’à un rugissement plus puissant que les autres. Il m’attrape par les cheveux et bite en mains me l’a mets dans la gueule sans ménagement.

« Ouvre! Ouvre! Ouvre la bouche je te dis!! » vocifère-il en forçant mes dents.

Il s’enfonce au plus profond qu’il peut en hurlant comme un zébu, ceinturant le pilier pour me mettre plus de pression. Il envoie des coups de bassin en serrant les dents, ma tête cogne lourdement sur le pilier à plusieurs reprises jusqu’à ce qu’un liquide plus chaud et plus lourd que les autres m’envahisses la gorge. Plusieurs giclées m’inonde l’intérieur accompagné de leur cri de soulagement du Maitre. Je ne peux faire autrement que d’avaler.

Il retire alors lentement sa longue queue en soufflant de fatigue, et c’est avec cet engin pendant et goûtant qu’il me libère de mes menottes mais pas pour autant de la ceinture qui retiens ma gorge prisonnière de ce satané pilier de bois.

Je me jette sur ma bite. Maitre Francis pose délicatement sa botte dessous et il ne me faut pas plus de quatre ou cinq mouvements pour envoyer une multitude de jets puissants sur le cuir accueillant. Le Maitre me libère prestement de la ceinture et me saisit par le col.

« Lèche. » dit-il en me présentant la botte pleine de foutre.

Je m’exécute sans rechigner. Ma langue poli chaque millimètre de la chaussure noire et je goûte pour la première fois de ma vie à mon fluide. J’en ai la bouche qui colle…

Je rentre chez moi retrouver ma femme et mes enfants avec mon haleine de foutre. Maitre Francis m’avait prévenu que la prochaine fois il s’occuperait de mon cul si j’étais un bon soumis. Je pense que je ne vais pas tarder à revenir signer un contrat.

Jean Surin

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