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Chapitre 6
Le reste de la semaine allait me sembler bien long.
Je me versais un café, le plug en moi vibra et quelques secondes pus tard, je recevais un SMS de Steph.
"Bonjour Toyboy. Instructions pour le reste de la semaine :
-porter l'un des plugs en permanence
-porter uniquement un sous-vêtements que nous t'avons envoyé
-te raser et épiler intégralement le visage et les fesses
-répondre à chacune de mes sollicitations et instructions d'ici là.
Je vais t'envoyer des fichiers audio et vidéo. Tu regarderas les vidéos en boucles 1h tous les soirs en te caressant avec un flacon de poppers à disposition. Tu écouteras les fichiers audio à la moindre occasion même au boulot."
Je me doutais du genre de messages que j'allais écouter en boucle. C'était à la fois étrange et excitant. Même sorti de l'atmosphère vraiment particulier de la soirée de dépravation et programmation qu'ils m'avaient fait passer, j'avais envie de ressentir la même chose en permanence. Pourtant, je n'étais plus sous l'effet du poppers et ils n'étaient pas là pour m'exciter. Steph avait raison. J'étais fait pour ça, il fallait juste que j'en prenne conscience.
J'essayais d'imaginer le déroulement du week-end en me demandant si j'allais réussir à avoir envie pendant 2 jours consécutifs d'être à leur service sexuellement. La seule chose que j'arrivais à imaginer, c'était moi à genoux devant eux suçant leur queue ou les laissant me pénétrer. Je me sentais juste comme un objet pour assouvir leur désir et j'en étais satisfait manifestement.
Sur le chemin du boulot, je reçu un premier fichier audio. J'étais dans le bus écoutant ma musique, le casque sur les oreilles. Ce ne fut donc pas bien compliqué de l'écouter discrètement. Je ne m'étais pas trompé, c'était à peu de chose prêt la même chose qu'il m'avait fait écouter hier. Des gémissements d'hommes en ruts s'entendaient en fond sonores et les messages par dessus :
"Toyboy, tu veux nous servi.
Toyboy, tu as envie de nous faire plaisir.
Toyboy, notre plaisir est le tien.
Toyboy, tu as envie de nos grosses queues.
Toyboy, ton corps est notre jouet.
Toyboy, tu veux nous satisfaire..."
La voix était celle de John, une voix grave, sensuelle, posée. Rien que de l'entendre, j'étais excité. Mais ma queue ne pouvant pas bander, je restais discret parmi les autres passagers du bus.
Hors des réunions, je tâchais de l'écouter autant que possible toute la journée, prétextant un besoin de rester isoler et de me concentrer auprès de mes collègues. En réalité, j'avais bien du mal à me concentrer. Régulièrement, Steph faisait vibrer mon plug et m'envoyait des photos de moi, soit suçant sa queue, soit empalé par leur 2 fucks machines. Elles étaient obscènes et excitantes. Ma queue dégoulina régulièrement en cours de journée, au point que je dus tant bien que mal réussir à la nettoyer à travers la cage de chasteté.
Une fois rentré chez moi, je reçu une vidéo. La même que celle que j'avais dû regarder hier soir. Je la mis à tourner en boucle sur ma TV, mais en y branchant mon casque afin de pouvoir profiter du son sans que mes voisins n'entendent. Je me déshabillais intégralement mais conservait mon jockstrap. Ma tenue de Toyboy finalement.
Je commençais à me caresser en écoutant la voix de John et en fixant les images. Je m'imaginais aisément à la place de ses bouches ou ses culs prenant ces grosses queues, les avalant jusqu'à les faire dégorger. Mes tétons commencèrent à être assez sensible, puis le reste de ma peau me sembla être comme couverte de lave tellement j'avais chaud et était en sueur. Le poppers, mon imagination et les images que je regardais avaient un effet très fort sur ma libido et mon envie. J'aurais eu envie que mes maitres soient présents tout de suite pour user et abuser de moi.
Avant de me coucher, je dus prendre une douche froide pour réussir à me calmer.
La semaine passa, je maintenais ma routine, audio toute la journée, vidéo le soir. Régulièrement Steph m'envoyait des photos, voir m'en demandait des particulières pour vérifier que je portais toujours un jockstrap et un plug. Je pense que ça lui permettait aussi de tester mon obéissance car il me demandait régulièrement ces photos à des moments peu pratique ou incongru : pendant que j'étais en réunion par exemple. Je devais alors trouver un prétexte pour m'esquiver, aller aux toilettes, prendre la pose qu'il me demandait et prendre la photo. En général, il faisait vibrer au maximum le plus à ce moment là jusqu'à ce que j'envoie la photo demandée. J'étais toujours très chaud, en manque de sexe, mais obéissant, je ne cherchais pas à satisfaire mes envies en cherchant un plan cul. J'attendais impatiemment mais sagement le week-end.
Le vendredi Steph eu une demande particulièrement excitante. Pendant la pause de midi, je devais me rendre au centre commercial, dans un cabinet de toilette, fermer la porte mais pas à clé. Une fois là, je devais l'appeler en visio, me bander les yeux et présenter mon cul découvert en direction de la porte.
J'étais en position quand j'entendis quelqu'un entrer derrière moi. J'avais peur, mais j'étais excité et je faisais confiance à Steph pour qu'il ne m'arrive rien de problématique. La personne derrière moi commença par me fesser. "Bonjour Toyboy". Je reconnu la voix de John. Il sorti le plug de mon cul et pressa à la place sa queue contre ma raie. Il n'essaya pas de me pénétrer, il voulait juste me faire sentir à quel point il était lui aussi excité et à quel point sa queue était énorme de désir pour moi.
Je réalisais que j'étais tombé en extase pour un inconnu, que j'étais prêt à obtempérer au moindre de ses désirs sans pourtant savoir qui il était. "Toyboy, suce moi, mais sans me faire jouir".
Je me mis tant bien que mal à genoux devant lui, tatonnant pour réussir à me positionner sans tomber. Il était tout habillé, il avait juste sorti sa grosse bite de son pantalon. Je commençais à suçoter son gland amoureusement.
"J'ai hâte de te remplir Toyboy. Ce week-end tu vas comprendre ce que signifie être notre Toyboy. Tu voudras qu'il ne finisse jamais" me souffla-t-il à l'oreille. Puis, il me souleva un peu et me réintroduisit le plug. Il se retira de ma bouche, je l'entendis remonter sa braguette puis sortir des toilettes. Je retirais alors le bandeau de mes yeux, me rhabilla puis sorti à mon tour après avoir récupérer mon téléphone. Steph avait raccroché. J'avais un SMS de sa part "RDV demain à 12h à cette adresse. Quand tu seras sur le perron, tu te déshabilles, on te veut uniquement vêtu d'un jockstrap qu'on t'a envoyé. Tu pourras retirer le plug avant de partir de chez toi. Tu auras droit à de vrais sexes ce week-end !!"
L'après-midi et la soirée passèrent lentement.
Max
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