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8 | Je prends le pucelage de mon esclave et commence sa formation
Après notre apéritif, nous avons mangé un ragoût d’agneau que j’avais préparé moi-même car j’adore cuisiner. J’avais fait le tout avec des pommes de terre de mon verger et nous avons bu une bouteille de côte du Rhône. Ensuite l’esclave à ranger le tout et fait la vaisselle. Il est venu me rejoindre dans le salon et s’est mis à genoux tête au sol cul relevé. Je l’ai laissé ainsi une demi-heure avant de me rendre compte qu’il frissonnait de froid.
Moi : Va prendre une douche bien chaude, fait toi un lavement, je suppose que l’on t’a appris un minimum d’hygiène pour bien servir ton maître.
L’esclave : Oui maître, malheureusement j’ai des difficultés à le faire.
Moi : Bon on monte je vais te laver et te faire ton lavement ensuite c’est toi qui me lave.
Nous sommes montés, je l’ai mis sous l’eau tiède et je lui ai fait son lavement avec la canule prévue à cet effet. L’eau est revenue rapidement et il n’y a pas ou pratiquement pas de déchets et d’excréments.
Moi : Rince bien la douche et appelle moi quand c’est propre ensuite je te lave pour te montrer ce que tu devras faire pratiquement quotidiennement à ton maître.
Cinq minutes plus tard il me rappelle, je lui montre comment il doit laver son maître sur son corps évidemment il bande. Je lui mets une tape sur son sexe, il crie sa douleur.
Moi : Un esclave ne bande pas devant son maître, il se retient pour t’apprendre, je vais te mettre une cage de chasteté.
Il n’a rien dit, à mon avis il ne sait pas ce que c’est. Sitôt dit sitôt fait. Il a voulu avoir un mouvement de recul mais je l’ai retenu avec force. Il était troublé de voir son membre d’une taille correct pour un gamin de 18 ans enfermé dans ce dispositif.
Moi : Tu garderas ce dispositif, le temps que j’estimerais bon pour toi. A ton âge les jeunes aiment se masturber beaucoup et sont moins productif après pour leur maître. Lave moi !
L’esclave : Oui maître, merci de m'éduquer, maître.
Il m’a lavé comme je lui avais demandé mais arrivé à ma queue elle bandait.
Moi : Suce-moi !
Il a pris mon sexe en bouche pour vouloir me sucer mais il est timide donc avec mes mains je lui ai imprimé la façon de faire.
Moi : Apprend à tourner la langue sur le sexe de ton maître, tu peux aussi lui léché les couilles par moment. Tu dois donner du plaisir à ton maître mais en prendre aussi. Tu dois souvent regarder ton maître en le suçant pour lui montrer par ton regard que tu prends du plaisir. Si ton maître te fixe du regard, tu restes tes yeux fixés dessus, sauf si il te donne un autre ordre. Regarde-moi !
Il s’exécute et je vois ces yeux qui brillent, donc il prend du plaisir. Je vois sa main sur la cage.
Moi : Un esclave ne se touche que si son maître lui autorise. Met tes mains dans le dos !
Il écoute et obéis facilement, il est soumis d’origine, à mon avis il a un don, de plus sa bouche est tellement bonne sur mon sexe que je ne résiste pas et lui jouit en bouche en veillant qu’il ne s’étouffe pas.
Moi : Avale ! Un esclave ne doit jamais perdre une goutte de la semence de son maître qu’il aime ou pas !
Il n’en n’a pas laissé tomber une goutte. Nous nous sommes séché, ensuite je l’ai pris avec moi dans mon lit. Après un moment de calme.
Moi : Tu veux aller plus loin ?
L’esclave : Peut-être pas ce soir maître, j’ai besoin de faire le point dans ma tête. Je suis désolé de vous décevoir maître.
Moi : Il n’y a pas de soucis, comme je te l’ai dit, je ne te force pas. Demain tu m’amène mon déjeuner au lit pour 9.30 et tu me réveil en me suçant comme je viens de t’apprendre. Va dans ta chambre et dort.
Il est parti et je me suis couché. Ma nuit fut douce. Au petit matin je me suis réveillé pour un besoin urgent. Après m'être couché j’ai somnolé jusqu’à ce que l’esclave arrive. J’ai fait semblant de dormir. Il est passé doucement sous le drap de lit couché entre mes jambes et à commencé à me sucer. Toujours timide mais j’apprécie sa façon d’être. Je lui ai mis la main sur la tête pour lui faire comprendre que j’étais réveillé. J’ai donné quelques coups de rein pour lui donner du rythme et surtout qu’il prenne ma queue plus profond. A un moment je l’ai fait remonter vers moi et je l’ai embrassé. Je lui ai fait un lavage de bouche en règle. Il a été d’abord surpris avant de se laisser faire et de prendre du plaisir. Il a même gémis. Dans cette position il avait ma queue à l’entrée de son anus. De lui-même à un moment où j’ai relâché mon étreinte dans sa bouche, il a pris un peu de salive pour se la foutre sur le cul. Tout en me regardant ,il a dirigé ma queue et s’est pénétré de lui-même. Ma queue est de taille normale mais l’intromission lui a tiré tout de même un petit rictus de douleur.
Moi : Va y à ton aise Laurent, je ne te force pas mais maintenant, tu ne peux plus faire marche arrière. Détends- toi et donne-toi du plaisir.
L’esclave : Oui maître.
Il a continué la pénétration pour finir à prendre en entier ma queue. Il a attendu un moment à mon avis que la douleur s’estompe avant de remonter et refaire le même mouvement. Je l’ai laissé faire cinq minutes avant de le coucher sur mon lit jambe écarter et à mon tour de le prendre en douceur. Je lui ai fait l’amour, il a gémis, je l'ai vu un peu pleurer, avec ses mains il est venu à la rencontre de ma bite pour la sentir rentrer dans beau petit cul avant d'écarter ses fesses avec. Ne tenant plus je me suis planté d’un coup de rein puissant qu’il a crié et je l’ai fécondé bien profond dans un rugissement que je ne m’étais jamais connu. Le petit a joui dans sa cage de chasteté. Je l’ai porté et nous avons pris une douche ensemble. Il n’a pas dit un mot depuis que je l’ai fécondé.
Moi : Est-ce que ça ta plu Laurent ?
L’esclave : Oui maître mais j’ai une sensation bizarre, j’aurais bien voulu jouir autrement qu’en cage. Je me faisais une autre idée du sexe entre homme.
Moi : Je t’ai dépuceler et je vais t’enlever la cage. Jure-moi de jamais ne te branler et rester productif avec moi et le maître.
L’esclave : Je vous le jure maître.
Moi : Je ne donne jamais de punition mais si tu désobéis retour de la cage immédiatement et pratiquement en permanence.
Je lui ai enlevé la cage, je l’ai rincé avant de la sécher et de la ranger.
Une fois, séchez
Moi : Redescend le petit déjeuner et refait du café chaud, j’arrive.
Je me suis habillé et j’ai pris mon déjeuner dans la cuisine. L’esclave était nu dans la cuisine.
Moi : Dorénavant je veux que tu portes un short en permanence ou un jockstrap, je ne veux plus te voir entièrement nu. Je veux que tu portes un tablier pour cuisiner. Nu c’est dangereux et tu pourrais avoir de vilaines blessures.
L’esclave : Je n’ai que comme vêtement ici, le short en cuir et le training du domaine tong et basket.
Moi : Bon je vais arranger ça. Va demander que l’on prépare ma voiture pour dans une demi-heure, change le lit et viens me retrouver en training. Avant, montre-moi ta chambre.
L’esclave : J’ai un matelas dans la remise avec une couverture et un casier. Je me lave dans la grange à l’évier et au tuyau d’arrosage à l’eau froide, maître.
Je me suis levé de table pour voir sur le temps qu’il prévenait l’intendant. A son retour.
Moi : Viens avec moi au premier.
Il m’a suivi et je lui ai montré une des deux chambres restante dont une avec salle de douche.
Moi : Choisi la chambre que tu veux.
L’esclave : Mais je…
Moi : C’est un ordre ! Je ne veux pas que mon esclave vive comme ça ! C’est pour chopper des maladies.
L’esclave : Puis-je prendre celle avec la douche, maître ?
Moi : Considère quel est à toi. Va t’habiller, je te prends avec moi ! Tu déménageras ta chambre à notre retour et ce soir c’est moi qui fait à manger cela te laissera du temps pour vider la remise de la paillasse qui te sers de lit.
L’esclave : Bien maître.
Ptlapin
