Bonjour à tous,
J'ai déjà publié ici même il y a quelques temps, c'était les débuts d'avec mon chéri. J'avais eu plein de retours de votre part, alors j'ai envie de vous raconter ce qu'il s'est passé hier soir.
Mon chéri (qu'on va appeler Johnny, parce que c'est rigolo!) il a 28 ans, et moi 35, on vit ensemble depuis plus de trois ans.
Notre vie sexuelle est plutôt banale, sans trop de folies mais agréable quand même !
Hier soir, en rentrant du boulot avec ma collègue (covoiturage), elle me dit qu'elle a envie d'aller boire un verre en ville.
Je la dépose à sa voiture en bas de chez moi, elle file se préparer. Moi je monte faire un brin de toilette, un peu de ménage et j'attends Johnny.
Dès qu'il rentre du boulot, on décolle pour aller en ville et ma collègue nous rejoint dans un bar à bières bien connu des messins.
La folie des Happy Hour nous fait boire un peu plus que de raison, surtout moi, car les deux pintes que je bois sont fortes.
Comme toujours quand je bois, je suis émoustillé, mais rien de bien flagrant.
Vers 20h ma collègue et Johnny ont faim, on se retrouve dans un petit resto super sympa, et super bien décoré.
On mange, on boit de l'eau et le serveur, affairé au bar juste a côté de nous fait des cocktails.
Je remarque la soin qu'il apporte à ses préparations, avec des fruits frais etc et j'en parle à ma table.
Il l'entend et nous explique qu'il fait des tests pour l'été. Alors il nous dit qu'il va nous en faire goûter et nous apporte les deux cocktails qu'il préparait.
Ma collègue goûte juste une gorgée à la paille et on décide donc de rentrer à pieds, car pintes+cocktails ne nous permettent plus de reprendre la route avec le niveau de sécurité requis.
On laissera donc la voiture au parking et on la récupèrera demain matin avant d'aller bosser.
En rentrant, je dis à Johnny que j'ai envie de faire pipi, ce qui semble logique vu ce que j'ai bu ce soir.
Sur ce ton coquin que j'adore, il me dit qu'il a fortement envie de me regarder pisser.
Je lui propose alors mieux: de me la tenir.
Il accepte sagement et aussitôt je me dirige vers un coin totalement sombre sous le pont où nous passions.
Il éclaire de son téléphone pour s'assurer que personne n'est dans cette niche et se met a sortir ma queue, qui devenait déjà dure à l'idée de ce qu'on allait faire, et malgré le froid de fin de soirée de ce beau mois d'avril.
L'alcool m'ayant complètement desinhibé, je pisse allègrement, tandis que Johnny joue avec ma bite.
Quand j'ai eu terminé, il l'a secouée, mais j'en voulais plus.
Je lui ai ordonné de me la nettoyer. Je me suis tourné vers lui et il s'est mis à genoux pour d'abord me la lécher, puis me sucer comme il sait si bien le faire ;p
Transi de froid, j'ai abandonné l'idée au bout d'une minute ou deux, et nous sommes repartis vers la voiture récupérer nos clés de la maison.
A sa demande, j'ai laissé ma queue sortie, partiellement cachée par ma grande écharpe au gré du vent, et je ne parvenais pas a débander.
A la voiture, il s'est installé sur le siège conducteur, et moi debout a côté, il a repris sa pipe d'enfer. Des voitures passaient à côté de nous sur ce parking, et les gens ne pouvaient pas ignorer ce qu'il se passait, mais ça m'était vraiment indifférent...
Arrivés chez nous, on continue nos caresses dan l'ascenseur et j'ai eu envie de prolonger le vice en montant bien plus haut qu'à notre étage : au 12eme.
Là haut, dans l'ascenseur, il a recommencé à me pomper et, chose que j'ignorais, la cabine s'est mise en veille et éteinte.
J'avais commencé quelques clichés immortalisateurs, mais le fait qu'on soit plongés dans le noir m'a permis de lâcher le téléphone, fermer les yeux et savoir pleinement sa fellation.
Comme je lui avais fait deux fois la veille, il donnait tout sur ma queue. Il léchait, il suçait, il gémissait, même, sans la moindre gêne, mon beau chéri qui est d'ordinaire si timide et discret...
Quand j'ai senti que j'allais exploser, j'ai eu envie de lui cracher tout mon foutre sur le visage. Je l'ai sortie de la bouche, je me suis branlé trois ou quatre secondes, et j'ai tout giclé sur sa belle gueule d'ange blond.
Quand il s'est relevé, on a appuyé sur le bouton 4 l'ascenseur s'est remis en marche, et nous a descendus à notre étage.
Dans le miroir, je le voyais totalement souillé par mon sperme et je le trouvais beau, et encore plus bandant.
C'est tout trempé qu'il est sorti de l'ascenseur, qu'on est rentré dans notre logement et que nous nous sommes embrassés goulûment.
Je l'ai tiré vers le salon, et j'ai commencé à le pomper comme j'adore tant faire.
Je l'ai sucé comme la petite salope que je suis. Bien profond, mais pas trop, on sortait quand même de table.
J'aime trop lécher sa belle queue, de bas en haut puis de haut en bas.
Je suce son gros gland, j'y mets des coups de langue en le branlant, et je sens qu'il s'abandonne totalement entre mes lèvres.
Soudain, je me rappelle le brin de toilette que j'ai fait avant de partir. Souvent, je fais une toilette complète car Johnny est le plus souvent passif, mais l'un comme l'autre on aime bien inverser les rôles de temps en temps.
Alors avant qu'il ne jouisse dans ma bouche, ce que j'adore pourtant, je me dit que la soirée ne peut se terminer que par une bonne sodo bien profonde, pendant laquelle moi aussi je me sentirais souillé et bien soumis.
Je lui dis "au lieu de jouir ici, viens plutôt me baiser"
Surpris mais toujours partant, il se lève du fauteuil et me rejoint sur le lit ou j'étais déjà a quatre pattes, le plus cambré possible.
Il a pris un peu de la crème hydratante qu'il a dans sa table de chevet et m'en a foutu sur le trou.
Cette sensation de froid est très agréable, aussitôt disparue quand il a mis son gland chaud a l'entrée de mon cul.
D'un seul coup, il a rentré sa grosse queue a fond de moi, ce qui m'a fait super mal.
J'adore cette douleur.
C'est une douleur qui signifie qu'il est en train de me baiser. Que je suis sa chienne.
Il fait alors ce qu'il veut de moi.
Je ne suis plus là pour prendre du plaisir, je lui là pour lui en donner. Et c'est précisément comme ça que je prends un plaisir immense.
Quand j'ai été bien ouvert, qu'il a bien bougé en moi, il m'a mis un petit coup de genou, histoire de faire tomber la levrette et me mettre à plat sur le lit.
Il s'est allongé sur mon dos, et m'a limé comme j'aime être limé. Il m'a baisé pendant un trop court moment.
Je ne saurais pas dire si ça a duré dix minutes ou trente secondes, mais j'aurais pu encaisser sa bite dans ces conditions pour toute l'éternité.
Quand il a grogné et que j'ai senti sa queue se contracter dans mon cul, j'ai cambré encore plus, pour qu'il me charger sa sauce au plus profond de mon être.
Il a mordillé l'oreille, s'est vidé en moi, et nous sommes partis à la douche.
Il avait joui, moi pas, il a bien compris que j'en voulais encore.
Sous la douche, il m'a caressé le dos puis les fesses et m'a rentré deux doigts dans le cul sous mes gémissements de plaisir.
La sensation de légèreté provoquée par l'alcool, et le sexe torride qu'on venait de vivre toute cette soirée ont décuplé le plaisir que me procuraient ces doigts dans le cul.
C'était puissant et intense.
Là aussi, j'aurais voulu que ces caresses ne s'arrêtent plus jamais.
Toutes les bonnes choses ayant une fin, il était déjà tard, Johnny travaillait ce matin donc se levait tôt, on a arrêté nos cochonneries, on s'est rincés, séchés et mis au lit.
On s'est endormis dans les bras l'un de l'autre et j'avais envie que cet instant dure toujours.
Ce matin, au réveil, il m'a sucé un peu, pour le fun, avant de partir au boulot et depuis je me suis déjà branlé deux fois en pensant à cette soirée d'hier où, pour la première fois, il m'a vu pisser, et n'a pas fait que regarder :D
Marc
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