C’était fin d’automne, l’après-midi était ensoleillé et il faisait encore bien chaud pour cette saison. J’avais décidé d’aller en forêt afin de faire quelques photos de moi nu afin d’enrichir mon profil sur les sites gays.
Arrivé en forêt, je me gare dans un petit chemin de terre et m’enfonce à pied assez profondément dans le bois pour ne pas me faire remarquer par les promeneurs ou les ramasseurs de champignons. Je trouve une clairière sympa, il est midi et le soleil réchauffe bien l’endroit, surtout il éclaire bien. Je pose et cale mon appareil-photo, je repère un tronc d’arbre sur lequel je fais la mise au point. Je vérifie que ma télécommande fonctionne pour pouvoir me photographier nu et tout seul. J’allonge un plaid pour m’isoler un peu du sol, je me mets à poil et j’adopte différentes positions. J’ai envie que l’on voie bien mon trou du cul, aussi, je m’écarte les fesses de mes mains. Je m’enduis le trou de gel et commence à m’enfoncer un vibromasseur, ceci pour bien faire salope. Je le tourne en moi, le penche sur les côtés pour tirer sur ma rondelle et l’ouvrir vicieusement. Les vibrations ainsi que mon lent va-et-vient commencent à me faire de l’effet et je bande de plus en plus dur, ma queue me fait mal. Alors, tout en continuant à photographier la scène, je me branle de plus en plus vite, je râle et c’est avec fureur que je gicle mon foutre sur le tronc d’arbre.
– Et ben c’est la première fois que je vois une pute dans ton genre, retentit une voix.
Tout à ma branlette, je n’avais pas entendu que deux personnes s’approchaient de moi. Je panique, prends mon plaid et tente de me couvrir et de récupérer mes affaires.
– Arrête ! dit l’un des deux. On ne te veut pas de mal bien au contraire, ordonne l’un des deux hommes.
Je m’arrête et commence à observer ces deux hommes. Ce sont des chasseurs, habillés en treillis et bottes. L’un doit avoir la cinquantaine, 1,70 m, assez bedonnante, mais son visage est rude malgré le sourire sur son visage. Le second doit avoir dans la trentaine, casquette. Il est barbu, lui fait par contre massif 1,85 m et large d’épaules. Il a son fusil sur son épaule, mais de l’autre main se caresse la queue.
– Tu ne vas pas t’arrêter en si bon chemin, on va nous aussi nous occuper de ton cul.
Je suis un peu paralysé et je regarde la queue du plus jeune comme hypnotisé. J’en ai envie… Je recommence à bander. Il s’approche de moi, et commence à me caresser, à me tirer sur les seins… je bande de plus en plus.
– Regarde ! Elle aime cela cette chienne. Allez suce, me dit le plus jeune.
Et de son bras musclé, il me prend la tête pour m’obliger à me baisser et à prendre cette queue en bouche. Hummm, j’adore la bite, j’adore cette bite, elle sent un peu la pisse et la transpiration, sans doute normales après une matinée à courir dans les bois. Mais je l’adore cette queue, je l’enfonce à fond, commence un va-et-vient de ma bouche sur cette queue dressée. L’autre s’est mis à côté, et a défait aussi son pantalon qui tombe sur ses chevilles. Tout en gardant la bite du premier en bouche, de mes mains, je baisse le slip de son compagnon, je sors sa queue et commence à doucement la branler. Ma bouche passe d’une bite à l’autre, je les avale, les branle en même temps. Hummm, j’adore sucer. J’ai vraiment une bouche à pipes. J’aime le faire. Je m’active sur ses deux queues dressées.
– Allez, laisse-moi jouir dans sa bouche, dit le plus jeune.
Il pousse alors légèrement son compagnon pour se presser contre mon visage.
– T’as raison gamin, profite de sa bouche, moi je vais me fourrer son cul.
De ses bras puissants, il me relève et m’oblige à me coucher en travers du tronc d’arbre, le cul bien relevé d’un côté et le visage de l’autre. Le plus jeune vient de suite me fourrer la bouche de sa bite en s’enfonçant au plus profond de moi, de ses mains il me tient la tête et me lime la bouche. Je salive sur ce pieu de chair. J’adore sucer, j’adore la queue. Pendant ce temps, son compagnon s’est positionné derrière moi, j’ai maintenant une jambe de chaque côté de lui. Il commence par m’écarter les fesses de ses deux mains.
– Une belle rosette que celle-ci.
Il crache dessus, je sens sa salive glisser dedans et sur le côté de mes fesses. Il glisse un doigt pour bien faire rentrer sa salive. Il est plutôt doux comme mec, visiblement je ne suis pas son premier cul. Il me relève un peu les fesses avant que mon cul soit à la bonne hauteur et tout en m’écartant encore plus, il pose son gland à l’entrée de mon anneau. Je sens sa bite pousser, et d’un seul coup il s’enfonce en moi. Bien au fond. Il commence son va-et-vient, mes bourses et ma queue se balancent sous moi rythmant ses allers-retours. Il grogne. Ce va-et-vient me fait aussi aller en avant et en arrière sur la queue devant moi. Mes deux amants commencent à grogner, le rythme s’accélère. Je sens les queues aller de plus en plus loin au fond de moi.
– Putain je vais jouir dans son cul, hurle le premier.
Et d’un coup encore plus puissant que les autres, il se fiche en moi, m’agrippant fermement par les hanches, il tombe sur mon dos et sa queue déverse dans mon cul son sperme chaud, en plusieurs saccades. Son comparse, dix secondes après, éjacule aussi dans ma bouche, maintenant ma tête et me forçant à avaler pour pouvoir respirer. Mes compagnons de jeu commencent à se reboutonner, je me rhabille, ce fut un moment intense de plaisir bien que cette fois je n’ai pas éjaculé et joui, mais j’ai adoré être prise de la sorte.
– Attends, tu ne vas pas t’en aller comme cela, tu viens avec nous au cabanon. Au moins, avec une pute comme toi, on ne se fera pas chambrer pour être rentré bredouille.
Le ton est sec et autoritaire, je ne sais quoi trop penser, mais le plus jeune prend mes affaires et mon appareil-photo avec lui et m’oblige ainsi à les suivre, juste vêtu de mes chaussures et du plaid. Je les suis, mais commence aussi à réfléchir comment me sortir de cette situation. Mais le trajet est de courte durée, nous arrivons vite à une cabane de chasseurs entourés de gros 4x4 avec du monde tournant à notre approche les regards vers nous.
Je suis un peu paralysé par la situation, mais immédiatement on me pousse vers l’intérieur de la cabane. Mes compagnons en profitent pour me retirer le plaid. Me voilà cul nu en face de 6 mecs bien chauds.
– Elle a l’air bien salope celle-là.
– Allez ouvre ta bouche !
– À genoux !
Les ordres fusent et machinalement j’obéis. Je suis à genoux dans cette pièce et déjà trois mecs ont baissé leur pantalon et exhibent leur queue devant mon visage. Je happe la queue la plus proche, caresse les deux autres. Cette première queue sent la transpiration et un peu la pisse, mais le mec m’enfonce au plus profond de la bouche sa bite, m’obligeant à l’avaler à fond. Un mec que je branle éjacule sans prévenir et voilà ma main et une partie de ma gueule immaculée de son sperme. On se moque un peu de lui pour avoir craché aussi tôt, celui que j’ai en bouche se retire et éjacule à son tour sur moi. J’ai à peine le temps de reprendre mon souffle que déjà une autre queue s’engouffre dans ma bouche. J’ai maintenant tous les mecs autour de moi, queues dressées en main et en train de se branler en me regardant. Je suce l’une après l’autre, arrive même à en prendre deux en même temps en bouche. Les mecs m’inondent de leur sperme, le cou, mon torse, mes cheveux. Un gros bien crade en bottes m’éjacule dans la bouche, alors que je veux recracher il me tient la bouche fermée m’obligeant à avaler. Un chasseur m’oblige à me relever :
– Allez, couche-toi sur la table, on va te fourrer le cul.
J’ai peur, ils sont tous en rut, l’effet de meute, je n’ose plus protester et suis prêt à subir leurs assauts. Dans un sursaut, je leur demande de me mettre le gel que j’ai dans mon sac.
– Une chienne comme toi, c’est au sperme que tu vas être lubrifié, après le premier enculage, cela va glisser tout seul.
Je suis à plat-ventre sur la table, jambes écartées, cul bien relevé. Des miettes de pain me frottent le ventre, leur casse-croute repoussé sur le fond de la table. Mon cul est de suite forcé par une queue, c’est un véritable soudard, il me laboure les reins avec violence. Les autres rient et commentent la scène. Un des hommes se rapproche de ma gueule verse du vin sur sa queue et me l’enfourne en bouche :
– Allez une saucisse au vin pour cette pute.
Je suce cette queue et commence à en branler une autre. Le mec dans mon cul se retire et je sens son sperme chaud jaillir entre mes fesses et sur mon dos. Un autre vient prendre sa place il me prend aussi avec hargne ; je me sens complètement ouvert en deux. Et ainsi de suite, les mecs me passent dessus. Un des mecs n’arrive plus à bander alors il prend le saucisson sur la table et commence à me le glisser dans le cul. Malgré mes précédentes sodomisations et mon trou rempli de sperme, il ne rentre pas, il est trop gros. Je commence à crier sous la douleur, ce qui excite les autres qui l’encourage à continuer. Un des mecs me bâillonne la bouche, j’ai juste le temps de crier qu’il faut me mettre du gel. Deux autres me maintiennent couché sur la table, on m’écarte les jambes pour mieux m’ouvrir. Le leader prend la graisse du pâté sur la table et m’enduit la rondelle de ses gros doigts. Il réintroduit le saucisson. Mon cul ne résiste pas. Sous une ultime poussée, mon anneau cède et je sens l’engin me remplir le cul. J’ai mal et commence à pleurer. Mon calvaire ne dure que quelques minutes, et les lasse vite. J’ai le cul en feu. Je dois avoir la rondelle toute déformée.
– Regardez ce trou du cul que cela lui fait, rigole un mec.
– C’est un véritables vide-couilles ce mec.
Et un autre rajoute :
– Allez j’en profite une dernière fois pour me vider.
Je sens alors un liquide chaud m’inonder le trou, la pisse glisse dedans et entre mes fesses puis le long de mes jambes. Ils rigolent tous et me laissent enfin me relever. Je m’essuie avec le plaid retrouvé, me rhabille et repars vite à ma voiture laissant ces chasseurs à leur repas… j’ai été leur apéritif m’ont-ils dit et que je pouvais revenir aussi souvent que je le voulais ont-ils crié alors que je disparaissais dans les bois.
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Passif73200
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