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HISTOIRE

Mehdi, le livreur de pizza

J'avais un déplacement pro à Lille, loin de chez moi, et mon client m'avait réservé un hôtel, près de ses bureaux, mais loin du centre. Un hôtel correct, sans plus, où je devais rester trois nuits.
Le premier soir, je suis arrivé tard, déposé par Ibrahim, mon chauffeur de taxi qui m'avait bien chauffé : jeune rebeu, une voix bien virile, sourire craquant. Je lui aurai bien donné un pourboire sympa... Mais je n'ai pas osé. Bref.

Arrivé dans ma chambre, j'avais la dalle, le resto était fermé, j'ai décidé de commander une pizza livrée " à domicile ". Une heure d'attente... Bon, tant pis, je commande quand même et en attendant, je mate du porno.
Je suis de taille moyenne, plutôt musclé et j'ai du succès auprès des mecs car je suis très lope, avec peu de tabous. Je kiffe notamment les actifs bourrins, plutôt dominateurs, genre rebeus ou blacks qui te baisent sans cérébral ni romantisme. Je kiffe aussi l'exhib et les plans à plusieurs. À poils, je surfais sur ce genre de vidéos quand mon tél. sonne : le livreur me prévient qu'il arrive. Je lui demande s'il monte ou s'il faut descendre, il me répond qu'il voit avec la réception. J'enfile un boxer - je serais bien resté à poils, mais on ne sait jamais... si ? Non ? - et quelques minutes après, on toque à la porte. J'entrouvre en calbut : c'est bien le livreur. J'ouvre du coup la porte en grand et vois un jeune rebeu, grand, en uniforme de livreur, casque encore à moitié sur la tête. Il est sexy tandis qu'il me tend ma pizza. Et là, il me dit : " j'ai oublié les boissons à la pizzéria, c'est vu avec la réception, je reviens dans 15 minutes, le temps de l'AR " et hop ! déjà parti.

Je referme, un peu déçu qu'il ne se soit pas attardé et en même temps, très content qu'il repasse... Et je prends la décision que je serai à oilpé quand il reviendra. J'ai le temps largement de manger ma pizza : le quart d'heure se transforme en demi-heure... Pas grave, je me branle bien. Soudain, on refrappe à ma porte. Je vais ouvrir, à poils, cette fois. J'ai le coeur qui bat la chamade, c'est super excitant, mais aussi super risqué. Mon livreur est bien là, toujours aussi sexy, un sac en plastique à la main. Il n'a pas vraiment de réaction : ni recul, ni mouvement vers moi. Très pro, le gamin ! Je lui fais un grand sourire, le remercie, prends le sac en prenant bien soin de lui frôler les doigts. Toujours, aucun mouvement de recul. Mais dès que j'ai ma boisson, il se barre, pressé comme le sont tous les livreurs.

J'ai senti comme une ouverture. Du coup, comme j'ai son tél., je lui envoie un sms pour lui dire que s'il avait pris un peu son temps, il aurait eu un pourboire sympa. Et là, il me répond " quel genre de pourboire ". J'ai un coup de chaud soudain. En même temps, je ne crois pas un instant qu'il viendra, mais je tente le tout pour le tout et je réponds très direct " fellation en gorge profonde ". Quelques minutes d'attente et je reçois une réponse : " je peux passer après le service ". Putain, bingo ? Non, je n'y crois toujours pas. S'ensuit plusieurs heures (!) d'échanges, tandis que je me branle en matant des vidéos de rebeus domi. Je suis grave chaud, à la limite de la jouissance. Il retarde sa venue plusieurs fois, prétextant le service. Je me dis que c'est du mytho, mais je joue le jeu. Je lui envoie un sms pour lui dire qu'il va pouvoir bien se détendre. S'il veut ramener un bédo, pas de souci, je le sucerai en pacha sur le lit. Puis plus de nouvelles pendant 20 minutes.
Pas grave, je vais finir ma branle et juste avant que je ne jouisse, message : " je pars du taf, j'arrive dans 15 minutes ". Bon en fait, il arrivera 40 minutes plus tard... Mais il est arrivé ! En jogging gris clair, il attend dehors car la réception est fermée. J'enfile un short et un t-shirt et je descends en tongs pour lui ouvrir. Mais qu'il est sexy ce petit con ! Et puis, ça fait des heures que je suis en chauffe de malade, je vais me régaler avec sa queue (il m'avait annoncé 21 cm, je n'y croyais pas un instant, et là, j'ai eu raison... mais queue circoncise très sympa quand même !).

Arrivés dans ma piaule, je le sens nerveux et en même temps excité. Je me fous à oilpé, lui descend juste son jog. Il hésite à sortir sa queue, c'est touchant. Et hop, elle sort ! Je me jette dessus. Je lèche le gland, la gobe, lèche ses couilles. Il gémit, sans plus. Je prends sa bite pour m'auto-bifler. Il kiffe et me bifle en retour, sur les joues, sur la langue. J'adore. Je lui descends son jog complètement et lui dis de s'installer sur le lit. Il est pressé, il a du mal à prendre son temps. Allez, gorge profonde, il gémit. Quelques bifles. " Boss, tu peux me faire tout ce que tu veux " que je lui dis. " T'es un lope ? " " Oui. " " Lèche-moi ". Je remonte son pull de lascar, lèche ses abdos bien apparents. Il n'est pas épais, mais musclé sec. Je préfère les mecs baraqués, mais je m'éclate bien quand même. Je remonte sur son ventre, à la peau bronzée, satinée, et file lécher sous ses bras. Hmmmm... Pas très poilu, légère odeur de transpiration du mâle qui a bossé. Je kiffe. Je lui vire son pull, enfin ! Je le lèche, puis reprends sa queue. J'essaie de lui virer complètement son fut, mais il le garde à la cheville gauche : il est pressé, faut qu'il ramène le véhicule de la pizzéria (!), il n'est pas motorisé sinon. Je le suce en gorge profonde, mais il me fait arrêter, sinon il va juter direct.

Il manque un peu d'assurance, et pourtant, je sens son côté macho qui pointe à la surface. Il me fait lécher son trou du cul, puis m'attrape la tête pour que je le suce. J'alterne : sa queue, ses dessous de bras, ses abdos, ses couilles, son trou de balle. Ça fait 30 minutes qu'il est là. Je pourrais y rester des heures, mais lui veut aller vite. " Je veux jouir. " " Tu veux juter où ? " " Tu prends où ? " " Où tu veux, boss. " " T'avales ? " " Oui... " Et là, il me tient la tête et accélère les va-et-viens. Le sperme fuse, pas en grande quantité, très amer, mais je kiffe. Je lui montre ma bouche pleine avant d'avaler. Il reste de marbre. Je nettoie bien sa queue avant qu'il ne se rhabille. Trois minutes après, il est habillé. Peu de blabla : nous échangeons nos prénoms (il s'appelle Medhi), il me dit avoir 24 ans. Je suis son premier mec, il est hétéro, mais il voulait essayer avec un keum. Je le crois, tant il est nerveux et touchant dans son rôle d'hétéro macho. " Tu sais, Medhi, je suis toujours là demain soir. Je pourrais te faire tout ce que tu veux, même ce que les meufs ne veulent pas. " Il ne répond pas. Il sort, je le suis à poils dans le couloir. Regard noir : " tu vas te faire gauler par les caméras, je veux rester discret. " " Y a pas de caméras dans cet hôtel, je kiffe l'exhib. " Il se barre et moi je reste dans la chambre, du coup. Je me rallonge et me branle. J'en fous partout, des heures de branle à évacuer, ça fait du jus ! Puis je m'endors...

Le lendemain, rendez-vous de travail avec une quinzaine de personnes, dont une majorité de rebeus. Lille est une ville impressionnante pour ça ! Dans le lot, il y en a trois qui sont intéressants, entre 22 et 25 ans. Nabil est grand, plutôt sec, barbu bien entendu. Ils le sont tous. Il n'est pas vraiment beau, mais il a un sourire carnassier, une assurance macho, et il dégage une légère odeur de transpiration, la même que Medhi hier. Il passe son temps à mater les meufs dehors en mini-jupes. Faut dire que c'est l'été et il faut chaud. Karim a une bonne bouille : c'est le plus jeune, il est rond, enveloppé, mais il est attachant et on sent que s'il le montre moins que Nabil, il est aussi en chien. Le troisième, c'est Rabah. Mon dieu ! Il est grand et barraqué, belle gueule virile et carrée, petite barbe, des yeux marrons très clairs. Je vois juste ses avant-bras, et pendant un bref instant, son bas-ventre : il y a du poil. Mais ce serait trop risqué de tenter quelque chose, donc je me contente d'envoyer des sms à Medhi de temps en temps. Il est partant pour passer en fin d'après-midi, vu que je termine de bonne heure : comme ça, ce sera avant son service à la pizzéria. On échange quelques sms dans la journée, je le chauffe bien : qu'il n'hésite pas à faire tout ce qu'il veut, à être un vrai macho domi, à venir avec des potes.

La fin du taf approche : je rentre à ma chambre d'hôtel. Douche de rigueur, lavement en profondeur, on sait jamais. Je reste à poils, la bite bien bandée. Je défais l'emballage d'une bouteille de poppers neuve. Medhi doit arriver dans 10 minutes. Je commence à avoir l'habitude : je reçois son sms comme quoi il est en bas avec 30 minutes de retard. Il monte direct, vu que la réception est ouverte et j'entends frapper à la porte. Toujours à poils, je vais ouvrir en grand et là, mon cerveau bug. 1. Ce n'est pas Medhi. 2. Putain, quel beau mec ! 3. Putain, c'est Rabah, sur qui j'ai fantasmé toute la journée ! Lui aussi bug : ses yeux s'écarquillent, puis il me détaille des pieds à la tête (je peine à résister à l'envie de mettre mes mains devant ma bite, c'est con comme réaction) et enfin il éclate de rire, avant de me pousser dans la chambre. Medhi suit derrière, indéchiffrable. " Je la connais bien ta lope, on a passé la journée ensemble. " Je suis tout rouge, j'ai super chaud et je me sens super mal. Rabah me pousse sur le lit et il domine de toute sa haute taille. Medhi vient se mettre à côté et sort : " c'est un collègue à toi ? " " Ouais. Tu vas manger de la bonne queue de rebeu, toi... "
Et là, Rabah ouvre la braguette de son jean et sors une belle bite circoncise, bien brune, bien poilue, en demie molle. Je lui jette un regard de défi avant de la prendre en bouche. Il bande très vite et il m'attrape alors par la nuque pour donner son rythme. Il a une grosse queue : longue et large, un vrai bonheur, surtout qu'il mouille bien. Puis il me recule brutalement et me bifle. À côté, Medhi a sorti lui aussi la queue de son jog et il se branle, tranquille. J'ai de la mouille sur la gueule, un filet nous relie Rabah et moi. Je le regarde droit dans les yeux, sourire narquois sur son visage et là, il me crache à la gueule. " Vas-y gros, partage la kahba " fait Medhi. Et je change de bite dans la bouche. Avec ma main gauche, je branle Rabah et lui ouvre son fut pour le lui descendre. De l'autre, je vire le jog de Medhi. " Fais tourner, gros " lâche Rabah. Medhi me repousse vers son pote. Je me régale, deux belles bites. Surtout celle-ci : grosse, bien droite et raide, je kiiiiiffe.

Medhi s'installe tranquille sur mon pieu et il se roule un joint, tandis que j'essaie de prendre son pote en gorge profonde. Pas facile... En poussant des deux mains, il force, mais ne passe pas. Il râle, me fout une baffe sèche, pas très douloureuse, mais bien humiliante. " Allez applique-toi grosse pute. Sinon, je te jure, tu vas passer une sale soirée... " Je lui demande l'autorisation de prendre un peu d'aide et il me regarde avec incompréhension. Je me redresse alors et lui dis de s'installer dans le lit, ce qu'il fait. J'attrape la bouteille de poppers et regarde mes deux rebeus, côte à côte dans le lit king size. Tandis que Medhi allume son oinj, je sniff deux coups dans chaque narine.

La chaleur m'envahit, je gémis en me jetant sur la bite de Rabah. Il émet un son de surprise devant ma voracité. Aussitôt, il recolle ses grosses paluches sur mon crâne et force le passage. Je grogne, mais je le prends au fond. Je suis sur un petit nuage, plus rien n'existe que cette magnifique queue. Il donne le rythme, viole ma gorge. Je gémis grave. " Sa mère, mais quelle bonne pute, elle me bouffe le zboub jusqu'aux couilles, ma parole, y a pas meilleure chienne ". " Fais tournez, couzin ". Medhi passe le bédo à Rabah qui me repousse vers l'autre. Cette deuxième bite est bonne aussi, aucun souci pour l'avaler en gorge profonde, il gémit. Je sens l'odeur du joint, ça me chauffe encore plus. Je m'acharne sur cette bite, et Medhi est obligé de m'arrêter, de peur de jouir direct. Je retourne sur Rabah. Lui m'impose son rythme, il me fait lécher ses couilles, ses cuisses musclées et poilues, ses mollets. Ses chaussettes frottent sur mon nez, je le regarde. Il me regarde. Défi. Je n'aime pas lécher les pieds, mais je crois que je ne vais pas avoir le choix. Je reprends du poppers, vire la chaussette et hop ! Rabah frotte son pied sur ma gueule. " Lèche ". J'obéis, en transe. L'autre pied. Ceux de Medhi, qui vire son t-shirt.

Je remonte vers ses dessous de bras, je lèche, je kiffe. Changement. Rabah a jarté son haut. Quel torse magnifique. Du poil, du muscle, de la fougue. Ses dessous de bras sont très poilus, je m'y jette avec plaisir. Je sens sa bite qui pulse contre mon ventre. L'autre aisselle. Quel délice !
J'alterne entre les deux et me régale. " Il paraît que t'es prête à tout, la pute ? " fait Rabah. " Presque tout... " " Tas dit tout, hier " rétorque Medhi. Rabah enchaîne : " je veux que tu avales ma pisse. " " Pas ça " je réponds. Et il empoigne ma tête et me lime la gueule encore plus violemment. Il me refile à Medhi et se lève. Je le vois se rhabiller et panique : " tu pars pas, hein ? " " Nan, nan, t'inquiètes pas, la chienne, je vais ap te laisser comme ça. " Medhi aussi me repousse et se rhabille. " Viens avec nous. " Rabah prend les clés de la chambre qui sont sur le bureau et il ouvre la porte. Mon coeur tambourine. Il est 18 h 30, c'est pas le moment de plus faible affluence... " Grouille, kahba ! " Je prends ma bouteille de poppers et sniffe. Une fois, narine gauche. Narine droite. Deux fois. Trois fois. Quatre fois. Je bloque ma respiration. Ça flashe dans mon cerveau, je palpite.

Rabah regarde à droite (je suis en bout de couloir), et il nous fait signe de sortir. Il referme à clé derrière moi, clé qu'il met dans sa poche de jean. Je flageole, il me pousse vers les escaliers, sur la droite, au milieu du couloir. Sur le palier du deuxième étage, il me fout à genoux et me met sa bite demi molle en bouche. " Je vais pisser. T'avales, tu pourras rentrer dans la piaule. Tu te débats, on se casse. " Ça ne me plaît pas, et en même temps, je kiffe cette soumission totale. Un petit jet. C'est dégueu. J'ai un haut-le-corps. Medhi me passe le poppers sous le nez. Je me gaze bien. Nouveau jet, j'avale. Plus rapide, j'avale toujours. Putain, j'en chialerais presque et en même temps, je pourrais presque juter sur place. Je me prends une petite claque derrière la tête. " C'est bien la pute. Tu comptes jusqu ? à 100 et tu nous rejoins à la piaule. " Et il se barre. Je balise, là. Derrière la porte, j'entends l'ascenseur s'ouvrir, des voix d'hommes et de femmes. S'il vient l'idée à quelqu'un de prendre les escaliers pour faire son sport... Arrivé à 100, j'entrouvre la porte des escaliers. Au bout du couloir, je vois une femme qui ouvre la porte de sa chambre. Je me cache. J'attends. Je recommence, personne. Je cours jusqu'à ma chambre, un gout horrible dans la bouche.

Mes deux rebeus sont au pieu, à poils tous les deux, le joint tourne. Ils rigolent. Je suce de nouveau, lèche. Tandis que je m'occupe de Medhi, Rabah passe derrière moi. Il me claque le cul et me félicite pour sa rondeur. Un doigt titille ma rondelle. Il crache sur mon trou et me rentre son premier doigt, sans douceur. Il y va vite et fort, l'enfoiré. Un deuxième doigt. Je demande du poppers, que Medhi me fait sniffer. Une, deux, trois, quatre, cinq,... Je m'affale la gueule entre ses cuisses, tout devient gris. Du gel froid sur mon cul, suivi d'un objet très dur tout aussi froid. Je veux me retourner, mais Medhi me tient la tête pour me limer la gorge de nouveau. L'objet est fin au début, mais je le sens devenir plus gros à mesure qu'il avance. Rabah donne de petits coups, ça me fait mal, j'essaie de le repousser. Il tape mes mains pour les éloigner et continue, encore plus fort. C'est vraiment très gros, très dur. Un coup un cran plus brutal me fait bondir et leur échapper à tous les deux. Je constate que c'est une bouteille d'Évian, qui traînait sur le bureau, et que Rabah voulait m'enfiler. Je lui dis que c'est trop gros, qu'il va me tuer. Il rigole et repousse la bouteille. Medhi m'attrape de nouveau la tête. Je sens la masse de Rabah passer entre mes jambes. Il appuie sur le creux de mes reins, écarte mes jambes, bifle mon cul. Son gland passe dans ma raie enduite de gel. Ça me fait frissonner. Il insiste à l'entrée de mon trou et je lâche la bite de Medhi pour lui demander de mettre un préservatif. Medhi me redonne du poppers, six inspirations cette fois, je commence à avoir sérieusement la tête qui tourne. Il me fourre sa bite dans la bouche avec violence tandis que le gland de Rabah revient sur mon trou. Medhi appuie sur mes épaules, le gland appuie en retour sur mon trou. J'essaie de résister. " Vas-y, tu vois, c'est toi qui fait le taf " susurre Rabah. " Vas-y, prends la, toute nue, c'est meilleur. " Je résiste, je serre les fesses, mais Medhi appuie plus fort et mon cul cède. Le gland est rentré. J'ai un vague sentiment de trouille. Et puis merde, YOLO. Je me relâche et c'est le moment que Rabah choisit pour donner un grand coup de reins qui me fait crier de surprise et de douleur. Pour me faire taire, Medhi me remet sa bite en bouche.

Les deux me défoncent littéralement, en rythme synchronisé. Le mouvement s'accélère. Medhi sort sa queue et m'asperge de jus, j'en ai plein la gueule. Rabah me claque les fesses puis se fige : il se vide au fond de mon cul. Je n'en peux plus : ma queue crache toute seule, sans que je me touche. C'est trop bon. Trois minutes après, Medhi est habillé, prêt à partir bosser. Rabah a enfilé son boxer. " On va attendre que Medhi revienne, lui aussi, il va te prendre le cul. "

Pol

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