Outre le fait de prendre une bonne queue dans le fion, ce qui me fait grave kiffer, c’est une bonne dilatation.
Sentir une main experte qui me caresse. D’abord, les mains tâtent mes petites fesses rebondies, puis elles écartent les deux globes pour effleurer ma raie. Je me colle au torse puissant et j’embrasse goulûment la bouche. Je sens contre moi le sexe dur et tendu de mon partenaire. Il sait que j’aime ce qui se passe entre nous. Les paumes chaudes massent mes fesses. Puis les doigts curieux glissent dans ma raie. Peu à peu, ils inspectent ma rondelle. Ils appuient contre elle ; elle se détend progressivement. Ils ne sont pas trop de deux à m’offrir leurs caresses.
Puis le mâle me retourne et me colle un mur. Jambes et bras écartés. Je suis prêt pour une fouille réglementaire. Un baiser, une morsure savoureuse sur mes fesses, puis enfin le coup de langue le long de ma raie. Les mains écartent au maximum les deux globes. La langue goûte à nouveau mon sillon. Je soupire. Puis l’opération se répète. Une fois, deux fois. Je gémis. Je tends mon cul et m’offre totalement. Le mâle me soumet avec sa bouche. Il peut me demander ce qu’il veut ; j’obéirai.
Alors que ma volonté s’évapore dans la volupté des caresses, un doigt appuie contre ma rosette. Il n’a pas besoin de pousser fort, il entre dans mon conduit. Puis il en ressort et revient se mettre au chaud. Alors que le chemin s’épanouit, un deuxième doigt plonge en moi. Ma rondelle s’extasie et la corolle s’ouvre et accueille chaleureusement les visiteurs.
Le sillon moite de salive et la rondelle détendue, je bascule sur les doigts agiles. Bientôt, trois doigts travaillent mon sillon. Le mâle se redresse et sa verge remplace ses doigts. Elle glisse délicatement dans mon conduit. Le gland ouvre un passage puis je le sens entrer et sortir.
Ma rondelle, totalement détendue, apprécie le jeu de hanches. Le mâle introduit sa verge entière en moi. Il me laboure copieusement le cul sous mes gémissements de petit bâtard. Je râle de plaisir.
- T’en veux encore ?
- Oui vas-y.
- Prends-la encore bien à fond.
Le sexe généreux et bandé élargit ma rondelle. Le mâle tape au fond. J’encaisse les coups de butoir. J’ai chaud. Derrière moi, le souffle chaud dans ma nuque m’excite.
Puis le sexe se retire et la bouche retourne inonder mon sillon. La langue pousse mon œillet et s’enfonce en moi. Puis la bouche aspire mon trou. Je ne peux contenir mon plaisir, je gémis.
Les doigts reprennent leur route. D’abord un premier qui est immédiatement rejoint par un second.
- Un p’tit cul de mec bien gourmand.
Le troisième doigt glisse à son tour. Ils tournent et massent ma rondelle.
- Donne-moi ton trou, mec.
Le quatrième doigt se fait une place.
- Facile. T’en prends quatre en même temps, mec.
Je gémis. Je suis collé au mur. Je n’ai rien pour me tenir. Mon cul s’offre au mâle. Il me domine. Je tends mon cul vers lui. Les jambes écartées, je le laisse me branler le trou avec ses doigts.
Je le supplie de continuer. Il se réjouit.
- J’ai un cadeau pour toi.
Il fouille dans un sac à ses pieds. Il en sort un plug. Un cône aux proportions prometteuses.
- Avec ça, tu vas kiffer, mec.
Il pousse le plug contre mon œillet. La progression est lente. Ma rondelle doit s’élargir encore un peu. Puis je le sens qui ouvre un large passage dans mon conduit. J’en ai le souffle coupé. Il me faut du temps pour m’habituer. Le mâle maintient la pression contre le plug. Il veut que je le garde.
Je veux que ton trou soit à moi. Je veux te l’élargir et le fouiller. Je veux t’entendre gémir et supplier que je te baise. Je veux que tu réclames ma langue et mes doigts. Je veux que tu m’obéisses et que tu encaisses tout ce que je donnerai à ton cul.
Tu as un joli cul de mec. Bien ouvert. Les fesses fermes et rebondies. Une raie rasée, comme j’aime.
Alors qu’il me parle, le mâle relâche la pression sur le plug. Il glisse légèrement vers l’extérieur. Aussitôt, le mâle le remet à sa place. Ses doigts caressent ma rondelle.
- Ce petit trou est fait pour jouir. Je vais te faire jouir du cul comme jamais t’as connu.
Alors, il retire le plug et plonge sa verge dans mon cul. Il ramone mon cul sans ménagement.
- Voilà un fion bien détendu pour queue !
Pendant qu’il me baise, je sens qu’il pousse un doigt contre sa verge. J’encaisse sans douleur et avec plaisir.
- Voyons si t’es obéissant. Tu vas en prendre un deuxième.
Aussitôt, un deuxième doigt force le passage. Le mâle s’extasie.
- Quel bâtard ! T’aimes que je te défonce comme ça ? avec ma bite et deux doigts ? Dis-le.
Oui. Vas-y. baise moi.
Le mâle tambourine mon cul et m’élargit la rondelle. Puis il me fait mettre à quatre pattes, la tête appuyée dans les bras.
- Oh, putain, le cul que tu as. Alors, il embrasse ma rondelle. Il lèche mon sillon. Ses mains caressent mes fesses. Il m’enivre de ses attouchements. Puis se doigts reprennent leur investigation.
- Je vais mettre ma main dans ton cul.
- Oh
- Je veux la mettre en toi et tu vas le faire. Tu vas m’obéir. Je vais y aller tranquille.
- Ok. Tranquille alors.
- Tout tranquille c’est promis. Je sais que tu peux le faire. Ton cul est fait pour ça.
Il me parle. Doucement. Il pose trois doigts contre ma rondelle, et sans efforts, elle s’ouvre. Le gel coule dans ma raie. Le quatrième doigt vient gonfler mon œillet. De sa main libre, le mâle caresse mes fesses, mon dos.
Tu vois, j’y vais tout doucement. Maintenant, je vais pousser mon pouce dans ma paume et toi tu vas pousser sur ma main.
Je souffle et j’appréhende pour la suite. Je sens ses doigts qui avancent un peu plus loin dans mon cul. Lorsqu’il glisse son cinquième doigt, je sens ma rondelle se tendre.
- Respire et détends-toi. C’est bien, comme ça. Voilà, donne-moi ton p’tit cul de mec.
Il me travaille le cul délicatement. Ma rondelle se détend, et je sens le passage s’ouvrir. La pression est forte. J’ai l’impression que je vais exploser. Puis ma rondelle se referme sur le poignet. Le mâle continue à onduler légèrement sa main.
Je râle d’extase tellement la sensation est énorme. Le mâle retire sa main, ma rondelle libère le poignet et s’étire à la naissance de la paume, puis il la renfonce en moi.
- Joli. C’est bien ça. T’es mon p’tit bâtard. Oh ce trou. Quel délice !
La main ondule encore. Elle semble se retirer puis elle replonge en moi. Je gémis. Je râle de bonheur et de surprise. Cette sensation quand ma rosette gobe la main et se ferme sur le poignet. Le mâle l’a senti. Il sait que ça me fait tripper. Il recommence.
- Voilà, un bon bâtard comme je les aime. Soumis à mes désirs.
Lorsqu’il retire sa main entièrement, je suis exténué. Je me sens comblé et vide à la fois. Je reprends mon souffle. Je me retourne et je regarde le mâle. Il sourit, amusé.
- Tu vois que tu pouvais le faire. Ça t’a plu on dirait.
Il me montre le liquide qui perle encore au bout de ma queue. J’avais joui sans m’en apercevoir.
- La prochaine fois, t’en profiteras encore plus.
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Balthazar
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