Comme tous les lundis soirs, j’allais à la piscine. J’aime le calme qu’il y règne. Je jette des regards discrets sur les corps des nageurs. Sous les douches ou au bord des bassins. Certains font comme moi, je les vois regarder à droite et à gauche, puis feindre qu’ils cherchent quelqu’un qui ne vient pas et qui retourne pour une longueur.
Cette fois-là, deux gars nageaient dans la ligne à côté. Ils s’arrêtaient régulièrement et discutaient. Je les observai lors d’une pause. Nos regards se croisèrent, puis je repartais. Cela arriva plusieurs fois. Au bout d’un moment, les regards se firent plus insistants. Suivit un sourire de l’un. Puis de l’autre.
À la fin de ma séance, je me dirigeai vers les douches. Un espace ouvert près des bassins, et contre un mur, une série de cabines individuelles avec des portes. Je pris ma serviette dans mon casier et retournai vers une cabine. Les deux gars arrivèrent. Je les voyais hors de l’eau pour la première fois. De ma taille (moyenne), un physique agréable, mais pas musclé ou hyper développé. Des gars ordinaires, d’une petite cinquantaine, cheveux grisonnants et qui s’entretiennent. J’aperçus le regard de l’un d’eux sur mon corps de crevette, et ne manquais pas de sourire. Ces jeux de séduction innocents m’amusent.
Je pris ma douche, me changeai et sortis des vestiaires les chaussures à la main. Un espace, hors des vestiaires, dédié à la rechausse est à la sortie des cabines. Les deux compères arrivèrent, et poursuivirent leur jeu de regards. Je rassemblai mes affaires, vérifiai de ne rien oublier, et je filai vers la sortie. Je lançai un bonsoir vers les deux gars, et pris la porte.
Alors que je traversais l’allée, j’entendis qu’on m’appelait. Je me retournai et un des gars arriva.
- Pierre nous invite à boire une bière. Tu viens avec nous ?
J’hésitais un instant, mais très vite je me laissais tenter. Après tout, boire un verre n’engageait à rien, et puis, au moins j’aurais fait connaissance avec quelqu’un. Ce qui n’est pas courant.
- Moi, c’est Balthazar.
- Bruno.
- Enchanté. Bon, on fait comment ? Je vous suis ?
- On va chez Pierre. Si tu veux, je monte avec toi. Je te guiderai.
- Va pour la proposition.
Et c’est ainsi que Bruno vint avec moi. Je le regardais de profil. Souriant, le regard pétillant, il me dit qu’avec Pierre, ils venaient ici souvent. Qu’ils m’avaient croisé régulièrement, mais qu’aujourd’hui, ils avaient eu envie de faire connaissance.
- Et quoi de mieux qu’une bière ? dis-je.
- Exactement. On s’est dit que tu avais un regard…malicieux.
- Malicieux ?
- Ouais. Du coup, on s’est dit que tu devais être sympa.
Le trajet dura à peine 5 minutes, et je suivis Bruno chez Pierre. Ils jetèrent leurs sacs dans l’entrée, et me firent asseoir dans le salon. Pierre s’installa à côté de moi et Bruno en face. J’appréciai la première gorgée de bière. Bien fraîche, pas forte, un vrai réconfort après l’effort.
Tout d’un coup, la conversion anodine que nous avions, vira complètement. Bruno attaqua :
- Tu mattes souvent les mecs à la piscine ?
- Euh…
- Vas-y. On a bien vu, on fait pareil.
- Ça mange pas de pain, et j’aime bien.
- Ouais moi aussi, dit Pierre.
- Moi ce qui me plait, dit Bruno, c’est imaginer le gars complètement à poil. Car, même en maillot, il reste un truc à découvrir.
- Ça, c’est vrai que le maillot, ça donne un avant-goût.
- Des fois, on aurait très envie de l’enlever.
- Grave.
Alors Bruno se leva et se tint devant moi. Il dégrafa son pantalon et montra une belle verge qui commençait à grossir.
- Tu vois, comme ça, tu peux bien la toucher.
- Fais-toi plaisir, ajouta Pierre.
La main tremblante, j’avançai vers le membre. Je tâtais la marchandise. Je soupesai les bourses, bien lourdes et rasées.
- Allez, prends-la en bouche.
J’engouffrai le membre en entier dans ma bouche. Je jouai avec la langue et l’avalai. Très vite, il continua à grandir et je ressortis un spécimen bien raide avec un gland rose et tout rond. Je levai les yeux vers Bruno qui souriait.
- Faut pas oublier mon pote, hein ?
Je tournais la tête vers Pierre qui se leva. Je l’aidais à descendre son pantalon. Je découvris un boxer tendu, et dégageai un engin aux dimensions supérieures à celui de Bruno. Je n’attendais pas d’invitation et glissais la friandise entre mes lèvres. Je l’enfonçais en entier dans ma gorge. Je fis plusieurs va-et-vient et retournais butiner le membre de Bruno. À son tour, je l’invitai au fond de ma gorge, il gémit et prit ma tête entre ses mains. Je me laissai faire, et c’est lui qui donna le rythme. Il allait et venait dans ma bouche, tantôt au fond tantôt non. Je branlais Pierre et me délectais de ces deux gourdins. Puis je passais de l’un à l’autre. Je caressais leurs jambes, leurs torses et jouais avec leurs couilles que je gobais de temps à autres.
Puis ils me relevèrent, et me déshabillèrent. Nous étions tous les trois nus. Dans le salon. Pierre m’embrassait goulument. Sa langue fouillait ma bouche, comme s’il voulait atteindre le fond de ma bouche. Bruno me caressait le dos, et m’embrassait dans le cou. Je sentais sa verge contre mes fesses. Il posa ses mains sur mes hanches et me colla contre lui. Pierre l’entoura de ses bras et je me retrouvai coincé entre eux. Mes mains glissaient sur les deux corps ; j’embrassais Pierre et ondulais contre Bruno. Je bandais fort. Je voulais plus. Beaucoup plus.
Bruno m’embrassait dans la nuque, et doucement, il descendit dans mon dos. Il mordilla mes fesses, et déposa une claque. Je gémis. Il recommença. Nouveau gémissement.
- Ça te plait, on dirait.
- Oui.
Et je reçus une autre fessée qui claqua. Puis une autre, et encore. Bruno me mordait les fesses. Le haut, le bas, et il me caressait le dos et les cuisses, puis sans prévenir, il abattait sa main sur mon cul qui rougissait.
Pierre me fit pencher en avant, et glissa son énorme engin au fond de ma gorge. C’est alors que Bruno m’écarta les fesses et embrassa mon œillet. Il frappait l’entrée de sa langue. Je me retenais à Pierre et gémissais de bonheur. La séance dura longtemps. La langue de Bruno me fouillait. Je m’ouvrais sans effort pour qu’il puisse glisser sa langue et déposer sa salive.
Je suçais Pierre qui appréciait mes talents. Il m’encourageait de « encore, c’est bon, allez en entier ». Alors il maintenait sa queue au fond de ma bouche, et la faisait bouger comme pour pénétrer encore plus loin.
Pierre se retira et me retourna et je fis face à Bruno qui plongea son regard malicieux dans mes yeux. Il m’embrassa et nos langues se racontèrent ce qu’elles avaient connu. Elles échangèrent longuement les délices qu’elles avaient rencontrés. Bruno me tenait la tête et j’ouvrais les yeux lorsque je sentis un doigt entrer en moi. Pierre visitait ma caverne et ouvrait délicatement la porte. Bruno me sourit.
- On va te baiser. Ça va être royal.
- Tu vas pas regretter d’être venu.
Pierre enfonça un deuxième doigt, je me cambrai.
- T’en veux encore ?
- Oui.
Un troisième doigt me pénétra. Je m’ouvrais comme une fleur au soleil. Pierre me dilatait la rondelle, et je gémissais dans la bouche de Bruno.
- Il est prêt. Après ces mots, Pierre me tendit à Bruno qui admira le travail.
- Joli, je vais bien t’éclater, tu vas voir.
Bruno enfila une capote et posa son gland contre mon cul qui commença à l’avaler.
- Allez, viens la chercher en entier
Je poussais vers le manche tendu, et je le sentis me remplir peu à peu. Quand il fut entier en moi, je bougeais dessus. Bruno m’attrapa les hanches, et il me baisa. Il sortait puis rentrait en entier à nouveau. Il fit des aller-retour puissants, il m’arrachait des cris de plaisir.
J’adorais le sentir en moi. Sentir quand son gland passait la porte et que la hampe emplissait ma caverne, puis il tournait en moi. Il me labourait comme j’aimais.
Je n’oubliais pas Pierre qui prenait ma bouche et me remplissait par devant. J’étais à la merci de ces deux types qui m’offraient une baise mémorable.
Bruno se retira et me donna à Pierre qui m’allongea sur le canapé. Les jambes sur ses épaules, son gland se présenta à peine contre mon trou qu’il l’avala tout entier. Le membre gonflé et raide me pilonna. Pierre me fixait et souriait pendant qu’il me pénétrait. Je sentais sa verge aller et venir au fond de moi. Il avait un calibre plus important que Bruno, mais le passage était fait, et ce n’était que bonheur et plaisir.
- T’aimes ça sentir ma bite dans ton cul ?
- Oui, vas-y, baise-moi bien !
- Dis-donc, t’aime la bite !
- J’adore !
- Tu vas pas être déçu, et Pierre s’enfonça entièrement en moi. Je sentais ses couilles cogner contre moi.
Je gémissais.
- C’est bon, hein ?! glissa Bruno
- Oh ouais, il adore, son cul s’ouvre encore, dit Pierre.
- Sérieux ? Et Bruno vint vérifier, il poussa un doigt contre la bite qui me fourrait.
- Mais c’est qu’y a d’la place, là-dedans, sourit Bruno.
Je soufflais un oui, et m’enduis un doigt de salive que je poussais avec celui de Bruno.
- Le gourmand. C’est ça que tu veux ?
- Oui, les deux ensemble.
Pierre me cala contre lui et nous retourna. Je me retrouvais sur lui, sa queue bien calée dans mon cul. Je me couchais bien contre son torse et attendais avec impatience la suite.
Bruno s’approcha, la queue bien raide et bien enduite de salive, il posa son gland contre ma rondelle, et il poussa. Je sentis mon cul s’ouvrir. Le membre glissa et se fit une place. Pierre et Bruno étaient tous les deux dans mon cul. Bruno attendit un instant, puis commença de légers mouvements. Pierre suivit le rythme. Les deux bites m’élargissaient la rondelle. Et une fois le passage détendu, Bruno accéléra ses mouvements. Je poussais des gémissements rauques et m’agrippais à Pierre. Bruno soufflait dans mon dos. Les deux queues me baisaient. Bruno ressortait son membre et le faisait entrer sans difficulté dans mon cul. Quand ils se retirèrent tous les deux, un grand vide se fit sentir.
Les deux hommes se mirent debout devant moi.
- Il va falloir les remercier maintenant, me dit Pierre. Il poussa sa bite dans ma bouche. Je les suçais tous les deux encore un peu. Et puis la bite de Bruno se raidit. Il la sortit de ma bouche et se branla devant moi. Bientôt il cracha son jus sur mon visage. Ma langue attrapa les gouttes qui coulaient près de ma bouche et je pris le membre dans ma bouche pour recueillir les dernières perles du nectar.
Enfin Pierre s’approcha de moi et remplaça Bruno dans ma bouche. Sa respiration s’accéléra et il me demanda d’ouvrir la bouche et de tirer la langue. Alors Pierre déposa de belles doses de foutre sur ma langue. Et quand il eut terminé, il engouffra son membre tendu dans ma gorge. Il poussa sa semence au fond de ma gorge et je n’eus d’autre choix que d’avaler le nectar.
Bruno attrapa ma bite avec ses lèvres et me fit jouir en quelques secondes. Je déversais une grosse quantité de jus dans sa bouche. Tout sourire, Bruno se délecta de mon plaisir.
On se revoit de temps à autres. Et c’est toujours le même plaisir. Ils organisent des soirées hot avec des copains qu’ils voudraient me présenter… Je ne me suis pas encore laissé tenter, mais qui sait, peut-être dans quelques semaines… Je vous raconterai…
Balthazar
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