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Chapitre 5
- Alors p'tit bâtard, tu kiffes ?
Je marmonnai à travers le bâillon.
- T'en veux encore ?
- Ouais, j'suis sûr qu'il en veut encore. Il est carrément accroc à la bite.
- Vas-y, mets-la-lui.
Aussi sec, le type planta son dard dans mon cul. Ça faisait un moment que les deux mecs m'avaient ramené chez eux. Plan hard direct. Survêt, basket et t-shirt. Zéro sous vêtement. Ils se sont décrits BM. Pas rasés, torses velus. Directifs et affamés. Mon maître avait tout arrangé.
Ils me ramonaient le conduit à tour de rôle depuis un moment. Tantôt l'un tantôt l'autre.
On était dans leur garage. Le gasoil parfumait tout.
J'avais d'abord rencontré Jim. 50 ans, une gueule affûtée, des mains épaisses et une belle teub.
Puis son pote de plan Abdel. 45 ans, massif. Épaules larges et gros bras. Un peu de ventre et une bite bien large.
Appuyé contre le capot de la voiture, j’encaissais les coups de bite. Abdel poussait sa verge épaisse d’un coup tout au fond de mon trou.
- T’aimes ça te la prendre en entier.
- …
- Tiens, c’est pour toi ça.
Il me bourra le fion comme un fou. Sa queue me pilonnait. Ma rondelle se distendait et avalait le gros chibre. Jim se planta devant moi et enleva le bâillon.
- Ouvre la bouche, p’tit bâtard.
Il enfourna sa teub dans ma bouche.
- Mets-la toute entière dans ta gueule de p’tit pédé.
J’obéis, et me retrouvai écartelé entre les deux types massifs et leurs bites. Bientôt ils prirent le même rythme. Alors je me retrouvais embroché avec les deux bites jusqu’à la garde en même temps. Je me cramponnais aux hanches de Jim. Abdel me secouait violemment. Après un dernier mouvement, ils se retirèrent au même moment. Je me sentis vide. Mon œillet palpitait et restait ouvert, suintant de salive et de gel.
- Comment ton cul il en veut ! J’en reviens pas.
Abdel lécha ma raie huileuse. Sa langue amusa ma rondelle. Il la dégustait et s’en repaissait. Puis il glissa un doigt, puis deux dans mon conduit. Il le branla doucement avant de pousser un troisième doigt. Il appela Jim qui se pencha et écarta les deux petits lobes fermes.
- Putain ! Quel bâtard !
- C’est bon ça, hein ?
- Oui.
- Tu veux qu’on explose ton cul.
- Ouais, allez-y. baisez-moi.
- T’entends ça Abdel ? Il en veut encore. Je vais bien le baiser. Relève-toi.
Jim me plaqua contre le mur et écarta mes jambes. Aussitôt je sentis sa verge presser contre ma rondelle. Instantanément, elle s’ouvrit et le pieux s’engouffra dans ma caverne. Je gémis de bonheur. Jim me percuta en profondeur dans cette position. Puis Abdel le remplaça. Plus nerveux et plus brut, Abdel ne ménageait pas ses efforts pour me faire crier. Ça l’excitait.
- Vas-y, gueule bien, p’tit bâtard. Tu la kiffes ma grosse bite de rebeu. Dis-le !
- Continue. Baise-moi bien.
- Ouais, t’as un bon cul.
- Défonce-le.
Ses couilles cognaient contre mon cul. Abdel soufflait dans mon dos. J’étais en sueur. Le souffle court et la queue tendue. Mais les deux mecs ne voulaient s’arrêter là.
Jim s’allongea sur le sol, et Abdel me fit m’empaler sur le sexe érigé.
- Assis-toi sur toute la longueur. Maintenant relève-toi. Et assis-toi.
Je répétais l’opération, et je m’activais sur la belle tige de Jim. Puis il agrippa mes fesses. Alors il me tamponna copieusement. La verge tendue cognait dans mon sillon, de plus en plus loin. Je gémissais et tremblais en même temps. Abdel se planta devant moi et j’avalais sa bite.
Autour de nous, ça puait le gasoil et la transpiration. Nos corps perlaient de sueur. Je me sentais au bord de l’explosion lorsqu’Abdel me força à la regarder.
- Je vais te jouir sur ta gueule de p’tit enculé.
- Donne-moi ton jus !
Abdel souffla fort lorsque son sexe se tendit et que les spasmes le secouèrent. Le jus tomba sur mes joues et sur mes lèvres. Avec son sexe, il recueillit le nectar qu’il dirigea sur ma bouche.
- Ouvre. C’est bien. Nettoie ma queue !
Je me retrouvais avec du sperme plein la bouche. Jim n’avait pas perdu une miette du spectacle. Et alors que je suçais Abdel, Jim s’activa dans mon cul.
-Je vais te remplir. Comme un bon p’tit bâtard !
J’écartais les jambes et prenais mes appuis en me cramponnant à Abdel. Jim me fourra sauvagement quand soudain son sexe cracha de longs jets. Puis le foutre glissa le long de la verge qui continuait à glisser dans mon trou. Jim empoigna ma queue et après quelques va-et-vient, je déversai mon jus sur son torse velu.
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Balthazar
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