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18 Mars

Grosse queue
"Plan à 3"
"handgag"

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HISTOIRE

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Premier épisodeÉpisode précédent

Bonne pute

Chapitre 4

Mon maître est parti depuis une dizaine de jours pour son boulot. Un déplacement éloigné qui va durer plusieurs semaines. Et il me manque. Pas besoin d'être devin, il le sait.

Comme il est bienveillant, et joueur, il m'a envoyé un gentil message.

Besoin que tu me rendes service.

Comment puis-je vous aider maître ?

Tu vas faire ce que tu fais le mieux. Obéir !

Oui maître.

Tu vas rencontrer un de mes amis ce soir.

Oui maître.

Tu feras tout ce qu'il te demandera.

Oui maître.

Très bien. Ah, une dernière chose.

Oui maître ?

Tu vas recevoir un petit colis de ma part. Je veux que tu portes mon cadeau pour ton rendez-vous.

Oui maître.

Fin de la conversation.

Je guettais donc le livreur avec impatience. Quand finalement il pointa le bout de son nez, j'ouvris la porte avant même qu'il sonne. Je récupérais mon colis et défis la petite boîte. J'en sortis un drôle d'objet qui m'était totalement inconnu. Une cage de chasteté. Avec un post-it "mets-la maintenant".

J'observais l'objet et me résignais. J'enfermais ma queue dans cette cage et découvris cette étrange sensation d'inconfort.

Je me regardais dans le miroir. Je trouvais à la fois l'objet en métal beau, et me sentais un peu ridicule. Mon téléphone bipa.

Alors, tu trouves ça comment ?

Je partageais mes impressions avec mon maître.

Tu laisseras la clé chez toi ce soir.

Oui maître

Tu as toute la journée pour t'habituer.

Merci maître

Voici l'adresse où tu dois te rendre.

Oui maître.

18h30.

Oui maître.

Sois à l'heure. Tu sonnes et tu rentres.

Bien maître

Après tu attends les ordres.

Oui maître. Merci maître.

Je saurai tout ce qui va se passer. Rends moi fier de ma pute !

Avec plaisir maître.

Ma queue commençait à gonfler sous l'excitation, mais la cage interrompit puis stoppa net le processus.

Il n'était pas 10h que j’entamais déjà un pas vers la frustration.

Malgré tout, la journée passa vite. Le temps de me préparer pour le soir, épilation, douche, choix des fringues, de programmer le GPS, que j'en avais presque oublié la cage. L'heure de partir arriva.

Je garais ma voiture dans la rue que m'avait indiquée mon maître. Je respectais les consignes à la lettre. Je sonnai et poussai la porte. Je n'eus pas besoin de frapper à la porte de l'appartement, un type en costard cravate m'attendait.

Silhouette carrée, un visage rond avec un bouc poivre et sel, des cheveux ras que l'on devinait presque blancs. Des yeux qui transpiraient la malice, et surtout le désir charnel.

-Vous êtes très ponctuel.

-Oui

-Venez par ici, je vous prie.

Lorsque je passais près de lui, son parfum musqué m'enveloppa. Je devinais un homme bien bâti qui entretenait son corps de quinquagénaire.

Il m'accompagna vers un grand séjour, rideaux fermés et lampes allumées, l'ambiance chaleureuse avec les tapis et la musique qui jouait me mit à l'aise.

Il désigna le canapé en face du fauteuil où il s'assit.

-Je vous remercie de vous être déplacé.

-Je ne pouvais refuser votre invitation.

-Je m'appelle Wilfrid.

-Enchanté Wilfrid

-Votre maître a eu la délicatesse de vous faire parvenir un présent je crois.

-C'est exact.

-Puis-je le voir ?

Aussitôt je me levai et commençais à baisser mon pantalon.

-Enlevez tous vos vêtements, s'il vous plaît.

J'obéis et me retrouvai nu rapidement.

-Oh, c'est ravissant. Ce bijou vous va à merveille.

-Merci pour ce cadeau

-Ça vous gêne ?

-Je m'y suis habitué depuis ce matin.

Il me fit signe d'approcher. Son regard scrutait mon corps. Mon torse, mes jambes. Il s'arrêta longuement sur la cage qui emprisonnait mes parties.

-C'est la première fois, n'est-ce pas ?

-Oui, Monsieur.

-Charmant. Tournez-vous.

D'une main il caressa mon dos, puis glissa sur ma fesse.

-Ça ne vous dérange pas si je vous caresse ici ?

-Bien au contraire, Monsieur.

Il posa une main sur chacune de mes fesses. Il les massa un instant. Puis son souffle chaud se répandit sur mes fesses.

-Elles tiennent dans mes mains. Vous êtes menu.

-Oui monsieur

-Oserais-je ?

-Osez, Monsieur, je vous en prie.

Aussitôt il mordilla une fesse puis la lécha et recommença sur l'autre. Ensuite sa langue fourra ma raie. Il lécha mon sillon avec délectation.

Lorsqu'il en eut assez, il m'offrit une coupe de champagne. Je buvais le vin assis sur le gigantesque canapé, nu comme un verre. Lui, toujours assis face à moi, me dévorait du regard. Il s’attardait particulièrement sur mon entrejambe emprisonné.

-Êtes-vous disponible pour rester un moment en ma compagnie ?

-Bien sûr, Monsieur, je serais ravi d'être à vos côtés pour la soirée.

Il se leva et s'absenta de la pièce, me demandant de finir mon verre avant son retour.

À son retour, Wilfrid déposa une petite valise sur la table basse. Puis il remplit mon verre à nouveau.

-Je vais vous demander de bien vouloir vous tourner et d'écarter vos jambes, s'il vous plaît.

-Tout de suite Monsieur.

Je me retrouvais donc accoudé au dossier, le cul offert à mon hôte.

-Votre maître m'a dit que vous accepteriez de jouer avec moi.

-Oui Monsieur.

-Aussi, je vais introduire un petit jouet dans votre cul.

-Oui Monsieur.

Wilfrid ouvrit la valise et je l'entendis manipuler des objets derrière moi. Enfin, une pression s'exerça contre mon trou. J'accédai à la volonté de Wilfrid et ouvris ma grotte au visiteur.

-Rasseyez-vous.

Je me retournais et glissai sur le coussin. Le gode fiché dans mon trou ne bougea pas, Wilfrid le maintenait en position. Il me guida pour que je bascule sur le côté, appuyé sur un bras.

-Tout va bien pour vous ?

-Oui Monsieur.

-Comme vous pouvez le voir, j'ai dans la main une pompe reliée au gode.

-Oui Monsieur.

-Par moment j'en augmenterai la taille.

-Oui Monsieur.

Ses yeux pétillaient, il vida sa coupe d'un trait et me tendit la mienne. Alors que j'avalais la dernière goutte de champagne, il pressa la pompe. La pression augmenta légèrement dans mon trou.

Wilfrid restait à côté de moi, il me caressait et me parlait. Il avait juste enlevé sa veste.

Il vida la bouteille de champagne dans nos coupes et appuya sur la pompe. Je soupirai sous ce coup. Puis il appuya une nouvelle fois sur la pompe. Nouveau soupir.

Wilfrid sourit.

-Je vais retirer cette bagatelle et vous offrir un spécimen digne de vous.

-Oui Monsieur.

Délicatement, Wilfrid retira le gode qui laissa ma grotte orpheline. Ma rondelle ne souffrit pas longtemps l'absence, un gode aux dimensions supérieures poussa l'entrée lubrifiée.

-Votre maître m'avait prévenu de votre disposition généreuse.

Je gémissais sous la pénétration.

Wilfrid enleva sa cravate et ouvrit une deuxième bouteille. L'alcool m'enivrait. Les bulles avaient cet effet-là chez moi, elles m'ôtaient toute raison et toute volonté. J'obéissais.

Wilfrid faisait tourner le gode dans mon cul, puis il ramona mon conduit. Il me releva contre le dossier et percuta mon fion violemment. Je couinais comme une chienne. Soudain, Wilfrid retira le gode et posa sa langue chaude et humide contre ma rondelle. D'abord la langue pointa autour de ma rondelle puis elle chercha à entrer dedans.

Avec sa langue, Wilfrid besogna mon œillet qui lui appartenait à cet instant.

Quel délice. Quelle volupté. J'étais comblé.

Wilfrid imposa une trêve. Il servit une fois de plus du champagne.

-Vous aimez qu'on joue avec votre cul ?

-Oui Monsieur.

-Vous aimez les gros calibres je parie.

-C'est vrai Monsieur.

-Parfait. Vous sucez aussi ?

-Avec plaisir Monsieur.

-Votre maître est directif

-Oui Monsieur

-Je suis d'une autre école.

-Oui Monsieur

-C'est un problème ?

-Absolument pas. J'obéis à mon maître qui m'a demandé de faire ce que vous voudrez Monsieur.

-Vraiment charmant. Levez vos jambes que je vois votre petit trou.

Docile, j'obtempérais. Je basculai mes jambes vers mes épaules et mes fesses s'écartèrent d'elles-mêmes. Mon fion, dilaté, s'ouvrit gracieusement.

Wilfrid sourit du spectacle.

-Je vais vous enculer.

-Oui Monsieur

Il s'approcha de moi et baissa sa braguette. J'aperçus un gland violet entre ses doigts.

-Vous allez prendre cher.

-Oui Monsieur. Tout ce qui vous fera plaisir.

Wilfrid appuya sa verge contre ma pastille et l'engouffra dans mon conduit. Le salaud avait une queue large. Ses va-et-vient brutaux m'arrachaient des gémissements. La hampe coulissait dans mon cul et tapait le plus profondément qu'elle pouvait.

Wilfrid dura longtemps. Mon fion suintait le lubrifiant et les sécrétions. Je caressais du bout des doigts la verge qui élargissait mon cul.

Wilfrid poussa mon doigt contre sa verge alors qu’il me fourrait profondément. Il approcha son visage du mien et me roula une grosse pelle baveuse pour la première fois de la soirée.

-Vous aimez en prendre plein le cul, hein ?

-Oui Monsieur.

-Voyons à quoi ressemble votre trou maintenant.

Wilfrid retira sa queue épaisse de mon cul. Je sentais mon œillet palpiter après les assauts soutenus de la bite dure.

-Oh, très joli.

-Merci Monsieur.

-Votre rondelle délicate est toute rose. Elle ressemble à une couronne.

-Merci Monsieur.

-Une couronne que je pourrais encore honorer.

-Oh oui Monsieur.

-Tenez, buvez ça d’abord.

Wilfrid nous servit une fois encore un verre qu’il vida en deux gorgées. Il insista pour que je fasse comme lui. Comme je ne voulais pas décevoir mon maître, j’obéis et vidai d’un coup sec la coupe.

Wilfrid me retourna et les genoux pliés, j’offrais ma croupe à ses caresses. Il me demanda d’allonger les bras loin devant ma tête. Ses doigts parcouraient ma raie et jouer avec mon œillet. Lorsqu’il en poussa un dedans, celui-ci fut happé. Wilfrid branla mon trou délicatement. Puis je l’entendis fouiller dans la valise. Quelques instants plus tard, un froid saisissant glaça mon trou et mon conduit. Je me crispais.

-Je sais, c’est un peu froid mais ça va se réchauffer.

-Oui Monsieur.

-Ça va déjà mieux, non ?

Je me forçais pour acquiescer. Mais effectivement, la sensation de froid s’estompa rapidement.

Wilfrid embrassa ma rondelle près du spéculum qu’il commença à écarter. Les deux pinces poussèrent contre les parois de mon cul qui s’ouvrit.

Wilfrid glissa un coussin sous mon ventre. Mon cul se releva d’autant, ce qui plut à Wilfrid que j’entendis saliver allègrement.

-Votre couronne est très alléchante, vous savez.

-Merci Monsieur.

-Puis-je encore l’ouvrir un peu ?

-S’il vous plait, faites dont.

Aussitôt il tourna la molette, et les deux pinces écartèrent délicatement mon conduit. Je soupirai sous l’effet de la dilatation.

Wilfrid passa un doigt juste au bord de mon œillet. Il massa doucement l’élastique qui se détendait. Puis il bougea un peu, et lâcha un filet de salive dans mon trou.

Une nouvelle fois, Wilfrid s’extasia sur ce qu’il appelait ma couronne. Il se leva et finit par se déshabiller. Je sentais son regard en permanence sur mon trou. Du coin de l’œil, j’aperçus sa main plonger dans le seau à champagne. Juste après, un coup de froid me figea. Wilfrid avait glissé un glaçon dans mon cul.

-Ce froid, c’est grisant, n’est-ce pas ?

-Oui Monsieur.

-Ne bougez pas, surtout, je reviens.

Et il m’abandonna, le cul en l’air, un spéculum ouvrant mon cul qui venait de se prendre un glaçon. L’absence dura un moment. Je ne bougeais pas et ne percevait aucun bruit dans l’appartement.

Puis à nouveau un froid intense me saisit. Je ne l’avais pas entendu revenir, mais Wilfrid enfonçait un truc gelé dans mon trou.

-Je les garde pour les grandes occasions. Et c’en est une, non ?

-Oui Monsieur. Je murmurais plus que je ne répondis vraiment.

Wilfrid avait congelé des boules de glace, allongées, qu’il enfonçait dans mon cul.

-Regardez ce que je vous offre.

Devant moi, il déposa un bol qui contenait des boules de la taille d’un œuf.

-J’en ai déjà mis deux dans votre cul.

-Merci Monsieur.

-Que diriez-vous si j’en glissais une autre ?

-Allez-y Monsieur.

Alors Wilfrid choisit l’œuf le plus gros. Il le passa au bord de ma rondelle, puis il le poussa légèrement contre les pinces du spéculum. L’œuf était à peine plus large que l’écartement du spéculum, mais Wilfrid insista et l’œuf glissa dans mon conduit. Je frissonnai et grelottai sous cette pression nouvelle. Wilfrid retira le spéculum et mon trou se referma sur les œufs de glace.

-Gardez votre trou fermé.

-Oui Monsieur.

-La glace devrait fondre rapidement, alors vous laisserez s’échapper l’eau sur cette serviette.

-Oui Monsieur.

Wilfrid installa une grande serviette épaisse sur son canapé où je pus m’assoir de nouveau.

-Je dirai à votre maitre que vous ne me décevez pas.

-Merci Monsieur.

-Comment vous sentez-vous ?

-Très bien Monsieur.

-La glace a-t-elle fondu ?

-Oui Monsieur.

-Levez-vous, je vous prie.

Je me tenais devant lui. Il écarta mes jambes et glissa la main entre mes fesses. Un liquide tiède coula le long de mes jambes. Wilfrid le lécha de mes mollets à ma raie.

-Délicieux, dit-il

-Tout le plaisir est pour moi, Monsieur.

-J’en suis heureux, très cher.

Wilfrid souriait en permanence. J’observais son corps et mes premières impressions ne m’avaient pas trompé. Il prenait soin de son corps, même si le temps passait sur lui, la force et la vigueur ne le quittaient pas. Il possédait un charme indéniable.

-Aimez-vous ce que vous voyez ?

-Beaucoup Monsieur.

-Venez sur mes genoux.

-Oui Monsieur.

Je m’asseyais et passais un bras autour de ses épaules. Wilfrid m’embrassa langoureusement. Il voulut que nous buvions encore. Aussi je dus faire le service. Je me penchais bien en avant pour attraper nos verres et la bouteille. Wilfrid ne put résister et glissa un doigt dans mon petit trou. Il ne l’enleva pas lorsque je lui donnai son verre. Lorsque nous trinquâmes, Wilfrid remua son doigt, ce qui eut pour effet de me ravir.

J’appréciais le massage rectal et bougeais d’avant en arrière sur le doigt qui jouait avec ma couronne.

-Votre maître est un véritable ami.

-J’en suis certain Monsieur.

-Seul un vrai peut prêter sa pute comme il le fait.

-Vous avez raison Monsieur.

Wilfrid glissa un second doigt dans mon rectum. Ma rondelle, complètement détendue, enveloppait tendrement ces deux visiteurs qui bientôt furent accompagnés d’un troisième.

-Voyez dans quel état je suis.

Wilfrid bandait encore dur. Sa queue n’était pas très longue, mais elle était large et épaisse. Le gland violacé se gorgeait de sang.

-Mettez-vous à genou sur la table.

-Tout de suite Monsieur.

À peine installé, Wilfrid me demanda de garder les genoux serrés. Il approcha son gland qui poussa contre ma pastille. Le dard se faufila en moi et Wilfrid me sauta copieusement pendant plusieurs minutes. Cette fois, il n’hésita pas un instant à claquer mes fesses. Elles rougirent sous le feu des mains puissantes.

Ma queue restait enfermée dans sa cage. J’aurais voulu bander et me branler, mais mon maitre m’avait offert ainsi à son ami. Aussi je me concentrais sur mon trou et le plaisir qu’il me procurait.

Puis Wilfrid se retira, essoufflé. Il s’agenouilla derrière moi et embrassa ma rondelle. Il enfourna sa langue dans ma grotte. Longuement il me lécha le cul. Il se risqua même à titiller mes couilles et ma queue à travers la cage.

-C’est délicieux, n’est-ce pas ?

-Oui Monsieur.

-Quel dommage que vous ne puissiez vous libérer.

-Ne vous inquiétez pas Monsieur

-Je ne suis pas inquiet. Je voudrais vous voir jouir, c’est tout.

-Je ne sais pas si…

-Ttt, pas de ça, jeune homme. Vous jouirez à travers votre cage.

-Monsieur

Une claque frappa mon cul.

-Plus un mot maintenant.

-Pardon Monsieur.

Après un instant où je restais sur la table, offert comme un amuse-gueule, Wilfrid m’interrogea.

-Qu’avez-vous préféré ce soir ? Ne répondez pas, et laissez-moi deviner.

Wilfrid déposa un nouveau verre plein devant moi et m’intima l’ordre de boire avec lui. L’alcool me montait à la tête maintenant. Je ne savais plus combien de verres j’avais bus. Je me savais totalement ivre.

-Je dirais que les godes, c’était classique. Je me demande en revanche si les œufs de glace ne vous ont pas excité terriblement. Je me trompe ?

-Vous avez totalement raison, Monsieur. J’ai adoré cette expérience.

-Je m’en doutais. Je vous avais à ma merci.

-Oui Monsieur. J’étais tout à vous.

-J’avais étalé votre couronne et approfondi votre conduit à la taille parfaite.

-De manière remarquable Monsieur.

-Il doit en rester quelques-uns. Voulez-vous renouveler l’expérience ?

-Si Monsieur veut bien me faire ce plaisir, j’en serais très heureux.

Wilfrid prépara le fauteuil pour que m’y installe, allongé sur le dos et les jambes relevées. Il enduisit mon trou d’une belle dose de lubrifiant et prépara mon trou. Il attrapa son spéculum et recommença à élargir mon conduit. Cette fois je n’étais pas surpris par cette sensation et je pus m’y abandonner avec délectation. Wilfrid alla chercher les glaçons et réapparut entre mes jambes avec un sourire malicieux.

-Je dois vous prévenir que ce modèle est un peu plus gros que le précédent. Vous ne m’en voulez pas ?

-Non Monsieur.

-Tant mieux. Voyons comment vous réagissez.

Il me montra une forme bien plus grosse que les œufs que j’avais vus auparavant. Plus large et un peu plus longue, Wilfrid appuya la glace contre ma rondelle. Le froid me saisit. Si ma rondelle avait pu, elle se serait rétractée immédiatement. Mais le spéculum la retenait bien ouverte et l’œuf commença à glisser et à me remplir le fion.

-Alors, ça vous plait toujours ?

-Beaucoup, Monsieur. Merci. Je soupirais entre chaque mot, tellement les sensations de pénétration et de froid se mêlaient et me grisaient.

-Je pense qu’un deuxième œuf pourrait ravir votre couronne. M’autorisez-vous à essayer ?

-Ne vous privez pas Monsieur.

Une seconde vague glacée déferla contre mon œillet. Il s’élargit pour laisser passer l’œuf qui se colla au premier. Wilfrid retira le spéculum et regarda amusé ma rondelle se refermer doucement sur l’œuf.

-J’aperçois encore un peu de glace…

Wilfrid posa son doigt sur le glaçon et le poussa doucement.

-Restez comme ça et ne bougez plus.

L’ordre tomba en même temps que les deux mains sur mes fesses. La surprise me surprit. Wilfrid rigola.

-Votre maître a vraiment beaucoup de chance.

-J’apprécie le compliment Monsieur.

Wilfrid glissa un doigt dans mon trou. La glace fondait doucement. Je sentais mon fourreau se rétracter progressivement.

-Je vais regarder ça de plus près, dit-il.

Le spéculum poussa contre mon trou qui s’élargit et finit par bailler joyeusement.

-Il n’en reste presque rien. Gardez l’eau en vous, s’il vous plait.

-Oui Monsieur.

-Je me demande si…

-Si quoi Monsieur ?

-Si je pouvais…oh non je n’oserais pas.

-Oser quoi Monsieur ?

-Je me demandais combien de liquide vous pourriez retenir dans votre cul ?

-Je ne sais pas Monsieur.

-Voulez-vous que je vérifie ça pour vous ?

J’hésitais, mais l’alcool effaçant tout discernement, je me contentais de hocher la tête. Ce qui eut pour résultat de plaire immensément à Wilfrid. Il se rapprocha de moi et approcha sa demie molle près de mon trou.

-Vérifions ça dès maintenant alors.

Il commença à pisser dans mon trou. Le spéculum qui gardait ma rondelle délicieusement ouverte servit de guide pour recueillir le liquide chaud. La pisse rencontra l’eau fondue de la glace et le gargouillis de mon trou qui se remplissait me surprit.

-Surtout ne bougez pas.

Il pissa longuement et remplit ma cavité. Je le regardais interloqué pendant qu’il se soulageait copieusement. Wilfrid secoua son gland tout proche du spéculum. Quelques gouttes tièdes perlèrent autour de mon trou béant.

-Follement amusant, vous ne trouvez pas ?

-Monsieur, comment… ?

-Et instructif. Je vous enlève ça. Et…attendez…

Il ferma délicatement le spéculum puis le retira. Mon trou ne se fermait plus totalement après tout ce que Monsieur lui avait fait. Je n’osais pas baisser les jambes, je craignais que le liquide se répande sous moi. Wilfrid dut lire en moi, et approcha en même temps une serviette et le seau à champagne.

-Il n’y a presque rien là-dedans. Soulagez-vous ici que nous mesurions votre prouesse.

-Mais, je ….

-Ne soyez pas gêné. Évacuez-moi ça. Tout de suite !

Il m’aida à basculer jusqu’au seau et accroupi je laissais fuir la pisse de mon cul. Wilfrid regarda le jet puissant s’échapper au fond du seau.

-Avez-vous bien tout rendu ?

-Oui monsieur.

-Laissez-moi vérifier je vous prie.

Aussitôt il poussa deux doigts en moi. Il les tourna dans tous les sens, les enfonçant dans mon conduit meurtri. Lorsqu’il les retira, ma rondelle pleura les dernières gouttes.

-Très encourageant, dites-moi.

-Oui monsieur.

-Ça ne va pas ?

-Si, si, Monsieur.

Je me sentais honteux de m’être vidé ainsi devant Wilfrid. Humilié et frustré, entre la cage et la pisse, dégradé et avili par Monsieur qui jouait à un jeu de domination bien différent de ceux de mon maître.

-Hum. Quelque chose vous tourmente. Je me trompe ?

-C’est que, je n’ose pas vous dire.

-Parlez en toute quiétude.

-Ce dernier épisode m’a dérangé. Je me sens un peu humilié.

-Quoi d’autre ?

-Un peu frustré aussi.

-La cage ?

-Oui Monsieur. Je suis désolé, Monsieur.

-Ne vous offusquez pas. Vous vouliez faire plaisir à votre maître ?

-Bien sûr Monsieur !

-Et votre maître voulait que vous me fassiez plaisir ?

-Tout à fait Monsieur.

-Vous m’avez obéi, et vous m’avez charmé.

-Oh merci Monsieur.

-Alors cet épisode était exactement ce dont je rêvais.

-Bien monsieur.

-Je voulais vraiment vous remplir comme un vase et je voulais que vous vidiez votre contenu dans ce seau.

-Bien monsieur.

-Souriez-moi… mieux que ça. Voilà qui est mieux.

Wilfrid se leva et m’enjoignit à lui faire face. Dans ses yeux la même étincelle brillait toujours. Il m’apparut alors dans toute sa splendeur.

-Vous voyez ce crochet près de la porte ?

-Oui monsieur,

-Saisissez-le à deux mains.

-Comme ça monsieur ?

-Très bien. Maintenant tournez-vous. J’ai une surprise.

Je m’exécutais et me retrouvais face au mur. Wilfrid s’approcha de moi. Il sentait le parfum et la transpiration. Il avait dû augmenter le chauffage car la chaleur m’étouffait un peu.

-Permettez que je vous offre ces bracelets.

Wilfrid enroula mes poignets dans des bracelets de force en cuir reliés entre eux par une chaine. La chaine tinta contre le métal du crochet.

-Voilà qui est absolument charmant. Un homme nu dans mon salon. Attaché et offert à tous mes vices.

-Monsieur, …

-Je vais vous fourrer encore une fois. Vous êtes tellement excitant.

Son membre tendu poussa contre mon trou qui s’entrebâilla pour le laisser passer. Wilfrid me baisa debout contre le mur alors que mes bras étaient suspendus à un crochet. Il se colla à moi. Son torse viril contre mon dos et ses bras autour de mon torse m’émerveillèrent. La chienne en moi ne s’était pas évanouie. Elle était là et gémissait sous les coups de butoir puissants.

Alors que Wilfrid jouait à entrer et sortir son gland de mon trou, je soupirais de bonheur.

-C’est ce que vous préférez hein ?

-Oui Monsieur

-Vous voulez que je continue ?

-S’il vous plait.

Alors Wilfrid recommença. Il posait son gland contre ma rondelle qui se refermait sur lui, puis aussitôt il se retirait. Mon trou restait ouvert et ma couronne se délectait du bonheur d’être ainsi travaillée.

Mes gémissements répétés et intenses eurent raison de lui. Wilfrid s’agrippa à mes épaules et laboura mon cul furieusement jusqu’à ce qu’un liquide chaud et collant sorte de mon cul.

Il n’avait pas crié, seule sa respiration avait été un peu plus bruyante.

Il caressa ma rondelle qui suintait de foutre. Sa verge toujours en moi. Il appuya sa tête contre mon épaule.

-Fascinant.

-Oui Monsieur.

Wilfrid me libéra de mes entraves, et me regarda. Je jetai mes bras autour de son cou et l’embrassai langoureusement.

-J’ai beaucoup aimé ce moment avec vous, Monsieur.

-J’en suis fort aise, très cher. Mais je vous avais dit que vous jouiriez avant de partir.

-Ce n’est pas grave Monsieur.

-Je crains de ne pouvoir vous laisser partir dans cet état.

-Monsieur, vraiment…

-J’insiste. Restez et laissez-vous faire.

-Comme vous voudrez, Monsieur.

Wilfrid alla chercher une autre bouteille. Devant mon air incongru, il décida que je passerais la nuit avec lui. Ce qui nous permettrait de poursuivre une séance de jeu qui devait se poursuivre encore un long moment.

-Et cette cage, racontez-moi.

-À plusieurs reprises, j’aurais voulu la retirer.

-J’imagine.

-L’excitation se heurtait aux anneaux et je ne pouvais pas bander.

-Ça vous a manqué ?

-Un peu. Mais j’ai pu me concentrer sur ce que vous me faisiez.

-J’ai vu que vous preniez beaucoup de plaisir.

-Oh oui monsieur. Merci infiniment.

-Aimeriez-vous que je vous libère de la cage.

-Mon maître m’a demandé de venir sans les clés.

-Bien évidemment vous avez obéi.

-Toujours Monsieur. Mon maître n’aimerait pas que je le déshonore devant un de ses amis.

-Touchant cette fidélité. Depuis quand portez-vous cette cage ?

-Dès que j’ai reçu le colis, mon maître m’a demandé de porter le bijou. Je porte la cage depuis ce matin 10 ou 11h.

-Fascinant. Pour la première fois, vous avez tenu aussi longtemps.

-Vous avez l’air surpris.

-Un peu… je vais vous libérer.

-Mais monsieur, …

-C’était mon plaisir de vous voir avec. C’est aussi mon plaisir de vous libérer.

Wilfrid fouilla dans la valise et en sortit une clé. La cage s’ouvrit et ma verge meurtrie fut libérée. Elle avait rougi sous la pression des érections contrôlées. Wilfrid étala une crème apaisante sur les rougeurs. Les caresses firent dresser mon sexe.

-Une verge à votre image. Petite et proportionnée. On en mangerait.

Wilfrid me prit dans sa bouche. Sa langue passa sur mon gland. Excité comme je l’avais été, je ne pus retenir les longs jets qui jaillirent au fond de la gorge de Wilfrid. La jouissance me surprit tant par sa rapidité que par son intensité.

Wilfrid avala ma verge entière et but mon jus.

-Nous voilà à égalité, dit-il avec son éternel sourire. Trinquons à la nuit qui ne fait que commencer !

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Balthazar

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Les secrets de la cité de mes rêves | 19 | +1 Fabrice
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