Premier épisode
Chapitre 2
Ça faisait une semaine que j’avais vu Antoine, et après quelques messages échangés, il m’annonce qu’il quitte la région pour le travail pendant quelques temps, je décide de me remettre à chercher un mâle pour assouvir ma soif de queue. Je scroll en haut en bas, je rafraîchis la page parce qu’il n’y avait rien de bien intéressant, que des plans softs et j'ai assez donné, une petite fellation pour finir sur une sodomie toute douce, ce n'est pas pour moi.
J'allais laisser tomber pour aller me branler et m'empaler sur un gode quand un visage apparait. Il avait les cheveux noirs, une barbe plutôt longue et surtout une gueule de casseur de cul. J’avais déjà une mi molle mais la lecture de sa description m'acheva :
"Je cherche une lope que s'aura encaisser mes 21cm. on n’est pas là pour jouer aux dames ou encore rencontrer l'amour, je veux un mec qui puisse encaisser sans broncher, pour le reste, passez votre chemin."
Mon cul s'ouvrait déjà tout seul. Je lui envoie un message plus qu'aguicheur :
"Je te met au défi de m'achever très peu d'hommes ont réussi, je suis insatiable."
Suivi de 3 photos de moi, la première avec un jock à 4 pattes laissant apparaitre ma chatte, la deuxième à genoux avec une queue bien au fond de ma gorge avec les yeux pleins de larme (ma préférée) et la dernière, une photo de double pénétration. bien évidemment, tout est officiel.
L'attente d'une réponse de sa part a été plus que longue. Au bout de 2 minutes (oui je suis très impatient, mais je suis une vraie salope affamée) je décidai d'aller ma faire un lavement profond, je ne voulais pas perdre de temps et être prêt à décoller quand il m'aurait donné son feu vert. Et surtout, être clean car par expérience, les queues de 21cm fouillent profond !
J'ai eu le temps de me faire mon lavement et de me goder un bon coup quand mon téléphone vibre :
“je ne te permet pas sale pute, viens ici tout de suite, je sors de mon footing j'ai besoin d’un bon lope pour me nettoyer et tu as intérêt d'être efficace si tu veux ma queue bien au fond de ta chatte de pute. Et j'espère que tu encaisses autant dans la gorge parce que je veux me faire sucer aussi."
Suite à ce message, il m'envoie une photo de sa queue et putain c'est un vrai morceau de viande elle est énorme ! il avait mis une canette d'oasis à côté pour en faire la comparaison, heureusement que je me suis godé !
Je reçois aussi dans la foulée sa localisation.
"Tu es en maison ? en appartement ? faut que je sonne ?"
"putain mais ferme la sale pute et vient là, tu es une salope, suis l'odeur de queue et tu sauras où c'est"
Je décide de partir en jogging sket sans rien en dessous. Je mets le GPS et me dirige vers l'adresse indiquée. C’est hors de la ville et perdu, je commence à flipper et me dit que ce n'était peut-être pas une bonne idée ou alors une embuscade. Toutes ces questions se bousculaient dans ma tête alors que je m’approchai d'une grande maison, sans vis à vis. Je comprends mieux pourquoi il ne m'a pas donné plus d'indication que ça ! Je gare la voiture et sors. La porte était entre ouverte. Ayant déjà fait des plans de ce style, j'entrai sans frapper et entra
"Bonjour, y a quelqu'un ? je suis là pour le décrassage !"
Un homme arriva, il était bien plus grand que moi, super bien foutu, la 40aine et une putain de gueule de casseur de cul. C’était lui, mon cul s'ouvrait tout seul et je sentais que ma bite mouillait énormément.
"putain tu étais où ? j'ai bien cru que j'allais devoir aller à la douche"
Je me mis directement à ces pieds pour lécher ces skets, et renifler leurs bonnes odeurs. Il me prit par les cheveux et me fit remonter
"tu te crois ou, je ne t’ai rien demandé suis moi batard"
Il me tira dans le salon, il s'assoie dans son fauteuil.
"maintenant que ton actif est assis tu peux faire ton travail. Vas-y décrasse moi."
Je commençais par lécher ces skets, je les sniffais léchais. Je m'imprégnais de cette odeur folle. Au bout d'une bonne dizaine de minute il commençait à enlever mon jogg et mon débardeur. J’étais la chatte à l'air au pied de mon actif, vous n'imaginez pas le bonheur dans lequel j'étais. Il enleva aussi ces chaussures pour y laisser sortir ces pieds, un bon 46 je dirais. Des chaussettes blanches qui étaient plus très blanches avec de bonnes odeurs qui s'en dégageaient. Il jouait avec ma bouche et ces pieds, me les faisant, un coup sniffer, un coup lécher et un coup les baladaient sur mon visage.
"ne les décrasse pas trop, je veux qu'ils aient une bonne odeur pour cette nuit." me dit-il en se caressant le paquet.
Je remontais ma langue au niveau de son paquet et putain, je me demandais comment ça allait bien pouvoir tout entrer. Moi qui me vante d'être le pro des gorges profondes, pour la première fois je ne savais pas comment faire ! mais l'odeur qui s'en émanait me rendait fou ! alors je le léchais à travers le jogg comme une bouteille de poppers. Il baissa son jogg et là, une bouffée d'odeur de transpiration et de queue en sorti, une bouffée d'oxygène ! je la sniffais comme si ma vie en dépendait mon cul s'écartait tout seul !
“elle ne va pas se sucer toute seule cette queue sale pute"
À peine a-t-il eu le temps de finir sa phrase qu'elle était déjà en bouche. Putain ! elle est énorme ! mais qu'est-ce qu'elle a bon gout ! Je commençais tranquillement pour me faire à cette poutre de chantier quand il me prit par les cheveux et s'approcha de mon visage :
"tu es une allumeuse ou quoi ? je veux une pipe, une vraie je te laisse deux minutes sinon c'est moi qui prends les choses en main et là tu vas souffrir, vu ?"
Je souriais et me prit une baffe
“tu n’es pas là pour prendre du plaisir mais pour m'en donner alors suce bien"
Je descendais sur sa queue et l'enfonça du plus profond que je pouvais mais elle ne passait pas, ma gorge n'était pas encore assez dilatée. Je n'arrive même pas à en prendre la moitié.
"couches toi sur le dos et ouvre ta chatte buccale je dois tout faire ici putain"
Ma position préférée, ma bouche à dispo ! la meilleure ! je me mis en position et il se mit en position 69 sur moi. Ces jambes entouraient ma tête. J’étais pris au piège, je ne pouvais pas faire pivoter ma tête. Il enfonça sa queue en faisant des petits vas et vient. Le poids de ces couilles sur mon nez m’excitait. Elles étaient poilues et comme tout le reste, bien odorantes. Au fur et à mesure de ces va et vient, je sentais ma gorge se dilater et il allait de plus en plus loin. Au moment où mon nez a touché son cul, il était au plus profond.
« Ah ! là on va pouvoir s’amuser »
Il se retira et m’ordonna de tirer la langue. Il enfourna d’un coup sec sa queue ce qui manqua de me faire vomir, mais j’étais bloqué par ces cuisses athlétiques. Elles étaient faites de béton armé. Il entama un va et vient de plus en plus rapide, je manquais d’air et je n’arrêtais pas de me baver dessus. Ces va et vient était de plus en plus rapide et à chaque coup de rein, je manquais de vomir jusqu’à ce qu’il reste tout au fond de ma gorge, ces couilles étaient sur mon nez, je ne pouvais plus respirer. Je commençais à me tortiller pour qu’il se retire je n’en pouvais plus. Lorsqu’il s’est retiré, j’ai pris une grande bouffé d’air frais mais qui fut cours. Je sentais un poids sur ma tête… C’était son cul ! il était en train de me faire bouffer son cul et je vous jure que l’odeur était divine, toujours ce mélange de transpiration et de queue. Avec ces poils c’était le nirvana ! je lui bouffais le cul comme jamais.
« Une bonne pute qui sait bouffer le cul de son actif ça c’est bon ! en plus d’avoir une gorge accueillante, tu as une langue de bonne salope, vas-y ouais bouffe moi ce cul ! »
Je sentais ma queue vibrer tellement c’était bon, je voulais que comme avec sa queue, il m’étouffe avec son cul !
Quand d’un coup, il releva mes jambes et il se mit à bouffer mon cul. A chaque coup de langue, mon cul se transformait un peu plus en une vraie chatte.
« Tu as eu raison de lui donner ton adresse, je sens que la saillie va être bonne ! »
Cette voix n’était pas celle du mec à qui je bouffais le cul. Je commençais à paniquer, j’essayais de me débattre quand mon actif se releva de ma tête et j’ai enfin pu voir qui me bouffait le cul. Je me reculais quand il se présenta :
« Je suis Adil, et toi petite lope tu es là pour notre plaisir alors tu vas venir me sucer et tu as intérêt de t’appliquer comme pour Marc ! et oui, je vous observe depuis tout à l’heure, il fallait qu’il test si tu étais une bonne lope ou pas, et t’inquiète pas ça fait trois jours que je n’ai pas pris de douche, tu vas pouvoir sniffer tout ça ! »
Je me tournais vers marc en lui disant que ce n’était pas ce qu’on avait prévu.
« Tu m’as dit que tu voulais que je t’achève, alors j’ai appelé du renfort. Maintenant ta gueule et suce le pendant que je m’occupe de ton trou, a 4 pattes lopette ! »
Je me mis donc à 4 pattes face à Adil, le cul bien relevé pour faire lopette. Quand il sorti son engin de son caleçon, ce fut comme avec marc, une grosse dose de bonnes odeurs en plein dans la gueule. Il commençait par de violent coup de rein dans la gueule, il me tenait la tête par les cheveux pour qu’il puisse bien aller en profondeur. Sa queue était plus fine que celle de marc, mais elle était bien plus longue !
« Oh putain Adil ! continu ! à chaque coup de rein que tu lui donnes son cul s’ouvre à cette salope ! »
En effet, les gorges profondes ont tendance à m’ouvrir plus que n’importe autre quel autre préliminaire ! il crachat sur ma chatte et je senti quelque chose me transpercer. Mais au moment de m’avancer pour me retirer de cette bite, j’empala ma gorge sur la queue d’Adil. J’étais pris au piège, à la merci de ces putains de mâles. Ils commençaient à me pilonner de tous les côtés. Non seulement je m’étouffais sur la queue d’Adil, mais en plus mon cul se faisait labourer par la grosse queue de Marc. Durant une bonne vingtaine de minutes, j’étais à leur merci. Je commençais à sentir mon corps lâcher par manque d’oxygène, la queue d’Adil ne me laissait pas reprendre mon souffle. Il se retira de ma gorge et me demanda de venir sur lui. Je m’exécutai et à peine a cheval sur lui, je sentais quelque chose tout au fond de mon cul, c’était sa queue. Marc avait fait un tunnel avec sa queue je ne sentais même pas qu’il était en moi, je sentais uniquement sa queue qui essayait de se frayer un chemin tout au fond de ma chatte. Mon repos ne fût pas de tout repos car quelques instants après j’ai senti une douleur au niveau de mon cul. Marc avait rejoint Adil. Il me fallu quelques temps pour encaisser ces deux monstres mais je sentais mon cul se dilater. Chaque coup de rein était magique. Je prenais un pied d’enfer. Ils me labouraient comme une pauvre pute. J’étais qu’un trou qu’ils devaient remplir.
« Putain je crois que je vais jouir, je veux que tu bouffes mon jus salope »
Marc se retira et me fit bouffer sa queue. Il me limait la gorge comme s’il était dans mon cul. Mes trous étaient une fois de plus à la merci de ces mâles reproducteurs :
« Putain je vais jouir, avale tout ! »
Je sentais un liquide chaud me remplir, il était tout au fond de ma gorge. D’une main il me tenait la tête, et de l’autre, il me tirait les cheveux, afin que ma gueule soit bien collée à lui. Chaque gorgée de son jus me faisait mouiller le cul. Alors que je m’étouffais avec son jus et sa queue. Adil me fécondait à son tour. Ma chatte était tellement dilatée que je sentais son jus sortir de mon trou et couler sur mes cuisses.
« Putain c’est vraiment une bonne pute à jus ça ! »
J’étais épuisé. Mes jambes tremblaient de plaisir. Je mis quelques minutes à reprendre mes esprits. Pendant ce temps, ils s’étaient rejoints, pendant que je lavais leurs queues ils se roulaient des grosses pelles en me crachant dessus et me traitant de pute, de grosse salope à jus.
Une fois le lavage terminé, ils me payaient un coup à boire.
« Ça te dirait de devenir notre pute ? On connait du monde qui serait ravi de te remplir. »
Ma queue se mit à gonfler. Devenir une pute, aux ordres de maitres tels que ces mâles étaient un rêve qui devenait réalité.
« Avec plaisir, après tout, c’est mon rôle et ce serait un honneur d’obéir aux ordres de bons maitres comme vous »
Alors que je finissais ma bière, Adil était parti et à ramener avec lui une cage de chasteté.
« Alors dans ce cas-là, on t’offre ça. On te la met et on garde la clé. Tu ne pourras pas te branler ni même bander. Ou alors tu souffriras le martyr. Tu prendras du plaisir avec qui on veut et quand on veut, est ce que c’est clair ? »
Je fis un geste de la tête en guise de soumission. En attendant que je débande, on parlait de tout et rien. Dès lors que ma queue était enfin molle, ils me l’installèrent.
« Regarde, elle fait aussi ball stretcher, tu as de la chance toi qui adore le travail des couilles ! et je mets la clé en lieu sûr. »
« Comme ça on sait que tu reviendras nous vider et tu seras encore plus en chienne que d’habitude » ajoutait Marc »
Je ne pourrais pas vous expliquer la sensation que ça m’a fait quand il a verrouillé la cage. J’étais à eux, mon plaisir ne dépendait que d’eux. Ma queue se mit à durcir, elle prit toute la place dans la cage et mon érection fut tout de suite bloquée.
« Je vois que tu essayes déjà de prendre du plaisir mais crois-moi, tu ne pourras prendre de plaisir uniquement avec ta chatte. Alors maintenant rentre chez toi, on te recontactera quand on aura besoin de toi. »
Après ces mots de Marc, Adil demanda à Marc de retirer son caleçon et Adil retira son slip.
« Tiens prends les, ils sont pleins de nos odeurs. On les a gardés pendant toute la baise et ce n’est pas pour rien. Dès que tu auras envie de baiser, prends une grande bouffée des sous-vêtements de tes maitres, ça t’élargira le trou crois moi. »
Adil me tendait leurs sous-vêtements avec un petit sourire pervers. Ma queue essayait encore de sortir de sa prison.
Je me rhabillai et en partant, ils me roulaient tout deux une grosse pelle bien baveuse.
Je rentrais chez moi encore déboussolé de ce plan mais satisfait. J’allais enfin être une pute aux ordres de putains de mâle. Un vrai rêve.
Cuveàjus
Autres histoires de l'auteur : Devenir une vraie lope
