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HISTOIRE

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Devenir une vraie lope

Chapitre 3

Ça faisait deux jours que ma queue était emprisonnée. Deux jours pour une lope comme moi c’est très long, je me branle une fois le matin au réveil et une fois au couché. Mais là, pour le coup, je ne pouvais pas bander, je ne pouvais même pas toucher ma queue à travers la cage car elle englobait totalement ma queue. Le plus difficile, c’était pour pisser. Etant un peu sportif, je bois énormément d’eau au cours de la journée et le premier jour, je n’arrivais pas à pisser. Je pense qu’il fallait le temps que je m’adapte à cette cage. C’est seulement avant d’aller me coucher que j’ai réussi à vider ma vessie car elle me faisait vraiment trop mal.

J’essayais de recontacter Marc sur l’application car je voulais mon coup de bite. Je me suis vite rendu compte que le fait de me priver de branlette augmentait encore plus mon besoin de me faire baiser.

« On t’aime beaucoup petite pute, mais je refuse que tu nous contactes. Tu n’es pas encore dressée. Mais nous sommes tes maitres et c’est nous qui te contactons. Je ne veux plus te voir sur l’application, je veux contrôler chaque mec qui te baise. Envoie ton numéro et supprime ton compte. »

J’étais au pied du mur, si je voulais un jour retrouver ma queue, j’étais obligé de lui répondre. Je lui envoyais donc mon numéro de téléphone et quand j’ai reçu un sms de sa part, je désinstallais l’appli.

« Re petite pute, ne t’avise pas de nous la faire à l’envers. Si on apprend que tu t’es fais un autre compte, tu seras puni, et je ne pense pas que tu veuilles l’être »

« Non c’est vrai »

« Reste à dispo, on te recontactera, et maintenant appelle moi MAITRE MARC »

« Très bien maitre Marc »

Je n’avais plus aucun contrôle, plus aucun plan pour me faire baiser. J’étais donc seul chez moi, sans pouvoir me branler. J’avais quand même mes godes pour me baiser. Et je les utilisais quotidiennement. Au fur et à mesure, mon cul s’adaptait et je devais investir dans des godes plus gros. J’étais devenu encore plus insatiable qu’avant et mon cul en voulait encore. De plus, le fait de m’ouvrir quotidiennement rendait mon trou plus ouvert et il ressemblait de plus en plus à une vraie chatte.

Au bout de 3 semaines, je recevais un message de MAITRE Marc :

« Rendez-vous demain à 7h chez moi »

« 7h du matin ou 19h maitre Marc ? »

« Ne commence pas à te foutre de ma gueule, si j’avais voulu mettre 19h j’aurais mis 19h. Ne pose pas de question et soit pas en retard »

Ça y est, j’allais enfin avoir droit à mon coup de queue, je me couchais tôt pour pouvoir être en forme. Si j’étais convoqué si tôt, ce n’était pas pour rien. Réveil à 5h un week-end, ça pique. Surtout que le fait de savoir que j’allais me faire baiser m’a excité toute la nuit, j’ai dû dormir 3h à tout casser. Je voulais être en forme, pour le coup c’est raté. Je me levais et me préparais. Je voulais être impeccable pour mes MAITRES. Je prenais donc mon temps pour mon lavement et je ne pris pas de petit déjeuné, ils me nourriront de leurs spermes de toutes façons. Suite à tous ces préparatifs, je décidais de mettre un jock qui mettait en valeur mon cul et surtout, ma cage. En me regardant dans le miroir, j’avais un bon boule de pute et un bon paquet, tout était prêt pour le plaisir de mes MAITRES. Je pris donc la route en avance, histoire d’être sûr d’arriver à l’heure. J’arrivais 10 minutes en avance, en même temps, pas beaucoup de circulation si tôt un samedi matin. Je m’approchais de la porte d’entrée qui était cette fois ci fermée. Je toquais donc. J’attendais quelques instants la tête baissée en signe de respect, je voulais me montrer à la hauteur de mes MAITRES. A vrai dire je ne savais pas ce que je faisais, je n’avais jamais fait ce genre de chose, je veux dire appartenir à quelqu’un comme ça, j’improvisais donc. La porte s’ouvrait.

« Entre » dit-il d’une voix ferme.

Il referma la porte derrière moi. Il m’ordonna de me déshabiller et de lui confier mes affaires. Il était torse nu, les abdos bien apparent. Il portait un legging en latex qui moulait chacun des muscles de ces jambes. Il était ouvert sur le devant et je pouvais apercevoir un slip avec une fermeture sur le devant, celui-ci en cuir.

« Je les met en lieu sûr, attends-moi ici. »

J’étais planté dans son entrée et rien que le son de sa voix me faisait frétiller comme une petite chienne qui voyait son maitre lui tendre un bâton. Quand il revenait, il me demandait de le suivre. Je le suivais donc à l’étage, il avait une grande mezzanine. Je l’avais déjà repérée mais j’étais loin de savoir ce qui m’y attendait. Depuis le bas, on ne voit rien mais une fois à l’étage, on peut voir une grande pièce remplit d’accessoires SM, le genre d’accessoires qu’on ne voit que dans les films. Des cages assez grandes pour contenir des Hommes, une croix de saint André, des godes exposés comme des trophées, tous différents mais surtout énormes. Une collection d’attaches, allant de la simple menotte jusqu’à la camisole en passant par les barres de maintien ou encore les piloris. Avec au milieu de la pièce, comme s’il était le centre d’attraction de cette maison, un sling suspendu à même le plafond. J’étais un vrai gosse à la fête foraine, je voulais tout essayer !

« Approche tes mains petite lopette »

Je m’exécutais.

« C’est un pilori, sais-tu ce que c’est ? »

Pour être honnête, j’en avais déjà vu lors de mes nombreuses séances de branlette mais je ne savais pas comment ça s’appelait jusqu’à maintenant. Je fis donc un signe de tête en laissant la tête baissée.

« Celui-ci est différent, il te maintient les mains et expose ta queue à tout le monde, je vais te le mettre car tu es puni. »

« Pourquoi ? »

Il me pinçait les tétons, instinctivement je me mettais sur la pointe des pieds.

« Pourquoi qui salope ? » me dit il avec un regard noir.

« Pourquoi MAITRE » je lui répondais tant bien que mal malgré la douleur.

« Parce que je t’ai dis d’écrire MAITRE Marc en majuscule et tu ne l’as pas fait. De plus tu ne m’as pas envoyé de message en partant. Si tu avais eu un accident, je ne l’aurais pas su. Tu es ma pute et je veux savoir quand tu pars et quand tu entres chez toi ? Est-ce clair ? »

A la fin de la phrase il me lâchait les tétons et m’ordonnait de ramasser le pilori qui était tombé. Je m’exécutai et me remis en position, poing en avant. Il refermait don le pilori sur mes mains ainsi que sur ma queue. La cage tirait un peu mais c’était une douleur tolérable.

« Je vois que tu es novice dans ce domaine alors je vais t’expliquer tout ce qui va se passer d’accord ? »

Je baissais la tête en guise de soumission. Il me demandait de me mettre au milieu de la pièce. Il allait chercher dans un de ces tiroirs et ramenait un martinet.

« Tu vas recevoir 10 coups de martinet, ça devrait faire rentrer les règles que je t’ai dites dans ta petite tête de pute. Compte avec moi. »

Le stress commençait à monter. Mais quelques instants après la fin de sa phrase il me donnait un coup. Sur le moment je me reculais, par réflexe, en poussant un râle de gène.

« ne bouge pas ou je vais devoir t’attacher encore plus, encaisse et surtout compte. On recommence. »

Il me redonnait un coup, il me faisait moins mal que le premier. Je ne savais pas si MAITRE Marc ralentissait la cadence ou s’il ménageait sa force.

« Un »

Puis il enchainait les coups et je comptais à voix haute. Au fur et à mesure, les coups étaient plus fort mais la douleur n’était pas la même. Je continuai de me plier sous ces coups mais mes pieds restaient bien ancrés dans le sol. Au dernier coup, il lâchait son martinet et m’ordonnait de me mettre à genoux. Je m’exécutais tant bien que mal. Mes mains étant liées, je n’avais plus de points d’équilibre, à chaque mouvements, le pilori tirait sur ma queue. Je pris mon temps histoire de ne pas me casser la gueule devant lui. Je lui étais offert, je me sentais encore plus offert à lui et je sentais, une fois de plus, ma queue grandir dans ma cage. Il m’ordonnait d’ouvrir grand la bouche et de tirer la langue. Il me fourra sa queue au fond de ma gorge. Par réflexe je voulais le repousser mais chaque mouvement de mes mains tirait sur ma queue. Je n’étais plus qu’une gueule offerte pour son plaisir. Je ne pouvais même pas me poser sur mes jambes, sinon le pilori me tirait la queue. Je devais me tenir à genoux bien droit. Je n’avais pas l’habitude et mes genoux prenaient cher. Quand il s’est retiré, je le suppliai de me retirer mon pilori. Il acceptait mais m’ordonnait de me placer sur le sling. Je m’exécutais, j’étais libéré mais ce souffle de liberté n’allait être que de courte durée. Une fois installé sur le sling il attachait mes pieds et mes mains avec une seule barre de maintien. Je ne me savais pas si souple. Cette fois ci, c’était mon cul qui lui était offert. Il commençait par me le bouffer. Sentir sa langue me faisait vibrer, un peu de douceur ça ne fait pas de mal. Puis les coups de langues s’intensifiaient et il commençait à me claquer le cul. Là je le reconnaissais. Il s’arrêtait un instant.

« Mais dis-moi, ta chatte est plus ouverte que la dernière fois je me trompe ? »

« Oui, et c’est grâce à vous MAITRE, n’ayant pas de queue pour me branler, je me suis énormément godé et au fur et à mesure, je me suis transformé en vraie chienne, je voulais toujours plus grand et toujours plus gros, en plus, ça me fait une vraie chatte de femelle rien que pour vous, merci MAITRE »

A ces mots, MAITRE Marc sourit.

« Ça va être parfait pour mes amis ça ! »

« Vos… Vos amis MAITRE ? »

« Oui, c’est pour ça que j’ai mis autant de temps à te recontacter, je voulais t’offrir en abattage, un vrai. Mais pour ça on va préparer ton cul »

Il allait chercher dans sa collection de gode et s’installait un petit atelier fist avec du lub et tout ce qu’il faut sous la main. Il commençait avec quelques doigts. J’étais tellement en chien qu’il est vite passé aux godes.

« et bah, je vois que la cage a fait un super travail sur ton cul, il s’ouvre comme une chatte de femelle. On va passer aux plus gros ! »

Je n’arrivais pas à voir quel gode il prenait mais je me faisais une petite idée. Le premier devait être un gode « bite » banal mais bien gros. Je mis un peu de temps avant de le prendre entièrement mais une fois enfoncé tout au fond de moi c’était un plaisir intense. Mes bras commençaient à fatiguer. Il fallait vraiment que je travail sur mon endurance au bondage. Mais le plaisir l’emportait sur la douleur, chaque va et vient de cette magnifique queue était juste génial. Il retira le gode et essayait de faire entrer sa main. Elle bloquait au niveau du pouce. Il insista un peu mais remarquait que je n’étais pas encore assez dilaté. Il prit donc un gode plus gros, au fur et à mesure qu’il me l’insérait, je sentais mon cul s’ouvrir. Je pense que la grosseur augmentait au fur et à mesure qu’il l’insérait. Mais mon cul ne s’ouvrait plus.

« je vais te mettre un masque a poppers, tu pourras respirer normalement, mais quand je le déciderais, je te mettrais une cartouche avec un coton imbibé de poppers, ça te permettra de bien te gazer, ainsi ton cul s’ouvrira mieux. »

Je fis un grand sourire, j’adore le poppers !

« MAITRE, pouvez-vous trouver une solution pour m’attacher, je commence à fatiguer des bras. »

« Oh, donc tu aimes être attaché ? très bien j’ai ça sous la main, j’arrive. »

Il ramenait donc une autre barre de maintient mais celle-ci avait un anneau au milieu, il avait aussi une corde rouge dans l’autre main. Il retirait la première barre, je m’affalais sur le sling d’épuisement. Il me laissa quelques instants reprendre des forces pendant qu’il revenait avec des menottes en cuir avec un anneau dessus. Il commençait par me mettre ces dernières et les accrochait aux deux coins supérieurs du sling. La position était déjà plus supportable et surtout, super excitante. Je me voyais déjà offert à tous ces potes alors que j’étais immobilisé. Suite à ça, il installait la barre de maintien pour les chevilles et utilisait la chaise pour atteindre un anneau fixé au plafond afin d’y passer la corde. Il a tout prévu ! il réglait la hauteur afin que mon cul soit légèrement posé sur le sling. Cet entre deux était parfait. Il reparti et ramenait un masque comme on pouvait voir dans les films de science-fiction dont je raffole, avec un long tuyau.

« Tu auras peut-être du mal à respirer dedans mais ne t’inquiète pas, dis-moi le mot jaune et je te le retirerai, le but c’est de prendre son pied et de t’écarter le cul. »

J’acquiesçais et il me l’installait. En effet, on avait du mal à respirer mais ce n’était pas non plus horrible. Il me fallu quelques secondes pour adapter ma respiration, je prenais de grandes inspirations lentes. Il installait le tuyau qui servait de rallonge et l’installait prêt de lui. Je commençais à me détendre en attendant son gode « agrandisseur de trou ». je sentais un forte odeur de poppers et quelques instants plus tard je sentais son gode me pénétrer. Wah l’effet du poppers est bien plus puissant ! je pouvais sentir mon cul se dilater comme jamais. Il faisait des vas et vient et entrait un peu plus dans mon cul à chaque coup. J’étais dans un autre monde. Gazé au poppers et je bougeais le cul pour en avoir plus.

« Quand je te le dirais tu pousseras sur le gode, ça aidera à le faire entrer »

Je sentais de nouveau une forte odeur de poppers et mon cul se dilatait encore.

« Pousse ! »

Je poussais sur le gode qui entrait comme dans du beurre. Une fois au fond, MAITRE Marc commençait ces va et vient. J’en voulais plus. Je gémissais comme une grosse chienne. Il le retira et une nouvelle bouffée de poppers arrivait. il inséra sa main. Une nouvelle sensation dans mon cul. C’était incroyable, je sentais ces doigts, son pouce tourner dans mon cul, une sensation incroyable ! je gémissais de plus en plus. Je pouvais sentir ma queue mouiller à travers ma cage. J’étais recouvert de ma propre mouille.

« et bien ma chienne ! je ne pensais pas que tu pouvais prendre ma main, d’habitude, il faut plus de travail que ça ! »

Je le suppliais de continuer, j’en voulais plus. Il insérait un gode encore plus gros que les autres et commençait ces va et vient. Je grognais. Je sentais que mon cul n’était plus qu’une chatte, qu’elle pouvait accueillir n’importe quoi.

« Oh ! il va bientôt être 13h ! il faut que je te prépare pour mes amis, je suis désolé mais on va arrêter là, ils ne devraient pas tarder ! »

La déception faisait vite place à l’excitation ! toutes ces bites rien que pour moi, j’allais être mis à disposition, depuis le temps que j’attendais ça ! Il m’enlevait mes menottes et me demandait de le suivre.

"Je veux que tu sois une bonne pute accueillante, je mettrais ce banc de baise au milieu de la pièce et leur sera offert, on va te choisir un accessoire pour la tête."

Il me guidait vers une petite pièce, un dressing des tenues de cuir, de latex, un tiroir plein de cagoules.

« Tu as été super jusqu’à maintenant, choisi celle que tu veux, ne me déçois pas. »

En farfouillant, je découvre une cagoule en latex sans trou pour les yeux, ni pour le nez mais une très grande ouverture au niveau de la bouche.

« Avec celle-ci, je serais assez accueillant MAITRE ? »

Il me fit un grand sourire pervers.

« Tu sais que tu ne pourras respirer qu’avec ta bouche ? »

« C’est bien le but recherché MAITRE » lui répondais-je en lui faisant un clin d’œil.

Il me prit par les hanches et me roulait une grosse pelle. On es resté là à s’embrasser pendant une bonne vingtaine de minute. Après ce baiser plus que langoureux. Il me mit la cagoule. En effet, je ne voyait rien du tout et je ne pouvais pas respirer par le nez. Le fait de perdre deux sens m’excitait vraiment. Il me chuchotait à l’oreille tout en me caressant.

« Ne t’inquiète pas, je serais là à veiller à ce que tout se passe bien. »

Il me guidait jusqu’au milieu de la pièce et installait le banc. Il me guidait pour que je puisse bien me positionner. Il ajustait chaque support pour que je sois le plus accueillant possible. Puis il prenait soin de bien attacher chaque partie de mon corps aux différents éléments du banc, il ne restait que ma tête que je pouvais bouger. Je ne savais pas où j’étais. Je ne savais pas si la première chose qu’il voyait était mon cul on ma gueule. Mais je savais une chose, j’allais prendre mon pied comme jamais.

Cuveàjus

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