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Le weekend suivant, je me réveille de nouveau chez Thomas. C'est rare, 2 weekend de suite, parce qu'il travaille. Mais il a posé son congé pour moi... En même temps, c'est lui le boss, il peut se le permettre.
Je reste les yeux clos, immobile, profitant de la chaleur de son corps contre mon dos, et de la douceur de sa main sur mon ventre.
Comme chaque matin dans ses bras, je me dis que je suis l'homme le plus chanceux du monde.
Qu'un mec beau, riche, intelligent et ouvert s'intéresse à moi, banal, pauvre et associable, ça relève du miracle.
Je sens son souffle dans mon cou avant de sentir ses lèvres.
Thomas : "bonjour mon bébé..."
Moi : "b'jour mon amour"
Je reste un peu comme ça, le temps de me réveiller, puis je me retourne avec un sourire coquin.
Moi : "j'ai envie de toi..."
Je l'embrasse passionnément.
Ses mains viennent malaxer mes fesses après un temps d'hésitation.
Il profite d'un moment où je lâche ses lèvres pour parler : "c'est pas pour me déplaire mais : qu'est-ce qui t'arrive ce matin ?"
Je l'embrasse de nouveaux.
Moi, après quelques minutes : "je t'aime, j'ai envie de toi !"
Je l'embrasse encore puis descends dans son cou en lui faisant des bisous.
Moi : "siteplait... Montre moi la bête qui sommeil en toi..."
Je suis les lignes de ses muscles avec mes doigts.
Je sens sa tige se tendre sous mon ventre alors j'attrape le lubrifiant.
J'en fais couler dans ma main et je lui tends pendant que je vais branler sa queue.
Je sens un doigt humide se glisser en moi, rapidement suivi d'un deuxième.
Je palpe tout son corps, l'embrasse, lui fais des bisous, pendant qu'il me doigte.
Je lui mordille le lobe et chuchote en gemissant : "je t'aime"
Il nous retourne.
Son gland perce ma fleur sans prévenir et s'enfonce en moi jusqu'au fond avant de repartir.
Je lui ai demandé de réveiller la bête, c'est fait : il me pilonne à fond, en mode hard.
Je m'accroche à lui, serrant mes bras de toutes mes forces. Je bloque sa tête dans ma nuque tout en criant.
Moi : "oui ! Aaaah !!! Comme ça !!!"
Il se décolle de moi et me gifle.
Lui : "la ferme femelle !"
Il attrape mes jambes et continue son pilonnage.
De temps à autres il me remet une gifle, pour la forme,accompagnée d'une réflexion du genre "t'aimes ça salope ?"
Après 20 minutes de baise intensive, l'une de ses mains vient serrer ma gorge et son bassin donne des coups plus secs.
En même temps que je sens sa queue convulsee au fond de moi, il me met une gifle plus forte que les autres.
Il relâche enfin la pression sur ma gorge, je prends une bouffée d'air.
Il sort et se pose à côté de moi, puis me caresse le visage.
Thomas : "ça va mon bébé ?"
Il essuie une larme sur ma joue, je vois qu'il a peur d'y être allé trop fort.
Je l'enjambe, me colle à lui et l'embrasse.
En guise de réponse, je prends l'une de ses mains, la pose sur ma gorge et dit : "je t'aime, tu peux me faire tout ce que tu veux, je sais que tu ne me fera jamais vraiment mal."
Il tire sur la gorge pour rapprocher ma tête de la sienne et m'embrasse tendrement.
Je love ma tête dans sa nuque et me rendors pendant qu'il me caresse le bas du dos.
Je me réveille en début d'après-midi.
Il m'a basculé sur le côté sans me réveiller et n'est plus là.
J'enfile mon sweet préféré (le sien) et je vais dans le salon.
Il s'attelle à la cuisine.
Quand il me voit, il me rejoint au bar et m'embrasse, tout en déposant devant moi une tasse et des tartines de confiture.
Il revient avec le café.
Thomas, tout en le servant : "ça va mon bébé ?"
Moi, souriant : "oui. Vient contre moi !"
Il s'approche. Je me tourne sur le tabouret pour qu'il se cale entre mes jambes.
Je le sers contre moi avec amour.
Thomas : "il va falloir que tu me lâches si tu veux que tout soit prêt pour ta fête..."
Moi : "tu dis ça mais tu me lâches pas non plus..."
On reste quelques minutes comme ça puis il retourne à la cuisine.
Je finis mon petit déjeuner et je vais à la douche.
Je me savonne.
C'est alors que je me prélasse qu'il me rejoint.
Je saute à son cou.
Thomas : "tu ne peux plus te passer de moi ?"
Il a un grand sourire.
Moi je le regarde avec sérieux quand je lui réponds : "je veux plus jamais être loin de toi..."
Il me caresse le visage.
Thomas, me regardant avec tendresse : "alors... C'est peut-être le bon moment pour te proposer de... Je veux dire... De venir habiter ici complètement... Enfin si tu veux ?"
Il rougit.
J'ai les larmes aux yeux. Je n'osais pas lui demander, pour plusieurs raisons.
Moi, le couvrant de bisous : "oui ! Oui bien sûr ! Je t'aime, je t'aime, je t'aime !"
Je l'embrasse. Il me plaque contre le mur et relève mes jambes : 2eme round, beaucoup plus tendre celui là.
Quand on a fini, il me sèche avec amour.
On s'habille rapidement, les invités ne vont pas tarder.
Il ne m'a pas dit qui venait.
Je reviens dans le salon. Il a installé une grande banderole "happy birthday" et des ballons dans toute la pièce.
Il est occupé à sortir les petits fours qui chauffaient.
J'approche ma main pour en prendre un mais il me tape dessus pour l'éloigner.
Thomas : "hop hop hop ! Tu vas te brûler mon bébé. Prends un de ceux là !"
Il pose le plateau et en prends un sur un autre déjà en train de refroidir.
Il le glisse avec tendresse dans ma bouche et me fait un bisou sur la joue
Moi : "merci mon chéri !"
Il m'a rendu fou... De lui.
Cali
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