Bonjour,
Moi c'est Cali. J'ai toujours essayé de chercher l'amour, le vrai, mais l'amour semble me fuir.
Ça a toujours été comme ça, aussi loin que remontent mes souvenirs.
J'ai toujours été attiré par les garçons, mais sans jamais l'avouer. À 18 ans, j'étais toujours puceau. Mais j'avoue que mes hormones me travaillaient sérieusement.
Il y avait ce prof de physique et chimie. Je fantasmais souvent sur lui en cours (c'est sûrement pour ça que j'étais nul). C'était le mec qui avait naturellement la classe. Il arrivait sur sa grosse moto, en portant une veste en cuir par dessus sa chemise, et un sac à dos pour transporter ses affaires.
Il était brun, cheveux courts, grand, on voyait quelques muscles se dessiner sous sa chemise, et il avait un de ces regards...
Et en plus il était sympa.
À l'époque, en plus de me sentir seul, j'avais des problèmes familiaux, je galèrais en cours, bref c'était pas la joie.
Mais lui répondait patiemment à toutes mes questions, même les plus débile.
Un jour, à peine 2 semaines après mon dix-huitième anniversaire, il me demande de rester à la fin de son cours.
Je range tranquillement mes affaires en attendant que le reste de la classe sorte, et je me présente devant son bureau.
Il se lève et referme la porte, puis vient se planter devant moi.
Honnêtement, le mec me faisait tellement d'effet que je suis sûr d'avoir rougi.
"écoute Cali. J'ai les résultats de ton dernier devoir et... C'est pas fabuleux"
D'un coups j'oublie ses beaux yeux et je regarde le sol.
C'est une chose d'avoir des mauvaises notes quand on ne travaille pas, s'en est une autres quand on échoué en donnant le meilleur de soi même.
Alors que la seule envie est de quitter cette salle, je sens sa main qui me saisit le menton et le relève la tête.
"hey, rien de grave. Je sais que tu travailles. Si tu as besoin d'une aide supplémentaire ou même d'un endroit calme pour travailler, tu peux venir bosser chez moi le week-end... Bon par contre motus hein, c'est pas trop autorisé, je veux juste que tu réussisses ton bac. "
J'étais de nouveau aux anges.
Bon c'était impossible qu'il se passe quelque chose mais moi, tout ce qui m'importait, c'était que j'allais passer du temps avec lui... Chez lui !
***
Le week-end arriva très vite et je toquais, ponctuel.
Le prof était là, en chemise et, une fois n'est pas coutume, en short.
Mon regard s'arrêta sur la bosse de son short. Je rougissais puis détournais le regard.
L'espace d'une seconde, je suis sûr d'avoir vu un sourire se dessiner sur son visage... Non Cali, arrête de prendre tes rêves pour des réalités.
"entre ! Tu veux boire quelque chose ?"
Tout en lui répondant, je découvre son intérieur. C'est un grand salon très éclairé, avec une baie vitrée donnant sur un jardin et une piscine.
Il remarque que j'observe la piscine alors qu'il revient avec mon jus d'orange.
" ah, ça c'est seulement si tu travailles bien, la piscine".
Je souris. L'idée ne me déplaît pas mais comme je lui réponds :
"je n'ai pas mon maillot".
Et j'ai encore eu l'impression de voir un sourire furtif sur son visage.
On se pose sur son canapé et on commence les révisions.
Régulièrement il se penche au-dessus de mon épaule pour me corriger.
Sentir son souffle chaud dans mon cou ne m'aide pas à me concentrer.
À un moment il me dit "tu vas finir pas avoir mal au dos à te tenir comme ça".
Il passe derrière moi, son torse collé à mon dos, et utilise ses bras pour redresser mon dos.
"voilà, essaye de garder cette position".
Bon, à ce moment là, je sens son souffle, son corps chaud, et la boule de son short me semble plus volumineuse. Je suis dans un état second.
"ça va ?"
Je m'apprête à lui répondre quand il remarque j'ai bosse dans mon propre short.
"tu n'as pas à rougir."
Il approche sa bouche de mon oreille et chuchote "j'avais remarqué la façon dont tu le regardais".
Alors que sa main gauche visitait mon short, sa main droite vaint saisir la mienne.
"pour être honnête, je te trouve très mignon..."
Sa main guide la mienne derrière mon dis, dans son short, et alors que la main saisit son penis, il finit : "il me tardait que tu sois majeur".
Avec sa main de nouveau libre il attrapa ma tête, la tourna vers lui et m'embrassa.
Je ne pourrais pas vous dire combien de temps ça à durer, j'étais sans un autre monde.
Rapidement, il m'a enlevé mon t-shirt, mon short et mon boxer.
Il me lâcha, enleva rapidement ses vêtements puis me présenta sa queue déjà bien grosse.
"ouvre la bouche"
Sans trop savoir ce que je faisais, j'obeissais. Il déposa sur la bouche son gland.
D'abord surpris, je lui donnais quelques coups de langue avant de tenter de tout prendre en bouche.
Avec le recul, je me dis que oui elle était grosse, mais c'était surtout ma première, donc j'ai sûrement garder une impression exagérée de sa queue.
De temps en temps, il me mettait sa main derrière la tête pour le forcer à en prendre plus en bouche. Je n'aimais pas ça, je n'aime toujours pas ça... Mais à ce moment je n'aurais rien pu lui refuser... La naïveté de la jeunesse...
Lorsque son membre fut bien dur, il mallongea tendrement sur le lit et se posa sur moi.
Il attrapa un tube sur le côté, mit de son contenu dans sa main et dirige à cette main vers le bas.
Quelques secondes plus tard, je sentais un doigt froid se poser sur mon anus et le masser.
Il se redressa, passa mes jambes d'un côté de sa tête et badigeonna sa verge avec le reste de produit dans sa main.
Je sentais quelque chose de plus épais qu'un doigt appuyer sur mon petit trou vierge.
Puis il entra, lentement mais sans prévenir. Par réflexe je lachais un petit cri mais il continua.
Je sentais son membre et je le demandais s'il était sans fin. Ça me faisait un peu mal, mais rien d'insupportable.
Il écarta mes jambes et revint se coller à moi.
Il commença par faire de légers aller retour, en douceur.
Moi j'étais perdu au milieu de toutes ces nouvelles sansations. En plus c'était avec le mec de mes fantasmes.
Il s'approcha de mon oreille et chuchota : "depuis le temps que je révais de pouvoir baiser ton ptit cul".
Et là il enfonça le dernier tiers de sa bite d'un coup.
J'ai hurlé.
Encore aujourd'hui, je pense que jamais aucun homme ne m'a fait plus mal que lui.
Mais lui s'en foutait. Il s'était redressé, et avait pris un rythme très rapide. Il tentait tout de même de me rassurer : "t'inquiète pas, c'est parce que ton cul est vraiment très serré, ça va aller mieux"
Moi je criais, je gemissais, et de temps en temps je l'entendais lâcher des "ce cul de fou".
Au final ça n'a pas duré très longtemps (heureusement j'ai envie de dire).
Au bout de quelques petites minutes il me donna trois gris coups de rein et termina en moi.
Alors qu'il sortait tout essoufflé, je restais le regard dans le vague, vers le plafond.
Comprenant que quelque chose n'allait pas (enfin c'est ce que je pensais à l'époque), il le prit dans ses bras et s'excusa :
"tu me fais tellement d'effet, je sais pas ce qui m'a pris. Promis la prochaine fois je m'occuperai mieux de toi."
"la prochaine fois ?" je demandais.
Il mattrapa par le menton et l'embrassa.
"bien sûr, tu es mon bébé maintenant"
...
Ps : Contrairement à moi dans cette histoire qui été jeune et stupide, sortez couvert.
Cali
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