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Voilà maintenant plusieurs mois qu'avec mon beauf il ne s'est rien passé. La faute au travail certainement et aussi à la peur de se faire surprendre, car jusqu'à la fin de l'année dernière il est vrai que l'on se voyait beaucoup. Ce n'était pas pour me déplaire et à lui non plus.
Bref, depuis quelques semaines je me mettais à repenser beaucoup à nos parties de jambes en l'air, à sa bite et à sa façon de me faire l'amour. Je me branlais souvent en me rappelant nos ébats.
Ce matin, j'ai dû reposer la voiture de mon beauf chez lui vu qu'il me l'avait prêté la veille. J'arrive et Mr dormait encore, j'aurai pu me contenter de poser la clé devant la porte, mais j'ai décidé d'entrer. Je vais jusque dans sa chambre et là je le vois allongé sur le dos dans son lit, un drap cachant juste l'objet de mon désir. Et là sans réfléchir je m'avance discrètement et tire le drap jusqu'à le faire tomber par terre.
Je commence à caresser sa bite et ses boules, sens sa toison pubienne et commence à lécher sa bite qui se met direct à durcir. Je lui effleure les jambes et ses grosses couilles qui ont l'air bien pleines. Et là d'un coup je prends sa grosse bite dans ma bouche et commence à le sucer doucement tout en caressant ses couilles. Il se tortille un peu et commence à gémir. Sa bite est de plus en plus dure et je sens un gout de précum dans ma bouche et ça m'excite grave. Je bande déjà bien dur et mouille comme un malade. Tout en le suçant, j'enlève mon pantalon et mon boxer et commence à me branler tout en suçant mon beauf.
D'un coup je sens ses mains appuyer sur ma tête et je lève les yeux, il est réveillé et arbore un sourire franc et son regard noir qui me fait dire que je vais m'en prendre plein la gueule et plein le cul.
Je reprends de plus belle et le suce à fond en gorge profonde, jusqu'à ce que son gland tape au fond de ma gorge et que ses poils chatouillent mon nez. Avec ses mains il me force à rester comme ça bien calé au fond de ma gorge. Il se redresse d'un coup et me dit d'une voix nette et autoritaire de venir m'empaler sur sa bite. Ce que je fais direct ! Je me mets à califourchon et m'assois sur son énorme bite toute mouillée de bave. J'étais si excité que j'en étais déjà bien dilaté. Sa bite me fait mal, mais je continue et prends chacun de ses centimètres en moi. Il trouve que ça ne va pas assez vite et m'en colle une avant de me prendre par les hanches et de me mettre tous ses centimètres bien au fond de mon cul.
Je commence alors un va et viens effréné qui le fait pousser des soupirs et des râles de plaisir. Il me pince les tétons et me met des fessées tout en m'insultant. Il me laisse sa grosse bite à dispo et je m'en donne à coeur joie, jusqu'à ce qu'il me bascule et me relève les jambes pour me mettre de grands coups de reins jusqu'à ce qu'il répande sa semence en moi. Me voilà épuisé et fécondé de mon beauf....
Ghost writer
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