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La domination
Cette expérience avec Laurent m'avait vraiment plu. Au delà d'avoir eu sa belle bite en bouche, ce que j'ai surtout aimé c'est de le faire dans les toilettes du lycée. Je me suis senti bien chienne à ce moment. À genoux sur le sol crade des toilettes face à un beau mec qui n'attendait qu'une chose : que je lui vide les couilles. Quel pied !
Plus j'y pensais et plus je voulais recommencer. Plus longtemps, plus brutalement. Avec plus de domination. Comme s'il me forçait. J'avais déjà quelques porno qui simulaient des viols et je crois que c'était ceux qui m'excitaient le plus. Avec les vidéos uro.
Un soir, je reçu un texto de Laurent : " Je peux passer chez toi ? ". " Pourquoi faire ? ". Pas de réponse. Je commençais à m'inquiéter qu'il débarque chez moi, mes parents étant plus du genre à vouloir que je les prévienne avant. Puis finalement, j'eus ma réponse. Et quelle réponse ! " Je sais pas moi. T'emprunter un livre ! Je suis là dans deux minutes ".
La réponse qui n'avait aucun sens... Mon coeur s'emballait.
Une fois arrivé, que mes parents le saluent et réciproquement, nous sommes montés dans ma chambre.
- Sympa ta piaule ! Dit-il en jetant un oeil un peu partout. On peut fumer ?
- Seulement à la fenêtre.
Il s'allongea alors sur le lit les jambes écartées dans un mouvement qui ne laissait que peu de place à l'interprétation. Il me fixait, en caressant lentement son ventre, sous son sweat-shirt.
- Je vais fumer moi, annonçais-je.
Je n'étais pas à l'aise. La présence de mes parents dans la maison me stressait. Ils ne savaient pas que j'étais homo et je n'avais absolument pas envie de me faire griller ce jour. Je lui tournai le dos en fumant et lui faisait comme si de rien n'était. Me parlant de choses quelconques, jusqu'à ce que j'entende un cliquetis en métal. " Il est entrain d'enlever sa ceinture là? " Je me retourne d'un coup pour constater qu'effectivement, il avait bien retirer la boucle de sa ceinture et il attaquait les boutons de son pantalon. Toujours en me regardant.
- Tu mets un peu de musique, Marco ?
Après avoir jeté mon mégot par la fenêtre, j'ai obéis comme un automate. Le son suffisamment élevé pour que mes parents n'entendent pas ce qui allait se passer dans ma chambre. Il baissa son pantalon en même temps que son boxer et sa bite, pour la seconde fois en quelques jours, jaillit devant mes yeux toujours autant émerveillés.
- On a un peu plus de temps là. Allez viens profiter !
Je m'assoie alors sur le lit et me penche sur sa grosse queue bien dure. Il se redresse et me saisit la bite. Il l'a sent bien tendue, se rallonge satisfait certainement qu'il me fasse cet effet.
Cette fois je prends effectivement mon temps. Je lui lèche les couilles, les prends dans ma bouche, puis glisse ma langue sur son périné.
- Hum, on m'a jamais fait ça avant ! Lèche mes boules encore !
Je m'exécute en même temps que je le branle. Il gémit doucement et me caresse les cheveux.
- J'aimerai bien essayer un truc, je peux ?
- Bah, quoi ?
- Je peux te taper la gueule avec ma bite ?
L'idée m'a tout de suite séduite.
- Carrément vas-y !
Il se redressa alors sur ses genoux, me pencha en avant et me frappa les joues avec son mandrin luisant de ma salive. Il souriait et continuait en frottant son gland sur mon visage, sur mes lèvres. Puis recommença à me bifler assez fortement. Et moi, je jubilais d'être un accessoire pour lui, pour sa grosse bite.
- Ouvre la bouche, je veux faire autre chose.
Il rentre sa bite, mais au lieu de l'enfoncer en direction de ma gorge, il s'amuse à me défoncer la joue. Pour me la déformer avec son gland. Puis il se rhabilla.
- Bah, tu fais quoi ? Lui demandais-je.
- J'ai envie de profiter. Et puis je veux fumer là. Dommage que je puisse pas fumer en même temps que tu me têtes la teub...
Il ne ferme pas sa ceinture pour autant, laissa dépasser un boxer plein à craquer.
- Alors ça te plaît de faire la salope ?
- Grave mec. Quand tu veux !
- T'aimes quoi toi ? T'aimerais faire un truc spécial ?
- Hum, je sais pas trop... Si ! Il y a un truc que j'aime bien c'est sucer une bite qui bande pas encore et la sentir durcir dans ma bouche. Ça je kiffe. Et j'aimerai bien me sentir un peu dominé. Tu sais un peu forcé quoi. Qu'il fasse semblant mais qu'en même temps il y mette de la force.
- Bah surtout que je suis plus musclé que toi, ça devrait être assez facile ça ! Il finit sa cigarette et ressort son matos pas bandé.
- Allez bouge toi salope, j'ai envie là.
Je m'assoie sur le lit mais ne fais rien. J'attends qu'il insiste un peu.
- Allez mec ! Ah je vois ce que tu veux !
Il se lève, m'empoigne pas le tee-shirt et m'approche de lui.
- C'est ça que tu veux hein ? Dit-il en m'attrapant la tête à deux mains. Allez ouvre maintenant !
Je ne réagis toujours pas, alors il m'allonge sur le lit et s'assoie sur mon torse. Sa bite commence à se réveiller. Je ne peux pas bouger tout le haut de mon corps. Il bloque ma tête entre ses genoux et coince mes bras sous ses cuisses. Je suis à la merci de ses 19cm et de ses deux grosses boules qui me caressent le cou.
- Je vais t'en mettre plein la gueule si tu ouvres pas tout de suite !
Estimant que le jeu avait assez duré, j'ai ouvert la bouche pour pouvoir téter son gros sexe avec délectation. Je sentais sa mouille dans ma bouche qu'il m'enfonçait dans la gorge en même temps que son gland. Ça m'étouffait presque. Et cette privation d'air par une grosse barre de chair faisait grimper mon excitation. Heureusement qu'il ne me touchait pas sinon j'aurai instantanément jouit. Puis il sortit sa bite et la frotta sur mon front. Il frottait également ses couilles sur mon visage, ce qui étalait ma salive partout.
- Bon je vais quand même t'en mettre partout sur la gueule. J'ai encore jamais fait ça et t'es la bonne salope qui va me le permettre. Regarde bien ce que j'ai gardé pour toi depuis la dernière fois !
Il se masturba au dessus de moi, ses couilles au chaud dans ma bouche. Son souffle s'accélérait, sa main s'activait de plus en plus. Il commençait à gémir, ce qui me rendait fou.
- Je pense que tu vas aimer ça p'tite salope !
Son corps se contractait ayant pour effet d'enfoncer ses grosses couilles dans ma bouche, me privant d'air par la même occasion. Je suffoquais, le sexe tendu à l'extrême, et il déchargea tout.
Son sperme giclait en de longs jets avant de venir s'écraser sur mon visage. La quantité était impressionnante... Mon front était zébré de foutre, mon nez recouvert, et le reste coulait le long de son énorme bite pour venir sur ses couilles qu'il retirait de ma bouche.
- Wow... putain... soupira t-il.
Il était en sueur, mais le regard toujours coquin, il renfonça ses couilles pleines de sperme dans ma
bouche, laissant son sexe lentement débander sur mon visage.
- Non mais regarde toi... on te reconnaît même plus comme ça ! Dit-il en riant.
Il se saisit de son sexe à moitié dur et il étala son sperme avec sur l'ensemble de mon visage.
(à suivre)
Grumpyandro
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