Épisode précédent
Déjà plusieurs heures que je suis seul à me remplir et me vider en continu. Je n'ai pas réussi à m'assoupir par peur de me noyer dans ma propre pisse, mais je suis dans un état second
La porte s'ouvre soudain. Julien s'approche de moi en souriant
- La phase 1 est terminée. Je vais pouvoir te libérer de tous ces tuyaux
Il passe derrière moi et je sens les tuyaux sortir de mon cul avec un soulagement. Le flot continu d'urine dans ma bouche s'arrête enfin. Il retire la sonde de ma verge que je sens glisser le long de mon méat en picotant légèrement. Et enfin, il retire le tuyau de ma bouche
Il passe alors la main le long de mon torse et caresse mes côtes avec douceur. Il descend sa main le long de mon entrejambe caresse ma queue et mes couilles. Sa main est douce et s'il ne m'avait pas torturé depuis de longues heures et si ce n'était pas un mec, j'aurai trouvé cette caresse agréable. Je le voies sortir une ficelle noire de sa poche et commencer à l'approcher de mes couilles. J'essaye de gigoter, mais je suis trop faible pour entraver ses mouvements. Je sens qu'il m'attache mes couilles avec la ficelle et la sensation est assez étrange. Il fait un noeud assez serré et je sens ma queue se redresser doucement
- Je vais te libérer, tu dois avoir mal aux bras depuis le temps
Il glisse la clef dans la paire de menottes et je m'écroule totalement au sol tant je suis courbaturé d'être resté si longtemps dans cette position inconfortable. Je ne bouge plus et essaye de récupérer un peu. Il profite de ce moment pour me rattacher les menottes aux poignets dans le dos. Il attrape alors l'autre extrémité de la ficelle et attache une boucle à mon gros orteil. Je ne comprends pas trop la raison mais je suis trop fatigué pour y réfléchir plus avant
- Tu dois avoir encore envie de te vider, je suppose. Tu peux aller au fond de la pièce. Il y a une évacuation dans laquelle tu pourras te lâcher
J'essaye de me redresser car, en effet, je me sens encore gonflé de partout. En me relevant, je sens une douleur fulgurante dans les couilles qui me fait pousser un cri étouffé par le bâillon. La ficelle qui relie mes couilles à mon orteil ne fait que 50 cm et je suis incapable de me redresser complètement sans m'arracher les couilles. J'avance donc accroupi, les mains attachées dans le dos jusqu'au fond de la pièce. Je me pose au dessus du trou d'évacuation et relâche tous mes orifices. La sensation de libération est prodigieuse. En quelques minutes, je me sens complètement vidé
- Tu peux venir t'asseoir, me dit-il en me présentant une chaise en bois
Fatigué, je me résigne à le suivre en restant accroupi et à m'asseoir tant bien que mal sur la chaise. Je suis obligé de garer la jambe légèrement pliée pour ne pas trop tirer sur la ficelle
- Tu es prêt à sucer ta première bite à présent, dit-il en commençant à déboutonner son jean
J'essaye de me relever afin de fuir (je ne sais où d'ailleurs) mais j'en oublie la ficelle et la douleur fulgurante dans mes couilles me fige sur place et me force à me rasseoir
Il sort alors sa queue de son jean. Elle est énorme et déjà bien dure. J'ai peur. Il est hors de question que je suce une bite. Je ne l'ai jamais fait, et même aucune de mes ex copines n'avaient accepté de me le faire. Il approche sa queue et m'arrache d'un coup le scotch de la bouche
J'en profite pour hurler. - Au secours ! à l'aid...hh Il a appuyé sur ma jambe le malade, tirant de ce fait violemment sur mes couilles
- Tu vas gentiment sucer ce que je te donnes, et tu vas même me remercier de le faire. Sinon, tu retournes attaché au plafond en circuit fermé, ok ?
- Pitié, laissez moi partir. Je ne dirai rien à la police, laissez moi juste rentrer chez moi
- Au grands maux, les grands remèdes, dit il en levant les yeux au ciel
Il sort une sorte d'anneau métallique de sa poche avec des attaches de chaque côtés. Il approche son anneau de ma bouche que je garde le plus fermée possible. Un petit appui sur ma jambe m'arrache un cri et me force à ouvrir la bouche. Il en profite pour insérer l'anneau dans ma bouche, derrière mes dents et l'attacher la lanière derrière ma tête. Ma bouche est grande ouverte et je ne peux pas la refermer. Il approche alors sa queue de ma bouche et je ne peux rien faire d'autres qu'accueillir ce monstre en moi. Sa bite frotte sur ma langue et le goût n'est pas aussi désagréable que je l'imaginais. Je sens ses 20 cm glisser dans ma bouche jusqu'à atteindre ma gorge et j'essaye de me concentrer pour ne pas vomir. Il appuie sur ma tête pour guider le mouvement et docile, résigné, je me laisse faire. Il semble apprécié, je l'entends gémir doucement à mesure que ma langue caresse sa hampe. Le mouvement s'accélère peu à peu et son souffle se fait de plus en plus saccadé. Soudain, il appuie fortement sur ma tête et plonge sa queue au plus profond de ma gorge. Son corps est parcouru de spasmes et je sens son sperme chaud et épais gicler en plusieurs saccades et couler au fond de ma gorge. Il pousse un cri rauque et continue de faire coulisser sa queue dans ma bouche en mouvements lents. J'ai un gout âcre et salé dans la bouche. Il me caresse doucement la joue
- T'es une bonne petite salope. Pour ta première pipe, tu t'es pas trop mal débrouillé. Mais tu as encore le temps de t'améliorer
Je sens sa queue ramollir dans ma bouche et ma langue continue de la caresser sans que j'en ai réellement conscience. Je sens alors un flot inonder ma bouche, un goût familier à présent
- T'as pas intérêt à en perdre une goutte, je te préviens
Il pisse dans ma bouche, par saccade, afin de me laisser le temps d'avaler. Je ne sais pas trop quoi faire, mais par peur des représailles, j'obtempère et avale son flot de pisse. Il retire doucement sa bite molle dans la bouche, laissant le bout du gland sur ma lèvre pour enlever la dernière goutte
- T'as bien travaillé aujourd'hui. T'as le droit de te reposer. Suis moi
Je me relève en faisant attention à ne pas m'arracher les couilles avec la ficelle et le suis dans le coin de la pièce. Il attache alors un fer à ma jambe et la chaîne à un anneau dans le mur. Il enlève la ficelle de mon pied et la dénoue de mes couilles endolories. Il retire enfin l'anneau "écarteur de mâchoire" de ma bouche et je retrouve de la mobilité dans mes maxillaires
- Je vais t'apporter de quoi manger et une petite couverture pour la nuit
Il se retire dans l'autre pièce et reviens avec une couverture et deux écuelles. Une d'eau et une de bouillie ou de pâté
- Passe une bonne nuit et à demain
Mon premier réflexe une fois qu'il sort de la pièce est de tester la solidité de mes liens. Hélas, impossible de me séparer de ce fer. Je suis bel et bien prisonnier. Je mange la bouillie qui est plutôt bonne au final et bois un peu d'eau. Je repense à ce que je viens de vivre et je frissonne d'angoisse à ce qui va encore m'arriver par la suite. Je frissonne et je bande aussi. Ma main va instinctivement se poser sur ma queue qui est dure comme une barre de fer. Seulement quelques allers-retour suffisent pour me faire venir en longues giclées sur le sol de béton. Exténué, je m'enroule dans ma couverture et m'endors profondément.
Liuthar
Autres histoires de l'auteur : Descente aux enfers