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HISTOIRE

Eté provençal

Chapitre 1

Il fut un temps où partir vivre à la campagne ne relevait pas de l’évasion mais plutôt de la malédiction. A cette époque, la technologie démarrait sa fulgurante ascension et la ville grouillait d’une effervescence nouvelle. Aussi, lorsque ma famille m’annonça que nous partions vivre dans un petit village reculé, je me débâtis d’autant plus avec mon baccalauréat afin d’être ensuite accepté dans une université. Je réussis, j’obtins le droit de monter à la capitale, mais pas avant la rentrée scolaire, et non sans avoir apporté ma pierre à l’édifice familial.

Nous dûmes donc, en plein été, déménager depuis notre appartement strasbourgeois jusque dans une grande bâtisse en pierre, perdue quelque part en Provence. Dès les premiers jours, je ressentis l’écrasant poids de l’ennui ; abattu sur mon lit, j’écoutais le chant lancinant des cigales.

Notre arrivée ayant provoqué une onde de choc dans la platitude monotone de cet endroit, les locaux débarquaient à toute heure, avec un produit terroir en guise d’excuse, dans le simple but de rencontrer les citadins. Mes parents accueillaient leurs nouveaux voisins avec un grand sourire, sans s’apercevoir que nous relevions simplement du cabinet de curiosité.

Je me raccrochais donc à la pensée qu’au bout de deux mois, je lèverais les voiles pour ne pas revenir ici avant un moment.

Bercé par cette consolation, je me décidai enfin à sortir. Je m’aperçus tout à coup de chaleur qui régnait dehors ; la fraîcheur des vieilles pierres ne me protégeant plus, je quittai la maison vêtu d’un simple short, sans rien d’autre. Je découvris alors des décors que d’aucuns qualifieraient de charmants, une fois apprivoisés par mon œil urbain.

Je me promenai dans les étendues bleu violacé, l’odeur de lavande m’enveloppait et le vent chaud caressait mon torse nu. Ma peau découvrait pour la première fois les bienfaits d’un soleil provençal et j’avoue que je m’en délectais pendant un temps, progressant au hasard de mes pas dans ces interminables plaines impressionnistes. Je me retrouvai ainsi, après un temps, en face d’un très vieil arbre, noueux, tordu, dont l’écorce noire et rugueuse contrastait avec ses fleurs roses.

Epuisé par ma marche, je me réfugiai à l’ombre de son feuillage dense. En m’approchant suffisamment, je m’aperçus cependant que l’emplacement accueillait déjà un visiteur – un homme d’une trentaine d’années, également torse nu. Un panier de lavande posé à côté de lui, il lisait tranquillement un épais volume en cuir relié.

J’appréciai d’emblée ses bras épais, ainsi que ses larges pectoraux, développés par le travail des champs. Une toison noire et drue les recouvrait ; seule la pointe de deux tétons bruns dépassait de ces broussailles masculines. Les cheveux mi-longs, en bataille, s’accordaient avec un visage mal rasé qui possédait pourtant l’attirance d’une négligence volontaire. Des longues jambes robustes, aussi velues que le reste, complétaient son aspect rustre.

Ses doigts jouaient distraitement avec l’élastique de son short. Il mordait à pleines dents dans une pomme lorsqu’il me vit approcher. Son accueil enjoué m’obligea à lui rendre la politesse. Il comprit vite que je recherchai l’ombre et la fraîcheur et s’empressa de me faire une place que je ne pus refuse ; cela me laissa l’opportunité d’observer ce corps à demi-nu qui ne me laissait pas insensible, loin de là.

D’abord malgré moi, je sympathisai avec le campagnard. Pendant qu’il assurait une partie de la conversation, je promenais mes yeux sur lui, le dévorais avec mon imagination, jusqu’au moment où, m’interrogeant sur ma vie de citadin, il en vint à me parler de sexualité – m’expliquant entre autre la complexité de trouver un partenaire dans les parages. J’approuvai d’un signe de tête et confirmai que, depuis mon arrivée, je subissais aussi une abstinence forcée. Il rétorqua alors :

– C’est sûr que dans le coin, tu ne vas pas trouver beaucoup de mecs à baiser… A part moi peut-être.

Sa remarque électrisa mon esprit. Il me souriait – ce sourire qui vaut tous les signaux du monde. J’approchai donc ma tête jusqu’à ce que nos lèvres se touchent.

Il glissa sa langue dans ma bouche. Je posai mes mains sur son torse et commençai par lui chatouiller ses tétons, fermes, durs, sensibles. Il gémit, contracta ses abdos et caressa les miens, imberbes. Je m’installai à califourchon sur lui. Je lui dévorai la bouche comme un affamé devant un banquet de choix. Je sentais son sexe durcir sous mes fesses, bien qu’encore prisonnier de son short.

Après un moment, le campagnard rompit notre baiser pour promener sa langue dans mon cou, puis sur mon torse gonflé par l’excitation et le sport. Il mordilla à son tour mes petites pointes sensibles, tandis que ses doigts déboutonnaient mon jean.

Excité au possible, je m’installai dos à l’arbre et saisis la tête de ce beau brun, à genoux devant mon paquet gonflé. Il m’ôta d’un coup short et boxer, dévoilant ma queue raide – dix-huit centimètres tendus par l’envie de me faire sucer. Un simple « vas-y, pompe-moi » suffit à le mettre à l’œuvre. Sa langue vint chatouiller mon frein, juste avant que sa bouche ne s’empare de mon gland rose. D’un geste assuré, mon mâle s’avança sur la grosse tige, en s’assurant de la lubrifier avec une bonne dose de salive. Il plaça ses mains sur mon ventre dur et mes pectoraux tendus. Ma peau, douce et claire comme du satin, le chauffait sûrement autant que mon regard de minet dominant. Je rajustai mes cheveux châtains et installai ma prise derrière sa nuque, histoire de lui imprimer mon rythme.

Assez vite, le va-et-vient devint naturel. Il reculait et avançait sa bouche comme un chef. Lorsqu’il faisait une pause afin de reprendre son souffle, il n’oubliait pas de jouer avec sa langue, soit sur la pointe de ma lance, soit directement sur mes boules lisses. La tête basculée en arrière, je poussais des gémissements. Puis arriva l’instant fatidique où je voulus reculer pour lui éviter un dosage imprévu. Mais lui s’accrocha à ma bite : son palais accueillit mes trois ou quatre rasades de foutre. Je crus d’abord qu’il les avait avalées, mais il s’empressa de m’embrasser ; sa langue agile déposa sur la mienne une partie de mon sperme, que je pris sans rechigner.

Pendant que nous échangions ce juteux baiser, mes mains s’aventurèrent sur le paquet encore raide du beau campagnard. Il m’enlaça, me retourna pour s’adosser à son tour contre l’écorce noire et appuya doucement sur mes épaules. Je descendis le long de ce corps robuste, tout en muscles. Alors que je croisais l’élastique de son short, je le mordis avec mes dents et continuai ma descente.

Une fois découvert, son sexe, aussi long que le mien, s’avéra toutefois plus large et armé d’un gland bien plus épais. Je dus commencer par l’avaler en douceur, en salivant dessus, jusqu’à ce que l’odeur de sa mouille salée m’excite trop pour que je puisse me retenir davantage. Je laissai alors libre cours à mes talents ; devant les yeux ébahis de mon partenaire, je pris d’une traite la moitié de son braquemart. Mes doigts solidement refermés autour de son morceau, je le branlais, tandis que mon autre main massait ses couilles épaisses, charnues – pleines à ras-bord, sans aucun doute. Le campagnard ébouriffa mes cheveux et m’imprima alors une cadence plus soutenue. A force d’allers-retours sur ce membre viril, chaud et veineux, je finis par poser mon nez dans son pubis fourni. J’y respirai une odeur qui m’enivra.

En vraie salope, je suçais mon partenaire et me délectais de ses grognements de satisfaction. Mes doigts allaient et venaient sur son torse, des tétons aux abdos. Je jouais avec ses boules, son cul, sans oublier de lever vers lui mon regard affamé. Il me fixait, s’exclamait que ma gueule de minet le rendait dingue. Enfin, n’y tenant plus, il m’ôta sa grosse bite de la bouche et m’arrosa généreusement la face avec son jus. Cinq ou six jets percutèrent mon visage ; puissants et crémeux, ils couvrirent mes joues, mes paupières, mon front et dégoulinèrent sur mon menton.

Le brun, essoufflé et en sueur, s’assura que je déguste ce repas de choix ; il récolta sa propre semence avec son gland encore raide et la déposa dans ma bouche. Ce fut ensuite à moi de lui rouler une pelle au cours de laquelle il avala une partie de son foutre chaud.

Après cela, nous nous quittâmes très satisfaits, non sans avoir prévu de se revoir au même endroit, avec l’envie de soulager des instincts difficiles à assouvir.

Au cours de cet interminable été, je me rendis plusieurs fois au pied de l’arbre noir ; j’y retrouvai mon bel étalon brun, toujours prêt à l’action. Après notre première rencontre, nous passâmes une dizaine de moments privilégiés ensemble, sous le feuillage rafraîchissant. Là, nous nous découvrîmes d’autres talents : sa langue sur mon anus, ou encore mon gland contre sa prostate.

Mais à mesure que septembre approchait, les récoltes de lavande touchaient à leur fin. Alors que nous achevions l’un de nos ébats, en sueur et couverts de sperme, mon campagnard m’annonça qu’il quittait le village pour chercher d’autres travaux à accomplir.

La déception m’assomma et je me laissai de nouveau posséder par l’apathie. L’ennui et la chaleur me maintinrent au lit pendant un temps ; seules quelques masturbations nocturnes, à la fraîche, soulageaient temporairement mes envies.

Constatant l’arrêt de mes promenades quasi-quotidiennes, ma mère me suggéra de l’accompagner par-delà les collines, là où, disait-on, la lavande cédait la place à une nature plus sauvage. Je n’eus pas le cœur à refuser son invitation et, bon gré mal gré, je me retrouvai à ses côtés le long des sentiers terreux, sous un soleil de plomb. J’écoutai ses bavardages d’une oreille distraite, tout en songeant aux moments frais passés sous l’arbre, jusqu’à ce que nous croisions la route d’une petite maison en pierre. Quelques habitants à l’accent chantant y prenaient un café ; ils nous invitèrent avec toute leur sympathie provençale. Ravie de rencontrer cette joyeuse compagnie, ma mère se joignit à eux. Je déclinai, pour ma part, et prétextai un attrait touristique afin de poursuivre la route en solitaire.

Dès que je fus hors de vue, je bifurquai dans un champ de jonquilles et m’empressai de me perdre au cœur de la végétation. Je me dégotai un coin calme où ma mémoire pourrait me torturer en paix ; le souvenir de mon campagnard avait provoqué chez moi une vague de chaleur qui ne devait rien au climat. Aussi longtemps que ma mère s’était trouvée à proximité, j’avais contenu les images obscènes qui m’assaillaient, mais je leur ouvrais à présent la porte.

Par ce temps, je ne portais qu’un short en jean ; il tomba bien vite sur mes chevilles et, caché par une bruyère dense, j’eus tout le loisir de me masturber. J’utilisais la mouille qui perlait sur mon gland comme lubrifiant, tout en caressant mon torse, désormais hâlé par le soleil. Le moindre souffle de vent, même brûlant, chatouillait mes tétons et augmentait mon plaisir. Parfois, l’une de mes mains se perdait sur mes bourses alourdies par l’abstinence forcée. Entre mes fesses, je sentais mon anus pulser de plus en plus, soudain saisi par un désir puissant – une pulsion que je n’avais pas satisfaite en compagnie du brun viril. Je salivai donc sur mon index et l’y insérait avec satisfaction, en quête de ma prostate.

Tout à coup, alors que j’approchais de l’orgasme, un éclat de rire déchira l’air. Je stoppai immédiatement ma branlette et m’agenouillai. Dissimulé par la végétation, j’aperçus un groupe de jeunes qui coupait à travers champ, à quelques mètres de moi. Canettes à la main, bandana sur le front et lunettes de soleil, ils s’amusaient à se courir après.

Au milieu de cette demi-douzaine de chahuteurs, une apparition raviva soudain ma demi-molle.

Un grand gaillard, blond comme les blés, émergea de la masse avec sur le visage un sourire d’une blancheur éblouissante. Sa salopette, trouée et déchirée, laissait deviner des jambes musculeuses et un corps robuste. Décrochée par un côté, l’un de ses pans pendait négligemment et découvrait des pectoraux puissants. Le torse en V se prolongeait par des abdominaux dessinés à la perfection, jusqu’à ce que le vêtement ne reprenne le dessus et m’empêche de voir plus bas.

Cet ange splendide raviva immédiatement mes envies obscènes. Je recommençais un lent mouvement de va-et-vient sur mon pénis dur quand, soudain, il décrocha du groupe et s’approcha de ma cachette. Mon cœur tressaillit ! Je l’entendis dire à ses camarades de continuer sans lui, qu’il avait un besoin pressant. Ils s’éloignèrent. Lui progressa à travers les buissons. Tétanisé, je n’osai plus esquisser le moindre mouvement, jusqu’à ce qu’il tombe inévitablement sur moi.

Vous n’imaginez pas la vision qu’il eut alors : un minet châtain, nu, recroquevillé derrière un fourré, son sexe en érection dans la main. Le rouge me monta aux joues, mais malgré la chaleur cuisante de l’humiliation, je n’en perdis pas moins mon désir pour ce jeune homme si viril.

Il s’en aperçut en un rien temps et, une fois passé la première surprise, il m’observa d’un œil soudain très intéressé. Sa main descendit le long de son buste d’Apollon, il pinça son téton dur, tout rose et pointu. Sous le tissu de sa salopette, son membre pulsait et s’étirait ; bien vite, je distinguai même une barre assez impressionnante.

Le beau blond s’approcha de moi sans se départir de son sourire, désormais corrompu par le stupre. D’un geste nonchalant, il fit sauter la deuxième boucle de sa salopette. Le tissu dégringola le long de ce ventre imberbe, à la peau de miel et aux muscles délicieux. Je jetai mes lèvres dessus et baisai les carrés qui entouraient son nombril. Puis, après une interminable attente, la salopette glissa sur ses jambes ; je découvris alors un slip dans lequel une grosse tige turgescente était encore comprimée. Mon cœur se serra d’envie ; je léchai la peau hâlée de ce dieu, suivant la ligne droite qui divisait son torse jusqu’à buter contre l’élastique du sous-vêtement.

Là, je le lui ôtai. Patient, mon beau blond jouait avec mes cheveux. Sa respiration s’accélérait. Sa trique se dressait devant moi. Elle pulsait, son gland rose tressautait – une goutte de pré-sperme y naissait déjà. Le bel organe s’accompagnait de testicules ronds, lourds, sûrement aussi pleins que les miens. Je peinai presque à refermer ma main autour de l’engin tant il était large. Il mesurait sûrement dans les dix-sept centimètres, mais impressionnait surtout par sa circonférence et sa pointe très large. J’en rêvais déjà dans mon cul pendant que ma bouche en découvrait la saveur.

J’en chatouillais d’abord la pointe avec ma langue ; la mouille salée déposait un goût agréable qui m’avait manqué pendant ces quelques jours d’abstinence. Ensuite, je m’amusai un peu autour du pubis, avant de noyer mon nez dans l’entrejambe pour remonter des boules jusqu’à l’extrémité du chibre. Alors seulement je commençai à balader ma langue sur son gros gland sensible. Le beau blond se contracta et gémit. J’avalai le début de sa queue, écartant grand la bouche afin de faire passer l’engin sans dommage. Minute après minute, à force de salive et d’expérience, je parvins à sucer les deux tiers de son braquemart avec une aisance qui parut le surprendre.

Il prit confiance en constatant mon savoir-faire et entama un mouvement d’aller-retour avec son bassin. La manière dont il le bougeait témoignait aussi d’une expérience certaine dans le domaine et me donnait envie de découvrir les limites de ce beau mâle. Tout en lui taillant une pipe qui lui tirait des cris de plaisir intense, je me doigtai le cul pour me préparer.

Lorsque j’estimai que mon trou s’était suffisamment dilaté pour accueillir cet étalon, je recrachai son énorme morceau et me relevai. Je réfléchissais à la meilleure position pour ce rodéo lorsqu’il décida à ma place.

Il me saisit par la taille, m’entraîna vers un arbre proche – un bouleau à l’écorce lisse – et me souleva à la force de ses bras. Plaqué contre le tronc, je vis ses biceps se gonfler. Mes jambes ceinturèrent sa taille et je me retrouvai soudain porté au-dessus de sa queue. Il en posa la pointe sur ma rondelle et poussa en douceur, s’assurant que je n’éprouverai aucune douleur. Je serrai les dents et, petit à petit, son chibre entra en moi ; d’abord le gland, épais et chaud, puis le reste de sa bite.

Mon rectum dut s’adapter, lui qui s’était resserré depuis le temps qu’il n’avait pas été visité. Je devinai les moindres veines de sa bite. Dès les premiers mouvements, les couilles vinrent taper contre mon cul glabre et rebondi. Je contractai mes abdos sous le coup du plaisir. La pointe humide allait et venait sur ma prostate ; ma queue raide déversa donc par accident une bonne quantité de mouille sur mon torse et celui de mon partenaire. Il trouva cela encore plus excitant et utilisa mon pré-sperme comme lubrifiant, afin de mieux s’enfiler dans mon trou. En l’espace de quelques minutes, nous n’étions plus que gémissements, sueur et fluides masculins.

En plein assaut de mon cul, le beau blond approcha son visage si près du mien que je l’agrippai par les cheveux et lui roulai une pelle qui le surprit agréablement ; nos langues valsèrent pendant un long moment. Mes cuisses serraient sa taille, mes bras s’accrochaient à ses biceps massifs, je sautais contre l’arbre, victime des coups de butoir qu’il envoyait dans mon boyau étroit.

Enfin, dans un soupir commun, nos semences jaillirent. Il déversa ses giclées de sperme au fond de mon cul, sans pour autant s’arrêter ni débander ; au contraire, son foutre rendit son mouvement encore plus fluide, jusqu’à ce qu’il coule sur les bords de mon anus. Chez moi, le jus sortit de manière si inattendue que je nous aspergeai tous les deux, lui sur le torse et le cou, et moi jusqu’au menton.

Mon splendide partenaire me reposa ensuite à terre, m’aida à me remettre de mes sensations puis, après m’avoir accordé un nouveau baiser, il remit sa salopette et retourna dans les champs, sur les traces de ses amis. De mon côté, je m’en retournai soulagé, mais conscient que je ne retrouverai jamais un tel amant ailleurs qu’ici, dans ce petit village de Provence. Ce fut d’ailleurs mon seul regret, malgré les nombreuses frasques qui je connus par la suite à l’université.

F I N

Et une nouvelle histoire, plus longue que les autres car normalement en deux parties sur mon compte Instagram. J’espère que cette saveur de l’été aura su réveiller vos envies ! Si c’est le cas, lisez vite la petite série que j’ai commencé à publier ici : les lettres de Paul. En attendant, si vous souhaitez me faire un retour sur mes histoires, n’hésitez pas, l’adresse mail est dessous, et je réponds encore plus vite sur mon

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