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HISTOIRE

Le Minet Parisien

À 35 ans, on peut dire que j'ai plutôt bien réussi ma vie. Moi, c'est Gauthier, en couple depuis 10 ans maintenant avec la mère de ma fille, 6 ans, et à la tête de la boîte que j'ai montée dans le bâtiment.

On est une petite entreprise, je connais tous mes gars. On intervient beaucoup dans un quartier pavillonaire vers Marseille, les gens connaissent bien mon équipe. Faut dire qu'on est pas mal efficaces comparés aux gros industriels qui ont des délais infernals. Moi, ça m'arrange, ça me permet de gonfler nos prix et on se fait un max de thunes comme ça. Et puis, être indépendent, ça a ses avantages, pas de boss à qui on doit des comptes, on fait ce qu'on veut ! Enfin surtout moi, parce que mes gars, je les garde quand même sur des plannings.

Souvent, c'est moi qui fait la première visite pour faire mes estimations. Ça me permet de jauger l'étendue des travaux en terme de temps et de moyens, mais je vais pas vous cacher que ça pe permet aussi de jauger les proprios ! Et ça m'arrive plutôt souvent de signer les contrats dans la chambre avec les clientes à quatre pattes !

Faut dire que je suis plutôt bel homme : je suis un accro du sport, ce qui me vaut une carrure presque deux fois plus large que la moyenne et des muscles bien dessinés, et que j'ai accumulé au cours de ma vie plusieurs tatouages me couvrant la totalité du bras droit ainsi qu'une partie du torse, du haut du dos et l'épaule gauche. Avec mes 1m75, ma petite barbe et ma pillosité corporelle, les nanas de ces quartiers craquent souvent. Et puis ma compagne chérie, je lui porte tout mon amour, mais depuis la naissance de notre fille elle n'en montre plus beacoup à mon joli minou, alors moi je vais trouver du réconfort ailleurs...

D'ailleurs, j'ai parlé des clientes parce qu'au début c'était surtout des bonnes femmes, mais avec le temps j'ai fini par me dire qu'un trou était un trou, et que si je pouvais gonfler un peu le budget du chantier pour me payer mes prochaines vacances au soleil... alors j'ai ouvert l'accès aux hommes, d'abord timidement à 3, puis, découvrant le plaisir d'une bouche connaisseuse et d'un fessier bien entraîné, je me suis laissé gagner par mon envie de satisfaire mes ardeurs. Tout cela restait bien sûr un secret pour ma femme et même au maximum pour mes collègues, même si certains comprenaient parfois l'objectif de mes visites de "supervision" !

C'était au début de l'été, une parisienne récemment installée m'avait contacté pour rénover le premier étage de sa maison après avoir entendu parler de nous grâce au bouche à oreille. Elle n'avait pas manqué de me complimenter sur mon accent "du Sud" auquel elle n'était pas habituée, et mon boxer s'était rapidement mis à prendre du volume dans mon jean en calant la date de la première viste. Sortant d'un gros chantier chez des octogénaires, je n'avais pas eu l'occasion de tremper mon biscuit depuis plusieurs semaines et l'occasion était trop belle.

J'arrivais donc le jour J vers 14 heures chez elle avec une belle chemise moulante et un jean me mettant en valeur. Après nous être serré la main, nous avons rapidement fait le tour de la maison tandis qu'elle m'expliquait ce qu'elle souhaitait, et je glissais quelques compliments plus ou moins discrets.

À un moment, on redescendait de l'étage lorsqu'un minet d'environ 19 ans est arrivé dans le salon en boxer, les cheveux tout ébouriffés. La parisienne m'a donc présenté son fils Timothée, qui m'a fait un bref geste de salutation désintéressé avant de repartir dans sa chambre avec un bol de céréales.

On est reparti dans le jardin pour voir ce que ça donnait de l'extérieur tout en flirtant légèrement. Bon, les travaux n'avaient pas l'air titanesques, ça allait passer vite et je pourrai ensuite prendre des vacances bien méritées dans les îles du Pacifique.

C'est là que la parisienne m'a demandé si j'en avais encore pour longtemps car elle avait un rendez-vous dans le centre-ville. Il me restait cependant plein de recoins à regarder et plusieurs choses à vérifier pour faire le devis. Elle m'a dit que je pouvais faire tout ça librement sans l'avoir dans les pattes comme son fils était là mais qu'elle devait impérativement filer. Bon, moi j'aimais bien qu'elle soit dans mes pattes, mais soit... C'était pas encore aujourd'hui que j'allais me soulager !

Je me suis donc retrouvé seul dans le jardin avec mes papiers à contempler cette baraque et ma gaule frustrée. J'ai donc continué mon examination, accélérant le rythme, ignorant mon jean qui se bombait de frustration.

Je suis ensuite repassé par le salon pour accéder au premier, et j'y ai trouvé le fameux Timothée, affalé sur le canapé devant la télé. Il était pas bien viril le Timothée, grand, mince, blanc pâle, tout juste un début de barbe, de belles cuisses fines à peine poilues qui se croisaient sous son boxer blanc de marque à moitié froissé. Il m'a jeté un regard dédaigneux digne d'un bon fils à maman bourge, ça m'a fait rire intérieurement.

Je suis monté à l'étage pour passer en revue tout ce qui devait être fait. Putain, ils devaient pas ouvrir les velux souvent ici parce qu'il faisait une chaleur ! J'ai défait un bouton de ma chemise pour éviter de trop transpirer, mais rien n'y faisait. J'ai fini par avoir trop soif, et je suis retourné à l'escalier pour descendre. C'est là que j'ai entendu Timothée parler. J'ai descendu quelques marches pour mieux entendre et observer ce qu'il se passait. Il était toujours dans la même position, une main tenant son téléphone dernier cri contre son oreille, l'autre se tripotant le boxer.

-Frère, j'en peux plus j'ai besoin de me vider là, j'ai envie d'un bon gros cul de pute sa mère... Haha t'es con, c'te salope a même pas pu encaisser ma teub, qu'elle aille se faire foutre... Gros t'imagines pas comment j'éclaterai n'importe qui là, j'ai trop la gaule mec... Putain quand est-ce qu'il se tire l'autre con j'peux même pas me branler ça casse les couilles...

Eh ben, je me suis dit qu'il avait une sacrée grande gueule et une voix bien grave pour un mec aussi frêle. Son accent parisien s'entendait bien, sec et froid.

Je suis descendu l'air de rien, me dirigeant vers la cuisine. Il a raccroché innocemment, me regardant dans le plus grand des calmes. J'ai rempli ma bouteille d'eau au robinet et je suis retourné vers l'escalier.

-Eh, t'auras fini quand ?
-Oh la, tu sais ça va durer encore pas mal de temps jeune homme...

C'était faux, mais ça pouvait pas lui faire de mal. Il a fait une moue blasée, puis il a saisi la manette de console à côté de lui.

Moi je suis remonté finir mon tour. Je suis à peine arrivé en haut que j'ai remarqué que mon jean avait repris du volume. J'avais jamais baisé quelqu'un d'aussi jeune, mais je m'étais tapé un couple de clients en début de vingtaine. Le mec était pas beaucoup plus musclé mais bogosse, et ils voulaient tenter un plan à 3. Je les avais bien baisé je me rappelle, le gars était un peu réticent au début, mais il avait finit par gémir aussi fort et aigü qu'une femelle en rut, j'avais jamais entendu ça, j'avais bien pris mon pied ce jour-là, et eux aussi d'ailleurs !

Sans m'en rendre compte, j'avais commencé à me caresser l'entre-jambe. Putain, ça allait vraiment pas, me toucher tout seul chez une cliente ! J'ai décidé de finir le tour de l'étage rapidement pour partir vite.

Dix minutes plus tard, j'étais à la moitié de mon tour quand je me suis retourné, le trouvant dans l'encadrure de la porte, me fixant. Son boxer avait doublé de volume.

-J'ai un visio dans une vingts minutes, donc sois discret.
-Je serai parti d'ici-là.

Il commençait à me gonfler avec son ton désagréable, finalement je me disais que j'allais prendre mes vacances plus tôt pour pas croiser ce petit con.

-Ok. Cool.

Il a jeté un œil à la bosse dans mon jean, a esquissé un sourire narquois et a quitté la pièce.

Des fois, je me disais que je savais pas ce qui me retenait de foutre une raclée à des merdeux comme ça. Il avait de la chance que sa mère raque de la thune...

Je suis retourné finir mes notes en me calmant. Finalement, deux semaines en famille plutôt qu'une, c'était plutôt chouette ! Et je suis redescendu dans mes pensées tropicales.

Ce n'est qu'arrivé en bas des escaliers que j'ai vu. Il était à nouveau affalé dans le canapé, mais son boxer était à ses chevilles. Il se paluchait le zob devant un film porno sur son ordi. Putain, j'avais jamais vu un truc d'une taille pareille. Il lui fallait ses deux mains pour couvrir l'entièreté de son membre. Je suis resté là, à moitié caché, bouche bée devant la scène.

Sur le film, un mec baisait brutalement le cul d'un autre, qui gueulait à plein poumon. Ça commençait à me monter à la tête, j'ai mis la main sur mon paquet instinctivement et j'ai commencé à me palper devant la scène. Timothée continuait de se branler devant le film, en insultant le passif de temps en temps. Moi, j'avais les yeux fixés sur sa teub, toujours happé par l'envergure de l'engin. C'était pas qu'une question de longueur, tout était proportionnel, la largeur, la taille du gland, l'angle droit qu'elle formait avec son pubis parsemé de poils...

Ma main était passée dans mon boxer sans que je m'en rende compte alors qu'il commençait à soupirer de sa voix grave. Je soulageais enfin la tension que ces dernières semaines avaient accumulé dans mon entre-jambe, je ne pensais qu'à me faire du bien en le matant. C'est là que j'ai entendu le gros bruit de mon dossier qui s'écrasait par terre. Merde, j'ai réalisé à ce moment-là la situation dans laquelle je m'étais mis.

Le temps de le ramasser, je me suis redressé pour trouver Timothée debout face à moi, le regard encore plus hautain qu'avant. Il a mis quelques secondes à me détailler, mais le bouton de mon jean défait et la bosse qui se formait juste en-dessous en disaient long.

-Ça te fait triquer de mater ma grosse bite vieux pervers ?

C'était la première fois de ma vie que je me retrouvais dans une situation compromettante comme celle-là. Je perdais tout mon sang-froid malgré moi, honteux.

-Petit, je redescendais de l'étage, c'est to...
-Ta gueule.

À ma plus grande surprise, je lui ai obéi. Je me sentais con, et j'avais le sentiment de perdre toute crédibilité face à se mioche qui n'avait pas le quart de ma carrure.

C'est là que j'ai posé les yeux sur sa bite, toujours tendue, face à moi.

-C'est ça que tu veux le marseillais ? Tu veux goûter à ma grosse bite de parisien ?

Quoi ? Non ! Je ne pouvais pas penser à ça. Moi le mâle alpha qui ne pensait qu'à trouer des culs de chaudasses, j'étais vraiment en train de contempler son membre tendu vers moi ? Je n'avais jamais sucé, et je n'allais pas commencer aujourd'hui !

-Non.
-C'était pas une question.

Il a commencé à se caresser à nouveau en me fixant dans les yeux, le regard plein de dédain. J'ai baissé les yeux face à lui. Putain, qu'est-ce qu'il m'arrivait !

-C'est ça, ma salope, regarde-la bien. Elle est belle hein ?

J'avais déjà cogné des mecs plus costauds pour moins que ça. Mais là, c'est moi qui me suis pris une baffe.

-Je t'ai posé une question salope !
-Oui, elle est belle.

Il a eu un petit rictus de satisfaction et a passé sa main dans mes cheveux.

-Tu vas voir, elle est encore meilleure en bouche. Allez à genoux le pervers.

D'un coup, il a agrippé mes cheveux pour m'entraîner vers le bas. Je n'arrivais pas à trouver la force de le repousser. Sa bite a grossi et s'est retrouvée à quelques centimètres de ma bouche. J'étais maintenant à genoux devant lui, il paraissait si imposant comme ça, tout lisse, tout blanc, tout maigre, et pourtant c'était moi qui était à genoux, avec mes couches de muscles et de tatouages. J'ai du mal à l'assumer, mais je me sentais faible face à lui, et j'aimais ça.

-Suce-la.
-Non, attends...

Il a redressé ma tête d'un coup vers lui, sa main toujours dans mes cheveux.

-Quoi ?

J'ai senti sa bite se poser sur ma joue, me couvrant du menton jusqu'à l'oreille. Je ne savais plus quoi dire, mon ego refusait de le faire, mais...

-Non, je suce pas, je suis actif...

Un molard m'a frôlé pour s'écraser sur son gland.

-Alors tu la veux pas dans ta bouche de salope ?

Il a frotté son gland contre ma barbe, puis l'a déposé sur mes lèvres, me caressant la bouche. Putain, je comprenais pas, j'avais qu'une envie...

J'ai ouvert légèrement la bouche et j'ai englobé son gland avec mes lèvres. Putain, j'avais la trique comme jamais, mais j'avais mieux à m'occuper. J'ai léché le bout de son gland, découvrant le goût d'un pénis. C'était bon. J'ai tournoyé ma langue autour pour mieux sentir, puis j'ai avancé ma bouche pour en faire rentrer plus.

J'en voulais plus, que ma bouche accueille ce chibre comme il se doit. Alors que mes lèvres découvraient chaque forme de sa teub petit à petit, il s'est retiré d'un coup en tirant mes cheveux en arrière.

-Alors tu kiffes la bonne bite salope ?
-Oui...

J'étais un peu honteux. Il a lâché mes cheveux et m'a donné quelques petites claques, puis a inséré son pouce dans ma bouche. Je ne perdais pas des yeux son regard dédaigneux, comme hypnotisé.

-Allez viens avec moi, on va bien s'amuser.

Il est parti se rasseoir dans le canapé, les jambes écartées, et a coupé le film. Je l'ai suivi comme un chien avec son maître.

-Déshabille-toi, garde que ton boxer.

Je me suis exécuté rapidement sous ses yeux qui exminaient chaque partie de mon corps, puis je me suis remis à genoux entre ses petites jambes instinctivement.

-Bah alors ma salope, t'as vite compris ta place à ce que je vois !

C'est vrai que je n'avais pas réfléchi. Putain, qu'est-ce qui me prenait ! Il s'est penché vers moi et j'ai eu un mouvement de recul. J'embrassais pas les mecs moi ! Mais il m'a à nouveau agrippé les cheveux et sa langue a pénétré dans ma bouche. Nos lèvres se sont collées, et putain ce qu'il embrassait bien, il était doué ! Je sentais son duvet contre ma barbe, ça m'a fait frissonner...

Son autre main a saisi la mienne pour la poser sur son membre. J'ai compris ce qu'il attendait et je me suis mis à le branler. Notre baiser a duré plusieurs dizaines de secondes, jamais on m'avait aussi bien embrassé. Il a repris sa bite en main.

-Ouvre et tire la langue.

Je me suis exécuté alors qu'il rapprochait mon visage de son membre à nouveau. J'en salivais presque. Il a claqué son zob sur ma langue une première fois, puis une deuxième. C'était tellement gros, ma langue peinait à résister à la force.

-Tu l'aimes ma grosse queue hein ?

Je parvenais à répondre entre deux coups de bite "Ouais", puis il s'est arrêté.

-T'as envie de lui faire quoi là ?

J'ai pris quelques secondes pour convaincre mon ego de répondre, mais j'en avais tellement envie...

-Je... J'veux la pomper à fond.
-Il me fait triquer ton accent, tu le sais ?

Un sourire sadique s'est affiché sur son visage. Moi j'attendais, la langue toujours sortie, à quelques centimètres de l'objet de convoitises. Ça le faisait triquer de me faire languir comme ça, moi le mec viril, le papa hétéro, le chef de chantier, la langue pendue à ses désirs de mâle en rut.

-Eh ben, t'attends quoi ma petite salope ? Elle va pas venir toute seule faut aller la chercher hein !

Je me suis presque jeté dessus. Cette fois-ci, je n'y allais plus à tâtons, je l'enfournais au maximum dans ma bouche, je voulais la sentir à fond. J'étais toujours en boxer, à quatre pattes entre ses jambes. Il avait retiré sa main de mes cheveux et me laissait faire, satisfait.

Je l'ai pompé pendant plusieurs minutes comme ça, lui commençait à émettre des petits gémissements graves et virils. Tout à coup, je l'ai vu regarder l'heure sur sa montre et se redresser.

-Merde ta bouche est trop bonne j'avais zappé ! J'ai mon visio, mais continue.

Il a pris un t-shirt qui traînait sur le canapé et l'a enfilé pendant que je continuais de le sucer.

-Tu la fermes, tu bouges pas et tu t'arrêtes pas. Compris ?

Putain, j'y croyais pas, il allait faire son visio comme ça ! Il m'a empoigné les cheveux d'un coup, m'arrachant un petit cri pas aussi viril que j'aurais aimé.

-T'as compris la pute ?
-Oui.
-Oui qui ?
-Oui, monsieur.

Il a rit un peu.

-Tim ça suffira.

Sans me laisser le temps de répondre, il m'a repoussé vers son zob et me l'a enfoncé loin dans ma gorge, jusqu'à me faire déglutir.

-Ah, putain, ouaaais... Toi t'es vraiment une bonne pute.

Il m'a relâché pour ouvrir son ordi et se redresser. J'ai entendu le son de l'appel vidéo qui commençait et une voix d'homme de la cinquantaine le saluer.

J'étais pas très à l'aise, sa bite dans ma bouche et lui qui commencait à parler, l'air de rien. Je bougeais plus trop, surtout quand l'autre parlait, mais à un moment il a fini par faire quelques mouvements de bassin pour aller et venir dans ma bouche, alors j'ai recommencé mon manège.

J'ai compris que c'était un entretien pour être accepté dans sa prochaine année d'études. Il était beaucoup plus tendre avec son interlocuteur tout en gardant sa nonchalance habituelle. Et moi je continuais à le sucer, comme un vulgaire vide-couilles comme j'avais l'habitude d'en fréquenter.

Mais j'arrivais pas à m'arrêter, j'ai commencé à me branler à travers mon boxer, je n'avais jamais été excité comme ça. Ce garçon m'avait retourné le cerveau en une après-midi. J'adorais ça, le sucer comme un pacha alors qu'il passait son entretien, me sentir comme un sextoy à son service...

De ma deuxième main j'ai saisi ses bourses et j'ai commencé à les malaxer, les étirer. J'ai senti sa voix vaciller, alors pour se concentrer sur ce qu'il disait, il s'est mis à me caresser le dos, la nuque. Moi ça me poussait à me donner encore plus sur sa teub, je sais pas pourquoi.

Et puis l'interlocuteur a fini par le féliciter avant de raccrocher. Il s'est affalé dans le canapé de nouveau, laissant échapper les râles qu'il retenait depuis plusieurs minutes et remarquant que je me caressait le paquet.

-Putain de merde, t'aimes vraiment ça hein, t'es une bonne grosse pute ! Allez bouffe-le bien mon gros chibre, salope !

Il a agrippé mes cheveux dans les deux mains et m'a forcé à tout prendre d'un coup. Son gland a tapé le fond de ma gorge, lui échappant un long râle de plaisir, tandis que je manquais de m'étouffer. Puis il s'est retiré et m'a embrassé à nouveau, me donnant quelques baffes. Ses mains sont descendues sur mon torse poilu puis sur mes tétons, les pinçant.

-J'ai de la chance moi, un bogosse pareil qui kiffe la bite... Allez comme t'as été sage, vire ton boxer et viens chercher ta sucette.

Il s'est allongé sur le canapé sur le dos. Moi, j'ai vite retiré mon sous-vêtement avant de me jeter sur lui pour reprendre sa teub en bouche. Putain, je sais pas ce qui me prenait mais je voulais la sentir à nouveau entre mes lèvres, sur ma langue, contre mon palais, je la voulais encore plus...

-Ta bite est trop bonne.
-Haha, je sais ma petite, je sais...

Je sais pas ce qui m'avait pris de sortir ça comme ça, tout seul sans qu'il m'ait rien demandé. Et j'avais kiffé sa réponse. Je me suis remis entre ses jambes et je m'approchais de son dard quand il m'a arrêté d'une main.

-Pas comme ça. Dans l'autre sens.

Il m'a fait signe de venir au-dessus de lui et je l'ai écouté, trop impatient de regoûter à son zob.

-C'est bien ma petite pute, comme ça.

J'ai à peine eu le temps de poser ma langue sur son magnifique gland que sa main s'est abattue sur ma fesse gauche.

-Tu fais quoi ? T'arrête pas sale pute.

Son ton était redevenu dur, autoritaire. Je me sentais coupable d'avoir arrêté sous le coup.

Une deuxième claque s'est abattue sur ma fesse droite, plus intense.

-Ça c'est un beau cul de vrai mec, hein p'tite pute !

J'ai émis un grognement d'approbation en le suçant. Une autre fessée m'a fait sursauter. J'ai repris tant bien que mal mon goûter lorsque une quatrième claque m'a fait gémir un peu dans les aigus.

-C'est qu'elle aime ça la chienne que je lui donne la fessée !

J'essayais tant bien que mal de continuer ma pipe, mais plusieurs autres claques m'ont empêché de continuer, m'extirpant des petits cris pas très masculins.

-Mais t'es une putain de femelle toi en fait ! Debout !

Je me suis exécuté, honteux des bruits que je venais de faire. Il s'est levé à côté de moi.

-À genoux sur le canap, penche-toi en avant.

Oh putain. Je savais ce que ça voulait dire. J'avais un peu peur, moi le mec baraqué, le chef de famille, le chef d'équipe respecté, j'en menais pas large. Je voulais pas... et puis en fait si, je voulais sentir ce que ça faisait, j'étais là, cambré devant lui, mon maître de la journée, à attendre ma sentence, pendant qu'il se branlait devant ce spectacle, un mâle alpha qu'il avait détrôné, dominé, réduit à une chienne soumise à sa bite, putain sa grosse bite elle me manquait déjà...

Son doigt m'a caressé la raie, puis l'anus. On ne m'avait jamais touché là, sous peine de représailles. Là j'étais pas en mesure de donner des représailles, j'étais seulement en mesure de les recevoir si j'étais pas à la hauteur. À sa hauteur... Alors je suis resté bien cambré, dos à lui, qui faisait des cercles autour de mon trou avec son doigt. Je soupirais déjà.

-Putain, t'as un sacré trou de pute ! Je vais t'apprendre à te pavaner avec un jean moule-cul comme ça...

Il a commencé à enfoncer son doigt. J'ai gémis. Il l'a enfoncé encore plus, m'arrachant d'autres gémissements. Je ne gémissais plus comme un homme viril. Je gémissais comme une salope.

-Vas-y, c'est bien, exprime-toi comme une chienne en chaleur, donne tout ce que t'as, montre-moi que t'es une bonne pute. Je vais le faire chanter ton accent, tu vas voir !

J'ai perdu le sens du temps. J'étais là, le cul en l'air chez ce mec que je connaissais pas, à me faire doigter comme une salope et à gémir de plaisir. J'oubliais sa queue, je me concentrais sur le plaisir que me procuraient ses doigts, putain je voulais pas croire que je prenais du plaisir de ce côté là, j'avais toujours pensé que c'était réservé aux salopes que je baisais...

-Ah mais t'aimes vraiment ça quand je te fourre ton cul de salope en fait ?

Sans m'en rendre compte, j'avais tendu mes fesses vers lui, en me cambrant encore plus sur ses doigts qui me pénétraient sans relâche, la tête sur le rebord du canapé et les bras balants. Une fessée monumentale m'a sortie de mes pensées.

-Je t'ai posé une question connasse !
-Oui, Tim.

Je balbutiais à peine entre deux gémissements. Tout ce qui se passait me tournait dans la tête. Il avait 19 ans, sûrement un pédé célibataire, aussi fragile qu'une brindille, moi 35, bien bâti, j'avais fondé une famille, un business, et pourtant... c'est lui qui me contrôlait.

-Sale pute !

Il a craché sur mon trou, étalant avec ses doigts pour me lubrifier. Il m'a passé un flacon de poppers.

-Prends-en un peu, ça sera mieux pour toi.

Comme c'était aimable. J'avais toujours été contre, une vraie pute devait encaisser au naturel. Sans réfléchir, j'ai reniflé une fois dans chaque narine. J'ai senti son gland se glisser dans ma raie pour se poser délicatement à l'entrée de mes entrailles. Il m'a titillé en se frottant plusieurs secondes, me faisant tressaillir. J'en pouvais plus.

-S'teu plaît...
-Quoi ?

J'arrivais pas à le prononcer, alors il a continué à me faire languir. J'ai fini par le lâcher.

-Baise-moi...
-Quoi ?
-Baise-moi s'il te plaît !
-J'ai pas bien compris, tu veux quoi ?
-Ta grosse bite !
-Où ça ?

J'étais en roue libre, haletant, j'en pouvais plus. Je comprenais même pas comment c'était moi qui avait pu demander un truc pareil.

-Dans mon cul !
-Mais je croyais que tu suçais pas et que tu te faisais pas baiser, m'sieur l'actif ?
-S'il te plaît...
-Alors finalement t'es quoi ?
-Une lope !
-Une quoi ?
-Une lope à bites, maître !

Mon trou s'est enfin ouvert, transpercé par le mastodonte que j'avais lubrifié de ma salive. J'ai eu mal, mais c'est vite passé grâce au poppers et à ses prélis. Il était doué. Il n'a pas tout rentré dans un premier temps, faisant quelques va-et-vient pour m'habituer.

-Oh, putain, Timmh...
-La ferme la lope, prends ma grosse teub en silence !

Et il s'est mis à s'enfoncer jusqu'au bout. Je crois que mes yeux sont sortis de mes orbites sous l'effet du plaisir que me procurait cette bite d'alpha dans mon cul de lope. J'ai balancé un cri de femelle, plus aigu encore que la salope du film porno, je ne contrôlais plus rien.

-Ouais, c'est ça, exprime-toi ma chienne, tu vas voir le gros chibre de Tim va te faire du bien !
-Han, han, han, han...

Quelle salope je faisais, à gémir sous chaque coup de bite... J'étais à sa merci.

-Ça fait le mec, ça joue aux gros durs mais face à une bite on la ferme hein !
-Ouais, Tim, ouaisss...

Il m'a lopé comme ça pendant plusieurs minutes, avant de se lasser. Faut dire que je n'avais plus beaucoup de répondant, j'étais une montagne de muscles qui se dilatait sur sa matraque.

Alors il a pris mes mains et les a mis dans mon dos, les tenant fermement, lui offrant une vue sur mes avant-bras couverts de poils et mes gros biceps tatoués dégoulinant de sueur et tremblant de plaisir. Du coup, sans plus rien pour la retenir, ma tête est tombée du rebord du canapé pour s'enfoncer dans le coin, étouffant mes cris de plus en plus forts.

-C'est ça, ta gueule, salope, sale chienne...

Je suis resté comme ça, à mordre le canapé sous ses assauts. Il me fessait régulièrement en m'insultant, et je gueulais, étouffé par le tissu. Dans mon état second, j'étais quand même surpris par la force de ses mains, car mes fesses me lançaient désormais. Mais je kiffais ça.

Je sentais son pubis venir se coller à mon cul à chaque va-et-vient, son pubis lisse et plat de mâle alpha qui me dominait de tout son être jusqu'à la plus petite cellule de mon corps. Ses gémissements ont commencé à se mêler aux miens, comme les feulements d'un lion aux cris perdus des gazelles, et ses mouvements ont accéléré, réduisant mon cul vierge à un piètre défouloir, non sans manquer de me procurer un plaisir qui faisait frémir mon corps tout entier.

C'est là qu'il m'a attrapé les cheveux à nouveau pour redresser ma tête. Le son de ses râles s'est approché de mes oreilles, il avait vraiment une voix grave, rauque... une voix d'homme, qui me maîtrisait, moi la salope, la femelle en dérive, et me ramenait dans le droit chemin de son engin ravageur.

-Sale pute, je vais t'éclater, tu vas voir...

Je rassemblais le peu de force qu'il me restait.

-Défonce-moi, Tim, vas-y...
-Papa Tim va te remplir, tu seras ma petite femme à moi, comme tu aimes si bien les baiser d'habitude, t'es une bonne grosse salope, sale chienne...

Chaque insulte qu'il prononçait me faisait l'effet d'une aiguille qui me transperçait le crâne de plaisir. Ses coups de butoir sont devenus de plus en plus puissants, claquant sur ma raie et au fond de mon cul. Il a lâché mes bras, et je me suis cramponné au rebord du canapé pour soulager mon cuir chevelu de sa poigne. Il s'est penché sur moi, a posé sa bouche sur ma nuque et m'a enveloppé d'un bras.

J'étais sa chose. Sa main est venue se poser sur mon membre, jusque là laissé livré à lui-même mais bien dressé comme un roc, et l'a empoigné. Sa bouche me happait la peau et je devinais qu'il laissait des suçons comme marque d'appartenance. Puis il est venu me dire à l'oreille.

-Tu veux jouir la pute ?
-Oui...
-C'est la bite à Tim qui va te faire jouir comme ça ?
-Oui, sa grosse bite... dans mon cul de salope...
-Et tu kiffes quand Papa Tim te baises comme une chienne comme ça ?
-Oui Tim... j'suis une grosse chienne... ta grosse chienne... en manque de teub...
-T'es une bonne chienne. T'as bien fait de tomber sur moi, je vais bien prendre soin de toi ma p'tite pute...
-Merci, Tim... je...
-Ta gueule la pute, maintenant je vais te féconder et tu vas découvrir ce que c'est de jouir de la prostate...

Tout s'est accéléré, sa main sur ma bite, son autre bras passant autour de mon cou, ses lèvres sur ma nuque, son marteau-piqueur qui me repeignait mon anatomie...

Il a joui de puissants jets, j'avais jamais vu ça. Mon cul débordait de sperme, et sa bite restait bien calée au fond, tandis que sa main me donnait en quelques mouvements le plus grand orgasme que j'ai jamais eu, soulageant les semaines d'abstinence passées, me murmurant par moments des petites insultes à l'oreille entre deux de ses grognements et couvrant mes cris de pute.

On a mis plusieurs minutes à redescendre, lui toujours au fond de moi, moi haletant, tenant à peine sur mes genoux, mais il me tenait fermement par chance.

-Dis-moi p'tite pute, t'as une femme ?
-Oui... et une fille...
-Si elles savaient ce que faisait la lopette qui lui sert de papa...

Puis, il a fini par me lâcher, se relevant et me jetant un paquet de mouchoirs.

-Allez, file. J'ai des trucs à faire.

Je m'essuyais brièvement mon propre pénis, ainsi que pour la première fois, mon cul dégoulinant.

Je faisais toujours trois fois son poids et sa carrure, mais je me sentais incroyablement plus faible que lui. J'aurais facilement pu lui résister, lui coller une raclée ou même partir, mais j'étais resté, volontairement.

Il me toisait, son regard désobligeant étant un peu plus apaisé. Je me suis habillé en silence, honteux.

-C'est quand la signature du devis ?
-Euh, mercredi.
-Cool. À mercredi alors salope !
-Euh, oui, à mercredi... Au revoir.
-Salut.

Il riait silencieusement, alors que je récupérais mes affaires. Pour la première fois de ma vie, je n'étais plus un homme à l'aise et bien apprêté. J'ai saisi maladroitement mon dossier avant de me diriger vers la porte en reboutonnant ma chemise.

-Eh, c'est quoi ton prénom ?
-Gauthier...

Il m'a fait un dernier clin d'œil, m'offrant une dernière vue sur son membre qui avait débandé mais gardait toujours un certain volume. Il l'a pris dans ses mains, voyant mon regard qui buguait dessus et voulant m'offrir un dernier souvenir.

-T'inquiète pas, il t'attend avec impatience, Gauthier. Pense à moi la prochaine fois que tu baises ta femme !

Et je suis sorti de la maison. Je n'étais plus le même, je n'étais plus l'homme d'avant. Je pensais qu'à lui, à sa bite, à comment il me parlait, au plaisir qu'il m'avait donné. Je voulais déjà retourner dans ses bras...

Gauthier du 13

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💦 1er Sept. | 74 pages

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