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18 Mars

Grosse queue
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HISTOIRE

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Premier épisode

Les lettres de Paul

Lettre 3

Cher Cousin,

Je t'écris avant même d'avoir reçu de tes nouvelles, afin d'apaiser tes potentielles craintes. Peut-être n'oseras-tu d'ailleurs pas me répondre, puisque je t'ai mentionné mon intention de fuir dans les plus brefs délais. Si cela te préoccupe, n'aie crainte, je réside toujours dans la demeure de Sao Paolo, à ma grande surprise.

Comme tu le sais, ma rencontre avec le maître de maison ne s’est pas faite dans les meilleures conditions. Pris de panique, je me voyais renvoyé, certes, mais aussi lynché ou battu en place publique. Tu te doutes, cousin, que si je suis encore en état de t'écrire, c’est qu’il n’en est rien.

Dans les heures qui ont suivi ce fâcheux incident, le vent n'a pas faibli, loin de là. De bourrasques, il s'est changé en cyclone, si bien qu'il a fallu clore les persiennes et barricader les portes. En l’absence du personnel de maison, j'ai dû m'y atteler seul. Cela relevait du défi…

Je m'apprêtais déjà à aller tirer Cristiano de son sommeil quand, soudain, deux bras puissants m’ont apporté leur soutien. Sans le regarder, j'ai su que mon employeur prenait les choses en mains. Lui et moi avons fortifié ensemble les gonds des portes, sans échanger un mot. Je n'osais pas relever la tête.

Malgré moi, mes yeux ont glissé dans sa direction. Comment ignorer ses énormes bras, presque plus épais que les miens ? Ses biceps contractés devaient faire la taille d'une de mes cuisses. Dans un élan de masculinité, je me suis senti obligé de rivaliser en exhibant à mon tour mes multiples atouts ; j'ai mobilisé à mon tour épaules, dos et bras pour tenter d'impressionner cet homme.

J'avoue que cet homme ne m’a pas laissé indifférent. La quarantaine bien passée, il présente l'un des physiques les plus avantageux que j'ai croisé jusqu'ici. Tout en muscles, il ne se prive pas de les mettre en valeurs, soit sous une chemise pleine à craquer, soit, comme c'était le cas à ce moment, en ne portant qu'un débardeur largement ouvert, qui peinait à couvrir ses larges pectoraux et ne dissimulait rien de ses tétons – aussi durs et pointus que ceux de son fils.

Lui m'a témoigné une indifférence sourde, jusqu'au moment où, dans un anglais à couper au couteau, il m'a intimé de le rejoindre dans son bureau. Mon cœur s'est alors emballé, je me voyais déjà congédié – ou pire...

Il m'a devancé à l'étage. Quand je suis entré dans la pièce, il m'y attendait déjà, assis derrière son bureau. Il contractait la mâchoire, ce qui rendait son visage encore plus angulaire. Ses traits sévères s'accompagnaient d'un regard noir, souligné par ses épais sourcils.

A cet instant, il me terrorisait autant qu'il m'excitait. Tandis que je me tenais debout devant lui, la tête basse, mon corps a tranché. Mon sexe a commencé à pulser et à s'étirer dans mon short de manière incontrôlable ; je l'ai senti s'alourdir et prendre du volume. J'ai bien tenté de bafouiller des explications pour cacher mon état mais, comme un enfant pris en faute, je ne parvenais pas à aligner trois mots cohérents.

Le maître de maison s'est alors levé et, d'un pas calme, il s'est placé face à moi. Avec sa carrure, il me dominait – ce qui n'est pas un mince exploit.

Je craignais son jugement ! Cependant, un détail me perturbait...

En baissant les yeux, j’ai soudain remarqué que son short tressautait. Se pouvait-il que... ? Eh bien, cher cousin, imagine ma surprise quand mon employeur a refermé sa main sur mon bras. Il s'est mis à me palper, à tâter mes muscles et à observer les moindres détails de mon anatomie, tandis qu’une érection ferme se dessinait au niveau de son entrejambe.

Dès que j'ai relevé la tête, ébahi, le maître de maison m'a saisi par la nuque et m'a attiré contre lui. Il m'a embrassé sans aucune timidité, m'enfonçant sa langue en bouche pour me rouler une pelle torride. Son odeur, son étreinte, sa force et son regard ténébreux… Rien à voir avec Cristiano !

Par réflexe, j'ai posé une paume sur son torse, sous le débardeur, afin de caresser sa poitrine velue ; mon autre main s'est aventurée jusqu'à son postérieur musclé, mais il l'a immédiatement ramenée sur son ventre.

– Ne pense pas que je suis aussi soumis que mon fils, m'a-t-il dit, toujours dans un anglais bancal. Ici, c'est moi qui commande, toi tu obéis.

Inutile de me le répéter. Mes hormones m'ordonnaient de me laisser guider. Mon employeur n'a donc eu aucun mal à m'ôter mon maillot ; il a massé à pleine poigne mes pectoraux, comme s'il s'était s'agit d'une belle paire de seins. Il a aussi témoigné un intérêt marqué pour contenu de mon slip, une fois mon short sur mes chevilles ; il a étreint mon paquet déjà dur, trop à l'étroit, sans pour autant le libérer de cet écrin de tissu.

Nos baisers devenaient presque violents. Rodrigo – il m'autorise à l'appeler ainsi désormais – m'a assis sur son bureau. L’instant d’après, je m'y trouvais allongé, le dos contre le bois, son corps de colosse au-dessus du mien. En un éclair, son débardeur a volé à l'autre bout de la pièce. Je pouvais enfin jouer avec son buste d'Hercule à ma guise ; j’ai dévoré à pleine bouche la toison qui couvrait sa poitrine, pendant que lui pinçait mes tétons et s'amusait à me faire couiner.

Tout ce temps, je sentais le poids de sa barre, plus bas. Il la pressait contre ma cuisse, à travers son short. Ses râles rauques m'électrisaient de désir. Ses doigts profitaient de mon corps ; il cherchait à me posséder avec une telle ardeur…

A cet instant, il pouvait exercer sur moi ses pulsions les plus viriles ! Je le désirais intimement en moi ! Au plus profond de moi ! Un « vas-y ! Prends-moi avec ta grosse bite ! » m'a même échappé. Tu me connais, cousin, quand j'ai envie...

Rodrigo s'est alors reculé pour s'adosser contre l'une de ses bibliothèques. Là, sans me quitter du regard, il a lentement descendu son short. J'ai vu apparaître, sous mes yeux affamés, la tige de chair épaisse – ce pénis qui allait me faire crier si fort. Et quel chibre ! Si nous pouvons, toi et moi, être fiers de ce que la nature a mis entre nos cuisses, j'avoue que mon employeur possédait ce genre de friandise qui a ma préférence – non pas longue, mais très épaisse !

Je me suis agenouillé, en adoration devant cette belle bite droite, à la peau veineuse et au gland foncé. Sa large base se perdait dans un enchevêtrement de poils sombres ; il l’entourait et s’étirait même dessous, là où deux couilles fermes pendaient dans l’attente de mes soins. Autant te dire, cher cousin, que je m’y suis mis sans perdre une seconde.

Ma bouche s’est précipitée sur cet organe pour en téter goulument la pointe ; dans ma hâte, j’ai même manqué de m’étouffer sur le morceau. Rodrigo a semblé apprécier ma fougue, puisqu’il a saisi ma tignasse blonde et, d’un coup de bassin, il s’est chargé de me remplir la gorge. Cette entrée fracassante derrière ma glotte m’a laissé pantois, essoufflé et rouge. Je ne me suis pas démonté ; tu connais mon ardeur quand il s’agit de satisfaire ce genre d’hommes. L’odeur de son entrejambe m’emplissait les narines. Je m’imposais une cadence de forçat pour sucer ce gros chibre, qui dégoulinait à présent de salive.

Rodrigo aime qu’on le suce ainsi. Mon jeu de langue faisait se contracter ses muscles. Il se tendait contre la bibliothèque et un frisson hérissait son torse poilu. Ses tétons pointaient tellement qu’il me suffisait de les effleurer pour lui tirer des gémissements. Sa barre raide bondissait alors hors de ma bouche chaude et accueillante pour taper contre ma joue ou mon nez.

Je retrouvais l’intense plaisir de satisfaire un mâle viril. Lui gardait ses yeux noirs rivés sur mon visage malicieux ; je lui rendais son regard en renfonçant son érection au plus profond de ma gorge. En dépit de sa largeur remarquable, il la voyait disparaître intégralement et, dès que son gland rencontrait le velours niché au-delà de ma langue, il manquait de jouir. Mes papilles devinaient d’ailleurs l’expulsion d’une petite dose de mouille salée.

De longues minutes s’écoulèrent ainsi, mais, à force de me voir cambrer à ses pieds, mon employeur en a voulu davantage. Et en bon garçon de plaisir, j’ai su le combler, bien sûr ! Je l’ai rassis dans sa chaise de bureau. Là, les cuisses écartées, il a branlé son gros morceau humide en m’intimant de revenir le sucer.

J’ai secoué la tête et, avec une lenteur qui l’a rendu encore plus raide, j’ai ôté mon slip. Il a écarquillé grand les yeux en découvrant ma propre queue, à peine moins épaisse que la sienne, mais diantrement plus longue – au fond, mon organe l’excitait, même s’il ne l’a pas admis. Puis un tour sur moi-même l’a ramené à l’essentiel : mon cul ! Toi et moi, cher cousin, possédons ce don de la nature – un fessier lisse, d’une rondeur parfaite, musclé et rebondi à souhait. Deux belles bulles séparées par une raie imberbe, cette voie royale vers le plaisir.

Le temps de sortir gel et capotes d’un tiroir de son bureau, et je me suis installé à califourchon sur mon beau Rodrigo. Il a saisi mon fessier à pleines mains, l’a malaxé en gonflant ses énormes biceps et s’est amusé à le claquer pour en tester la souplesse, pendant que je me dilatais manuellement la rondelle.

Je me suis ensuite lentement empalé sur son chibre ; d’abord le gland, qui a forcé mon anus, puis le reste. Petit à petit, j’ai introduit l’engin dans mon cul. Pendant ce temps, le père de Cristiano caressait mes muscles et promenait sa bouche vorace sur mon corps d’athlète. A l’instant où il a passé sa langue sur un de mes tétons, je me suis d’ailleurs ouvert comme par magie, j’ai touché le pubis de Rodrigo. Quel plaisir !

Je n’ai pas eu le temps d’amorcer plus de trois ou quatre va-et-vient, histoire de finir d’ouvrir mon boyau, que mon partenaire m’a ceinturé la taille et s’est mis debout. Il m’a étalé sur son bureau, a calé mes jambes sur ses épaules et s’est visiblement cru dans la chatte de sa femme – ce qui ne m’a pas déplu…

Les premiers coups de reins ont donné le tempo ; de longs allers-retours, puissants et fermes, qui me déboîtaient le fessier à chaque passage. Ses cuisses claquaient contre mes miches. Le bruit m’excitait ; le sentir en moi me transportait au septième ciel. Il malaxait mes pecs, tirait sur mes mamelons, m’écrasait avec sa large poitrine velue. Il me baisait comme le font les hommes, avec des grognements d’ours.

Je couinais. Les yeux fermés, mes mèches blondes en bataille, je hurlais à chaque fois que son énorme gland tapait ma prostate. Par instants, Rodrigo m’attrapait les chevilles et écartait mes jambes pour mieux me pénétrer. Je m’accrochais alors aux rebords de son bureau, qui se déplaçait sensiblement, tant il s’en donnait à cœur-joie.

Depuis combien de temps n’avait-il pas baisé, ce mâle en rut ? Je l’ignore. Cela fait déjà plusieurs heures que nous avons fini et je ne me suis pas encore totalement refermé.

Puis, au terme de longues minutes à se faire masser la poutre par mes sphincters, Rodrigo s’est soudain immobilisé. A travers sa capote, j’ai deviné la plus infime veine de son braquemart. L’engin a gonflé, les abdos du beau mâle brésilien se sont contractés et son sexe a lâché en moi de gros paquets de foutre chaud. Le réservoir en latex se remplissait de manière presque ininterrompue ; ce ne fut qu’au sixième ou septième râle que mon employeur a déculé.

Je me terminais à la branlette quand l’ai vu retirer son préservatif archi-rempli ! Mon propre sperme recouvrait mes abdos. Je l’ai nettoyé avec mon maillot pendant que mon partenaire détruisait les traces de son adultère.

Après ça, nous nous sommes rhabillés, essoufflés. Loin de me congédier, Rodrigo m’a offert un baiser de remerciement et m’a invité à profiter autant des fesses son fils que de sa propre virilité. J’ai acquiescé, puis j’ai regagné ma chambre en vitesse pour t’écrire tout cela.

Même si j’ignore encore où toute cette histoire me conduira, je profite de l’instant présent. Je rebande rien qu’en t’écrivant mes aventures. Je pense que je vais rendre une petite visite à Cristiano !

Je te souhaite le meilleur, mon très cher cousin, en attendant notre prochain échange,

Paul Beaucul

F I N

Et voilà pour une troisième lettre de Paul. Si j'en juge pas les messages que je reçois, le format semble plaire, et j'en suis ravi ! Je m'amuse énormément à écrire ces petites histoires, et tout ça pour votre plus grand plaisir ! Encore merci pour vos retours par mails ou sur les réseaux ;-) Si vous souhaitez en discuter, n’hésitez pas à passer directement sur mon compte , j’y suis plus réactif ;-) A plus et bonnes vacances !

Plume Gay

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