Ce récit remonte à quelques années.
C'est un cousin assez éloigné. La vingtaine, Il est beau comme un coeur, yeux bleu marine, blond, musclé 1, 80 / 75 kg Les traits fins une vraie gueule d'ange. Ses Lèvres sont plutôt pulpeuses et se mettent à briller lorsqu'il passe délicatement sa langue dessus comme pour les mettre en valeur …
Moi, c 'est will 1, 70 châtain les yeux vert, sportif. Un look de rugbyman imberbe…
Après une soirée arrosée pour fêter nos retrouvailles nous nous retrouvons malgré nous, dans le même lit ( comme quoi, la promiscuité peut avoir du bon😉). Nous sommes à l'écart, dans une petite chambre à l'étage de la maison familiale située dans le Nord de la France. L'atmosphère est assez lourde, nous sommes en caleçon, torses nu tant il fait chaud. Nous ne sommes qu'au printemps, mais le soleil a chauffé la pièce toute la journée et un orage est attendu dans la nuit. Nous avons passé la soirée à siroter “quelques” Mojitos et je dois dire que nous sommes tous les deux tout émoustillés. Après avoir évoqué les sujets les plus courants. La conversation dérape et nous parlons rapidement de nos conquêtes et aventures passées avec nos petites copines respectives. De plus en plus, de détails sont avancés. C'est presque devenu une surenchère entre nous, à tel point que je sens de petits picotements dans le bas ventre, signe que ma queue n'est pas indifférente à la situation. Il faut dire que Fred ne lésine pas sur les détails de ses ébats. Il est en train de me décrire le plaisir et l'excitation qu'il a connu lors de sa dernière fellation. Ces mots raisonnent en moi et m'excitent énormément. C'est à ce moment-là que je sens mon sexe se gonfler si fort que je le sens se déplacer tout seul, soulever mon caleçon et venir se plaquer contre mon nombril. Je soulève le drap en rigolant et dis à Fred en lui montrant la scène. « Mais tu vas arrêter ! Regarde un peu dans quel état tu me mets ! ». A ce moment là, il beugue devant ce spectacle inattendu. J'ai reposé le drap mais lui le soulève à nouveau, comme pour vérifier qu'il n'a pas raté quelque chose. Son petit tic enfantin le reprends et il se met à faire briller ses lèvres. Et comme obnubilé par la scène, il fixe ma queue en disant : « Mais comment tu as fait pour avoir une queue pareille ? » Il soulève son drap puis baisse son caleçon et me montre sa propre queue en errection. Je comprends ce qu'il veut dire, elle est de plus petite taille mais je la trouve très belle. Décalottée, rose nacrée toute minionne et bien raide comme au garde à vous. « Tu sais, ça n'est pas toujours la taille qui compte, la preuve, à quel point tu donnes du plaisir à tes copines ». Il a rabaissé le drap mais l'image de cette jolie queue dressée reste gravée dans mon esprit et je ne pense qu'à elle. Nous n'avons jamais parlé d'homosexualité tous les deux mais l'alcool aidant je me sens léger et en confiance et lui dit. « Tu sais j'étais déjà bien excité, mais le fait de m'avoir montré ta queue comme ça, ça m'a chamboulé ». Je relève mon drap et enlève carrément mon caleçon ( la surenchère continue)en lui disant. « C'est malin j'ai envie de me branler maintenant! .. ». Et là, à ma grande surprise, il me fixe à nouveau et me dit « Et moi, j'ai envie de te sucer ! ». Là, s'en était fini de ma retenue et de mes pensées secrètes. Je lui dis « si tu me suces, je te suce ». A ces mots, il se rapproche de de moi et sans rien dire saisit ma hampe et commence à la lécher doucement. Je mouille toujours énormément et je me demande comment il va réagir. Mais, ça doit lui plaire puisqu'il me dit « elle est bonne ta queue ! » et là, il la prend carrément en bouche jusqu'à la moitié. Il monte redescend. Je me sens aspiré c'est vraiment bon, il se débrouille vraiment bien. Je laisse échapper des soupirs de contentement de léger gémissements même Humm, quel pied. Il faut d'ailleurs que j'intervienne parce que mon excitation est trop forte et je risque de jouir avant même d'avoir goûté à sa jolie queue. Je glisse sur le côté pour atteindre à mon tour sa queue. Son caleçon glisse tout seul sans qu'il n'ait à bouger. D'ailleurs il continue son office avec passion et n'a pas fait d'autre geste pour m'aider. J'approche mes lèvres de cette queue que je désire. Une légère odeur de bite en chaleur s'en dégage. Je souffle dessus comme pour essayer d'éteindre cette jolie flamme que je sens grandir encore sous mes doigts. J'ouvre ma bouche et ne peux résister à l'enfourner tout au fond de ma gorge. En enroulant ma langue autour. Immédiatement un gémissement étouffé par ma propre queue retentit dans la pièce. Je me régale et lui aussi. Nos soupirs nos gémissements de contentement nous guident dans le plaisir. Je sens le plaisir monter en moi, c'est trop bon tellement inattendu. Je gémis de plus en plus sous ses assauts. Nous nous tétons latéralement. Je sens à mon tour le goût de son précum et je dois dire que j'adore ça. Et là, je sens mon sang bouillir en moi. J'ai l'impression que mes tempes vont éclater. C'est tellement bon. Et sans avoir le temps de le prévenir, une giclée de sperme explose de ma queue tandis que je gémis très fort. Sans rechigner il m'avale en redoublant d'efforts. C'est là que je sens sa queue faire de petits soubresauts et qu'à son tour il se met à geuler en me limant carrément la bouche. C'est violent mais délicieux à la fois. Et d'un coup, de longs jets de sperme chauds remplissent ma bouche et tapissent mon palais. Surpris par ce goût nouveau mais tellement excité par la scène, je finis par m'en délecter. Je gémis en avalant comme pour l'encourager. La source de ma queue ne s'arrête plus de donner. Nous jouissons tour à tour en nous déversant l'un dans l'autre. Une fois enfin libéré de tout ce plaisir. Fred revient à ma hauteur les lèvres encore plus luisantes que d'habitude. Et il me dit juste avant de m'embrasser, ”Je n'ai jamais vibré autant dans les bras d'une fille”, ”moi non plus Fred! Moi non plus “. La nuit s'est poursuivie avec autant de passion, remplie de caresses de jeux de langues s'aventurant dans les endroits les plus reculés. Nos gémissements ont continués à retentir jusqu'au petit matin lorsque nous finîmes enfin par nous endormir enlacés l'un contre l'autre... C'est là, que j'ai compris qu'il me faudrait absolument recommencer….
FIN 😜
Weell59
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