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HISTOIRE

Salle de sport

J’avais fini par retenir l’emploi du temps d’Adam, le vendredi était le jour où il faisait ses jambes, de 20h30 à 21h30, 30 minutes avant la fermeture.

J’adorais le jour où il faisait ses jambes, il venait toujours dans son short de boxe thai et passait son temps à le remonter jusqu’au bassin pour voir si la séance fonctionnait correctement sur le haut de ses cuisses.

Depuis que je venai à la salle, je l’avais vu se transformer, de petit gringalet qui venait pour accompagner son grand frère, aujourd’hui 2 ans plus tard il pouvait être fier d’exposer une importante musculature ; que ce soit sur les bras, le torse, les fesses où les jambes. Même ses mains et ses pieds étaient sec et taillés maintenant. De plus depuis un an il avait laissé pousser sa barbe, arborant une jolie toison brune qui formait un contraste saisissant avec son torse totalement imberbe. Chose plutôt surprenant pour un homme à la peau bronzé d’origine méditerranéenne mais ça faisait partie de son charme encore juvénile. Parce que oui Adam malgré tout ça a le même âge que moi, 21 ans. On était ensemble au lycée, même si on n’avait jamais été dans la même classe ni même s’était adressé la parole.

Sa séance se déroula comme d’habitude et moi je n’en perdis pas une miette, j’adorais voir tous ses muscles rouler sous mes yeux. Je restais donc dans mon coin à faire mes petits exercices sans le lâcher du regard. Je ne souhaitais pas avoir le même genre de corps que lui, non-moi si j’étais ici c’était seulement pour m’entretenir et m’aider dans mes cours de danse, pour garder mon physique gracieux de minet et mes quelques abdos.

Comme d’habitude une fille papillonnait autour de lui, il l’aidait chaleureusement, lui prodiguant des conseils mais je savais d’expérience que ça n’irait pas plus loin.

Après son départ il enleva le haut et continua, s’admirant dans la glace sans se douter que la seule chose que je voulais c’était lécher la goute de sueur qui tombait entre ses pecs vers son nombril. Même les frisotis bruns sur le bas de ses jambes m’excitaient …

21H32 le meilleur moment de la séance allait avoir lieu. Je me dépêchais de retourner au vestiaire pour en prendre plein les yeux. En effet y a quelques semaines j’avais découvert qu’Adam n’avait aucune pudeur. Après une de mes séances, ne sachant pas qu’il était là, j’avais commencé à admirer dans le miroir mon cul bien rebondi et joliment musclé dans mon petit slip moulant blanc quand il était sorti de la douche dans le plus simple appareil. L’image que j’avais alors eu sous les yeux s’était ancrée dans mon esprit.

Une longue tige molle et large pendait entre ses jambes, surplombant les deux plus grosses couilles que j’avais vu de ma vie. Sa longue bite encore plus mâte que sa peau pendait mollement par-dessus ses immenses couilles tellement foncées qu’elles semblaient presque noires. Il avait dû prendre une douche bien chaude car ses boules pendant allégrement elles aussi entre ses jambes. La fine toison brune surplombant cette large queue était toute humide, il ne s’était pas encore séché. Par contre là où finalement il y avait peu de poils au-dessus de son sexe, autour de ses couilles et dessus c’était plus fournis. Ses jambes restaient quant à elle imberbe hormis quelques frisotis sur le bas. Je remarquais alors des gouttes qui tombaient pendant qu’il marchait vers sa serviette au sol. Les gouttes tombaient directement depuis son gland foncé à demi visible, entouré par un prépuce bien serré de chair.

Il se retourna et je vis ses deux beaux morceaux, tout en muscle et à peine recouvert d’un léger duvet. Là il se pencha en avant pour ramasser sa serviette, m’offrant une belle vue sur son intimité. Quelques poil brun frisé dans sa raie mais surtout un magnifique anus foncé encore trempé.

Alors qu’il se relevait et s’apprêtait à se sécher, je savais qu’il remarquerait ma présence, je m’étais donc précipité dans une des douches, fermais le rideau, enlevais mon slip déjà à moitié souillé et commençait à me masturber avec frénésie. Je ne savais pas ce qu’il faisait à côté, tout ce à quoi je pensais c’était cette queue de bien 12cm au repos se balançant entre ses cuisses. Il ne me fallut pas plus de 2min pour faire cracher mes 18cm. En sortant il n’était plus là.

Depuis ce moment j’essayais toujours d’être là lors du leg day, le seul à ma connaissance où il se douchait, faut dire c’est la journée où on sue le plus.

Alors que j’arrivais dans le grand vestiaire de la salle, je remarquais que personne n’était en train de se doucher. Je l’avais pourtant vu monter y a deux minutes. Son sac était encore là, tout comme sa serviette. C’est alors que je le vis, il était rentré dans la cabine de sauna. Il était face à la porte vitrée, jambes écartées, ses grosses boules reposaient sur le banc en bois, écrasées par sa verge molle. Tout son corps semblait recouvert de sueur. Il ouvrit les yeux et vis que je le regardais, je m’apprêtais à bafouiller quelque chose quand il me dit :

— Ah pardon tu voulais venir ?

Sans même attendre ma réponse il se décala vers la droite, se rendant invisible depuis la porte vitrée. Je ne pouvais plus reculer, si je n’y allais pas il devinerait que ce que je regardais n’étais pas une place de libre mais son corps.

Je me déshabillais alors, pris ma serviette que j’enroulais autour de ma taille et rentrait dedans.

La chaleur était supportable mais mon corps se retrouva presque immédiatement humide de sueur. Adam était à l’autre bout, toujours les jambes écartées, son gland sortant légèrement de son prépuce. Alors que je cherchais une position qui cacherait mon érection naissante je me dis que le mieux serait d’enlever la serviette de ma taille pour en faire une boule que je poserais directement sur ma bite.

Alors qu’il gardait les yeux fermés je regardais les gouttes de sueurs se former sur son torse puis rouler jusque dans les poils de son pubis. Y en avait même qui tombaient de sa bite sur le sol. Il avait de gros tétons foncés bien dressés sur ses pecs massifs, de temps en temps il passait sa main sur tout le corps pour racler l’humidité.

Je n’en pouvais plus, j’étais en chaleur et ce n’était pas la faute du sauna. Alors qu’il rouvrit les yeux, je me dis qu’il verrait à tous les coups que je bande donc je m’allongeais sur le ventre sur le banc, écartant les jambes de part et d’autre oubliant que la serviette était posée uniquement sur mon entre jambe résultat je lui exposais totalement mes couilles et mon cul bien en face de lui.

— Hugo c’est bien ça ? On était dans le même lycée ?

— Heu oui c’est ça, répondis-je sans me retourner gêné de la vue qu’il a de moi.

— ça va tu n’as pas trop chaud, tu veux que je baisse la température ?

Y avait-il un message caché ?

— Heu, comme tu veux.

Je l’entendis se lever avant de réaliser que le thermostat se trouvait juste au-dessus de ma tête. Je vis d’abord ses pieds imberbes et pas si grand que ça mais très bien proportionnés, aussi mâtes que sa peau. Ils étaient souples, bien entretenus et puissants. On voyait qu’il se battait souvent avec lors de ses combats de boxe.

Ensuite une fois bien en face du panneau de control je me retrouvai avec sa bite gigantesque à 30 cm de mon visage. Je n’avais qu’un mouvement à faire et je pouvais la toucher avec ma bouche. Pensait-il que j’avais les yeux fermés ? Le faisait-il exprès ? J’en avais aucune idée, tout ce que je sais c’est que je passais les quelques secondes que j’avais à la détailler dans les moindres détails. Ses poils étaient trempés, ses couilles semblaient plus gonflées que la dernière fois. Peut-être un effet dû à la chaleur, en tout cas elles pendaient incroyablement à cause de leur poids. Mais ce qui attirait mon regard était sa bite molle, on devinait des veines malgré sa peau très foncées à cet endroit, le tout était recouvert de sueur qui coulait jusqu’à son gland qui devait bien faire un centimètre de plus en largeur que sa queue. L’ensemble semblait palpiter suivant le même rythme que les battements de mon cœur qui martelait dans ma poitrine. Ma queue commençait à me faire mal à cause de son érection contre le banc dur en bois.

— Voilà ça ira mieux comme ça, tu me semblais un peu déshydraté mec.

Normal j’étais plus qu’en chaleur et je n’arrêtais pas de baver sur le banc.

À la suite de ça il vient se poser dans le prolongement du banc exactement dans la même position que moi, jambes écartées de chaque côté, allongé sur le ventre. Seul détail à noter, sa queue partait en arrière son gland pointant vers ma tête. Mais ce qui attira directement mon regard c’était son anus presque noir qui palpitait entre ses deux fesses musclées. Il resta dans cette position jusqu’à la fin du cycle du sauna m’offrant une vue à la fois sur sa bite, ses couilles et son cul.

N’y tenant plus je me frottais frénétiquement sur la serviette coincée entre moi et le banc jusqu’à ce que ma bite éjacule abondement. Je réussi à ne faire aucun bruit mais j’eu peur que l’odeur de mon foutre me trahisse.

Il ne laissa heureusement rien paraitre et quand le minuteur sonna il se relava de ce qui semblait être un demi-sommeil et se dirigea vers les douches en me souhaitant une bonne fin de soirée. J’attendis d’entendre l’eau couler pour enfin me relever et essuyer le sperme sur ma bite et mon bas ventre.

Quand il sortit de la douche il me croisa dans le plus simple appareil mais je n’étais aucunement gêné, peu de risque que je bande maintenant. J’étais même fier cette fois de pouvoir exhiber ma jolie queue de minet blond imberbe.

Suite à cette soirée surprenante on devient de plus en plus proche à la salle se donnant régulièrement rdv. Il devenait aussi de plus en plus exhib avec moi et me souriait à chaque fois qu’il me surprenait à le mater. Il commença même à m’aider dans certains exercices posant ses mains puissantes sur mon corps svelte. Mais ce sont nos séances de sauna qui revenaient le plus, j’essayais de me branler avant pour faire comme lui et écarter mes jambes face aux siennes. On y discutait de tout et rien. Lui très tactile sur son propre corps, raclant plus que de besoin la sueur qui se formait, ou remettant sa bite en place et moi toujours une main posée sous mes couilles, là où c’est agréable. Dès fois je finissais avec une demi-érection malgré mes branlettes, ça le faisait rire mais ça s’arrêtait là.

Lors d’une de nos séances bras et pectoraux il me poussa à aller plus loin, me disant que je serai mieux proportionné avec des pectoraux juste un peu plus gros étant donné mon corps taillé en V. Je voulais lui faire plaisir et me démenais en faisant plus de séries avec plus de poids. Malheureusement à la fin de notre heure commune, une fois dans le sauna je lui fis part de douleurs que je ressentais à l’épaule. Comme il se sentait responsable il proposa de me masser.

— Ca va te détendre fais-moi confiance, dit-il de sa voix viril.

Lui obéissant je me retournais, toujours assis sur le banc, jambes écartées, lui offrant mes épaules et mon dos en sueur. Il posa ses deux mains sur moi et n’eut aucunement besoin d’huile au vu de nos corps luisants et humides. Son travail commença doucement sur le haut de mes épaules avant de monter vers ma nuque. Je me laissais totalement envahir par la sensation de détente et de bien être relâchant complètement mon corps. Il descendit ensuite vers mes omoplates posant ses pouces dessus alors que ses doigts passaient de l’autre côté juste sur mes côtes. Depuis cette position il descendit de plus en plus bas le long de ma colonne vertébrale et de mon ventre jusqu’à atteindre mon bassin. C’est alors que je poussais un grand soupir de réconfort envoyant ma tête en arrière la posant sur le haut de son torse. Alors qu’il me fit lever les bras et commença à me pétrir les aisselles et les biceps je me rendis compte malgré ma petite masturbation d’avant séances que je souffrais d’une érection monstrueuse. Etant donné que mon corps partait en arrière contre le sien et qu’il me dépassait d’une bonne tête il avait dû le remarquer mais ne laissa rien paraitre. C’est l’absence de remarque de sa part qui me fit m’abandonner à ses gestes sans aucune honte ni gène. Il s’occupait à la fois de mes bras et de mes pecs, retournant de temps à autre sur les côtés de mon torse ou ma nuque.

Ma bite était raide elle pointait vers mon nombril, mes couilles lisses et de nouveau pleine commençaient à durcir et remonter. Alors que ses mains descendirent vers mes hanches et mes fesses mon souffle s’accéléra. J’avais l’impression de gémir mais avec la chaleur j’hallucinais peut-être. Puis sans pouvoir me contrôler je dis « oui juste là, ça fait du bien » et sans prévenir j’éjaculais abondamment.

— Aaaah ouii encore, dis-je dans un souffle.

Quelques secondes plus tard il arrêta son massage, me laissant reprendre mon souffle et laisser le plaisir redescendre, la tête toujours posée sur le haut de son torse. J’ouvris les yeux et le vis m’observer de son regard amusé et je pris conscience de ce qui venait de se passer. J’avais joui alors que tout ce qu’il avait fait était de poser ses mains sur mon corps. Je n’avais jamais giclé sans qu’on me touche la bite. Je baissais les yeux et vis la quantité impressionnante de foutre sur mon torse, ma queue et mes couilles. J’avais dû envoyer au moins cinq giclées.

Je me relevais rapidement, très gêné en balbutiant des excuses avant de m’enfuir dans une des deux douches pour me laver.

Quelques secondes à peine après que j’ai fait couler l’eau il poussa le rideau pour rentrer. Son corps entier était en sueur, sa queue massive pendait toujours mollement jusqu’à mi-cuisse entre ses jambes.

— Désolé l’autre douche est en panne tu te souviens et je dois me laver aussi.

C’est alors que je remarquais qu’il avait un peu de mon sperme sur une de ses mains et son bras.

— Tu n’as pas à avoir honte tu sais. Tu n’es pas la première personne à avoir un orgasme alors que je la masse. Dit-il rieur avant de continuer. Bon j’avoue d’habitude mes mains descendent peut-être un peu plus bas.

— Je suis vraiment désolé ça été une longue journée et ça faisait longtemps que je ne m’étais pas branlé j’avais vraiment besoin de relâcher la pression, dis-je inventant une excuse.

— T’inquiète vraiment pas c’est juste un besoin naturel.

Le reste de la douche se passa sous le silence, on s’alterna sous le pommeau avant de se dire au revoir.

Je l’évitais pendant tout le reste de la semaine et même la semaine suivante. Laissant ses messages non lus et me rendant très tôt à la salle sachant qu’il n’y serait pas. Je m’étais relâché juste un moment et voilà qu’il devait me prendre pour le gay horny du quartier qui gicle en matant les hétéros.

Un soir après un de mes spectacles de danse je me retrouvais face à lui à la sortie.

— Je me souvenais que tu avais un spectacle ce soir et comme tu ne me réponds toujours pas …

— Désolé avec les répétitions j’ai été beaucoup occupé, bredouillais-je.

— Je me doute, en tout cas si tu as un peu de temps j’ai une compétition de boxe ce weekend tu n’auras qu’à venir.

— Ok j’essayerai de passer.

En avais-je envie ? Je crevais d’envie de le voir sur un ring mais oserai-je après ce qui était arrivé ?

Le jour venu je pris mon courage à deux mains et me rendis dans la salle en question, j’y appris qu’il était connu comme le loup blanc ici et était même un des favoris.

Tout l’après-midi je l’admirai jouer de ses muscles en sueur sur ses adversaires, il ne prit que très peu de coups et toujours sur une de ses protections. La tenue de ce sport était très légère, un short à la fois ample et collé sur le haut laissant voir la coquille qu’il portait, et quelques protections sur les tibias et le visage. Mis à part les gants tout le reste laissait apparaitre sa peau mate et humide. Chaque fois qu’il levait les bras en signe de victoire je voulais mettre mon visage sur ses aisselles, chaque coup de pied me donnait envie de ce pied posé sur mon corps, chaque prise était un désir d’être étreint.

Quand enfin il fut sacré vainqueur du tournois je me dis que j’allais pouvoir partir et relâcher la pression. Mais à peine descendu de scène il vint me voir et me demanda de le suivre.

On se retrouva dans un tout petit vestiaire privé réservé au vainqueur. Là sans rien dire, dos à moi, il commença à enlever ses gants, ses protections et son short. Sa coquille tomba et je me retrouvais face à ses deux fesses musclées littéralement trempées de sueur.

— Tu ne voudrais pas me masser, ça me ferait du bien après un match pareil ?

Devant mon silence gêné il se retourna pour s’excuser.

— Pardon je suis désolé mec, je pensais briser la glace comme ça mais j’aurai dû me douter que ça te mettrait mal à l’aise.

Je n’écoutais pas un traitre mot de ce qu’il disait, tout ce que je voyais c’était son sexe dans une demi-mole qui partait d’abord à l’horizontale avant de descendre à la verticale. Lui qui faisait bien 12cm au repos atteignait maintenant facilement les 17.

— Oups désolé, les combats ça me fait toujours cet effet-là. Bon je vais aller me doucher, ne bouge pas.

— ATTENDS, crai-je hypnotisé par cette queue. Tu ne voulais pas un massage d’abord ?

Je lis un mélange de surprise et d’amusement sur son visage, mais il se dirigea vers le banc, écarta les jambes pour les positionner de part et d’autre.

— D’accord, vas-y j’attends.

Je m’assis derrière et positionnais mes deux mains sur ses épaules noueuses. Je commençais mon travail lentement pour profiter de chaque contact. Je remarquais que plus je descendais bas, suivant les lignes des muscles encore en sueur de son dos, plus sa respiration était bruyante. Je ne me fis pas prier pour me rapprocher de ses fesses. Alors que j’arrivais juste au-dessus il commença à se pencher un peu en avant, les mains posées sur le banc, me dévoilant un peu plus de son fessier. J’en profitais pour le malaxer encore plus bas. Son cul était tout en muscle, gonflé à souhait et son duvet était encore un peu humide.

— Il m’a beaucoup donné de coup de pied sur le cul ce batard, ça me soulage tu n’as pas idée, me lâche-t-il.

Il finit totalement allonger sur le ventre, jambes légèrement écartées de chaque côté. Son trou brun foncé etait visible au milieu de quelques poils noirs. J’eu une envie irrésistible d’y mettre ma langue mais je me retins. Je continuai mon massage de ce cul divin, caressant de manière fugace sa raie et son trou. Je commençai alors à remarquer des palpitations, son anus semblait se serrer et s’ouvrir légèrement. Je le caressai donc de plus en plus, son souffle semblant s’accélérer. Mes doigts s’arrêtent dessus, appuie, il gémit de manière bestiale.

— Crache dessus, balance-t-il.

J’obéis et envoyai une grosse rasade de salive sur son trou à moitié ouvert. J’y enfonçai alors mon index. C’etait brulant à l’intérieur et il n’arrêta pas de se contracter sur mon doigt. Je trouvai rapidement sa prostate qui décidément semblait elle aussi très musclée. J’appuyai allégrement dessus, il éructa de plaisir. Alors que je m’apprêtai à lui bouffer le cul il se retourna dévoilant sa queue gigantesque complètement bandée dont le gland restait à moitié recouvert par son prépuce à la peau très épaisse. Sa bite était totalement brune, son gland encore plus foncé et elle devait bien faire 25cm par 6. Un véritable monstre, veiné et en sueur. Il s’allonge cette fois sur le dos et me dit

— Je veux te voir me bouffer le cul.

Je plaçai directement ma tête entre ses deux grosses cuisses et cherchai son trou de mes lèvres. L’odeur est puissante, celle d’un corps en sueur mut par un besoin primal de jouir. Pendant ce temps il leva ses jambes qui se retrouvairent à la perpendiculaire du banc, bien droites.

— Tu peux y aller j’ai tout nettoyé avant le combat je savais que tu voudrais le dévorer.

Ses couilles gonflées me retombèrent sur le nez, je commençai à dévorer son trou y glissant ma langue. Je lui roulai de véritable pèles profitant du gout du male qui vient de gagner son combat de boxe. De temps en temps je glissai en plus un doigt. Lui, il branlait sa queue à deux mains faisant retomber sans cesse ses boules sur ma gueule. J’adorai ça.

Son souffle finit par s’accélérer, d’une main il plaqua ma tête contre son cul je ne pouvai plus respirer. Lui les jambes bien en l’air commença à pousser des sons rauques. Il n’arrêta pas de jurer que c’était bon qu’il kiffait ça. D’un coup il bloqua son poignet à la base monstrueuse de sa bite. Son gland était tout gonflé et énorme, ses couilles maintenant bien fermes pulsaient sur mon visage.

— Putain oui dévore moi le cul je vais te gicler à la gueule.

En confirmation du sperme commença à pleuvoir, sept grosses giclées bien épaisses montèrent avec force pour me retomber dessus. Je lâchai son cul pour me précipiter sur son gland. Je réussis à recevoir les derniers jets dans la gorge alors que mon visage dégoulinait de foutre. Je le regardai malgré tout droit dans les yeux, sa tête déformée par le plaisir viril du mâle en rut.

Je le branlai doucement à deux mains en continuant de le sucer pour faire durer son plaisir. Il en profita pour se pincer les tétons en poussant de manière saccadé son bassin vers ma bouche. Après une petite minute de ce traitement il rallongea les jambes et son corps tout entier se détendit.

Sa queue commença à ramollir même si débandée elle me remplissait toujours la bouche. Je lui caressai un peu les couilles avant de lui demander :

— Tu avais parlé d’une douche non ?

Il réalisa tout d’un coup à quel point mon visage était souillé, j’en avait même un peu sur mon tee-shirt.

— Oh heu oui pardon mec c’est là-bas derrière.

J’allai donc dans le renfoncement qu’il m’indiqua où une fois arriver je me déshabillai avant de m’engouffrer dans la douche. Ma queue était dure et bien raide, très excitée par tout ce qu’il venait d’arriver. Je vais devoir me branler. Je fis couler l’eau par au-dessus avant de ramasser une bouteille de shampoing. En l’ouvrant je remarquai que c’était le sien ça sentait la même odeur que son corps. L’odeur m’excita encore plus. Je commençai à me branler avec force tout en me savonnant. J’avais encore le goût de son foutre visqueux en bouche, c’était un véritable délice. De mon autre main je commençai à me frotter frénétiquement le cul et la raie, m’enfonçant quelques doigts. Je commençai à gémir, je savais qu’il était à côté et que je devais être discret mais j’avais trop envie de jouir, impossible de me retenir.

Tout d’un coup une main me saisit la nuque et me plaqua au mur, alors qu’un doigt commença à m’explorer le cul. Son doigt était long, large, il alla loin, appuya partout à l’intérieur, tournant sans arrêt.

— Un vrai bon cul de danseuse, petit, gonflé et ferme, dit-il en me fouillant l’intérieur.

— Haaaaaaan, répondis-je n’arrivant à rien faire d’autre que gémir.

Son doigt sortit, je sentis un grand vide. Il me retourna, je vis son corps mouillé par l’eau qui lui ruissela dessus.

— J’ai aussi besoin d’une douche, dit-il désignant le sperme sur ses couilles et son bas ventre.

Sa bite n’avait pas fini de dégonfler son gland semble encore vouloir sortir. Ses deux couilles pendaient de nouveau. Tout son corps appelait au sexe, ses muscles étaient encore gonflés de l’exercice du combat, sa bite encore volumineuse de son orgasme, ses yeux sans pudeur dévoraient mon corps.

— J’ai besoin de jouir Adam, lui dis-je.

Il me plaqua au mur face à lui, écrasant mon corps avec le sien, nos sexes se rencontrant au niveau de ses couilles. J’étais comprimé par ses pectoraux, ses deux mains sur mes fesses alors que sa bouche rencontra la mienne. Sa barbe me piqua, j’adorai ça, sa langue démesurée me viola la bouche tournante encore et encore m’empêchant de respirer. J’agrippai aussi son cul, qui était aussi dur que du béton. Je me frottai contre son entrejambe pour grapiller un peu de plaisir au niveau de mon gland.

Ma bite était si dure et tendue que j’en avais presque mal, mon gland rose et gonflé offrit un drôle de contraste avec la peau lisse et bronzée de ma verge. Nulle veine, ni poil au niveau de ma bite, seule sa taille de 18cm faisait d’elle une queue d’adulte.

Adam finit par délaisser mon cul pour me malaxer mes petites couilles et ma bite, il semblait beaucoup apprécier. Il attrapa le savon et commença à m’enduire tout le corps, s’attardant beaucoup sur mon torse dans un premier temps. Il caressa mes abdos, tourna autour de mon nombril et pinça mes tétons. Puis ce fut au tour de mon entrejambe, il me masturba frénétiquement et pressa mes couilles tout en me doigtant de nouveau, je cru jouir plusieurs fois mais il s’arrêta toujours avant. Enfin il s’accroupit devant moi et savonna mes jambes et mes pieds avant, à ma grande surprise, de mettre deux de mes doigts de pieds dans bouche. Il joua avec sa langue, la faisant glisser entre chaque doigt avant de me suçoter quelque peu. Il reposa ensuite mon pied et tendit sa bouche vers ma bite.

— Si tu fais ça je vais jouir directement, le préviens-je.

— Et alors ?

Mon gland disparut instantanément entre ses lèvres alors qu’il continua de me caresser les couilles. Il coulissa le long de ma bite tout en tournant sa grosse langue autour de mon gland. Je m’apprêtai à jouir.

— Adam ça vient

Il continua encore plus fort et plus vite. Il me rajouta même un de ses longs doigts au fond du cul.

— Haaaaan oui c’est bon, plus fort.

C’est alors que sans surprise mes couilles se vidèrent à coup de grandes rasades, dans sa bouche d’abord, puis alors qu’il décida de la sortir sur son torse qui se retrouva recouvert de liquide blanchâtre. Il me masturba encore quelque seconde pour en faire sortir toutes les gouttes restantes pour mon plus grand plaisir.

Il finit par se relever, j’embrassai ses pectoraux et ses tétons goutant mon propre sperme. Je remarquai alors sa queue de nouveau bien raide et toujours aussi monstrueusement grande et virile.

— Besoin d’un coup de main ? demandai-je.

— Non pas maintenant, mais viens à la salle ce soir pour notre séance.

On finit par se rhabiller et on se quitta pour se retrouver à peine deux heures plus tard.

La salle devait fermer une heure et demie après notre arrivée, ne fallait pas qu’on traine, heureusement il n’y avait presque personne. On se glissa dans les vestiaires pour se changer, à peine enlèva-t-il son pantalon que je remarquai qu’il avait mis un jock, totalement déformé à l’avant par son membre. D’ailleurs dès qu’il enfila son mini short on ne voyait que ça.

— Tient j’en ai pris aussi pour toi, met le, dit-il me tendant un autre jock.

Heureusement il était quelques tailles en dessous mais au repos j’avais tout de même du mal à le remplir.

— C’est un de mes anciens avant que je fasse autant de sport.

— Ta queue arrivait à rentrer dedans ? demandais-je surpris.

— Hahah non pas vraiment, c’est ça qu’est cool.

Une fois mon short enfilé on fila vers la salle. Je compris vite que la séance allait être très chaude. Chaque exercice était une occasion pour toucher ma queue à travers le short … ou la sienne. Lors d’un exo de planche sa main passa par le trou de la jambe et me caressa mon trou en sueur. Lors d’un autre exercice il me glissa carrément un doigt. Rapidement on fut tous les deux en érection, son jock ne put contenir sa queue. Il se positionnera au-dessus de ma tête pendant le développé couché me laissant bien voir sa bite qui dépassait presque d’une manche de son short. Les tee-shirts finirent par s’envoler, il se positionna juste après derrière moi pendant l’exercice des muscles du dos frottant son entre jambe sur son cul en gémissant à mon oreille.

— Vas-y Hugo fais-moi du bien, oui comme ça, encore une série presse toi bien contre moi vas-y plus fort et plus loin.

Une de ses mains sur mon torse me frottant un téton, l’autre dans mon short pressant mon paquet prisonnier du jock. Je ne tenais plus et lui fis savoir.

— Je suis en sueur je dois aller au vestiaire.

— D’accord je te suis.

A peine arrivé, je m’agenouillai et commençai à sucer le bout de queue qui dépassait de la jambe droite de son short. Je lui dévore littéralement son gros gland foncé et suintant de mouille. Il gémit comme un bœuf. Je profitais du goût salé de son foutre.

— PUTAIN OUI, 3h que j’attends ça.

Cependant on entendit des voix, des gens devaient venir au vestiaire.

Je l’entrainai donc au sauna dans le renforcement qu’on ne pouvait voir depuis la porte et je lui enlèvai son short. Alors que des gens pénétrèrent dans la pièce.

Il n’y avait plus que ses couilles dans le jockstrap et à elles seules elles arrivaient à le remplir. Sa bite maintenant libérée remontait fièrement vers son torse. Mais ce n’était pas ça qui m’intéressai. Je le retournai et le mis à genoux sur le banc lui écartant bien le cul pour révéler son trou sombre qui palpitait. Sans préambule je me jette dessus et commence à lui dévorer. L’odeur était forte tout comme le goût, on sentait qu’il avait beaucoup transpiré. Il se retint de gémir à cause des gens à côté mais je voyai que cette montagne de muscles virile et barbue était totalement soumise à ma langue dans son cul. Il pressa ma tête de plus en plus fort mais se retint de toucher sa bite. Je me saisis donc de ses couilles et les malaxai longuement.

Je retirai ma tête de là, à son plus grand déplaisir pour lui dire.

— Je veux glisser ma bite dans ton cul.

— J’attends que ça, mais pas ici, la chaleur me retourne la tête. Attend ici deux secondes je vérifie qu’il n’y a pas plus personne, si je ne reviens pas rejoins moi sous la douche.

J’en profitai pour me déshabiller et libérer ma queue douloureuse du jock. Ne le voyant pas revenir je sortis lentement du sauna et ne voyant personne me glissai nu vers les douches, il n’y en avait qu’une avec le rideau tiré et le son de l’eau qui coulait. Je me glissai à l’intérieur pour trouver Adam penché en avant sous l’eau, le cul écarté en train de se doigter. Je restai comme pétrifié devant un tel spectacle, il finit cependant par me sortir de ma rêverie.

— Dépêche toi tu attends quoi pour me niquer ?

Je me déplaçai vers lui, le saisissant par le bassin et positionnai ma queue entre les deux blocs de pierre chaude qu’était ses fesses. Je poussai sur mon gland rose et déjà bien gluant qui le pénétra lentement dans un râle de plaisir commun.

— Vas-y met moi tout, mets-la en entier.

Sans me faire prier je continuai d’y enfoncer ma queue frottant son intérieur volcanique avec toute la longueur de mon membre jusqu’à ce que son cul vienne claquer sur mon bassin. Puis avant même que je puisse commencer mon mouvement de vas et vient il s’avança pour sortir ma queue y laissant que mon gland avant de reculer pour s’y empaler de nouveau dans un cri de plaisir. Il agissait vraiment comme une salope, d’ailleurs il s’était positionné juste devant le miroir de la douche je voyais donc le haut de son corps se contracter et son visage d’habitude si masculin et viril se tordre dans une expression perverse de plaisir. L’eau lui coulait sur tout le corps, depuis ses cheveux dont les petites boucles étaient aplaties sur son crane jusque dans le creux de ses reins avant de gouter de ses grosses couilles. Je le laissais mener la danse en profitant pour palper son dos et son cul.

— Adam t’es là ? Demanda tout d’un coup une voix dans le vestiaire.

Adam arrêta son mouvement et stoppa de gémir pour répondre à la voix.

— Oui sous la douche qu’est-ce qu’il y a Fred ?

C’était le réceptionniste de la salle.

— Normalement je devrais fermer là, tu en as encore pour longtemps ?

Une idée me vient, j’eu envie de donner à cet homme qui n’avais cessé de m’exciter pendant des mois ce qu’il méritait. Je repris donc le mouvement qu’il avait abandonné mais plus lentement, sortant totalement ma bite pour l’y remettre. Je le vis dans le miroir reprendre son air de pervers soumis mais rien dans la voix ne le laissa paraitre.

— Oui encore un peu, je dois faire tous mes étirements après.

— Ok pas de soucis, je te laisse claquer la porte quand tu as fini je dois vraiment y aller. Au fait il est parti le petit blond à qui tu donnais un cours ?

— Oui il est parti y a bien 20min maintenant et pas de soucis pour la porte ça marche.

— On voyait qu’il en voulait, un peu plus et il arrachait son short et te demandait de la lui mettre.

— Ahahah oui un vrai petit minet en manque de vrai mèèèèèc.

Pour lui montrer qui c’était le vrai minet en manque de bite je la lui avais enfoncée d’un coup plus profondément que toutes les autres fois.

— Ca va Adam ?

— Oui oui j’ai failli tomber.

— Ok pas de soucis, n’oublie pas de fermer la porte, ciao.

— Ciao.

Après son départ, je me penchai en avant et lui dit :

— Alors comme ça je suis en manque ? avant de le buriner un grand coup.

— Haaaaa oui c’est bon, non c’est moi qui suis en manque vas-y baise moi je te veux en moi.

Tout ça m’avait incroyablement excité, j’accélérai fortement la cadence claquant de plus en plus fort mon bassin contre son cul. Je sentis ma bite totalement décalottée au fond de ses entrailles qui ne cessait de frotter.

— Putain Adam c’est trop bon.

— Vas-y Hugo sert toi de mon cul fais toi du bien.

— PUTAIN OUI j’en veux encore.

— Hum Hugo ta bite c’est trop bon, lâche-toi, laisse-toi jouir.

— J’ai trop envie, ça va venir.

Je le mis face contre terre que le cul relevé pour aller encore plus profondément, il écarta ses fesses aux max avec ses mains.

— Putain oui comme ça c’est trop bon, dis-je avec plaisir.

— Haiiiin ou…ii jouiii, jouiii jjjjiiiii

Ses paroles n’étaient plus qu’un mélange de gémissement mais je compris qu’il voulait que je lui remplisse le cul de mon foutre.

Je lui attrapai donc le bassin et le défoncai littéralement quand tout d’un coup …

— AAAAAAAAAAAAH OUIIIIIII JE GICLE

Ma bite expulsa pendant presque une minute des rasades entière de foutre en lui, je continuai de le baiser utilisant mon propre sperme, c’était d’une obscénité incroyable mais je voulais profiter du moindre plaisir … Puis au bout de 2min je finis par sortir ma queue à demi ramollie de cet antre de plaisir. Je m’assis sur le sol, jambes à demi écartées et repris mon souffle. Adam, lui, releva le haut de son corps, roula et s’allongea sur le dos. J’observai mon sperme couler lentement en dehors de son trou encore bien ouvert avant de remarquer sa queue qui n’avait absolument pas dégonflée, au contraire tout ça semblait l’avoir rendu encore plus grosse. Il relèva son torse en poussant sur ses avant-bras avant de me dire.

— Ca va être ton tour on va voir si tu n’es pas un petit minet en manque de bite dans le cul.

Totalement désemparé avant même d’émettre la moindre objection ses bras m’attrapèrent les hanches, me retournèrent et il porta mon cul vers sa bouche. Sa barbe me piqua mais déjà sa langue s’afférera sur mon trou imberbe. L’esprit encore embrumé de ma jouissance je ne sentis pas encore ce qu’il était en train de me faire, ni sa langue qui me dévorait, ni son doigt qui finit par la remplacer, ni même les deux doigts qui vinrent ensuite. C’est seulement quand il en rajoute encore un, portant le total à trois, que je commençai à me sentir ouvert avec ma prostate qui me titille.

Pendant ce temps ma queue suintante reposait sur son torse et ma tête, elle, se perdit dans la pilosité virile et humide de son entrejambe. Sa bite imposante reposait contre ma joue, alors que ses couilles qui commençaient à remonter, étaient sous mon nez. D’une main je finis par attraper son sexe et commençai par décalotter doucement son gland en glissant vers le bas la chair épaisse qui le recouvrait. Il soupira de plaisir. Je remontai alors et commençai ainsi le vas et vient de cette bite monstrueuse.

Sans que je sache quand ma bouche rejoignit mes mains sur sa queue, en suçotant l’extrémité. J’avais perdu le compte du nombre de doigts dans mon cul. Au bout d’un moment il finit par me retourner pour me dire :

— Tu es prêt.

Sans préambule il souleva mon corps frêle de ses gros bras et se releva. Il était là debout, sa bite dressée fièrement vers le haut et moi dans ses bras. Il me retenait par les jambes, ses deux mains puissantes de chaque côté de mon cul positionné juste au-dessus de cet organe violent de plaisir. De mes bras j’entourai son cou et le fixai dans les yeux lui montrant ma crainte de ce qu’il allait arriver. Tout ce que je lus dans son regard fut une détermination sans faille, détermination à prendre ce dont il avait envie, peu importe ce que ça me ferait endurer.

Son gland rentra en premier, se décalottant au passage, la douleur aussi forte que le plaisir carnassier que je lus dans ses yeux. Il continua de baisser mon corps vers sa queue, je ne pouvais rien faire que d’endurer, totalement sous son contrôle. Chaque centimètre était un supplice, sa large extrémité m’écartant l’intérieur, jusqu’à ce qu’il atteignît enfin ma petite bulle de plaisir à l’intérieur de mon cul. La sensation inverse arriva, une explosion de bien être m’envahie éclipsant presque la souffrance. L’écartèlement que je ressentais, accentuait encore plus la pression sur ma prostate. Pour les vingt centimètres qui restait à rentrer ce fut comme dans un rêve, les frottements continus, le plaisir aussi. Enfin mes fesses reposèrent contre son pubis et on resta un moment comme ça. Pour s’habituer l’un à l’autre.

Je lisais toujours un besoin animale primale dans ses yeux mais il attendit encore un peu avant de faire le mouvement de vas et vient. Au bout d’un moment, une fois que j’avais fait mienne la douleur exquise que je ressentais dans le cul je l’embrassais à pleine bouche pour lui dire qu’il pouvait y aller.

Il me souleva donc, ses mains toujours sur mon cul jusqu’à laisser uniquement son gros gland suintant en moi. Ce frottement fut un orgasme à lui tout seul, puis d’un coup il m’empala de nouveau avec force.

— AAAAAAH, hurlais-je alors que du sperme coulait doucement de ma queue comprimée sur ses abdos.

Il recommença ce manège une dizaine de fois, à chaque fois plus rapidement, plus violemment et même je pensai plus profondément. Je finis par quitter mon propre corps pour rejoindre un océan de sperme et de plaisir. Ma queue éjectait continuellement avec une extrême lenteur de ma semence presque translucide. Ses abdos et mon sexe entièrement recouvert de ce lubrifiant naturel me procurait encore plus de plaisir en frottant les uns contre les autres.

Il finit par enlever totalement sa queue de mon corps, me laissant avec un vide abominable en moi. Il m’allongea sur le sol, souleva mon bassin et me prit face à lui. Sa bite reprit rapidement sa place et dans cette position plus avantageuse il me pilonna avec plus de force et de vitesse. Chaque coup de butoir éjectait une petite rasade de mes couilles. Ces dernières avaient tellement remonté vers ma queue qu’on ne les voyait presque plus.

Pour la première fois je remarquai le son animal qui sortait de sa bouche à chaque coup de bite monstrueuse qu’il me procurait. Je vis alors au-dessus de moi, non plus le garçon avec qui je faisais des séances de sport mais le combattant du ring que j’avais vu plus tôt dans la journée. Il était en train de mener un combat et j’étais sa victime. Chaque muscle ressortait obscènement de son corps, chaque veine pulsait avec force, une rage se lisait sur son visage, cette rage disait « tu souffriras jusqu’à ce que j’aie fini de violer ton cul ». Mais je ne souffrais déjà plus j’étais dans mon océan d’orgasme attendant le point culminant.

Des « PUTAIN » venaient de rejoindre ses gémissements animal, je comprenais qu’il allait bientôt jouir. Pour lui montrer ma totalement soumission à son plaisir je fis mine de me retourner pour qu’il puisse me prendre par derrière afin d’y aller encore plus loin et d’écraser son pubis contre mon cul décuplant son plaisir.

Il me plaqua au sol un pied humide sur la joue, mon bassin relevé il me baisa avec la force de tous ses muscles. Grâce au miroir de la salle je pu admirer le combat qui allait gagner contre mon trou. Tous ses muscles bestiaux jouaient leur rôle. Les claquements de son bassin contre mon cul, obscènes, s’intensifiait, il allait venir.

— AAAAAAH PRENDS SALOPE JE VAIS TE REMPLIR LE CUL, hurla-t-il.

Oui à cet instant j’étais sa salope et ces mots me finir, ma bite éjecta en grande quantité les dernières rasades qu’il me restait. Je vis le reflet de mon visage, la bouche grande ouverte sur le sol en train de baver, les yeux à moitié révulsé dans un air de pure perversion. Toujours son pied sur moi.

— ouiiiiiiiiii je jouiiiiiiis, dis-je presque inaudible ma voix portant dans les ultrasons.

C’est alors qu’il se calla tout au fond de moi, là où personne n’était jamais allé et commença à se décharger.

— PUTAIN ENCOOOOOORE, PREND MON FOUTRE.

Il refit ensuite encore trois mouvements se callant toujours tout au fond hurlant de nouveau que c’était bon dans un cri monstrueux. A chaque fois un orgasme sec me saisissait au niveau de la prostate, me faisant baver sur le sol, la tête écrasée par son pied.

Enfin sa bite mole sortit de mon cul. Le vide que j’avais senti plus tôt était rempli de foutre et rassasié par mes propres orgasmes. Il se laissa tomber au sol, je rampais sur lui, son sperme lui coulant abondamment dessus hors de mon cul. Une fois allongé sur son torse je l’embrassais encore une fois.

— vivement la prochaine séance, dis-je.

Il éclata de rire.

— Je suis vraiment ta petite salope, rajoutai-je.

— Et moi la tienne, dit-il.

C’est moi qui riais cette fois.

— Maintenant il va falloir que tu me dises comment tout ça a commencé non ? D’où te vient cette passion pour la baise hard entre mec ?

Il me fit un clin d’œil, mais il s’agissait d’une histoire pour une prochaine fois.

***

Pffffffiou fini !

Je pensais que cette histoire serait beaucoup plus courte.

Je me suis mis au sport y a presque 2 ans et ces séances m’excitent toujours beaucoup avec tous les mecs autour. Je devais donc raconter une histoire dans ce cadre. J’ai utilisé deux personnes que j’ai connues dans ma vie comme héros (bon ok Adam ne faisait peut-être pas 25cm de long mais la première fois que j’ai vu sa queue c’est l’effet que ça m’a fait) ! Si vous les avez appréciés don’t worry, on rêvera Hugo et Adam un jour mais pas ensemble. Pas tout de suite du moins.

J’attends vos retours !

Des bisous

Nei

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