Le ménage

Ce fait remonte au printemps dernier. Je voulais un peu m'évader de paris pour évacuer certains soucis. N'osant pas trop, j'ai tout de même contacté un couple d'amis. Celui-ci avait investi dans une splendide propriété dans le golfe de Saint-Tropez. A plusieurs reprises il m'avait proposé une invitation. Mes activités et responsabilités m'empêchaient d'aller le voir et découvrir ce lieu tout à fait paradisiaque. Je pense que vous avez deviné, que ce couple (non marié) est constitué de deux amis masculins Jean-Alexandre et Pierre-Gilles.

Ces amis ont une petite cinquantaine d'années et coulent des jours heureux depuis leur rencontre à l'âge de vingt huit ans. Jean-Alexandre est assez grand, bel homme, coiffé à la Karl Lagerfeld, quant à son compagnon, plus petit, au corps superbement bien sculpté, avec quelques gestes précieux qui mettent en valeur ses somptueuses bagues et montres.

Avant leur départ dans le Sud, nous nous voyions quelques fois dans l'année dans leur grand appartement parisien. Ils étaient très discrets et je m'étais seulement aperçu de quelques échanges de caresses furtives, mais rien de plus.

Le second jour de mon séjour je traînaillais un peu pour me permettre de décompresser et évacuer certains de mes soucis.

Dans l'immense pièce de leur villa je me suis installé dans un profond immense canapé. Ce canapé était très éloigné de quelques mètres de la très vaste baie vitrée qui faisait face à la piscine et à la mer. Le cadre était splendide, presque la photo de certaines revues des demeures exceptionnelles.

Je bouquinais et rêvassais par instants dans ce cadre au confort relaxant. Un bon moment après dans ce début de matinée, je vois Pierre-Gilles en train de s'appliquer à passer l'aspirateur. Avec la chaleur, il était pieds nus et seulement vêtu d'un long tee-shirt d'une grande griffe. Pour accompagner l'aspirateur, il était obligé de se pencher en avant afin de faire passer la brosse sous les bergères capitonnées. Il tournait autour du canapé, me demandant si tout allait bien pour moi et si j'arrivais progressivement à me détendre pour profiter au mieux de ce court séjour. Puis progressivement il se déplaça vers la droite de la pièce. Jean-Alexandre avait enfin terminé sa toilette avec la pose de ses différents onguents et soins. Oui Jean-Alexandre est très précautionneux pour sa peau, qui est très bien entretenue pour éviter les méfaits du soleil. Il vient me tenir compagnie avec une splendide revue d'art en main. Nous étions en train de feuilleter ce catalogue aux pages de papier glacé et commentions ces aménagements d'appartement et résidences luxueuses.

Le vrombissement de l'aspirateur s'approcha de nouveau. Et voilà Pierre-Gilles à repasser scrupuleusement la brosse lustreuse de son appareil. Il poussait, il poussait toujours plus loin la brosse sans pour autant qu'il change de place. Je m'aperçois qu'il est nu sous son tee-shirt. Pour prendre appui, il avait un peu écarté ses jambes pour bien caler sa stabilité. Il se penchait nettement en avant me faisant probablement inconsciemment voir sa verge qui était visible entre ses jambes. Mais aussi en se penchant, le tee-shirt involontairement avait remonté et me fais découvrir ses fesses assez arrondies. J'étais un peu surpris de cette situation. Eux qui depuis plus de vingt ans que je les connais, toujours pudiques et discrets.

Je continue à feuilleter la revue lorsque jean-Alexandre me donna un coup de coude et me dit t'as vu le beau cul de mon Pierre-Gilles; Je dois avaler ma salive pour ne pas m'étouffer en entendant ces paroles.

Regarde, comme il est beau, il est bien rebondi en entendant cela j'étais assez gêné et au même moment Pierre-Gilles se penche nettement davantage en appuyant une de ses mains sur un lobe de son muscle fessier pour l'écarte un peu. Je crois rêver, je ne le savais pas si impudique.

Alors, jean-Alexandre se lève du canapé et soulève complètement le polo de son compagnon et lui écarte carrément les deux lobes. A taton Pierre-Gilles arrête le moteur de l'aspirateur. Jean-Alexandre tenant toujours le fessier vint s'asseoir dans le canapé. Il écarte encore plus et me dit : "regarde son petit trou" il aime qu'on le regarde. Pour moi cela me faisait ni chaud, ni froid. Oui effectivement il était joliment plissé régulièrement. Il était rose.

Ne voulant pas rester complètement à l'écart ou indifférent, je réponds à Jean-Alexandre, tu trouves cela joli, il y a des poils c'est moche. Ô ce n'est pas grave ! ! !

Pendant ces quelques mots d'échange Pierre-Gilles était toujours dans la même position d'être pencher en avant avec l'impression content qu'on le félicité sur son anatomie verso et je crois même sensible des mains de jean-Alexandre qui se baladent sur cette zone.

A ce moment-là Jean-Alexandre sort sa longue langue agile et vient laper la petite rosette de son ami. La pointe de cette langue touche ce bel orifice rose. Les premiers gémissements de Pierre-gilles se font entendre. Et à peine quelques secondes après il commence à se tortiller.

Là je suis très surpris, mais assez excité par cette situation absolument imprévue. Voyant cela, je regarde de plus près et je m'aperçois que ce petit trou se déplisse par saccades, c'est assez impressionnant, surtout qu'au moment où il s'ouvre les onomatopées émises par Pierre-Gilles sont plus fortes et intenses.

Alors que cette zone n'est pas ma plus grande excitation, je mouille mon majeur et ma main pousse la tête de Jean-Alexandre pour introduire mon doigt au moment où la corolle de Pierre-Gilles s'ouvre. Ce fut incroyable tout son intime tunnel était plein de mouille et j'ai pu aller le plus loin possible ce qui le fait gémir, crier, hurler de joie et de plaisir. Je n'avais pas prévu que ce simple geste pouvait l'amener à un tel plaisir.

Au moment où Pierre-Gilles poussa un hurlement de plaisir, je regarde jean-Alexandre assez heureux du plaisir que prenait son ami, mais inconsciemment je lui avais retiré son travail quotidien qu'il prodiguait à son Pierre-Gilles. J'étais gêné et confus.

Après enlevé mon doigt, immédiatement Jean-Alexandre se met à relâper l'orifice, et moi je glisse du canapé pour me mettre devant Pierre-Gilles et prendre son sexe en pleine érection en bouche; Je referme mes lèvres en commençant une profonde fellation.

Pendant tout ce temps, je ne me suis pas rendu compte que Jean-Alexandre s'était levé du canapé; Il a saisi les hanches de Pierre-Gilles et un cri se fait entendre, c'est jean-Alexandre qui vient d'introduire sa belle queue dans l'orifice aussi agile de Pierre-Gilles.

Depuis le temps l'anus de Pierre-gilles était près à l'emploi, c'est pour cela que son compagnon, l'a embroché d'un coup ce qui fut très excitant pour moi.

Durant tout ce temps je lèche, j'aspire, je titille le sexe Pierre-Gilles qui couine pour son cul, qui gémit pour sa fellation et qui hurle pour l'orgasme qu'il va bientôt atteindre.

Jean-Alexandre accélère ses mouvements de hanches avec de forts va-et-vient pour faire entrer le plus profondément sa belle queue dans le fondement de son Amour de compagnon qui hurle d'impatience et de plaisir. De mon côté ma fellation se transforme en gorge profonde, et je sens cette belle verge (qui a des poils tout au long de celle-ci) gonfler, se raidir.

Heureusement que mes amis ont acheté cette splendide et vaste propriété, car les cris, hurlements et supplications de Pierre-Gilles dépassent les cent décibels de plaisir.

Chose que je n'ai jamais pu observer à ce jour, la jouissance d'un cul avec de puissants écoulements de jouissance pendant que je recevais en bouche quatre abondants jets de sperme.

A ce moment là Pierre-Gilles s'effondra complètement vidé sur le magnifique carrelage du salon.

Ce fut un moment intense pour nous trois. Depuis que nous nous connaissions cela n'était jamais arrivé.

Pierre-Gilles me remercia pour cette profonde fellation et me fit comprendre qu'il en souhaiterait d'autres durant le reste de mon court séjour chez eux

Mais j'ai émis une condition pour que je réitère sa montée extraordinaire de l'excitation à la montée de l'orgasme , que tous ses poils qui galopent et décorent tout le long de sa belle bite et les poils qui entouraient sa jolie petite rosette soient enlevés par mes soins à la cire afin d'être bien plus joli et désirable.

Grâce à leur gentillesse se fut un très agréable et apaisant séjour pour moi en profitant certains jours des excitations et éjaculations du docile Pierre-Gilles