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HISTOIRE

Initiation tardive

C'est seulement maintenant que je me décide à vous raconter cette histoire vécue avec mon meilleur ami. Pour les circonstances le début est un peu long mais vous ne le regretterez pas. J'avais 19 ans au moment des faits.

J'ai perdu mon père très jeune, et quelques années après ma mère s'est remariée lorsque j'avais douze ans. Mon beau-père, Jean-Baptiste, est un homme presque parfait; il est très gentil et surtout très prévenant et attentionné avec ma mère. Il a toujours été attentif à mon éducation et surtout que je ne manque de rien tant sur le plan matériel, éducatif et affectif.

Il était le directeur d'une petite société, et cela nous obligea ma mère et moi-même de déménager alentours d'Eze (Côte d'Azur). Il avait une magnifique et grande maison.

En même temps que mes études, je fis le Conservatoire de musique de Nice, et eu la chance d'intégrer également celui de Monaco. Et c'est dans celui-ci au cours des années que j'ai sympathisé avec un ami. Nous avions à quelques mois près le même âge. J'étais en classe de piano et lui en classe de chant. L'un et l'autre avions obtenu un prix, nous nous sentions prêts pour former un ensemble pour se produire dans la région pour des récitals. Nous avons décidé au début du printemps pour se produire en concert dans une ville voisine. Nous devions répéter, et après s'être renseignés, nous nous sommes aperçus que toutes les salles de répétitions du conservatoire étaient réservées sur plusieurs semaines.

C'est alors que j'ai demandé à mes parents si Gonzague pouvait venir à la maison, mais aussi rester trois jours pour faciliter notre travail de répétition. Mes parents ont accepté, tout en sachant ce qu'incombe ces heures de musique hachée des œuvres.

Le lendemain, mon ami Gonzague arriva. Après de très rapides présentations, je l'emmenai dans la pièce contiguë au salon où trônait mon magnifique piano à queue Steinway que mon beau-père m'avait offert à l'arrivée de notre installation.

Nous nous sommes arrêtés après avoir travaillé toute la journée pendant neuf heures. Nous avons dîné sur le terrasse avec les parents. Vers la fin du repas, ma mère s'adressa à Gonzague

" Tout à l'heure vous prendrez la chambre à droite au premier étage, la vue est belle, Phillippe (moi) vous la montera;

Je trouvais cela très bien. C'est ce que j'avais un peu pensé. Au bout d'un instant mon beau-père intervint

" Pourquoi ne prendrait il pas la chambre du fond, elle est grande et il y a deux lits et comme cela ils pourront encore parler de leur concert".

Je réfléchis et acquiesçais un peu de la tête en regardant Gonzague.

Fatigués de cette première journée de répétition nous n'avons pas tardé à monter dans la chambre. Sans imposer, je conseillais à mon ami le lit à l'entrée de la rotonde où la vue était splendide avec les trois portes-fenêtres et moi je prendrai l'autre lit sur l'autre pan de mur.

Je propose à Gonzague d'aller dans la salle de bains.

"Prends-là, je vais installer mes affaires, j'irai après".

Je me dirige alors dans la salle de bains pour me mettre en tenue de nuit. En sortant de la salle de bains Gonzague était déjà couché. Après s'être souhaité bonne nuit, je me mis au lit. La pièce était alors baignée d'une douce lumière naturelle extérieure. Bien que fatigué, j'étais nerveux avec des difficultés de m'endormir. Tout était très silencieux et à un moment de la nuit, j'entendis du bruit comme un soupir. Je levai légèrement la tête de mon oreiller et balayai la pièce du regard, quand mes yeux se fixèrent vers le lit de Gonzague. Je voyais son drap bouger et remuer. Je retins ma respiration et vue le mouvement Gonzague était en train de se masturber. C'était son souffle qui brisait ce grand silence. Le drap bougeait de plus en plus. J'avais le cœur qui battait et cette situation commençait à bien m'exciter. Au moment après un soupir plus soutenu il enleva le drap et il se trouvait nu, la douce lumière extérieure mettait son corps en valeur. A ce moment j'ai commencé à me caresser, mon sexe enflant de plus en plus. Je me mis assis sur mon lit pour admirer cette silhouette digne d'une peinture de Vinci. Puis un long soupir suivi immédiatement d'un petit bruissement lorsque je vis la projection d'un jet de sperme devenu translucide par la lumière. C'est alors que je pris mon courage à deux mains et lui lança :

"Cà fait du bien"

il fut surpris et sursautant.

Il tourna sa tète et ajouta

"Oh excuse moi, excuse moi, j'avais vraiment envie"

A quoi je répondis

"C'est naturel après toutes les heures de tension de la répétition. Mais de t'avoir observé, tu m'as vachement excité"

Il rajouta :

"Tu t'es fini ?"

"Non pas encore"

A cette réponse il se leva. Entièrement nu, la queue à peine redescendue après sa spectaculaire éjaculation au pubis apparemment épilé. Il avait un corps magnifiquement proportionné, légèrement musclé. Le torse bien dessiné imberbe. Et il se dirigea vers mon lit. Il s'assied et à ma grande surprise souleva le drap. J'avais encore ma main dans mon pantalon de pyjama. Jusqu'a présent

Je n'avais jamais eu de relations ou de rapports avec un homme ou un garçon de mon âge, vingt deux ans. Seulement de l'onanisme. Très gentiment avec sa main il caressa l'étoffe du pyjama en trouvant ma main. Après quelques minutes il tira pour que le pantalon descende en faisant apparaître ma tige toute raide. Inconsciemment j'avais honte. Mais il était tellement doux et délicat que je me suis laissé faire. Après quelques vas et vient de sa douce main sur mon phallus, il se baissa et oh surprise ! il mit ma verge en bouche. Quelle incroyable caresse. Il salivait tout en faisant monter et descente sa tête. C'était merveilleux. Je fermais les yeux. Puis je me suis complètement allongé. Gonzague faisait un bruit incroyable de succion. De son autre main il se mit à caresser mes couilles et le périnée. Ce qui ne m'était jamais arrivé, je me mis à soupirer et à couiner. Mon corps au niveau de mon bassin se mit à se soulever, et d'un coup il tient ma pine avec sa main et me fit une gorge profonde, j'ai poussé un cri en lui disant : "Arrête, arrête". Je me suis permis de mettre mes mains sur sa tète pour qu'il ne lâche plus ma queue toute mouillée de sa salive. A un moment peut-être fatigué, il ralentit et pour respirer enleva brièvement mon membre de sa bouche. Mais instinctivement je lui lançai "continue, continue, c'est trop bon. Je ne savais le plaisir que l'on pouvait avoir avec une fellation. A çà il me répondit,

"Et surtout lorsque c'est la bouche d'un homme"

Puis il remit mon engin en bouche et se mit à l'aspirer et manouvrer sa langue autour de la couronne de mon gland. Ma queue se durcissait de plus en plus; Une certaine chaleur m'a envahit, j'avais les joues écarlates. Je sentais que çà venait:

"Attention, attention ça monte je vais jouir"

Il serra légèrement ses lèvres sur mon chibre et continua son mouvement de va- et-vient.

"Vas plus vite, vas plus vite"

je voulais jouir, mais il garda sa cadence ce qui fit monter encore plus mon excitation. Et au moment où j'éjaculais dans sa bouche une immense et incomparable jouissance se produit que je n'avais jamais connue. Et sans me contrôler, involontairement je me suis mis à pousser deux grands cris, presque hurlements.

Pour éteindre ces onomatopées Gonzague mis ses lèvres sur ma bouche, que j'ouvris et il y déposa mon sperme qu'il avait dans la sienne, avant de m'affaler complètement pour reprendre mes esprits Après son long baiser, sans rien me demander comme une anguille il glissa son magnifique corps dans mon lit.

Toujours au dessus des draps il se mit à me câliner. Je ne savais pas les tendances de cet ami qui me fit découvrir ce grand plaisir. Je fondais en recevant ses agréables baisers et avec sa main ses douces caresses sur mon corps. Et nous étions bien blottis l'un contre l'autre dans la pénombre de cette pièce avec la vue sur la baie.

Pendant ce moment de douce tranquillité apaisante, et après quelques instants à notre stupéfaction la porte s'ouvrit. Apparu mon beau-père dans sa robe de chambre, droit comme un I.

"Qu'est-il arrivé ? – rien de grave avec ces cris ?"

je ne savais plus où me mettre. Gonzague me serra encore plus fort. Nous étions toujours nus sur les draps.

Jean-Baptiste s'approcha du lit. J'appréhendais sa réaction de me voir dans cette tenue et dans cette position. Au pied du lit ajouta

"Ah!, oui !je comprends. Je vais aller tranquilliser Suzanne (ma mère), mais ne craint rien"

Il se dirigea vers la porte, ne la ferma pas, et pris le couloir à gauche vers leur chambre. J'avais le cœur qui battait à toute vitesse. Gonzague en m'embrassent doucement le cou me dit :

" C'est de ma faute, non seulement je t'ai dérangé dans ton sommeil et maintenant nu tu te fais prendre dans mes bras par ton (beau) père."

Je ne répliquais pas tellement j'étais sous le choc. Et pour réponse je tourne ma tête pour que nous puissions nous embrasser.

Jean-Baptiste revint et ferma la porte de la pièce, là j'ai eu très peur de reproches. Il vint s'asseoir sur le lit. Il y a eu un silence, et, ajouta

" C'était bien, c'était bon les enfants ?".

Avec courage, c'est Gonzague qui prit la parole.

" Monsieur, c'est de ma faute, c'est moi qui est tout déclenché par mon comportement, et lorsque je suis venu sur le lit de Phillipe, il a eu peur et a crié. Nous n'avons rien fait. Veuillez m'excuser monsieur Y. je suis gay et j'ai des pulsions".

Mon beau-père écoutait, regardait Gonzague qui avait son bras autour de mon cou. Parfois je constatais le regard de mon beau-père balayer l'anatomie de Gonzague. Jean-Baptiste lui fit un compliment :

"Vous avez un très beau corps jeune homme et je constate que vous êtes épilé c'est très sympa "

Je n'avais pas connu mon beau-père parler de la sorte et de sexe. Il avait été toujours très prude et réservé.

"Vous êtes seulement venu vous réfugier dans le lit de mon (beau) fils ?"

"Oui, monsieur, si j'étais allé dans la chambre que votre épouse m'avait affectée, cela ne serait pas arrivé, je serais resté dans ma chambre"

Gonzague savait arranger les choses

Au fil de la conversation le peignoir de mon beau-père se décroisait légèrement. Il était nu en dessous. (je ne l'avais jamais vu nu). Il ajouta

"Je vois que tout va bien, je vais prendre congé de vous et laisser dormir"

Il se leva, le peignoir s'est ouvert complètement, la ceinture était tombée. Et !!!

Oui in-croy-a-ble il était en pleine érection oui il bandait dur. Je n'avais jamais vu ou aperçu son sexe. Je ne savais pas qu'il était si important.

D'un bond, Gonzague se redressa en s'asseyant sur le lit, et s'adressa à mon beau-père

"Monsieur Y si vous le permettez, en connaisseur, je n'ai jamais vu une telle queue. Dommage que votre pubis soit si fourni. Sans poil elle serait plus belle encore. Vous permettez ? ?"

et Gonzague tendit le bras en ouvrant et fermant sa main. Mon beau-père est devenu écarlate et semblait très gêné (probablement car j'étais là) Gonzague s'avança davantage et pris la bite de Jean-Baptiste en main. Mon beau-père à ma grande surprise eut aucun mouvement de recul et aucune protestation. Il se laissa toucher.

Gonzague passa aussi quelques doigts dans la touffe de poils, et avec presque un manque de respect

"Il faudra enlever tout ça, ce n'est pas beau, vous serez alors encore plus excitant"

Je ne savais plus où me mettre, surtout lorsque mon ami lui dit:

"Qu'est-ce qu'elle est belle avec ses 20 cm"

Mon beau-père lui répondit

"Non, jeune homme 23 cm et si vous voulez en savoir plus, sur 6"

Gonzague que je n'avais jamais vu comme cela depuis tout le temps que je le connaissais, ajouta

"Mettez-vous là et allongez-vous"

Mon beau-père s'allongea avec sa queue au garde à vous. Son mandrin était bien fier et son gland légèrement décalotté luisait.

Gonzague se mit debout sur le lit, enjamba le corps légèrement poilu de mon beau-père. Il écarta ses longues jambes autour de celles de mon beau-père étendu et lui faisait face.

Gonzague commença à descendre. Je n'en croyais pas mes yeux, pas pour mon ami mais pour mon beau-père qui s'amusait avec un gay. Gonzague continuait de descendre. Jean-Baptiste mis ses mains autour de la taille de Gonzague et accompagnait sa descente. De sa main gauche Gonzague pris la queue pour la guider vers son orifice. A un moment le pénis a dû le trouver, car Gonzague ferma les yeux et se mordit les lèvres. Et prononça d'un seul coup

"J'en n'ai jamais eu autant dans le cul; j'espère que tout va rentrer.

Mon beau—père lui répondit

"Remontez, soulevez-vous, je vais mettre de la salive faute de gel"

"Non, non, ça va aller, je vais prendre mon temps, cela va être mon record avec un tel monstre."

Mon beau-père enleva une de ses mains de la taille de Gonzague et la dirigea vers sa queue de mon ami qui s'était remise à bander. J'étais éberlué de ce tableau irréaliste de mon beau-père en action. Au bout de quelques minutes Gonzague lâcha

"Je crois que j'ai enfin tout mis, je sens vos poils même rentrer"

"Oui vous avez bien tout mis; c'est incroyable. C'est extrêmement rare que je puisse tout mettre, sauf dans la chatte de ma bourgeoise, mais c'est autre chose; j'ai plus de plaisir et de sensations avec toi Gonzague"

Et là, Gonzague se mis à monter et descendre tout au long de cet obélisque de chair; A un moment il s'accéléra ses mouvements avec des c'est bon, c'est bon;

Pour lui accentuer les enfoncements mon beau-père faisait des ondulations de son bassin.

En voyant cela, faisant fi de mon beau-père, je me suis mis à me masturber.

Pendant l'enculage, mon beau-père avait accéléré la branle sur le sexe raide de Gonzague.

Mon beau-père était pivoine, cramoisi et lança un

"Ca vient, ca vient je vais jouir, je je jouiiiiiis je jouiiiiiiis ah ah c'est bon.

Gonzague prit sa queue que mon beau-père avait lâchée lors de son immense orgasme et se mit à s'astiquer et lâcha son épaisse semence sur le visage de mon beau-père qui la dégustait avec sa langue

C'est en voyant cette scène incroyable que je me suis mis à déverser abondamment comme jamais mon sperme sur le drap.

Gonzague se souleva pour faire réapparaître la loonguue queue toute luisante de mon beau-père et recouverte de sa propre liqueur. Il y en avait même qui s'écoulait du cul de Gonzague. Jean-Baptiste tout essoufflé

"Il y a très longtemps que je n'ai eu un tel vrai orgasme avec un homme.

Mon beau-père avait bien caché son jeu. Parfois sur la plage il disait il est bien celui là; ou avec son pantalon çà lui fait un beau cul. Je n'avais jamais fait le rapprochement.

Ma mère ne m'avait non plus rien dit, le sait elle au moins? Maïs ce que je sais c'est qu'elle doit bien la sentir quand il la prend. Je ne pense pas qu'elle se fasse sodomiser. Ce n'est pas mon problème, l'essentiel soit qu'elle ne souffre pas avec un tel engin.

Il n'est que trois heures, je vais aller me recoucher terminer ma nuit, et vous aussi les jeunes récupérés bien.

" Bonne nuit, Gonzague si vous voulez venir quelques jours après votre récital vous pouvez. Comme vous voyez il y a de la place et vous aurez le temps de vous baigner dans la piscine. Je serai content de vous revoir".

Non seulement il n'y a eu aucune allusion avec mon beau-père, Gonzague est resté seulement mon ami. Après le concert il est revenu passer une bonne semaine et se reposer car ses nuits étaient agitée avec mon beau-père.

Jean-Eudes de la Taille

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