Nous sommes toujours dans la propriété du Golfe de Saint-Tropez. Nous sommes au printemps avec un temps ensoleillé à la douce chaleur de cette région du sud-est.
Pierre-Gilles toujours vêtu de la même manière, avec un nouveau splendide tee-shirt long haute-couture, s'occupe de l'entretien des plates-bandes alentours de la vaste terrasse. Il entretient, éclaircit et arrange certaines plantations exceptionnelles avec patience et minutie. En fin de matinée la sonnette du grand portail retentit. De son téléphone portable il interroge et déclenche l'ouverture de la petite porte.
C'est un colis qui est livré d'une société privée par un homme d'une petite trentaine d'année. Du bas l'escalier monumental, "c'est bien ici Jean-Alexandre Xxxx ?" - Oui, oui, montez.
Le livreur veut lui tendre le colis. "Attendez" lui répond Pierre-Gilles et l'invite à le suivre jusqu'à la terrasse pour signer les documents. "Suivez –moi nous serons mieux là-haut sur la table ". Pierre-Gilles précède le livreur. Notre ami monte l'escalier avec ses nombreuses petites marches. Progressivement Pierre-Gilles fait remonter son tee-shirt en se penchant un peu comme s'il était épuisé. D'où est placé le livreur quelques marches derrière, celui-ci peu voir – admirer les deux lobes fessiers bien bronzés. Pierre-Gilles lance une phrase un peu ambiguë, "vous aurez une belle vue comme cela". Voulait-il parlé de la vue panoramique de la terrasse, ou de ses splendides fesses dénudées?
Le livreur qui s'appelle Constantin. Il a peine trente ans, mesure un mètre-quatre-vingt pour un petit soixante-dix kilos. Le corps à l'air légèrement hâlé avec une musculature discrète mettant en valeur le personnage. Ses yeux verts profonds aux longs cils avec des cheveux châtains clairs aux splendides reflets très soignés lui arrivant à mi-oreilles. Il me semble qu'il porte une alliance large
Ce dernier ne lui répond pas. Tous les deux arrivent sur la terrasse et Constantin dépose le colis sur la table. Puis tend un stylo à Pierre-Gilles pour la réception de ce colis. Après avoir signé notre ami le regardant droit dans les yeux lui lance : "vous avez vu en montant comme c'était beau et plaisant" Le livreur n'ose pas répondre mais d'un geste de la main montre et complimente la vue sur la mer et les propriétés en espalier alentour. Mais le livreur a tout de même un peu rougit en faisant cette réponse.
Pierre-Gilles reprend la parole :"Vous allez bien prendre une boisson par cette chaleur, votre tournée n'est pas encore terminée". Sans vous déranger, volontiers lui répond Constantin.
Pierre-Gilles se dirige à une des extrémités de cette vaste terrasse où discrètement un bar est installé Il cherche la boisson et les verres qui se trouvent en bas du meuble sur le côté.
Bien évidement, il prend tranquillement son temps, se baisse en relevant son bassin, ce qui fait remonter son tee-shirt et découvre nettement plus son fessier. Une main cherche les verres, il s'arrange de l'autre main pour écarter un de ses lobes afin de faire voir son petit trou. Constantin par correction le suit des yeux. En voyant cette scène, Constantin se tient à la table et tourne la tête, mais comme Pierre-Gilles continue toujours une pseudo conversation, Constantin retourne la tête pour lui répondre. Pierre-Gilles revient avec un plateau sur lequel se dressent deux verres et un broc d'eau du jus de fruits et une bouteille de Gin, puis sert Constantin. Pierre-Gilles revient insidieusement "vous avez bien apprécié la vue avec mon tee-shirt". Constantin sursaute et devient couleur pivoine. Pierre-Gilles fait quelques pas pour se mettre presque à côté de Constantin et se penche sur la table en relevant son vêtement et positionne ses mains sur chacun des lobes pour les écarter.
Un peu tremblant, Constantin répond, "je vais vous quitter et continuer ma tournée. Je ne veux pas vous déranger plus longtemps et encore merci et j'ai pu tout voir."
Pendant ce temps la petite rosette magnifiquement plissée et régulière commence depuis quelques minutes à se mouvoir pour se dérouler joliment. Elle palpite et s'active, s'ouvre et se ferme. Constantin est complètement pétrifié par cette vision de cette rosette assez agitée. Intrigué, il se sent attiré à regarder ce trou aussi agile et vivant. Pierre-Gilles, lui propose de regarder de plus près et de toucher. Constantin ne bouge plus, il est indécis, surpris, honteux mais je crois aussi excité par cette gymnastique culière.
Pierre-Gilles toujours dans sa position avec les lobes écartés, entend Constantin lui dire " c'est impressionnant, vous n'avez aucun poil, tout est net, çà a l'air lisse" - Oui, oui, mon compagnon m'a fait épiler à la cire il y a deux jours. - C'est splendide. - Tu peux toucher si tu veux.
Lentement Constantin avance un doigt pour caresser tout autour de la rosette vibrante. Il se ressaisit, s'arrête et prend une des chaises. Il s'assoit ce qui est plus facile pour toucher cet endroit délicat. Probablement pris par l'excitation, il avance sa tête et sort sa langue pour venir lécher la rosette qui s'ouvre plus largement et plus rapidement. Après un moment il s'arrête en lançant à Pierre-Gilles, c'est bon, car c'est plus doux et lisse que la chatte de ma femme que je lèche souvent. C'est plus agréable avec vous, on ne sent aucune racine de poils. Et il se remet à lécher la rosette de Pierre-Gilles qui vient de pousser quelques gémissements. Si tu veux, sans mouiller tes doigts tu peux travailler mon petit trou qui en a envie. Constantin ne sait plus sur quelle planète il est. En respectant le souhait de notre ami il rentre doucement son majeur qui est immédiatement absorbé et rentre facilement dans ce petit trou.
"Mais, ce n'ai pas vrai, vous mouillez du cul. Il y en plus qu'une chatte !" et le voilà que lors d'un va-et-vient de son majeur, il rentre l'index. Et après une dizaine de ces mouvements il ajoute son annulaire. Ses doigts sont complètement mouillés et poisseux de la substance du plaisir interne de Pierre-Gilles. Il est impressionné par tout ce qu'il coule le long de ses doigts. Pris par cet étonnement, il accélère les va-et-vient ce qui fait glousser, gémir et hurler Pierre-Gilles avec des Oui, Ouuii, continuuuue continuuue, va plus vite, va plus vite, c'est boonnn, c'est bonnn Je jouis je jouissss et le liquide inonde les doigts de Constantin.
Constantin est complètement éberlué d'assister à un tel orgasme masculin de ce côté. Après les derniers cris , presque hurlements de Pierre-Gilles, il enlève ses doigts qu'ils essuient à la nappe de la table.
Pierre-Gilles le remercie de l'avoir si bien fait jouir. Rouge de confusion, Constantin ajoute – "Je n'avais jamais vu cela, je ne savais pas qu'un homme pouvais jouir autant du cul et de se comporter pire qu'une femme dans l'extase. Avec tout ce que vous m'avez fait faire, j'ai mon slip complètement souillé sans avoir éjaculé, seulement une abondante quantité de liquide séminal".
Gentiment Pierre-Gilles lui propose de se finir. Mais le livreur, refuse car il a déjà perdu beaucoup trop de temps pour terminer sa tournée. Il se ressert deux verres d'eau et commence à saluer Pierre-Gilles.
Constantin d'une voix faible et presque honteuse lui fait part qu'il est seulement hétéro, marié depuis dix ans avec une adorable épouse avec laquelle il arrive pleinement à s'épanouir sexuellement et qu'est papa de deux beaux jeunes enfants.
Il avoue que c'est la première fois qu'il touche un homme et surtout de cette façon et d'observer cet occasionnel partenaire masculin peut atteint un tel orgasme du cul qui a une rosette aussi agitée et vivante.
Au moment où ils se saluent très chaleureusement l'un et l'autre, Constantin remercie Pierre-Gilles pour ces moments et particulièrement le plaisir de cette douceur sous sa langue et de cette découverte d'excitation. Après quelques minutes de silence, très confus demande à Pierre-Gilles qu'après toutes ces découvertes il pourrait revenir avec un ami qui lui parle souvent d'hommes. Quelques secondes se passent et Pierre-Gilles hésitant lui donne une réponse positive. –"Mais essayez de me prévenir avant" cela convient tout à fait à Constantin.
Quelques semaines se passent, et pendant ce temps chacun de leur côté repense à ce moment de découverte remplit d'excitation. Puis Pierre-Gilles reçoit un message avec une demande de rencontre avec son ami qui est impatient de découvrir cette rosette aussi animée.. Là pierre-Gilles et un peu pris au piège et est obligé d'en parler à son compagnons Jean-Alexandre. Ce dernier assez vexé, lu fait part qu'il aurait pu lui en parler avant ce dernier moment. Jean-Alexandre est presque heureux d'offrir discrètement son ami à des hommes néophytes et que pendant leurs ébats lui très voyeur pourra masturber sa belle queue glabre.
Le jour convenu Constantin arrive avec son collègue-ami dont il avait parlé. Lui aussi travaille dans la même société, il est à peine plus jeune que Constantin. Egalement marié. Lui est une véritable gravure de mode avec son mètre quatre-vingt-dix et quatre-vingt kilos. Des yeux bleu-ciel, cheveux noirs avec une coupe architecturale très structurée. Il porte un sourire épanoui et apaisant, qui fait ressortir la magnificence de sa peau ambrée. Thaïs est un splendide Gentilé (habitant de Marie-Galante).
Dès leur arrivée, ils saluent Jean-Alexandre et Pierre-Gilles. Ce dernier comme vous le devinez, est vêtu d'un splendide tee-shirt de son impressionnante garde-robe de ce style de vêtement signé. Jean-Alexandre discrètement se met un peu à l'écart des trois compères. Pierre-Gilles propose un apéritif à chacun, et toujours s'arrange à aire son cinéma en découvrant progressivement son joli muscle fessier rebondi, sans compter lors d'un de ses mouvements refait son geste si personnel de faire découvrir sa petite rosette. Sous prétexte de ramasser quelques amuse-gueule tombés au sol se penche pour les ramasser. Puis les dépose au plus loin sur la table. Et "volontairement" reste dans cette position (les pieds au sol et le ventre à partir de la ceinture sur la table tee-shirt remonté ce qui nous fait admirer comme la dernière fois ses fesses et son joli petit trou. Cet antre est toujours aussi lisse, car Jean-Alexandre a fait venir l'esthéticien pour le rendre très net, impeccable et lisse. Sans que rien ne se passe, d'un seul coup la jolie petite rosette régulièrement plissée se met en se mouvoir; elle se replie. Constantin fait signe à Thaïs, qui écarquillent ses grands yeux bleus. Son visage ne peut pas trahir son étonnement devant ce phénomène presque irréel de l'agitation de ce petit trou. Thaïs regarde Constantin complètement ahuri et ébahi. Constantin prend une main de so ami et la guide vers ce trou prenant différentes formes de déploiement laissant voir pendant quelques secondes la profondeur de ce trou. Thaïs tremble et avance sa main, puis un de ses doigts et caresse cette partie du corps. Oh que c'est lisse ! ! C'est tout doux ! Pour mes anciennes copines et ma femme leur chatte qui n' a aucun poil, lorsque je passe mon doigt ou ma langue çà gratte, çà chatouille, c'est rugueux. Huumm ! ! ! là tout est délicatesse et douceur.
Inconsciemment il tend un de ses doigts et caresse le trou qui s'agite. Ce geste fait gémir Pierre-Gilles. Il interpelle Thaïs, Constantin, a su me donner du plaisir avec ses longs doigts. Oui, je lui ai raconté répond Constantin. A cela Thaïs enfonce son majeur sans l'avoir mouillé, ce qui ne l'empêche pas de pénétrer facilement et faire crier de plaisir Pierre-Gilles. A ce moment Jean-Alexandre s'approche de lui et lui glisse à l'oreille – Tu peux y mettre autre chose si tu le souhaites. Thaïs regarde étonné Jean-Alexandre et hoche positivement de la tête. Il faut dire que le jeans de Thaïs est complètement déformé sur le devant ainsi que le bermuda de Constantin. A ces mots, Jean-Alexandre s'éloigne pour reprendre sa place sur le transat, s'allonge et ouvrer son short.
Thaïs hésite, rougit et vient de déboutonner son pantalon en le laissant tomber à ses chevilles et dans le même geste fait glisse son boxer C.K.. Toujours avec cette jolie peau ambrée, en sort un sexe en pleine érection. Mais mais quel membre !!!.
De son transat Jean-Alexandre lance un OHHH Ohhh, et ben il va être content mon Pierre-Gilles.
Constantin se met sur le côté et regarde. Un peu timide Thaïs prends son membre d'un petit vingt-quatre centimètres mais surtout chose impressionnante de sept centimètres de diamètre. Il s'apprête à mettre de la salive et même du gel qu'il sort de sa poche. Du fond de la terrasse jean-Alexandre lance, ce n'est pas la peine, tu vas te rendre compte qu'il mouille déjà du cul. Thaïs sursaute surpris de cette consigne. Mais délicat et très précautionneux de sa main droite positionne son gourdin dans l'axe de la rosette qui n'arrête pas sa gymnastique d'ouverture.
Doucement il plante son gland et sans se rendre compte est happé par ce trou vibrant gourmand. Sans aucune difficulté il pénètre Pierre-Gilles avec ses vingt-quatre centimètres de chibre aussi volumineux. Il n'est pas obligé de rentrer centimètre par centimètre tellement le fondement de Pierre-Gilles mouille et l'encule d'un seul coup. En se tournant vers Constantin, il lance: "avec toutes les femelles que j'ai bourrées, je ne suis jamais rentré aussi facilement et avec autant de mouille, même dans leur chatte. Que c'est bon !!! Et ma femme qui geint lorsque je la saute seulement une fois par mois, je n'ai pas autant de plaisir. Ton client est une véritable salope. Quel plaisir de le prendre de cette façon".
Pendant ce temps Pierre-Gilles, couine, gémit. Puis pousse certains petits cris de plaisir, sans compter qu'ensuite des gloussements et onomatopées annonçant un prochain orgasme.
Pierre-Gilles pousse des cris, OUIIIIII, OUIIII Enfonce, Enfonce bourre-moi Viens taper au fond, Bourre-moi, bourre-moi. Avec ses cris, son trou s'ouvre de plus en plus, déployant complètement la petite rosette en laissant s'écouler une substance fluide et visqueuse due à l'excitation de son fondement.
En observant et voyant cela Jean-Alexandre est en pleine action de masturbation sur son beau sexe en pleine érection en se caressant même ses grosses couilles épilées. Sa main s'agite de plus en plus vite.
Constantin est comme sur un nuage en observant ces deux scènes au magnifique spectacle. Nous pouvons observer le gros rouleau en diagonale de la braguette du bermuda de Constantin. A force de se passer la main sur l'avant de son bermuda, il ne résiste plus et fait descendre son bermuda Arlequin. Il n'a pas de sous-vêtement, et son sexe jaillit comme un diable de sa boîte. De son gland s'échappe de longs et épais filets de cette substance pré- séminale dus à la situation qu'apprécie Constantin. Sans rien dire et sans rien demander, il s'avance aux côtés de son collègue de travail. Il se positionne juste à côté de lui en se tenant la queue plus classique de vingt centimètres et seulement de quatre-et-demi de diamètre. Et il avance son bassin en venant pour donner un léger coup de reins et introduire son membre qui se frotte à celui de Thaïs. Il n'y a aucune résistance pour s'enfoncer pour obtenir une double pénétration. Alors Pierre-Gilles hurle oui, oui vas'y, vas'y j'aime. Allez-y les mecs enfoncés en même temps, je m'ouvre, je m'ouvre sans le vouloir. Rentrez jusqu'au bout. Enfin j'ai deux belles queues en même temps pour me faire jouir.
A ce moment la rosette reprend sa gymnastique et annonce la prochaine jouissance de Pierre-gilles, mais aussi les muqueuses des parois de ce trou massent les deux beaux membres plantés dans cet orifice agité. Quelques secondes plus tard, Pierre-Gilles hurle :" ouiii Ouiii vous me faites jouirrrrr, je je je jouis, je jouis". Et à ce moment les deux membres sont inondés de la substance cette intense jouissance culière. Pierre-Olivier continue à exprimer son violent orgasme qui secoue tout son corps en relâchant complètement ses sphincters ce qui permet aux deux gourdins vidés de leur liqueur d'orgasme suprême de ressortir facilement laissant s'écouler la cyprine culière de Pierre-Gilles, mais aussi une grande et importante quantité mélangée des deux foutres gluants
Comme vous pouvez le douter notre ami Pierre-Gilles était heureux et satisfait des secousses de ce terrible orgasme, mais complètement épuisé de ce petit moment partagé.
Durant ces derniers instants, Jean-Alexandre termine sa masturbation de voyeur et fait jaillir tout son sperme blanchâtre et épais avec des grumeaux dans les poils de son thorax.
Chacun est terriblement heureux et comblé de ce qui vient d'être vécu ensemble en s'essayant chacun leur membre, leur gourdin, leur chibre dégoulinant encore de cette belle jute du plaisir.
Thaïs remercie chaleureusement Pierre-Gilles, mais surtout lui fait par de son étonnement pour l'élasticité de sa petite rosette très vivante avec tous ces moments d'ouverture et fermeture si bien rythmés.
Tant Constantin que Thaïs furent ébahis par l'orgasme et les expressions d'extase prononcé par Pierre-Gilles. Cet orgasme masculin si fort avec tous ces écoulements de cette substance du plaisir venant du fondement, nos deux postiers le comparent au comportement, à l'orgasme à celui d'une femme en chaleur en train de jouir
Ces deux jeunes hommes mariés ont beaucoup apprécié cette grande découverte et ce bon moment de plaisir partagé entre hommes. Depuis,
ils réitèrent ce partage de plaisir en fonction de leur temps libre à la grande joie de Pierre-Gilles.
Jean-Eudes de la Taille
Autres histoires de l'auteur :
