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3 | Encore plus profond
Une semaine après ma dernière rencontre avec Fabrice - et surtout, ma première sodomie - nous avons décidé de nous revoir. Sa queue m'obsédait au point que j'y pensais toute la journée. Je repensai sans cesse au moment même où il m'avait pénétré. Une bite dans mon cul! J'en rêvais depuis tellement longtemps!
Et ce soir, j'espérais bien lui donner autant de plaisir qu'il m'en avait donné la semaine dernière.
Le scénario se répète : même place, même heure. Et mon coeur, comme d'habitude, cogne dans ma poitrine comme un marteau névrosé.
La voiture de Fabrice arrive. J'ouvre la porte et entre.
"Salut bogoss, ça va?"
Je hoche la tête lentement.
On se met en route.
"On va toujours au même endroit? me demande-t-il.
- Oui, j'aime bien là-bas. C'est calme.
- C'est clair. Et sinon, tu vas tenir ta promesse?"
Je le regarde avec de grands yeux. Mais, au fond de moi, je suis terriblement excité.
"Bah oui, la semaine dernière tu m'as dit que allais me chevaucher jusqu'à ce que je gicle."
Je souris. Alors, avant de lui répondre, je viens plonger une main sur son entre-jambes et je caresse ses couilles à travers le jean.
"Je vais commencer dès maintenant à m'occuper de toi", dis-je tout en m'approchant de lui.
Je viens ouvrir son jean et sors sa queue qui commence à se durcir. Je l'empoigne dans ma main et je passe ma langue sur son gland. Puis, de l'autre main, je viens prendre ses couilles. Et je commence à le sucer. Son sexe grossit rapidement. Une fois dressé totalement, je viens l'enfoncer loin dans ma gorge. Comprenant ma volonté de prendre sa bite au fond de ma bouche, Fabrice appuie sur ma tête.
"Reste comme ça, ne la sors pas de ta bouche de pute!"
Je lui obéis.
Je commence à pleurer. La salive vient inonder ma bouche, mais je résiste. Je ne sais pas combien de temps je tiens ainsi, mais les secondes paraissent longues. En même temps, j'adore cette sensation. Je me sens utilisé, tel un objet dédié au plaisir. Et j'aime ça.
Enfin, Fabrice me relâche. Je lève la tête, inspire comme après une longue apnée. De la salive coule de ma bouche. Je m'en sers pour cracher sur sa queue et la branler.
"Tu aimes te faire baiser la bouche? me demande Fabrice.
- Trop! Je trouve ça super excitant...
- Tu veux que je te la baise une fois qu'on sera arrêté?
- Oui, lui dis-je timidement.
- Hm... En attendant, fous-toi à poil."
Je recule sur mon siège, enlève tous mes vêtements. J'adore être nu près de lui. Je me sens vulnérable. J'aime voir son regard me scruter de haut en bas.
"Ok, on arrive" annonce-t-il.
La voiture s'immobilise. Fabrice recule son siège à fond et baisse son pantalon.
"Viens là, me dit-il. Place-toi de sorte que ta tête soit en direction de mes jambes et mets ton cul en arrière vers moi."
Je viens poser mes deux mains sur ses jambes. Je suis presque à quatre pattes sur au-dessus de lui.
"Bien! En plus de te baiser la bouche, je vais pouvoir mater ton petit cul et te foutre des doigts. T'es prêt?
- Heu... oui, dis-je. Mais comment tu vas..."
J'ai pas le temps de continuer ma phrase que sa main vient appuyer sur ma tête pour la diriger vers sa bite. J'ouvre la bouche et la gobe. Puis, le voilà qu'il pousse encore plus. Sa queue disparait petit à petit dans ma gorge. J'ai un haut-le-cœur que je parviens à maitriser. Elle s'enfonce encore. Je ne pensais pas pouvoir la prendre aussi profondément. Je vois ses couilles devant moi, mais je suis tellement concentré pour ne pas vomir que je ne les prends pas en main.
Fabrice me relève la tête. Sa bite est trempée de salive.
"Bien, tu gères pas mal. Tu n’avais jamais fait de gorge profonde avant?
- Non, jamais."
J'ai du mal à reprendre mon souffle.
"Bien. Là c'était l'échauffement. Maintenant on va passer aux choses sérieuses."
Sa main appuie sur ma tête. Sa bite dans ma bouche, il me pousse contre son bassin. Sa queue rentre plus loin, et soudainement, elle glisse dans ma gorge. Je sens les derniers centimètres disparaitre entre mes lèvres.
"Voilà !!! Enfin! Toute ma queue dans ta bouche de salope!"
Je pensais qu'il allait enfin me laisser respirer, mais non. Le voilà qu'il vient me chopper par la tête pour ne pas que je bouge et il commence à faire des vas et viens avec sa hanche. Sa queue sort puis entre, puis sort et entre encore. Elle glisse dans ma gorge de plus en plus vite. Je pleure comme un fou, impossible de retenir mes larmes. Ma salive coule le long de ses couilles pour tremper son siège.
"Putain, c'est trop bon!!"
Je l'entends prendre son pied. Et là, je sens quelque chose d'humide et chaud contre mon anus. Il vient de cracher dessus. Une seconde après, son doigt me pénètre. Il me baise avec son doigt, puis il en entre un autre. Je sens mon cul s'élargir lentement pendant que sa bite se faufile dans ma bouche.
"Monte sur moi salope!"
Il me relâche enfin. Je me remets de mes émotions tout en venant me placer dos à lui. Je saisis sa queue et la pose contre mon petit trou humide. Je ne sais pas s'il est assez préparé ou pas, mais tant pis si j'ai mal. Je la veux dans le cul maintenant!
"Tu peux tenir ta queue, dis-je. Je veux écarter mes fesses un maximum pour qu'elle rentre facilement.
- Pas de problème, vas-y, viens l'enfoncer au fond de ton cul!"
J'écarte mes fesses et m'assois sur son gland. Il rentre lentement en moi. Je n'ai pas mal. Au contraire, c'est trop bon. Je descends encore et encore pour venir l'enfoncer entièrement.
"Ton cul est si serré. C'est un kiff total d'être en toi.
- Merci... dis-je en lâchant un petit râle de plaisir. Ta queue est trop bonne."
Je bouge sur lui, remuant ma hanche de gauche à droite. Puis, je me relève un peu et viens me laisser tomber sur sa bite. Je répète ça plusieurs fois jusqu'à carrément sortir sa queue totalement pour mieux venir m'empaler dessus. De plus en plus vite, je me baise littéralement moi-même le cul avec l'aide de son sexe.
Derrière moi, j'entends Fabrice rugir de plaisir.
Alors, il vient placer une main sur mon ventre et descend jusque ma queue. Il la branle pendant que je continue de rebondir sur lui.
"Si tu me branles, je vais gicler, lui dis-je.
- Et alors? Vas-y, gicle ma petite pute."
Sa main continue de me masturber. Je sens mon sperme venir, et je jouis. Pour éviter dans mettre partout, je place ma main en dessous et récupère tout mon jus.
"Hmmmm... c'est trop bon!!! Sentir ta bite en moi et gicler!!"
Fabrice capte que j'ai du sperme plein la main. Alors, il me dit :
"Bouffe ton jus! Lèche ta main jusqu'à la dernière goute!"
Je lui obéis. Je viens placer ma langue sur la paume de main et prends tout dans ma bouche. Le gout de mon sperme m'excite tellement que je deviens fou sur sa queue. Je m'assois le plus loin possible, et une fois ma main toute propre, je me mets à malaxer ses couilles.
"Putain, continue, je vais gicler."
Je remue du cul sur lui, fais glisser sa queue en moi. Je sens alors ses couilles se rétracter légèrement.
"Ça vient!!"
Son sperme inonde mon cul. Je sens quelque chose de chaud au niveau des contours de mon anus. Je continue à bouger sur lui. Je l'entends devenir fou de plaisir.
Une fois l'orgasme terminé, je reste sur lui sans bouger, puis je me lève doucement. Je place une main sous mon cul pour ne pas salir les sièges. Je me laisse tomber du côté passager, relève les jambes et les fesses, puis passe un doigt contre mon trou ouvert.
"C'est trop bien comme il est dilaté! C'est la première que je le ressens comme ça! Et je peux sentir ton sperme couler..."
Fabrice me regarde et se met à rire.
"On dirait que tu découvres de nouvelles choses.
- Grave! J'adore... C'est trop bon comme sensation..."
Je m'habille rapidement, et quand je m'assois sur le siège, je sens son jus ruisseler de mon cul. J'aime trop ça, imaginer son sperme sortir de moi.
"Tu m'as bien baisé la bouche et le cul, dis-je.
- Et toi, tu as été la plus bonne salope que j'ai baisée. Vivement la prochaine fois. Que me réserves-tu, hein?"
Je le regarde et réfléchis.
Alors, avec une certaine timidité, je lui réponds :
"Je veux que tu me pisses dessus, c'est possible?"
Je vois ses yeux s'agrandir.
"Hmmm... encore plus chienne que ce que je pouvais imaginer. La prochaine fois, je te pisse dessus pour te souiller alors."
Une fois chez moi, je me branle en me doigtant. Son sperme est un bon lubrifiant. Je peux me rentrer quatre doigts jusqu'à ce que je gicle encore...
N‘hésitez pas m‘écrire mon mail si cela vous plait. La suite de mes aventures arrivent très prochainement ;)
Bonne lecture (et branlette j'espère ;) )
Osah57
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