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3 | COMMENT CROCHETS PERDIT SA MONTRE EN FAISANT UNE TOILETTE INTIME
Puis il déclara solennellement :
- N'empêche que c'est un très bon conseil, ça, mon garçon !...
Et s'adressant à l'équipe de mauvais suceurs :
- Matelots ! Nous sommes sales ! Tous à poil et à la toilette !
Profitant de l'absence totale de vent, le capitaine décrèta que le vaisseau pouvait se passer d'équipage et que tous devaient se jeter à l'eau. Et Crochets qui était déjà nu plongea le premier à bâbord. Alors les autres se deshabillèrent en chœur en chantant "hisse et ho". Un à un les jeunes Vikings nus et crasseux plongèrent. Ils riaient et jouaient comme des gamins, tout en se nettoyant et en se frottant les uns les autres.
Le capitaine sentait l'eau lui chatouiller les couilles. Il y prit un réel plaisir et se mit à bander ce qui lui permit de se nettoyer l'intérieur du prépuce, générant dans l'eau un petit nuage blanc. Puis il réalisa que les garçons étaient de plus en plus excités de se laver et de se frotter les uns les autres, et qu'il était peut-être temps de remonter.
Mais soudain, au moment précis où il s'aperçut qu'il avait oublié de retirer sa montre, il perçut une ombre des profondeurs qui fondait sur lui. Un monstre marin s'approchait à grande vitesse !
Il poussa un cri rauque. Et, par réflexe, pour protéger son sexe bandé, il mit les mains en avant, face à la bête qui fonçait gueule ouverte !
Il n'eut que le temps de voir que l'animal était une sorte de monstre marin, moitié crocodile moitié Léviathan, lorsque celui-ci ouvrit une gueule immense dévoilant deux doubles rangées de dents acérées comme des lames. Et refermant sa machoire d'un coup sec, Clac ! il lui arracha les 2 mains !
Le capitaine hurla.
- Ma montre !
Suivit un afollement général. Les jeunes Vikings nus remontaient par l'échelle en se bousculant. Les premiers sur l'échelle exposaient leurs fesses blondes et leurs couilles poilues à ceux qui les suivaient de près, tête à cul. D'autres s'agitaient sur le pont, toujours nus, dans une bousculade sans pudeur.
Les garçons comprirent que sans ses mains, le capitaine blessé n'arriverait pas à remonter par l'échelle. Alors ils jetèrent le filet et le pêchèrent comme une espèce de thon rouge.
Le Capitaine, manchot, jambes écartées dans le filet, ne bandait plus. Tous regardaient ses plaies sanguinolantes et son gros sexe avachi. Humilié, amoindri, il exposait son cul, pendant que son gland, tout doucement, se rétractait dans son prépuce.
- Putain ! Arrêtez de me mater le zob et sortez-moi de là !
À nouveau les hommes nus se bousculèrent en se pressant les uns contre les autres, et l'on vida le filet. Le capitaine roula sur le pont comme un vulgaire thon. Jambes ouvertes, exposé, il ne parvenait pas à se lever sans ses mains. Tous le regardaient, échoué.
- Putain de bordel ! C'est bon ! Vous l'avez vu mon zob ?!... Mais c'est pas vrai ! Qui c'est qui m'a mis un équipage de pédés ?!
Alors ils s'approchèrent pour le soigner.
On lui referma le prépuce et on lui mit un couteau entre les dents...
- Attention Capitaine ça va faire mal...
Alors on cautérisa ses plaies avec du sel, du poivre et de la gnôle de prune...
Il hurla...
- Putain mais ça fait mal !!
Pour l'empêcher de se débattre, les garçons nus tenaient leur capitaine par les bras et par les jambes. Maintenu jambes écartées, couilles pendantes et anus visible, hurlant, se débattant, il donnait l'impression de subir un viol... son prépuce se rouvrait sans cesse, alors on lui refermait... tous voulaient y toucher ce qui le mettait dans une colère noire... maintenu jambes ouvertes il se débattait, il montrait tout... et tous se mettaient à bander. Les sexes blonds devenaient énormes et commençaient à mouiller. Les jeunes hommes se regardaient mutuellement la bite, mais le capitaine réalisa brusquement que son propre anus était devenu le véritable centre de leur attention... La gnôle et la douleur altéraient ses sensations mais il sentait des doigts se glisser sous lui... mais etait-ce bien des doigts ? Ses idées étaient de plus en plus floues, la douleur et l'alcool affectaient sa lucidité et le plongeaient déjà en état de semi-conscience...
Alors que le sommeil s'emparait de lui, il lui sembla que de nombreuses mains exploraient son intimité, on lui touchait le zob, on tirait dessus, on lui empoignait les couilles, on le soulevait, on lui mettait des choses dures et chaudes dans la bouche et on lui forçait le cul... de nombreuses fois... Mais il ne sut pas si ça dura longtemps car son esprit chavira dans une torpeur protectrice.
Lorsqu'il se réveilla, il réalisa qu'il avait très mal aux fesses, mais il ne se rappelait plus exactement pourquoi. Son esprit était plein d'images totalement indécentes et inavouables. Il avait mal loin dans son cul et dans le fond de la gorge... avec ce goût salé étrange qui lui rappelait vaguement son enfance... Il retira une série de poils de sa bouche... de différentes tailles et de différentes couleurs allant du blond au roux. Mais il ne se souvenait de rien, si ce n'est d'avoir été repêché nu et manchot, puis cauterisé à la prune.
En tous cas il se sentait étrangement détendu du gland... il était bien... très bien même ! Un peu comme si il avait joui dans son sommeil... Et puis ses plaies avaient été soignées. C'est quand-même bien d'avoir un équipage honnête, qui ne fait pas de coup par derrière et sur qui on peut compter !
Jam
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