Premier épisode
2 | LE CAPITAINE CROCHETS
Le capitaine du Braquelagh est surnommé Crochets, avec un S. C'est un homme dur, sec et maigre, aux yeux creusés et aux sourcils broussailleux. Il lui manque les 2 mains, remplacées par 2 crochets, d'où le S.
C'est un homme sévère et autoritaire. Il a tous les droits sur tous les membres de l'équipage.
Quand il fronce les sourcils il ne faut pas moufter, et quand il se met à bander, il vaut mieux se planquer et éviter qu'il t'attrape par le col avec ses crochets... parce que ça commence par le col et ça termine par... ben... ça se termine mal... mais y'en a qui aiment... passons.
Le capitaine Crochets porte toujours son long manteau rouge à boutons dorés. Il possède aussi une magnifique montre à gousset, qu'il enroule autour de son poignet avec une chaînette en or. C'est sa seule coquetterie. Il dit qu'à son âge il faut avoir une montre à gousset au poignet sinon on a raté sa vie... C'est une drôle de théorie... plutôt très conne.
Sous son manteau rouge, il porte habituellement une culotte rouge en toile épaisse assortie, avec des gros boutons dorés au niveau de la braguette, qu'il ne peut pas fermer à cause de ses crochets. Du coup son gros pénis est toujours un peu visible... on en voit toujours une partie... plus ou moins suivant les jours... et lorsque l'engin s'échappe complètement, le capitaine ne se donne même pas la peine de le rentrer. Ça ne choque personne puisque c'est lui le chef, le mâle dominant, le zob de l'équipage.
... Il faut bien dire aussi que les marins n'ont pas beaucoup de pudeur... et pas beaucoup d'hygiène non plus, comme nous le verrons plus tard.
À 4 PATTES POUR MON 4 HEURES
La dernière fois que le capitaine s'est lavé le zob, ça s'est très mal terminé :
C'était un jour de calme plat, la mer était d'huile, lisse, pas un clapot, pas une ridule... un miroir. Les voiles, immobiles balançaient doucement d'un côté puis de l'autre, émettant quelques claquements désordonnés. Le soleil écrasant liquéfiait les hommes rassemblés sur le pont, tant il faisait chaud dans les cales. Leurs peaux blondes et leurs sexes brillants ruisselaient de sueur et de leurs glands décalottés s'échappaient différents liquides huileux.
Alors, pour occuper ses hommes et les sortir d'une oisiveté malsaine, le capitaine décida de monter sur le pont et devant tout l'équipage brusquement... baissa son froc ! Tous les regards se tournèrent vers lui. Alors, culotte rouge au pied, il s'adossa au bastingage et ouvrit grand ses jambes, exposant son gros pénis poilu et ses énormes couilles de chef.
- Allez ! Matelots ! Concours de suce ! Et que chacun vienne me sucer la bite à tour de rôle !
Il se disait que c'était aussi une bonne façon d'asseoir son autorité.
Si bien que les marins un à un s'approchèrent et posèrent leurs lèvres autour du gros gland décalotté...
Le capitaine fut surpris de constater que la plupart des gars était de piètres suceurs ! Ils y mettaient le bout de la langue, peinaient à emboucher le gland... aucun n'osait sucer à pleine bouche.
Alors qu'il se faisait léchouiller la pointe par un jeune matelot effrayé, le capitaine s'énerva :
- Putain mais personne ne vous a appris à sucer une bite ?! Vous n'avez donc jamais sucé vos pères ?! Vos oncles, vos frères et vos copains ne vous ont donc jamais montré ?!
- Si si... bien sûr... comme tout le monde...
- Ben alors !! C'est quoi le problème ?
Et il prend la tête du garçon agenouillé pour l'enfiler jusqu'à la glotte, loin, profond... il appuie... fort... le jeune homme tente de se dégager mais le capitaine plaque le visage du matelot contre ses poils. Il appuie ses couilles contre son menton et lui met ses poils pubiens dans les yeux, qui se remplissent de larmes... il appuie encore... plus fort... le jeune homme pleure, se débat, semble étouffer...
- Voilà ! C'est comme ça qu'on bouffe une bite, mon garçon !... Vous avez tous compris, moussaillons ?!
Puis il lâche la tête du jeune homme qui se dégage lentement, libérant le long sexe brillant et turgescent, dans un flot de bave filante.
- Ça t'a plu, petit ? T'as compris maintenant ?
- ... Grggll... oui capitaine...
- Tu vois, mon garçon ! c'est pas si difficile !
- C'est pas ça capitaine... c'est juste que vous avez mangé tellement de poisson que... forcément... votre bite...
Suivit un grand silence consterné... Tous attendaient la réaction du chef et avec anxiété, tout en admirant le courage du jeune homme d'avoir dit tout haut ce que tous avaient constaté.
D'autres étaient passé par dessus bord pour moins que ça !
Le garçon, toujours agenouillé en position de fellation, semblait pâlir en prenant soudain conscience de son outrecuidance. Dans ses yeux pointait une frayeur grandissante... Déjà son regard par le dessous, implorait grâce.
Mais le moussaillon s'était mis à bander furieusement lui aussi, et machinalement, comme pour se faire pardonner, il avait remis ses lèvres autour du gros sexe brillant.
Crochets, contre toute attente, fut touché par la beauté de ce jeune homme à la bouche accueillante et à la gorge moelleuse. Il le trouvait craquant avec son regard apeuré et son long zizi durci.
Alors il lui adressa un sourire... carnassier :
- Toi, je te garde pour plus tard... à 4 pattes pour mon 4 heures !
Et il retira son gros gland qui fit Plop en sortant de la bouche du garçon, et il partit d'un grand rire... que tout l'équipage se sentit obligé d'imiter.
Jam
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