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Elle est chaude et spongieuse, un régale. Mes mains jouent avec ses grosses couilles pendant que j’essaye de prendre sa queue en entier dans ma gorge. Il soupire de plaisir. Derrière moi, Julien et Max restent sans voix et finissent par nous rejoindre. Je suis occupé par la bite de mon oncle qui prend de plus en plus de place dans ma bouche. Je sens les pulsions la faire grossir petit à petit. Du liquide pré séminal s’écoule de son gland et je prends un plaisir fou à l’avaler. Maxime s’est mis derrière moi et me lèche le trou, sa langue s’enfonce et mon excitation augmente encore plus. Pierre fait signe à son fils d’approcher et il lui prend la bite pour le sucer. Les trois bandent doucement, mais sûrement. Pierre devient de plus en plus dur et sa tour de chair n’entre plus qu’à moitié dans ma bouche. Je sens un doigt me pénétrer puis un deuxième. Maxime me dilate en douceur. Julien passe sa main dans mes cheveux, sur mon dos. Il me caresse tendrement pendant que je suce mon oncle. Je peux facilement mettre les deux mains autour de sa verge. Je le branle un peu et je replonge dessus. Il bande désormais autant que moi. Mes mains glissent sur son corps poilu et musclé. Maxime s’allonge sur le dos et prend ma bite en bouche. Sa langue joue avec mon gland et il parvient à me faire une gorge profonde sans problème. Je quitte la bite immense de Pierre pour prendre celle de Julien tout aussi énorme. Son gland est encore plus large et gros et sa bite jute de liquide pré séminal. Il râle de plaisir et me bourrine la gorge jusqu’à faire entrer sa large bite en entier. Des larmes coulent de mes yeux, ses couilles frappent sur mon menton. Il s’enfonce au plus profond et reste quelques secondes pour profiter des contractions avant de se retirer d’un coup sec. Sa bite est pleine de salive. Je reprends celle de mon oncle qui n’a pas dégrossi. Je la fait rentrer elle aussi en entier et Pierre se met à trembler en gémissant. Je continue jusqu’à ce qu’il m’arrête.
– Tu vas finir par me faire jouir.
– C’est le but, répond Maxime qui s’est remis devant mon trou pour me l’élargir.
Je me remets sur la bite de Pierre et quelques secondes après, un flot incessant de sperme jaillit de son gland. Sa bite pulse et ma bouche se remplit de sperme chaud. J’avale tout en deux gorgées et je continue. Je lèche les dernières goûtes de foutre et Pierre hurle de plaisir, je lui titille le gland pendant que Julien lui tiens les bras et le torse. Maxime est sur ses jambes et glisse un quatrième doigt dans mon cul. Pierre gémie de plaisir, un plaisir qu’il n’avait encore jamais ne connut. Deux minutes suffisent à le refaire jouir et à le vider totalement. Je me délecte de son jus et je le laisse reprendre ses émotions. Il tremblote et gémissant.
– Allons à l’intérieur pour la suite.
On lève Pierre et on le met au lit. Il s’endort presque immédiatement.
– Tu nous montres ta chambre, me dit Julien en me caressant le corps.
Je les fais entrer dans ma chambre et Julien me prend dans ses bras pour me lancer sur le lit. Je me retrouve allongé sur le dos, tête sur l’oreiller. Il se met devant moi et insère sa bite dans ma bouche. Ma gorge est une fois de plus violée et il force le passage pour la rentrer en entier une fois de plus. Il recommence plusieurs fois pour mon plus grand plaisir. Maxime prend une capote dans ma table de chevet et me crache sur le trou avant de m’enfoncer son pieu. Il y va progressivement. Mes jambes sur ses épaules, mon cul est tout à lui. Il prend ma bite dans une main et me branle en même temps qu’il rentre sa bite. Après quelques secondes, il finit par entrer complètement. Je sens ses lourdes couilles taper le haut de mes fesses. Julien fait des va et viens dans ma gorge tandis que mes yeux laissent couleur des larmes à n’en plus finir. Des larmes de plaisir et d’excitation. Maxime commence alors à me pilonner et ses couilles claquent contre mes fesses. Ses cuisses musclées sont tendues et il tient mes chevilles. Il me démonte le trou en bonne et due forme. Julien se retire de ma gorge et prend la place de Maxime qui se retire et enlève la capote. Julien en enfile une et prend le relais en me violant le cul de la même manière que ma gorge. Maxime vient se mettre devant moi et plonge sa lourde bite dans ma bouche. Ses muscles sont bandés comme jamais et il sue comme un porc. Mes mains se baladent sur son corps de rugbyman, plongeant dans une mer de muscles et de graisse, le parfait équilibre du teddy bear musclé. Ses couilles reposent sur mes yeux tandis que sa verge s’enfonce au plus profond de ma gorge. Il râle de plaisir et prend ma bite en bouche. Un 69 pendant que Julien m’expose le cul. Une odeur de sueur et de mâle en rut envahit la chambre. De l’autre côté du mur, Pierre dort comme un bébé. Maxime se retire de ma gorge désormais déformée et s’allonge à mes côtés. Julien me fait m’allonger sur Maxime qui enfourne sa bite dans mon trou explosé. Julien reprend sa place et pose mes chevilles sur ses épaules. Sa bite vient taper contre mon trou déjà rempli par Max. Avec un peu d’effort et non sans mal, il réussit à faire passer sa bite. Je crie de plaisir et de douleur. Julien finit par rentrer en entier. Mes deux cousins sont en moi, Maxime m’embrasse le cou et Julien me pilonne. Ses mains rugueuses caressent mon corps trempé de sueur. Il se retire de mon trou, enlève la capote et vient se mettre au-dessus de moi. Sa bite rentre dans ma bouche juste avant de déverser une quantité astronomique de sperme. Je peine à tout avaler, une partie coule le long de ma joue, récupérée par Maxime. Julien hurle de plaisir. Il se vide complètement et me bifle avec sa grosse queue mi-molle et toujours couverte de foutre. Maxime me tourne sur le côté pour se mettre au-dessus de moi et me remplir la bouche de foutre à son tour. Autant que son frère et que son père. Il gicle une bonne dizaine de fois, faisant fuir ma bouche. J’avale ce que je peux et Julien lèche ce qui coule sur mon torse. Il ne reste plus que moi à faire jouir. Julien prend ma bite en bouche pendant que Maxime vient pour m’embrasser goulument. Sa langue vient s’enfoncer dans ma bouche. Il me bouffe les amygdales et fini par s’allonger sur moi, sa queue plaquée sur mon ventre pendant que Julien me suce comme jamais on ne m’a sucé. Je sens le jus monter en j’explose de plaisir. Mon foutre remplit la bouche de Julien et il partage avec Max dans un baiser plein de tendresse. Du foutre coule le long de leurs bouches, glissant sur leurs pectoraux luisants. Je laisse ma langue se balader le long de leurs muscles, de leurs peaux. L’odeur de sueur me fait autant d’effet qu’un popper. On se serre à trois et ils me proposent de dormir avec eux. Julien et Maxime se mettent de chaque côté. Je m’endors pris en sandwich entre deux montagnes de muscle. J’ai chaud et je sue, mais peu importe. Je veux profiter de ce moment le plus possible.
Et dire qu’ils sont là pour dix jours.
Mooner
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