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HISTOIRE

La pute de mon frère

Je m'appelle Dylan, j'ai 21 ans. Depuis 3 ans, je vis avec mon frère Renaud et je lui sers de vide-couilles quotidiennement. Comme il a l'habitude de se fourrer dans les plans les plus foireux possibles, il m'arrive de donner mon cul ou de me vendre pour nous tirer d'affaires. Le pire, c'est que j'adore ça !

Mon père s'est marié deux fois, une première fois, il a eu un fils, mon demi-frère Renaud qui a 29 ans. Après son divorce, il s'est marié avec ma mère et m'ont eu ! Mon demi-frère est venu vivre avec nous quand j'avais 5 ou 6 ans, il est devenu mon dieu vivant ! D'accord, c'est un vrai branleur, il a été viré de tous les bahuts possibles, aucun patron n'a pu en venir à bout mais, pour moi, il a toujours été un frère génial. Physiquement, il est canon, 1m85, 80 kg, tout en muscles car il fait beaucoup de sport, les cheveux châtains clairs, les yeux bleus, un sourire ravageur,... Un beau gosse en somme.

J'avais 11 ans environ quand je l'ai surpris en train de baiser une fille dans sa chambre, elle était adossée au mur, ses jambes repliées sur les hanches de Renaud et ses bras autour de son cou, elle prenait cher et couinait de toutes ses forces. Je suis resté scotché devant la scène, naïf comme je l'étais, je ne pensais pas qu'un mec puisse démonter une meuf comme ça, il l'a posée à terre, l'a retournée contre le mur et l'a reprise, il malaxait ses gros seins tout en lui embrassant la nuque. Renaud prenait son pied, il gémissait à chaque coup de reins, il transpirait à grosses gouttes. Il l'a ensuite rapprochée du lit, elle s'est allongée sur le dos, a écarté les jambes, Renaud s'est replanté d'un coup en elle, elle a recommencé à couiner. Mes yeux se sont alors posés sur le chibre de mon frère, un bon 21 cm par 6 ! Au vu de ce que j'avais à cette époque, ça m'a épaté. Le plus beau était la façon dont il s'en servait, le mouvement de ses couilles m'a également fasciné. Au moment où il a joui au fond de la chatte de cette meuf, j'ai adoré l'expression de son visage et le râle qu'il a poussé. Je suis reparti dans ma chambre, je bandais et, pour la première fois, je me suis masturbé en pensant à mon frangin. Ce jour-là, j'ai su, sans pouvoir l'exprimer, que mon kiff serait de donner du plaisir à des mecs.

Quelques années après, j'ai assisté à une compétition de judo, mon frère a gagné, j'ai voulu aller le féliciter dans les vestiaires, je l'ai, cette fois, surpris en train de sodomiser son adversaire, il lui disait :

- " On avait dit, celui qui perd encule l'autre. T'as pris ta raclée, tu vas prendre ta dose ma salope. Aller, écarte bien tes fesses et donne-moi ta chatte de pucelle. "

Mon frère était donc bi et un sacré queutard. Je me suis branlé en les matant, j'ai repeint une partie du mur avant de repartir discrètement !

Un peu après mes 18 ans, j'étais seul à la maison, Pascal n'était pas rentré depuis deux jours, il est arrivé vers 15h, complètement bourré et probablement shooté. Je suis allé le voir dans sa chambre, il était allongé sur le dos, incapable de bouger, hilare et déchiré. J'ai eu pitié, j'ai commencé à le déshabiller, son pull, ses godasses et chaussettes, son jeans. En le déboutonnant, j'ai senti qu'il bandait, j'ai enlevé son pantalon et effectivement, le tissu de son boxer était tendu au maximum, il s'est mis à se caresser. Je le matais avec envie, vu son état, j'ai failli lui toucher le paquet mais je me suis retenu, un peu par peur de sa réaction et parce qu'il est mon frère. J'ai donc voulu le mettre sous la couette mais, alors que j'allais partir, il s'est redressé, m'a saisi par le bras et m'a dit d'un ton autoritaire et presque effrayant :

- " Elle te plait ma bosse ? Je suis sûr que t'es encore puceau, moi à ton âge, il y a longtemps que je me servais de ma queue. Je t'observe depuis quelques temps et je pense que toi, t'es pas fait pour ça, c'est ton cul qui va servir le plus et je veux être le premier à en profiter. "

Je me suis retrouvé sur son lit, il est monté sur moi, m'a enlevé mes fringues, m'a embrassé sur tout le corps. Je ne disais rien car, finalement, c'est ça que je voulais, il avait raison.

Il a longuement léché mon trou, l'a doigté, m'a un peu claqué les fesses, me les a écartées pour mieux ouvrir. Je gémissais, il s'est déplacé pour venir se placer devant mon visage et m'a dit qu'il avait de quoi me faire fermer ma gueule de salope, il a baissé son boxer, sa grosse bite en est sortie droite comme un I, elle semblait dure comme de la pierre, il me l'a carrée dans la bouche et me l'a enfoncé bien au fond de la gorge. J'étouffais, j'avais des renvois mais il ne cédait pas, il me disait :

- " Encaisse salope ! Salive, détends-toi et tu vas aimer me sucer. Bientôt, tu pourras plus t'en passer, c'est toi qui vas me la réclamer. "

Il m'a baisé la gueule pendant une bonne dizaine de minutes, c'est vrai que je commençais à apprécier ! En même temps, il s'était bien occupé de mon trou, je mouillais et j'adorais quand il touchait ma prostate, ça me procurait des sensations inédites, fortes et incroyables. Je bandais à fond, il l'a vu et a dit :

- " C'est bien ce que je pensais, t'es en train de te faire démolir la bouche et la rondelle et tu bandes. Toi t'es de la graine de salope, faut juste que je te forme un peu et tu vas en faire kiffer plus d'un. Dans quelques temps, t'auras une vraie petite chatte."

Il a ressorti sa queue de ma bouche, m'a fait mettre à quatre pattes, s'est positionné derrière moi, m'a écarté les fesses avec ses mains, a craché sur ma rondelle puis a posé son gros gland sur mon trou et m'a dit :

- " Aller mon petit Dylan, c'est le moment, dis adieu au monde des puceaux ! "

Et là, d'un coup, il m'a enfoncé toute sa bite dans le cul. J'ai hurlé comme jamais, je l'ai supplié d'arrêter mais il riait et me bourrinait, j'avais l'impression qu'un poignard entrait en moi et m'ouvrait en deux. J'ai morflé comme ça pendant de longues minutes puis, petit à petit, la douleur s'est estompée, je sentais sa queue naviguer en moi, j'ai même fini par éprouver du plaisir. Il l'a senti :

- " Voilà, c'est bien, tu commences à aimer ça. Crois-moi, c'est que le début, t'as pas fini de prendre du plaisir avec ce que je vais te mettre. Bientôt, tu seras complètement accro à ma bite. "

Il m'a couché sur le côté, s'est allongé derrière moi et m'a pénétré à nouveau, il m'a levé une jambe, m'a embrassé la joue et l'oreille et m'a baisé à grands coup de reins. Je bandais et me branlais, j'adorais sentir sa bite coulisser en moi.

Il a basculé sur le dos et m'a entraîné avec lui, j'étais donc allongé sur lui, il m'a dit :

- " Vas-y mon joli, amuse-toi avec ton tout nouveau joujou pour adulte. Fais-moi voir comme tu es une belle salope qui sait donner du plaisir à ton homme. En même temps, regarde-toi dans la glace en train de te faire dépuceler et démonter. "

Je me suis relevé et j'ai commencé à monter et descendre sur sa queue. Je me voyais dans le miroir accrochée au mur. Je me suis tout d'abord trouvé vulgaire, j'ai détourné les yeux et les sensations de plaisir sont réapparues, je recommençais à gémir, Renaud m'encourageait :

- " Ouais, t'es bonne, tu me fais du bien, continue, tu peux même accélérer si tu veux. "

J'ai accéléré et j'ai accentué les mouvements, maintenant, je ressortais quasiment et je me renfonçais jusqu'à ce que mes fesses tapent sur son ventre, c'était trop bon. Je me suis à nouveau regardé dans la glace, j'ai adoré l'image que je voyais : une salope qui prenait son pied et qui bandait en s'empalant sur un gros chibre !

Renaud m'a saisi par les hanches pour que je me retire, il m'a allongé sur le dos, m'a écarté les jambes, les a relevées et m'a pénétré comme un femelle comme il a dit. Ses hanches contre les miennes, son torse puissant au-dessus du mien, ses mains se sont posées sur ma tête et sa bouche s'est posée sur la mienne, sa langue est entrée et s'est enroulée autour de la mienne, sa salive coulait à flots en moi et son souffle puissant, sortant de son nez, caressait ma joue à chaque fois qu'il s'enfonçait en moi. Sa bite allait et venait en moi, il a accéléré le rythme, s'est bloqué au fond et m'a rempli de son jus abondant et bouillant. J'ai joui sur mon ventre en même temps sans même me toucher. Il a continué à m'embrasser et n'est pas ressorti tout de suite comme pour en profiter un peu plus.

Il s'est allongé à côté de moi, il était essoufflé, il s'est épongé le front et a éclaté de rire :

- " Putain, j'en reviens pas, j'ai dépucelé et fécondé mon frère ! T'en as pensé quoi ?"

- " C'était super bon. J'ai le cul éclaté mais j'ai adoré ! "

- " J'espère car, à partir d'aujourd'hui, t'es mon vide couilles attitré. Maintenant, tire-toi, faut que je dorme."

Le lendemain, j'ai cru, qu'ayant dessaoulé, soit il ne souviendrait de rien, soit il se sentirait mal. A son réveil, il s'est comporté comme d'habitude, il a discuté de tout et de rien avec les parents et a même plaisanté avec moi, bref, il s'est comporté comme d'habitude, j'ai cru qu'il avait tout oublié, je commençais à me dire que, finalement, c'était peut-être mieux ainsi. Il a attendu que les parents soient partis et dès qu'ils ont fermé la porte, il a sauté sur moi, m'a foutu à poil en m'embrassant et m'a baisé trois fois en une après-midi. La première fois dans mon lit, il m'a allongé sur le ventre et, pour que mon cul soit cambré, il a mis mon oreiller sous moi, il m'a baisé et a voulu que l'on jouisse tous les deux sur mon oreiller pour que je respire une odeur de jus la nuit. Une deuxième fois, il m'a pris dans le lit des parents où il m'a fait avaler son jus bouche ouverte et langue tendue puis une troisième fois dans le salon, contre la baie vitrée qui donne sur l'allée par laquelle nos parents devaient arriver.

C'est comme ça que les choses ont commencé entre nous. Il m'a baisé quasiment tous les jours pendant les deux ans qui ont suivi. Il avait raison, je suis vite devenu accro à sa bite, c'est souvent moi qui la lui réclamais. J'ai appris à lui donner beaucoup de plaisir en bougeant sous ses coups de reins et en me rasant les poils du cul et des couilles pour qu'il ait une sensation de douceur quand il me touchait.

En revanche, lui s'est calmé : il a trouvé du boulot, a freiné l'alcool et a stoppé la drogue. Notre père reprenait enfin espoir concernant l'avenir de Renaud. Comme nous passions beaucoup de temps ensemble, mon père me félicitait de la bonne influence que j'avais sur mon frère. Renaud, souriait et répondait :

- " Oh, ça va papa, il n'a pas à se plaindre de moi, je le remercie amplement pour tous les efforts qu'il peut faire. "

C'est à ma majorité que les choses ont évolué...

Dylan

Suite de l'histoire

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