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Chapitre 3
Un soir, dans un autre camping, j’étais sous la douche. Il n’y avait personne d’autre dans les sanitaires à cette heure. Quand je vis une ombre projetée sur le mur : quelqu’un m’observait au-dessus de la paroi ! Je me retournai d’un coup, le voyeur s’enfuit en courant. En ouvrant la porte de ma cabine de douche j’eus juste le temps de le voir de dos.
Je le reconnu ; c’est un gars un peu plus jeune que nous qui était en vacances avec ses parents. Dommage. Puisque nous étions en road-trip, nous ne restions jamais plus d’un jour dans le même camping.
Quoique…
Puisque le camping était bien et pas cher et qu’on avait encore des choses à visiter dans le coin, on décida d’y revenir pour la nuit suivante. On se remit à notre emplacement de la veille, et je vis que mon beau voyeur lui aussi était toujours là. Il fallait donc que le hasard puisse nous faire nous rencontrer. D’autant plus que ces événements m’avaient rappelé un vieux souvenir. Mais ça, c’est une autre histoire…
La chance arriva plus vite que prévue ! En arrivant aux éviers pour faire la vaisselle, je vis mon jeune homme. Je m’installai à côté de lui l’air de rien.
La seule autre personne avec nous, c’était une vieille qui prenait tout son temps pour nettoyer ses deux assiettes. J’avais peur que mon voisin soit plus rapide. Heureusement, elle s’en alla. Du tac au tac, je lui dis :
- Je sais que c’est toi qui m’as maté hier soir quand je prenais ma douche ! J’ai reconnu ton visage et tes fringues. Je te trouve mignon. Si tu veux en voir plus, on se retrouve ce soir à 1h du mat’ au même endroit qu’hier. C’est mon dernier soir ici alors à prendre ou à laisser.
Et comme je venais de finir ma vaisselle (j’en avais moins que lui), je partis sur ces mots sans même me retourner.
Juste un peu avant une heure, je sortis discrètement de la tente (en prenant une serviette et du savon pour alibi) et allais dans la fameuse douche. Je fermais la porte derrière moi mais sans le verrou. Je me mis à poils et j’attendis. Quelques minutes passèrent puis quelqu’un entra dans les sanitaires. Je l’entendis s’arrêter au milieu.
Bon il vient ou quoi ?
J’entrouvre la porte.
Le voilà qui s’apprête à rentrer mais s’arrête net en me voyant tout nu. Je vois que son regard reste bloqué sur mon sexe en érection. Il referme la porte et se met à genou.
- Attends ! Juste une question d’abord : Niveau IST tu en est où ? [C’est moi qui demande]
- Les derniers tests sont tous négatifs et je n’ai rien fait depuis. Je ne fais pas souvent de plans.
- Ah bon mais pourquoi ? Tu es mignon pourtant.
- J’habite à la campagne.
- Ok ! On peut y aller.
En disant ses derniers mots, je me penchai pour l’embrasser.
Mais je vis que ce qui l’intéressait le plus c’était de me sucer ! Et il avait beau ne pas faire cela souvent, il s’y prenait vachement bien. C’est fou comment il salivait énormément. Mon sexe glissait entre ses lèvres.
Il se branlait en même temps et je remarquai qu’il était assez poilu. Je le relevai et lui demandai de me montrer son corps. Incroyable ! il était presque imberbe sauf autour du sexe. Une belle toison épaisse et bouclée. J’enfonçai mon nez dedans et je me mis à le sucer à mon tour. À chaque fois que j’avalais sa bite, ses poils pubiens venaient me caresser le nez. C’était trop excitant !
- J’ai trop envie que tu me prennes !
- Ça va être un peu compliqué je pense. [Mais c’est vrai que j’aurais bien aimé le prendre]
Je mouillai alors mes doigts et commençai à lui caresser l’anus tout en le suçant. Il soupira de plaisir. J’ajoutai de la bave et rentrai tout doucement un doigt, petit cri de satisfaction. J’en mis un deuxième puis, tout en le suçant, je fis de petits mouvements de va et vient en appuyant sur sa prostate. Tout en le branlant de l’autre main.
Je sentis qu’il allait jouir. Je décalai ma tête juste à temps, pour qu’il envoya un jet puissant de sperme sur le mur de la cabine de douche. Toujours excité, je me masturbai, mais il me releva :
- Laisse-moi faire !
Sa bouche humide et chaude avala mon sexe. Très vite je me détournai de son visage et éjaculai, moi aussi, au même endroit que lui.
On nettoya le mur, on s'habilla et après un dernier baiser, on se quitta à jamais.
Décidément, le hasard faisait bien les choses. J’avais hâte de voir quelle serait ma prochaine expérience...
Thomas
