Le vieuxLorsque j'ai pouss� la porte de ce sauna j'avais le coeur qui battait la chamade. Ouf ! Personne ne m'a vu et je vais donc pouvoir d�couvrir ce lieu si secret. J'entre dans ce lieu inconnu regarde rapidement et comme les autres je m'installe pour une s�ance de sudation la serviette pos�e sur mes cuisses et les bras crois�s. Je ferme les yeux pour tenter de me d�tendre. " - Tu aimes ? " Me demande t il � l'oreille. Je suis trop bloquer pour r�pondre mais je me laisse d�calotter et il commence un massage de la queue. Quand j'ai eu saisi sa bite, il me prit la t�te pour me pencher dessus et se faire sucer. Il m'attire vers lui et me roule une pelle d'enfer. C'est bon de sentir ses mains me courir sur le corps de haut en bas. So�l� de caresses, je me laisse prendre au jeu et r�ponds � son attente. Je lui prodigue un l�chage en r�gle en partant du cou. Ses seins pointent bien droit, son ventre est plat et j'arrive au sexe qui ne demande que cela. Je le caresse doucement chatouille ses couilles et embrasse ses l�vres chaudes. Nous nous prodigons ces attouchements pendant une dizaine de minutes puis il appuie sur mes �paules : " mets-toi � genoux " me dit-il sur un ton autoritaire. Je le regarde et comme je ne r�agis pas vite il presse ma tige " aller tu vas me sucer comme la salope que tu es ; A GENOUX. " Sous la pression de ses mains je plie et suis devant lui attendant la suite que je devine. Il pose ses deux mains sur ma nuque et tire vers son bas ventre. J'ai sa queue devant la bouche qui s'ouvre toute seule. Je ferme les yeux et maladroitement je commence ma premi�re pipe. " Tu vois c'est pas si difficile de faire une bonne turlutte il suffit d'ouvrir ta gueule de salope " me dit-il en s'enfon�ant dans ma bouche. Alors que je suis toujours autour de sa tige, il se baisse en me maintenant autour de lui, il s'assoie puis s'allonge en m'interdisant de le l�cher. Je suis compl�tement envo�t� par ce mec qui fait de moi son jouet. Malgr� cela, je serre toujours l'anus quand il y touche. Apr�s m'avoir fess� s�v�rement, il se retire de ma bouche, se l�ve en m'interdisant de changer de position. Il ouvre la porte de la cabine et sort en me disant " Bouge pas salope, je reviens. " La porte reste ouverte et je suis dans une position offerte aux regards de tous ceux qui passent. Certains s'arr�tent mais aucun n'entre. Mon ma�tre de s�ance de retour me dit : " mets-toi sur les coudes la tronche dans tes mains je veux ton trou offert pour le travailler. " Je m'ex�cute et sens un produit froid me couler sur le cul. Il a �t� cherch� du gel pour mieux me p�n�trer. Il enfonce un doigt et commence une s�rie d'aller-retour. Ma r�action lui plait et il ajoute rapidement un deuxi�me fouilleur. J'ai plus de mal et tente de me plaindre avec un g�missement. " Ta gueule p�tasse ferme la !! Si t'as mal tu pousses pour que �a rentre mieux car l� c'est le d�but! " Je ne sais pas combien de temps il m'a fouill� avec ses trois doigts mais quand il a mis le quatri�me il est rentr� sans forcer. Il jouissait � m'aviliser ainsi. J'ai entendu un bruit de caoutchouc, il enfile sa capote, se place derri�re moi, glisse sa pine le long de ma raie et stop son gland � l'entr�e de mon trou. " Ah! Enfin le grand moment que tu attends salope, appr�cie le travail " dit-il en s'enfon�ant tr�s doucement dans mon intimit�. Il prend son temps pour finir de m'ouvrir, Lorsqu'il arrive aux sphinct�res, je lui dis que cela fait mal. " T'esp�re tout de m�me pas que je vais arr�ter !! Je prends ton pucelage jusqu'au bout ! " Ce disant, il donne un grand coup de reins en me tirant par les hanches et d�truit ma derni�re d�fense. La douleur est forte et je pense d�faillir. Il ne bouge pas tout de suite et permet � la douleur de s'estomper. Quand il commence � me ramoner, il grogne d'un plaisir intense. Il me lime en modulant le rythme avant de se coller � moi et de vider ses couilles dans un g�missement d'extase. Je suis offert. Je remarque alors que la pi�ce se rempli de mecs de tout genre certains bite raide d'autre pas encore. Il me met du gel dans le cul et se tournant vers le public dit tassez fort : " Il est � vous, allez-y doucement je viens de le d�puceler mais il aime �a. Je reviens le chercher dans une heure. Capotes obligatoires. Salut " Il est parti me laissant ainsi. Pendant une heure j'en ai pris plein le cul et plein la bouche. Du sperme partout sur le corps. Je me suis rendu compte ce qu'�tait faire de l'abattage. " Voil� tu es libre et ton cul est un vrai garage � bites maintenant. T'es devenu une pute pr�te � travailler. J'esp�re que tu as appr�ci� ta prestation. Des salopes comme toi ce n'est pas courant. On se reverra peut �tre une autre fois. " Il m'a embrass� et est parti sans se retourner Le_vieuxR�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |