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Chapitre-4
Nous sommes fin décembre. Cela fait déjà un moi que je baise avec Thomas.
Ou plutôt que je me fais baiser. Et j'adore ça. Mais ces derniers temps je suis de plus en plus agité. J'ai envie d'enfoncer ma queue dans un minet, de dire à Thomas d'aller se faire foutre avec tous ces ordres et de lui en coller une.
Ce soir alors qu'il m’ordonne de le sucer, je craque. Étant dans mon rôle de puppy ce soir, mon instinct animal est vraiment présent. Je lui mords la cuisse au lieu de le sucer.
Il glapit de surprise et me regarde étonner.
- Qu’est-ce qu’il te prend ? Méchant chien.
Moi un méchant chien ? Bien si c’est ce qu’il veut il va l’avoir. Je lui montre les dents et grogne sur lui.
Il est surpris, il me montre sa faiblesse. Et ce soir ça va lui coûter chère.
Je lui saute dessus et le plaque au fauteuil alors qu’il exige des explications d’une voix surprise. Je ne réponds pas.
Je me contente de l’escalade jusqu’à venir plaquer ma queue, durci par cette prise de contrôle, contre ces lèvres.
Il ouvre la bouche probablement pour exiger que je recule. Mais pas ce soir, j’en profite pour enfoncer ma bite dans sa bouche et imposer un rythme. Je suis littéralement entrain de lui baiser la gueule.
Il essaie de protester mais je vois bien qu’au final ça lui plaît. Je me retourne donc tout en lui laissant ma queue en bouche et me penche jusqu’à parvenir à voir son cul. J’y approche ma langue et m’attaque sauvagement à son entrée. Son odeur est forte ici et cela m’excite.
Je lèche fort son anus avant de durcir ma langue et l’enfoncer le plus profondément possible en lui. Il s’étouffe sur ma queue à cause de la sensation.
Il veut parler, mais je ne le laisse pas faire. Je garde le rythme de mes coups de queue dans sa bouche jusqu’à ce que son trou soi bien ouvert par ma langue.
Quand je me retire enfin, il laisse échapper un geignement. Réclamant ma queue ou ma langue ? Je ne sais pas mais de toute façon ce soir c’est moi qui décide. Je m’attaque à ses tétons à coup de langue vorace tout en m’alignant avec son entrée. Quand il remarque la position dans laquelle je suis, ma queue est déjà contre son trou.
Pour l’empêcher de protester je lui roule une méga pelle alors que ma queue glisse toute seule en lui. Nous gémissons dans la bouche de l’autre dû à cette pénétration.
Son cul est chaud, étroit et retiens ma queue à chaque mouvement. De savoir que je suis le premier à baiser son cul me rend encore plus bestiale. J’accélère le mouvement, cherchant sa prostate à chaque passage. Quand il souffle, choqué, je sais que j’ai atteint mon but. Je continue à tabasser son point sensible et attrape sa queue d’une main pour le branler. Je le serre aussi fort que son cul serre ma queue. Et c’est dans un baiser bestial que je le remplis alors que son jus inonde ma main. Je porte cette main pleine de jus à mes lèvres, lape un peu de ce sperme avant de pousser ma paume contre sa bouche
- Lèche !
Et pour accentuer mon ordre, je bouge ma queue toujours en lui. Je durcis à nouveau alors qu’il aspire son propre jus.
Je recommence à le baiser tout aussi fort alors qu’il gémit sous la sur-stimulassions de son canal. Mon envie de fourré un bon cul est toujours là mais l’urgence à diminuer. Je mets donc tout mon savoir à l’œuvre histoire de le baiser correctement.
Je change régulièrement de position, l’obligeant à me suivre. Il a l’air déconnecté de la réalité, pris dans le plaisir que je lui donne.
Je le remplis de mon jus encore deux fois avant de finalement m’écrouler à côté de lui sur le lit.
- Waouh, Qu’est ce qui a provoqué cela ? demande-t-il d’une voix fatiguée.
- Je ne peux pas être juste ton soumis. Ça fait une semaine que je me sentais bizarre, que j’avais l’impression d’étouffer. Alors ce soir quand tu m’as traité de méchant garçon j’ai laissé sortir mon besoin bestial.
- C’était intense en tout cas. Je ne peux pas dire que je n’ai pas aimé, mais je ne suis pas sûr de pouvoir faire ça régulièrement.
- Je ne te le demande pas, mais alors laisse-moi me trouver un minet de temps en temps. Je jure de ne le baiser qu’avec une capote.
- D’accord mais à condition que tu le ramène ici pour le baiser et que je puisse mater.
Cet accord dura longtemps. Nous avons fini par transformer sa chambre en un donjon, l’appart est parsemé de jouet pour chien et il y a un panier dans presque chaque pièce. Thomas me laisse baiser un gars de temps en temps mais toujours en restant proche de lui. Lui as complètement arrêter de draguer des meufs et se contente de me baiser. De temps en temps on se tape un mec ensemble dans un sauna.
D’ailleurs récemment il a rencontré un gars dans notre sauna habituel. Un mec qui se prend pour un dominant mais qui, en vrai, veux juste sa queue. Il a perdu un pari en pensant qu’il était capable de me baiser. Ça fait trois ans que Thomas m’entraîne je n’allais pas perdre face à cette merde. Le gars a fini par devenir la seule exception de Thomas. Le seul mec qu’il peut baiser sans moi. Mais je ne m’en plains pas, j’ai gagné un oméga grâce à ça.
Je m’appelle Sébastien, mes amis m’appellent Seb, mais vous, vous pouvez m’appeler Alpha Red.
Fin
Voilà, comme vous l’aurez peut-être compris dans les chapitres précédents, et clairement expliquer ici, cette histoire raconte la rencontre de Thomas et Red. Deux des personnages principaux de ma série « les aventures d’un bon garçon ».
Pup Orock
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