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9 | Formation de mon esclave la suite
Nous sommes montées dans ma voiture et j’ai indiqué au chauffeur que je voulais me rendre à Paris dans le quartier du Marais pour y faire des achats. Il y a 1 heure de trajet. Il nous a déposés à l’entrée du quartier.
Moi : Va te stationner ou tu veux, je t’appellerais pour venir nous reprendre ici.
Le chauffeur : Bien maître.
Moi : Bon Laurent, maintenant que nous sommes seul, je vais te rhabiller à ma façon.
Je l’ai emmené chez ES collection Paris je lui ai choisi une dizaine de slip ouvert à l’arrière et jocktrap ainsi qu’un legging blanc. Ensuite chez Rob ou je lui ai pris quelques tenues cuirs ainsi qu’un collier et une laisse qu’il devra porter en permanence ainsi qu’un petit plug. Ensuite nous avons bu un café ensemble à une terrasse Laurent mon esclave était ravi des achats mais.
L’esclave : Maître, je ne pourrais jamais vous rembourser ces achats, je ne suis pas payer pour vous servir.
Je vois qu’il a une larme à l’œil et va commencer à pleurer.
Moi : Ne pleure pas et écoute. Tu me rembourseras en nature et je te verserai 1000 € par mois comme salaire. Comme tu es nourri, blanchi, soigné et que tu passeras à l’esthéticienne une fois par mois à mes frais, c’est déjà pas mal comme salaire.
L’esclave : Merci maître mais je n’ai pas de compte en banque et je ne veux pas de salaire parce que je vais être ma vie entière à votre service.
Moi : Tu ne seras pas ta vie entière à mon service et ça te fera un petit pécule pour après. Contrairement aux autres esclaves qui sont revendu après, toi tu retrouveras ta liberté, je ferais en sorte avec mon maître qu’il en soit ainsi mais ne nous déçoit jamais. Je vais ouvrir un compte épargne pour toi sur mon compte en banque. Ça te va ?
L’esclave : Oui maître.
Il s’est foutu à pleurer malgré tout, ils sont chiant à cet âge-là de pleuré pour un rien. Mais qu’est-ce que je raconte, je ne fais pas mieux que lui, je suis con ou quoi. Je l’ai pris dans mes bras pour le réconforter et sécher ses larmes.
Moi : Calme toi, et détend toi, c’est fini. Tiens prend mon mouchoir.
Je suis interrompu par un grand black qui me dit bonjour. Je lui rends la politesse et je m’aperçois qu’il a une bague de maître. Il est avec Eric en training qui regarde le sol. Il a un collier au cou attaché à une laisse que tient le black en main.
Le Black : C’est rare de voir un maître dans la Marais. Que fais-tu ici ?
Moi : Je suis ici pour éduquer mon jeune esclave maître et le mettre à ma sauce.
Le Black : Pourquoi m’appelle tu maître ?
Je lui montre ma bague et il rigole un bon coup.
Le Black : T’es la femme de Karl, Jean-Marc c’est ça.
Moi : Oui maître
Le Black : Alors tu ne dois pas nous appeler maître quand tu es au domaine. Moi c’est Aoun. Comme tu vois moi aussi je fais l’éducation de mon nouvel esclave. Là je vais le conduire pour la totale cheveux aussi chez mon esthéticienne. Ensuite, je le fais castrer définitivement et il intégrera le harem familial pour ne plus jamais en ressortir. Il n’a pas le choix c’est ma propriété. C’était ton ex je me trompe.
Moi : Oui c’était mon mec mais ça c’était avant que Karl ne me mette la main dessus, il y a un peu plus d’un mois.
Le black : Regarde une dernière fois ton ex, sous merde !
Eric a relevé la tête pour me regarder et j’ai pu voir la peur ainsi que le désespoir dans son regard avant de baisser la tête à nouveau.
Le black : Bon je vous laisse, j’ai encore du boulot avec lui pour en faire un eunuque et puis j’ai besoin de me vider les couilles à moins que tu ne le veuille le faire.
Moi : Merci mais je passe mon tour et nous devons encore faire quelques boutiques avant de rentrer. Bonne journée avec ton esclave et toi sous merde dis merci à ton maître pour tout ce qu’il fait pour toi pour être une femme de harem !
Eric : Merci maître de vous occuper de moi.
Le black à tirer la laisse et ils nous ont quittés. J’ai vu que Laurent tremblait de peur.
L’esclave : Maître vous aller me castrer aussi ?
Moi : T’ai-je parlé d’une telle chose ?
L’esclave : Non maître mais cela ne fait que 10 jours que je suis à votre service.
Moi : Ce n’est pas moi qui prend ce genre de décision mais notre maître à tous les deux. Calme toi et commande nous pour moi un vin blanc et toi ce que tu veux.
J’ai pris mon téléphone pour appeler Karl
Karl : Oui ma chérie.
Moi : Je suis à paris avec mon esclave, je le mets à ma façon et le rhabille car je ne veux pas le voir en permanence nu chez moi, je le préfère en tenue sexy comme toi tu aimes avec moi.
Karl : Ok tu fais comme tu le sens mais que veux tu ?
Moi : Je viens de croisé maître Aoun avec Eric, et il vient de me dire qu’il voulait le castrer physiquement.
Karl : C’est son esclave maintenant, Eric a été vendu, il en fait ce qu’il en veut.
Moi : Enfin c’est un ancien maître, il ne mérite pas ça tout de même. Il a toujours servi le cercle et a toujours été dévoué. Fait moi plaisir et empêche ça, à la limite rachète le pour moi a la ferme.
Karl : Tu n’en n’a pas les moyens financiers. Un esclave coûte chère.
Moi : Alors je viendrais au domaine le temps qu’il faut pour te rembourser. Je me donnerais à tes clients et aux autres maîtres.
Karl : Un ce n’est pas ce que je te demande et deux je t’ai dit que le domaine c’était pour ton plaisir et pas une obligation pour te payer un esclave. Je vais voir ce que je peux faire avec Aoun.
Moi : Merci mais fait vite car je pense qu’il va le castrer aujourd’hui.
Karl : Ok
Moi : Mon esclave me demande si un jour, il sera aussi castrer.
Karl : C’est toi qui voit, je n’en vois pas l’utilité à moins qu’il ne baise partout ou qu’il jouisse tout le temps. Un jour c’est toi que je vais peut-être castrer définitivement.
Moi : Pardon
Karl : Je rigole ma chérie, je te retrouve chez toi à 21.00 et je loge donc soit prête à m’attendre.
Moi : Tu auras mangé ou je te prépare quelque chose.
Karl : J’aurais mangé ma chérie, je te laisse j’ai du boulot. Je t’aime
Moi : Bisous mon amour.
Le serveur est revenu avec mon vin blanc et un whisky sur glace pour Laurent. Celui-ci voit que je regarde son verre.
L’esclave : Je me suis permis un whisky, je suis amateur depuis quelques années mais en dégustation uniquement maître. Depuis que je suis au domaine et à votre service je ne bois plus que de l’eau et un verre de vin rouge avec vous hier soir. Ça me manque un peu, je dois vous l’avouer.
Moi : Ecoute, je vais acheter quelques bonnes bouteilles et à l’occasion nous boirons un verre ensemble mais ne dit rien à personne. Tu demanderas à l’intendant de faire rentrer des soft pour toi mais tu diras que c’est pour moi. Je vais faire une liste de courses à son intention.
Nous avons bu notre verre, j’ai payé et nous sommes allées au magasin les dessous d’apollon.
Moi : Tu choisi ce que tu veux mais je veux une tenue de ville.
L’esclave : Bien maître.
Le gérant du magasin a vu ma bague et moi j’ai repéré son collier de vide couille.
Le gérant : Puis-je vous être utile maître ?
Moi : Occupe-toi de mon esclave moi je n’ai besoin de rien, vu !
Le gérant : Oui maître.
Sur ce temps, j'envoie un texto à Karl pour lui demander de m’apporter un collier pour mon Esclave ou juste le médaillon que je ferais à son collier en cuir. Je n’ai pas eu de réponse. Laurent ayant fini, je paye avec ma carte de crédit et j’appelle le chauffeur pour venir nous chercher. De retour à la ferme, le chauffeur aide mon esclave pour décharger les nombreux paquets que nous avions porté dans le marais. Luc arrive
Luc : Bonjour princesse, le maître m’a demandé de te remettre ceci pour ton esclave et je dois te remettre ton collier de vide couille, apparemment tu as déplu au maître. Tu dois retirer ta chevalière et la ranger jusqu’ à demain quand je te retirerais ton collier. Tu as ordre d’attendre le maître à 21.00 dans ta chambre nu à quatre pattes tête au sol et cul vers la porte. Je crois que tu vas morfler.
Moi : Ok, je ferais ce qu’il me demande. Luc j’aurais une liste de courses pour demain après-midi, tu peux t’en charger ou en charger quelqu’un.
Luc : Pas de problème princesse.
Ptlapin
