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18 Mars

Grosse queue
"Plan à 3"
"handgag"

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HISTOIRE

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Rendez-vous professionnel

Je m'avance dans le grand salon et pose mes affaires sur la table basse, comme à mon habitude. Tout est si parfaitement disposé dans le décor que l'on pourrait croire une mise en scène : les fruits dans la corbeille, le comptoir miroitant, l'angle travaillé des coussins sur le sofa, le carrelage si propre qu’il me donnerait presque honte de marcher dessus.

Au-delà de la baie vitrée, le grand jardin m'attend. Je m'approche de la piscine – je sais que je vais l'y trouver par cette chaude journée d'été. Il adore faire des brasses dans l'eau bleue, il me l'a confié après notre réunion, la semaine dernière, quand nous soufflions à demi-dévêtus sur son bureau. Il a beau être mon supérieur hiérarchique, dès que la proximité entre nous se réduit, on ne parvient pas à s'en empêcher. Et après tout, pourquoi s'en priver…

Comme prévu, il nage, aussi à l'aise qu'un poisson dans son bocal. Même sous l'eau, je distingue ses larges épaules nues et ses muscles qui ressortent pour le propulser. Il m'aperçoit sur le bord et se dirige vers moi. Lorsqu'il sort du bassin, mon cœur bondit dans ma poitrine – et ma queue fait de même dans mon pantalon.

Son corps râblé et athlétique s'extirpe de l'élément liquide, à l'image de ces dieux marins de l'Antiquité. La réverbération du soleil éclaire ses abdos. Ses pectoraux épais ruissellent. Les gouttes chlorées empruntent les lignes taillées à la serpe sur ce torse d'Hercules ; elles s'accrochent à la toison courte et drue, lèchent la peau douce et s'amusent à hérisser les mamelons roses et pointus.

Spencer me sourit. Il caresse sa mâchoire carrée, recouverte par une barbe de cinq jours entretenue avec soin. Ses yeux bleus s'accordent à merveille avec la couleur de la piscine. À l'aide de ses doigts, il recoiffe ses boucles blondes, puis barbote jusqu'à moi. Ses biceps se gonflent quand il quitte le bassin à la simple force de ses bras ; les veines ressortent et me donnent envie de dévorer ce mâle puissant.

Je tente de bafouiller quelques mots au sujet de la présentation que nous devons préparer. Spencer se sèche, se retourne, me saisit par le col de ma chemise et colle ses lèvres aux miennes sans crier gare. Sa langue entre dans ma bouche. Mes mains se perdent déjà sur ce corps de rêve. Il me fait tant bander. Mon patron se hâte de me retirer ma chemise, pour profiter à son tour de mon torse sculpté et glabre. Svelte, taillé en V, il adore promener ses doigts dessus. Il m'entraîne ensuite dans son salon afin de poursuivre ces réjouissances sur le canapé, lieu parfait pour nos galipettes sportives.

En cours de route, il déboutonne mon pantalon. Je le retire. Spencer découvre avec joie que, sous ma tenue de travail, j'ai pris soin d'enfiler un jockstrap. Je connais ses goûts ! L'accessoire moule à merveille mon paquet, raide et humide, sans parler du relief qu’il apporte à mon petit cul rond et ferme.

Mon supérieur m'attrape par l'élastique et nous tombons tous les deux sur le sofa. Je m'écrase sur son corps et me jette comme un affamé sur ses tétons, avant de remonter ma langue le long de son cou. Son ventre se contracte sous moi, il me ceinture entre ses cuisses pendant que j’embrasse ses zones sensibles. Il frémit, frisonne, gémit, jusqu'à ce que nos bouches moites se retrouvent pour fusionner à nouveau.

Durant plusieurs minutes, le bruit de nos langues et la sensation de nos mains sur le corps de l'autre nous accaparent. Puis, excité comme jamais, Spencer effleure mes fesses. Il plaque ensuite ses paumes dessus et pétrit mes miches. Il les claque même pour me faire couiner. Un sourire satisfait illumine son visage. Ses doigts sont de plus en plus aventureux ; ils se glissent dans ma crevasse lisse, caressent ma petite rondelle en chaleur, jouent avec, l'écartent, la travaillent pour l'assouplir.

Je glisse alors lentement du sofa et me place à genoux devant Spencer. Je noie mon visage dans son entrejambe. Son érection déforme le short de bain trempé. A travers le tissu, je distingue les plus infimes détails de ce pénis que j'aime tant.

Je retire donc le sous-vêtement pendant que mon supérieur joue avec mon rectum ; la pulpe de ses doigts me chatouille la prostate au moment où je pose mes lèvres sur sa grosse paire de boules. Les quelques poils qui les recouvrent ne m’empêchent pas de gober ces gros pruneaux pleins de jus, au contraire. Je les soupèse dans ma paume, les fais rouler en douceur, tout en remontant ma langue le long d'une hampe raide, gorgée de sang. Je baise les seize centimètres, très larges, de mon patron. Et, enfin, j’atteins son gland, aussi rose que ses tétons. Je lui chatouille le frein avec le bout de ma langue. Il rentre le ventre, gonfle les biceps et pousse un long gémissement.

Dans mon cul, la tension monte. Penché sur moi, Spencer me stimule sans répit. Je mouille tellement que le tissu de mon jock est trempé à l'avant. Cependant, je n'ose pas encore toucher à ma queue, par peur de gicler trop tôt. Je préfère me concentrer sur ce gros chibre que mon patron ballade sur ma face. Il claque mes joues avec, puis mon menton, avant de glisser sa pointe chaude sur mes lèvres. Je l'enfile alors dans ma bouche, salive dessus et l’avale en entier.

D'une main, je tiens le sexe pour le sucer, de l'autre je caresse ce torse viril, que je prends à rebrousse-poil. Les abdos se contractent sous le coup du plaisir, les pectoraux gonflent quand Spencer inspire et expire. Je saisis ses tétons entre mon pouce et mon index, achevant ainsi de lui tirer un « oh putain vas-y ! Suce-moi mec ! ». Dans ma bouche, le dard palpite, gonfle, durcit et expulse du pré-sperme sur ma langue. Quel délice ! Sucer la grosse queue veineuse de mon supérieur, voilà comment je lui montre ma dévotion et mon professionnalisme.

Je cambre pour qu'il continue de me doigter, tandis qu'il referme sa prise libre sur ma nuque. Il m'imprime le rythme et m'oblige à le pomper tantôt vite, tantôt lentement, toujours en variant la profondeur en gorge. Ma langue tourne sur son dard, le chauffe, le stimule et récolte en récompense une abondante quantité de lubrifiant naturel. Les cuisses imposantes de Spencer gonflent de part et d'autre de ma tête, je ne vois plus de lui que son érection et son énorme paire de couilles.

Au bord de l'orgasme après quelques minutes de pipe intense, mon patron sexy se retire d'un coup. Il reprend son souffle en serrant les dents. Sa bite tressaute beaucoup, pulse, sort une belle dose de mouille, mais il parvient à se retenir. Pour ma part, j'aurais aimé qu'il décharge sa dose dans ma bouche, histoire de me repeindre le palais au foutre, mais lui a d'autres projets.

Il me positionne à quatre pattes sur le canapé, les coudes sur le dossier. Dans le grand miroir, à quelques centimètres de mon nez, je vois ce colosse qui se capote, se tartine le pieu avec du gel et s'approche de mon petit cul. Il caresse cette belle pêche juteuse, se penche dessus et, petit à petit, insère son braquemart dedans. La longueur est gérable, mais je serre les dents pour encaisser l'épaisseur de l'engin. Punaise, il m'écarte le cul au point que ça tire sur les parois. Je souffle et lui me laisse un temps d'adaptation. Il continue cependant de la rentrer et ne s'arrête pas avant que son pubis ne touche mes fesses.

Il glisse ensuite une main sous l'élastique de mon jockstrap et l'enroule autour de son poignet. Fier de cette prise, il ne lui reste plus qu'à satisfaire mon trou de salope en chaleur. J'ai beau être presque aussi grand et musclé que lui, il connaît mon amour immodéré pour la bite. J'amorce d'ailleurs un va-et-vient sur la sienne. Le signal est donné ; il commence à remuer son bassin, d'abord en douceur, puis il gagne en vitesse à mesure que mon rectum s'assouplit.

Le claquement humide de ses couilles est rapidement rejoint par mes gémissements. Je couine et réclame davantage entre deux coups de bite énergiques. Le canapé bouge même sur ses pieds ; le pauvre est mis à rude épreuve. Spencer me baise tellement bien ! Sa queue me lime le fion et écrase ma prostate avec l'efficacité d'un rouleau compresseur sur une route en bitume chaud. Entre mes cuisses, mon sexe raide patauge dans la mouille, à tel point que je me demande si je n'ai pas déjà joui. Mais peu m'importe, car c'est par le cul que Spencer aime me faire venir.

Après de longues minutes à cambrer et à gueuler mon plaisir, je le sens qui se retire. Je me retourne, me jette à son cou et lui roule une pelle. Nos jambes s'emmêlent, il tombe sur le canapé et c'est à mon tour de le chevaucher.

Je me positionne à califourchon sur lui et, en un rien de temps, je renfile son sexe dans mon cul. Son visage se contracte, son corps se tend sous moi. Je contrôle les allers-retours, serre mon conduit autour de ce braquemart, le masse malgré sa largeur, monte et descends dessus. Spencer râle fort, on doit sûrement l'entendre du jardin. Je joue avec ses tétons, et lui avec les miens. Il caresse mon torse en gonflant ses biceps, puis pose ses mains sur mes épaules et m'empale d'un coup de bassin ferme.

Pris par un regain d'énergie, et me voyant sur le point de jouir, il pousse sur ses cuisses, se relève en me portant et me plaque contre le mur le plus proche. Je croise mes jambes autour de sa taille. Il me baise avec une fougue incroyable. Il dévore ma bouche, pilonne mon cul avec des coups de butoir de plus en plus rapides – tellement intenses, putain ! – jusqu'à décharger dans la capote.

Il vide ses couilles en moi et se retire. Un liquide clair s'écoule hors de mon rectum, signe que ce mâle m'a fait jouir par derrière. Il se recule et constate alors que mon jockstrap dégouline ; ma queue, demi-molle, nage dans mon propre foutre, alors je ne me suis pas touché un seul instant.

Spencer rigole, retire son préservatif plein et passe une main sur son torse couvert de sueur. Ses tétons pointent encore et jamais ses muscles ne m'ont paru aussi attirants, avec leurs veines saillantes et leur peau en nage. Mon patron m’adresse un sourire lubrique avant de m'entraîner sous la douche, où je sens que nous risquons de remettre le couvert s'il continue de me faire un tel effet.

Décidément, j’adhère sans réserve à ce système de « réunions professionnelles non-hiérarchiques » – et mon cul aussi, à en juger par la manière dont je boite encore.

F I N
Et une nouvelle histoire ! J’espère qu’elle vous aura plu. Si vous souhaitez me faire un retour sur mes histoires, n’hésitez pas, l’adresse mail est dessous, vous êtes déjà nombreux à l’avoir fait et je vous en remercie. Si vous voulez davantage d’histoires, vous en trouverez sur mon insta

Leçon de piano

En bifurquant au croisement de deux rues, je m’aperçois tout à coup que j’ai oublié mon téléphone dans l’immeuble que je viens de quitter. Le vide dans ma poche me rappelle que je l’ai utilisé comme métronome afin de mesurer le tempo de mon élève. Du coup, même pas moyen d’appeler David pour lui demander de me le descendre… La tuile !

Je fais demi-tour et traverse imprudemment d’un trottoir à l’autre en me faisant klaxonner par une horde de chauffards parisiens – dans les beaux quartiers, cette faune devient encore plus agressive, elle utilise même un langage qui jure grandement avec les belles façades.

En moins de quelques minutes, me revoilà devant le vieux bâtiment haussmannien du XVIème arrondissement où, une fois par semaine, je dispense à David ses cours de piano.

En remontant les escaliers, je me souviens de la première fois… Lui entrait au lycée à l’époque. Quels progrès depuis ! A présent étudiant à la Sorbonne, il souhaite quand même poursuivre nos leçons.

Devant la porte, je sonne plusieurs fois, en vain. Personne n’entend jamais la sonnette ; son petit ding fluet se perd dans le vaste couloir. J’abaisse donc la poignée et je ne vois pas d’inconvénient à me glisser rapidement, puisque c’est ouvert ; c’est l’affaire de quelques minutes, ni vu ni connu.

La moquette étouffe mes pas. Depuis le temps, j’ai appris à ignorer les œuvres à plusieurs milliers d’euros, ainsi que les meubles Grand Siècle. Seul le piano m’éblouit encore à chaque fois que je le découvre. Bien que moderne, il possède une finesse et un raffinement capable d’enivrer les plus fins connaisseurs.

Mais, surprise, aujourd’hui je lui découvre un nouveau charme au moment où je pénètre dans le salon. Si mon oreille croyait discerner un bruit étrange, je ne m’y suis pas assez fié, visiblement. A-demi étendu sur le banc où nous pratiquons habituellement, David balade ses doigts sur les touches d’ivoire, chemise ouverte, pantalon sur les chevilles, pendant que son autre main va et vient entre ses cuisses.

Je me fige sur place, perturbé. Je ne sais pas comment réagir. Immobile, je me donne le temps de la réflexion – temps qui suffit à mon élève pour retirer à l’aveugle son slip et dévoiler son sexe en érection. Il s’empare alors de sa bite et la masturbe en douceur, de haut en bas, en étalant avec soin la mouille qui perle sur son gland. Il ponctue ses gémissements de petites notes sucrées, arrachées au piano lorsque son corps se contracte.

Une raideur s’étire dans mon pantalon. Malgré moi, j’apprécie le spectacle. Si je ne l’ai jamais considéré ainsi avant, j’avoue que David ne me laisse pas insensible depuis un an. Enfin devenu un homme, il s’est forgé une certaine musculature ; j’ai assisté à l’épaississement de ses bras et, à présent qu’il se dénude, je lui découvre aussi de fins abdos. Il possède encore un visage juvénile, imberbe et doux, mais son corps lisse montre sa maturité, bien qu’il soit aussi glabre que le reste.

Après plusieurs minutes à l’observer, quelque peu dissimulé par l’une des grandes plantes d’intérieur, je décide de rebrousser chemin. Même si, à l’heure actuelle, une grosse trique déforme mon pantalon, David reste mon élève. Il a beau m’exciter au possible, je me contenterai de me branler sur son souvenir. De toute manière, il ne doit sûrement pas avoir envie de faire quoi que ce soit avec moi, me dis-je intérieurement. A son âge, il s’imagine sûrement en train de lever une jolie petite étudiante…

Cependant, à l’instant où je me détourne, il gémit plus fort et murmure :

– Mmmmmh, monsieur Vaughn, votre bite… Oh oui, elle est bonne ! Mmmmmmh ! Allez-y, prenez-moi à fond monsieur, donnez-moi une grosse leçon avec votre queue ! Haaaaaan, oui !

Mon cœur saute dans ma poitrine lorsque j’entends mon nom. Les yeux toujours fermés, l’imagination de David semble l’entraîner dans un scénario très plaisant. Je m’avance alors, sans vraiment m’apercevoir de ce que je fais. Je tripote mon sexe raide à travers mon pantalon et, dès que je pose le pied sur la première latte de parquet, le grincement tire mon élève de son occupation solitaire.

Il sursaute et tente de cacher maladroitement son érection. Le visage horrifié, il bafouille, tremble et essaie de justifier ce que je viens d’entendre. Puis, après une minute à défaillir, il descend son regard sur mon entrecuisse. Son intérêt est flagrant, mais le voyant encore dans l’hésitation, je déboutonne le haut de ma chemise. Etage par étage, je fais sauter les barrières jusqu’à découvrir mon torse svelte et musclé ; dix ans de natation et de soirées à la salle me permettent d’exhiber des pectoraux gonflés et des abdominaux fermes. Je défais mes manches et dévoile ensuite mes biceps, plus imposants que ceux de mon élève. Il écarquille les yeux ; peut-être soupçonnait-il un tel corps – toujours est-il qu’il ne cache plus sa gaule, trop heureux de me découvrir ainsi.

David s’approche, timide. Je saisis ses poignets et balade ses paumes sur mon buste d’athlète. Il rougit. Je ris. J’ai eu de nombreuses occupations dans ma vie et, avant de gonfler mon salaire avec des leçons de pianos, je m’employais dans des endroits nettement moins charmants – des lieux où, avec un corps comme le mien, on vous glisse des billets dans un tout petit sous-vêtement en espérant que vous le retirerez. A trente-cinq ans, bien que converti à la sagesse, je sais encore comment m’y prendre.

J’assois le minet et, me plaçant au-dessus de lui, j’ondule du bassin tout en promenant ses mains sur moi. Ma tablette l’excite, mes tétons pointent, les siens aussi, alors je lui montre comment jouer avec ; je place un de ses doigts dans ma bouche et le pousse ensuite à pincer le bout sensible. David me dévore des yeux. Je me colle à lui, effleure ses lèvres avec les miennes, passe ma langue dans son cou.

Je l’incite à déboucler ma ceinture. Toujours en me déhanchant, il baisse doucement mon pantalon, jusqu’à le retirer. Me voilà en slip en train de le chauffer.

Sa bite de puceau bande entre mes cuisses. La mienne l’hypnotise ; elle tire sur le peu de tissu que je porte. Mon gros paquet lui fait un effet tel qu’il en tremble. Je caresse ses cheveux châtains, embrasse son visage lisse puis, d’un geste acrobatique, je lui plaque l’engin contre la figure. Il commence alors à le dévorer instinctivement. Après une minute de ce petit jeu, n’y tenant plus, il me prend par la taille et m’installe sur le banc, non sans m’arracher le dernier obstacle à son plaisir.

A genoux devant moi, il découvre ma queue, aussi longue qu’épaisse. Il la prend en main, tâte mes grosses couilles rondes et s’avance vers mon gland. Sa bouche se familiarise avec ma pointe turgescente. Il déguste mon pré-sperme – sûrement la première fois qu’il a ce goût sur la langue. Il s’en accommode très vite et essaie d’en avaler davantage.

Guidé par mes soins, David apprend à sucer en un clin d’œil – à croire que mes leçons sont toutes bonnes à prendre. Il me pompe à son rythme. De temps à autre, je donne un ou deux coups de bassin pour l’encourager, mais dans l’ensemble, il gère son premier chibre comme un chef. Il salive dessus, monte et descend le long de la hampe avec appétit, me branle lorsqu’il reprend son souffle.

Néanmoins, il me fait vite comprendre que sa mâchoire l’élance ; j’avoue que l’engin est large pour un puceau. Je lui propose donc de lui offrir le même traitement ; il me confesse que, dans ses fantasmes, je m’occupe peu de sa bite.

– Ah oui, dis-je. Dans ce cas, de quoi est-ce que je dois m’occuper ?

Mon élève s’installe alors à califourchon sur moi, un grand sourire aux lèvres. Il se penche et me souffle à l’oreille :

– En général, vous me faites faire des gammes avec votre gros métronome, monsieur.

Sur ce, David égare sa langue dans mon cou, glisse jusqu’à sur mes pectoraux, mordille mes tétons et noie son visage dans la fine toison qui naît au milieu de mon torse. Il suit la ligne de poils jusque sous mon nombril, à l’endroit où elle surplombe mon engin archi-raide. Le minet se détache ensuite de moi ; il quitte le salon en faisant rouler sous mes yeux son petit cul arrondi. Il revient une minute après, armé d’une capote et d’une bouteille de gel qui l’accompagne sûrement lors de ses innombrables branlettes.

– Au moins une après chacun de vos cours, me confie-t-il en souriant.

Sans traîner, je capote ma grosse verge, avant d’installer David sur le banc, les cuisses sur mes épaules. Là, je lui introduis mes doigts badigeonnés de lubrifiant ; d’abord un, puis deux. Il gémit et s’ouvre assez vite, à ma grande surprise. Je pose alors mon gland contre sa petite rondelle et, en douceur, je lui décapsule sa virginité. Centimètre après centimètre, son trou de puceau se détend et m’avale en lui.

Son cul serré me tire des gémissements. Mon épaisseur le rend rouge. David soupire, gémit, touche ses tétons, son torse lisse, en sueur, sa bite raide et mouillée. Dès que j’amorce les premiers coups de reins, il pousse un cri jouissif. Un « baise-moi » lui échappe.

Inutile de me le dire deux fois. Puceau ou pas, il va recevoir le même traitement que les autres. A grand renfort de gel et de salive, je lui dilate le rectum en avançant et reculant mon bassin. Le minet s’accroche à mes épaules et contemple mon corps d’athlète pendant que je lui lime le fion en variant les rythmes ; tantôt vite, pour bien lui frotter le conduit, et tantôt lentement, afin de sentir mon gland lui écraser la prostate.

Après plusieurs minutes à l’enculer dans cette position assez inconfortable, je soulève mon élève et l’allonge directement sur le piano. Sur le ventre, il comprend qu’il doit relever le bassin ; il m’offre son cul cambré, j’y retourne sans me faire prier. Maintenant qu’il s’est fait à ma taille, j’entre vite en lui et reprend notre baise effrénée. Le piano gémit sous nous, mais ce n’est rien comparé aux cris de David. La sueur ruisselle sur nos corps collés. Le claquement de mes couilles nous rend dingue. David jouit sur la surface noire, laqué, où s’étire désormais une ligne blanche, mais je ne remarque son foutre qu’un moment après qu’il a juté.

Malgré son orgasme, il en réclame encore. Nous terminons donc en levrette, position où mon bassin a toute l’amplitude nécessaire pour déboîter du minet. Là, après une grosse accélération, je décharge mon foutre au fond de son trou ; six à sept giclées bien fournies, comme à mon habitude. Je me retire ensuite en douceur et aide le pauvre David, courbaturé de partout, à regagner sa chambre.

Il insiste pour que nous prenions une douche ensemble. Sous l’eau chaude, il en profite pour m’embrasser et tenter de me refaire bander. S’il y arrive assez vite, je lui explique qu’il doit se reposer. Je lui promets toutefois qu’à sa prochaine leçon, il aura le droit au même traitement s’il réussit à jouer sa partition sans aucune fausse note.

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Plume Gay

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