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18 Mars

Grosse queue
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HISTOIRE

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Le vol Bruxelles - New York

Depuis aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours adoré voyager, et particulièrement en avion. J’adore l’ambiance de vacances qui règne dans les aéroports. Mais ce que j’aime le plus, c’est mater les stewards en uniforme. Il y a quelques années, alors que je venais d’être diplômé, j’ai décidé de m’offrir un voyage outre-Atlantique pour fêter ma réussite et souffler un peu avant d’entrer dans le monde du travail.

Ma valise bouclée et mon billet en poche, je me rends à l’aéroport en début de soirée, pour mon vol de nuit. Le lieu est déjà bondé. Il faut dire que c’est le début des vacances et tout le monde a hâte de se tailler au soleil. Étant donné le grand nombre d’avions annoncés sur les panneaux d’affichage, je ne suis pas surpris de voir des dizaines d’hôtesses de l’air et stewards affluer de tous côtés. J’en profite au passage pour me rincer l’œil : la plupart sont tellement bien foutus que je les suis longtemps du regard sans prendre la peine d’essayer d’être discret.

Je cherche les informations concernant mon vol sur le panneau d’affichage : 30 minutes de retard. Les vacances commencent bien ! Et comme je suis arrivé plus de deux heures à l’avance, j’ai presque trois heures à tuer…

Je me dirige vers la sécurité. J’enlève mes chaussures, vide mes poches et place le tout dans une boite avec mon sac puis je me dirige vers le portique de sécurité. Évidemment, ça ne loupe jamais : la machine émet un « bip » et une lumière rouge s’allume. Je suis encore bon pour une fouille ! Par chance, le garde de sécurité est plutôt pas mal. Il me demande d’écarter bras et jambes. Je m’exécute, puis il commence à palper mes bras, mes flancs, mes jambes, puis remonte… et palpe à plusieurs reprises l’intérieur de ma cuisse. Il semble intrigué, insiste, et va jusqu’à empoigner mon sexe à travers le tissu fin de mon pantalon de survêtement. Il me demande d’un ton sévère :

- Qu’est-ce que vous avez dans la poche ? Pouvez-vous sortir ce qu’il y a dedans s’il-vous-plait ?

- Euh… je n’ai rien dans la poche, c’est… c’est mon… dis-je, rouge de honte.

Comprenant son erreur, il recule brusquement, se confond en excuses en me fait signe de circuler.

Je récupère mes effets personnels, remets mes chaussures et, avant de continuer mon chemin, je jette un œil par-dessus mon épaule. Je vois le garde raconter l’anecdote à son collègue, qui semble hilare.

Je consulte ma montre : encore deux heures à patienter… Je me dirige vers la porte d’embarquement, m’assieds sur l’un des sièges et je sors un livre pour tuer le temps. Au bout de quelques pages, un mec de mon âge s’installe en face de moi. Je lève distraitement les yeux de mon livre et je détaille sa tenue. Il doit partir vers une destination ensoleillée ou en revenir, parce qu’il est habillé très légèrement : t-shirt moulant, short court et léger, et tongs aux pieds. Un détail retient mon attention. Son short est plutôt large et, comme il écarte nonchalamment les jambes, je peux presque voir jusqu’à son entrejambe. Je me replonge dans mon livre mais impossible de me concentrer, je ne cesse de regarder l’intérieur de son short. J’essaye de me faire le plus discret possible, même s’il est plongé dans la contemplation de son écran de téléphone. Soudain, alors qu’il bouge les jambes de manière saccadée, son sexe apparait dans la jambe droite de son short. Cette fois, impossible de me remettre à lire, je suis comme hypnotisé par le spectacle. Je lève alors les yeux et je le vois me fixer. Merde, grillé ! Mort de honte, je plonge le nez dans mon livre. Mais la tentation est trop grande et je ne peux m’empêcher de regarder à nouveau, le plus discrètement possible. On dirait que sa queue prend du volume… Oui, pas le moindre doute, son gland est maintenant très visible, presque au bord du tissu. Il est toujours absorbé par son téléphone. Peut-être qu’il est en train de mater du porno, ce qui expliquerait que sa bite prenne de l’ampleur. Soudain, son téléphone sonne. Il répond dans une langue que je ne connais pas, attrape son sac, et lève et s’en va, et avec lui, la belle bosse de son short.

Encore sous l’effet de cette vision, je suis moi-même dans un état difficile à dissimuler. Décidant de remédier à la situation, je me lève, place mon sac devant mon entrejambe pour masquer au mieux mon trouble et me dirige vers les toilettes. À l’intérieur, trois mecs sont occupés aux urinoirs. L’un d’eux, bien que de dos, a l’air plutôt bien foutu. Je me place innocemment devant l’urinoir à côté de lui et déballe mon matos. De petites cloisons séparent les différentes vasques, je ne peux donc pas voir sa bite. De mon côté, mon excitation n’a pas que grandir, depuis le beau garde qui m’a palpé la queue et le mec en face de moi qui n’avait aucune gêne à laisser apparaître la sienne. Je commence à caresser ma queue déjà bien dure. Le mec d’à côté, ayant fini de pisser, referme son pantalon et, bien que je sois dissimulé derrière la cloison, il semble qu’il ait compris ce que je faisais, parce qu’il m’adresse un petit sourire en coin avant de quitter les toilettes. Rapidement, la cadence de mes aller-retours augmente et je crache plusieurs jets incontrôlés, donc certains atterrissent sur le mur à côté de l’urinoir. Je remballe tout et sors à mon tour des toilettes.

Pour faire passer le temps, j’erre dans les boutiques de l’aéroport, je regarde les avions décoller, je bouquine, je me mets à jour dans mes différentes apps de réseaux sociaux… Enfin, l’heure d’embarquer arriver. Une fois dans l’avion, une personne accueille comme toujours les voyageurs, leur indiquant la rangée de leur billet. Un steward châtain, fin de la vingtaine, regarde le papier que je lui tends et me dit :

- 52L… il s’agit de dernière rangée, à droite de l’appareil. Venez, laissez-moi vous accompagner je vais vous montrer votre siège.

« Avec plaisir, mon beau ! » me dis-je intérieurement. Je le suis donc et nous remontons tout le couloir de l’avion, ce qui me laisse le temps de mater à l’envie ses fesses parfaitement moulées dans son pantalon d’uniforme.

- 50… 51… 52, voilà ! Je pense que vous serez tranquille, vous êtes assis dans la dernière rangée et il semble qu’il n’y ait pas d’autre passager dans les sièges à côté de vous. Voulez-vous de l’aide avec votre sac ?

Sans même attendre une réponse de ma part, il s’empare de mon bagage et le place dans le compartiment situé au-dessus des sièges. Je contemple au passage ses bras musclés, bien apparents sous sa chemise. Je le remercie et le gratifie de mon plus beau sourire.

- Je vous en prie, répond-il en me rendant mon sourire. Si vous avez besoin de quoi que ce soit, surtout n’hésitez pas, je suis la pour ça.

« Quoi que ce soit, vraiment ? Tentant… » Bien sûr, cette pensée indécente ne quitte pas ma tête. Je m’installe et boucle ma ceinture alors que le steward va reprendre sa place en tête de cabine.

L’avion se met en route vers la piste de décollage et pendant ce temps, comme de coutume, les hôtesses de l’air et le steward (il s’agit en effet du seul homme), commencent à mimer les gestes de sécurité en cas d’évacuation. Pendant la démonstration, je le détaille de la tête aux pieds : il doit faire 1m85, a des cheveux châtain foncé, une mâchoire carrée, des épaules larges, un torse taillé en V, des cuisses musclées, serrées dans son pantalon de costume gris clair. J’ai déjà eu l’occasion de mater son cul, bien rond et qui semble très ferme. Mon observation ne passe pas inaperçue, parce qu’à plusieurs reprises, je croise son regard pénétrant, qu’il accompagne d’un petit sourire à se damner. Et dire que je vais passer presque 10h à quelques mètres de cet Appolon !

Le décollage est imminent, James (son nom est inscrit sur une étiquette sur sa poitrine) prend place au fond de l’avion, juste derrière moi. Une fois en l’air, le signal lumineux nous indiquant de garder notre ceinture bouclée s’éteint et le personnel de bord se remet en marche.

Je lance un film dans l’écran du siège devant moi mais j’ai peine à me concentrer car le steward ne cesse de faire des allées et venues et je ne peux pas m’empêcher de le mater à chaque passage. S’agissant d’un vol de nuit, la lumière tamisée est suffisante pour que je profite de toutes ses formes. À chaque fois qu’il passe près de moi, il m’adresse un sourire charmeur que je lui rends du mieux que je peux.

Après plusieurs dizaines de minutes de film, une scène de sexe apparait à l’écran. Même si, pudeur oblige, l’acte est plus suggéré que réellement montré, il n’en faut pas plus à mon cerveau pour partir dans des fantasmes. L’acteur ressemble un peu au steward et je l’imagine me prendre contre un mur comme la scène que j’ai sous les yeux. Dans mon survêtement, ça se réveille. Une bosse indécente apparait bientôt. Comme je suis seul dans ma rangée et que la lumière de la cabine est assez faible (et que, de toute façon, la plupart des passagers sont endormis ou focalisés sur l’écran devant eux), je prends la liberté de plonger ma main sous le tissu pour me caresser. Je ferme les yeux quelques secondes et les rouvre alors que la scène de cul devant moi se termine.

- Est-ce que je peux faire quelque chose pour vous ?

Je sursaute et retire précipitamment ma main. Les quelques instants durant lesquels j’avais les yeux clos ont été suffisants pour que le steward gagne le fond de l’avion sans que je l’aperçoive et vienne de derrière moi. Ne sachant plus où me mettre, je peine à articuler :

- Juste… seulement un verre d’eau s’il-vous-plait.

Il me répond une fois encore avec son sourire Colgate et se dirige vers l’arrière de l’appareil, là où se trouvent les chariots de boissons et de nourriture. Il revient quelques secondes plus tard et me tend le gobelet. Étant assis et lui debout, mon visage se trouve presque à la hauteur de son entrejambe, qui a l’air d’avoir pris de l’ampleur depuis tout à l’heure. Et d’après ce que je vois, je constate qu’il porte à gauche…

- Souhaitez-vous un snack avec ça ?

« Avec plaisir, je voudrais bien déballer le snack que j’ai sous le nez… »

- Non merci, j’ai tout ce qu’il me faut.

Je ne pourrais expliquer pourquoi, mais j’ai la sensation qu’il est quelque peu déçu par ma réponse. J’essaye de me rattraper. Je réfléchis à toute allure et lui demande :

- Par contre, puisque vous êtes débout, est-ce que vous pourriez attraper le livre dans mon sac qui se trouve dans le compartiment juste au-dessus de moi ?

- Bien sûr, un instant.

Il ouvre le contenant puis le sac qu’il contient. Il marque un temps d’arrêt. Je lève les yeux et le vois fixer quelque chose au fond de mon bagage. Je devine qu’il vient de voir, comme prévu, le gode que j’emmène toujours dans mon sac à dos. Il se reprend rapidement, sort le bouquin du sac, et me le tend, un léger trouble dans les yeux. Je décide de poursuivre sur ma lancée afin d’évaluer mes chances.

- Merci. Tant que vous y êtes, est-ce que vous pouvez aussi me passer les écouteurs au fond du sac ?

Cette fois, il n’a pas d’autre choix : il doit empoigner les différents objets dans mon sac, y compris le gode, pour pouvoir accéder au fond. L’opération semble durer plus longtemps que nécessaire, comme s’il faisait trainer en longueur.. C’est alors que, mimant de devoir se pencher davantage pour accéder à quelque chose, il plaque son entrejambe contre mon épaule. Cette fois, aucun doute : il bande bel et bien, et applique de légères pressions contre mon bras avec sa bosse. Quitte à me prendre une tarte si je me trompe, je prends cela comme un signal et lève la main vers sa bosse. Je caresse sa queue, imprimant de légers mouvements horizontaux. Il répond à mon geste et bouge ses hanches lentement. Hélas, il ne peut guère fouiller plus longtemps dans le compartiment sans que cela paraisse étrange aux yeux des autres passagers. Il referme le tout et, puisqu’il ne peut décemment pas se balader dans l’avion avec une trique pareille, il se dirige vers le fond de l’avion, faisant mine de préparer des boissons.

Échauffé par la situation, je me lève de mon siège comme pour aller aux toilettes sauf que, au lieu de tourner à droite vers la petite pièce, je me tourne à gauche, où m’attend le steward. Désormais très confiant quant à l’effet que je lui fais, je me colle à lui et l’embrasse avec passion, tout en agrippant sa queue toujours enfermée dans le tissu. J’ai envie de plus, mais il me repousse gentiment.

- Je peux avoir de gros problèmes si un passager ou un membre d’équipage nous trouve comme ça…

- Et si on allait dans les toilettes, elles sont juste derrière. Ce sera plus discret.

Il me regarde avec des yeux amusés avant de répondre :

- T’es mignon, mais c’est des fantasmes de film X ça. Je peux t’assurer que ça n’a rien de discret. Si tu savais le nombre de couples que j’ai surpris en train de sortir à deux des toilettes. À tous les coups, quelqu’un attendra derrière la porte.

Je ne peux cacher ma déception.

- Mais regarde l’état dans lequel on est…

Bien que sa bite déforme de façon très peu discrète0. son uniforme, la mienne fait une bosse réellement outrancière dans mon pantalon. Non pas que ma queue soit plus grosse que la sienne, mais le tissu du survêtement ne retient pas grand-chose de mon trouble.

- Je sais, mais malheureusement il va falloir patienter. En tout cas moi. Je dois m’occuper des autres passagers, même si j’ai très envie de m’occuper exclusivement de toi et de ce que tu caches là-dessous… Mais rien ne t’empêche de soulager la pression aux toilettes…

- J’ai une meilleure idée… lui dis-je en regagnant ma rangée.

Intrigué, il me suit et je m’installe non pas dans le siège côté couloir, mais contre le hublot, de manière à être encore moins visible par les autres passagers. Ni une ni deux, je sors ma queue et commence à me branler. Le steward n’en perd pas une miette mais rapidement, il se reprend. Il réajuste discrètement sa bite pour qu’elle soit moins apparente, m’adresse un clin d’œil puis s’éloigne. Entrainé dans mon élan, je ne peux plus m’arrêter et je viens sur mon t-shirt, le tachant de plusieurs jets chauds.

Quelques minutes plus tard, James repasse près de moi et voit les traces blanches sur mon vêtement. Il passe un doigt dessus puis le porte à sa bouche.

- Comme ça j’ai déjà un amuse-bouche pour m’aider à patienter… On n’est plus très loin de notre destination, on ne va pas tarder à atterrir, tu peux encore patienter ?

Pour toute réponse, je me contente de passer la langue sur mes lèvres pour lui signifier que j’ai hâte de goûter à ce qu’il cache sous son pantalon.

Quelques minutes plus tard, le commandant annonce notre descente. Le personnel de cabine passe une dernière fois entre les allées pour récupérer les déchets et demander aux passagers de relever leur tablette. Lorsqu’il passe à côté de moi, le steward saisit son entrejambe à pleine main et me glisse :

- Si tu sors en dernier de l’appareil, je serai juste derrière toi. Après, il suffit juste de trouver des toilettes peu fréquentées dans l’aéroport.

Suivant ses instructions, je laisse sortir tout le monde avant moi et le personnel de l’avion me suit de près. Mon cœur commence à s’emballer en devinant ce qui m’attend dans quelques minutes. Je jette quelques coups d’œil par-dessus mon épaule pour vérifier que James me suis toujours, puis je me dirige comme convenu vers des toilettes assez isolées. J’attends dans une cabine, la porte entrouverte. Quelques secondes plus tard, le steward pousse la porte, entre et la referme derrière lui. Impatient, je ne perds pas une seconde : je me mets à genoux devant lui et ouvre son pantalon d’où jaillit sa queue bien bandée qui disparait instantanément au fond de ma gorge. Lorsque, entendant ses gémissements de plus en plus prononcés, je le sens près de venir, je me relève pour lui dévorer la bouche, puis je me tourne face au mur, le steward dans mon dos. Le message est clair : la bite bien lubrifiée par ma salive, il dirige son gland vers mon trou dans lequel il rentre d’abord doucement puis, une fois bien au fond, il commence des aller-retour effrénés. Il ne lui faut que quelques secondes de plus pour me remplir de son jus. Je ne laisse pas sortir de mon cul pour autant. Je reste empalé sur sa queue et je continue mes mouvements en me branlant frénétiquement. À mon tour, je viens et j’expulse mon sperme sur les parois de la cabine. Il sort de moi et me glisse, le souffle court :

- Je le savais, ça valait la peine que je patiente !

Et il me roule une pelle d’enfer, puis il ajoute :

- Je suis dans le coin pour quelques jours avant de repartir pour l’Europe. Donne-moi ton numéro, je vais t’envoyer l’adresse de mon hôtel. Ce serait dommage d’en rester là non ?

On sort des toilettes. Heureusement, personne n’est là pour nous voir sortir à deux de la cabine. On s’embrasse une dernière fois pour se dire au revoir et je les regarde s’éloigner, lui et son beau petit cul que j’espère pouvoir bientôt remplir à mon tour. Les vacances commencent bien !

TomParis

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